| | | MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES |  |
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| Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES  Mer 5 Fév - 9:58 | |
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| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Lun 3 Fév - 10:45 | |
|  Béthune: Nathalie Delbart prend sa carte au PS grâce à JospinEn 1981, Nathalie Delbart a 17 ans. Elle se rend à Cambrin pour assister à une réunion politique en présence du premier secrétaire du Parti socialiste, ce sera le déclicPar Stéphanie Hameaux | Publié le31/01/2020 L’année 1981 sera une année importante dans l’engagement politique de Nathalie Delbart, candidate aux municipales à Béthune. Tout d’abord avec l’élection de François Mitterand à la présidence, « ça m’a bousculée. Ça m’a donné de la ferveur et de l’espoir. Mon père, je me souviens, a dit, c’est une catastrophe ! » Cette même année, c’est une rencontre qui la convaincra de s’engager et de prendre sa carte au Parti socialiste (PS).
Nathalie Delbart a 17 ans, elle fait partie d’un groupe d’amis qui ne veut pas « subir. On était jeune, on voulait décider, et on a vite compris que ça passait par la politique. » Fascinée par ce qu’il se passait en France à cette époque, elle décide, en compagnie de ses amis, de se rendre à une réunion politique en présence de Lionel Jospin à Cambrin, alors premier secrétaire du PS. « J’ai été captivée, tout comme mes amis. Et en sortant de cette réunion, on a tous adhéré au Parti socialiste avec ferveur dans un élan de fraternité et voulant tout changer », se souvient-elle.
Née dans une famille originaire de Haisnes-les-la-Bassée, d’un père ouvrier et d’une mère italienne « qui a élevé fièrement et courageusement ses quatre enfants », elle n’avait qu’une hâte, quitter l’école. « On ne manquait de rien, mais à 10/12 ans, je me disais vivement que j’arrête l’école pour aller travailler et apporter de l’argent. J’avoue que je n’étais pas passionnée par l’école, je m’ennuyais, je voulais que ça bouge. » Son BEP comptable en poche, elle signe son contrat de travail deux jours après, comme secrétaire à l’Urame de Violaines où elle restera 11 ans.
Elle emménage à Béthune en 1992 et accepte un poste de femme de ménage à la mairie. Elle passe alors les concours de la fonction publique et occupe le poste de rédacteur lorsqu’elle quitte la mairie en 2008. Elle est aujourd’hui responsable secrétariat à Pas-de-Calais Habitat.
Être là où les décisions se prennent
Durant toutes ces années, Nathalie Delbart sera militante dans les différentes sections du Parti socialiste. Fortement investie, elle sera élue responsable de la section PS béthunoise en 2014. « Je me suis construite et j’ai acquis la conviction qu’il fallait être là où les choses se décidaient », explique-t-elle. Sans aucun mandat en poche, en 2011, elle est suppléante d’Alain Delannoy sur le canton de Béthune Sud. En 2015, elle se présente de nouveau à ses côtés, mais en tant que titulaire en binôme. Et elle est choisie pour être vice-présidente du Département.
Aujourd’hui, après moult péripéties et rebondissements chez la gauche béthunoise, Nathalie Delbart a décidé de se lancer tête de liste. « Ça ne m’était pas prédestiné. C’est par le travail que j’ai toujours agi, aux côtés de Jacques Mellick, quand je n’étais pas élue. Ça fait 20 ans que je suis sur le terrain. Depuis cinq ans, j’apporte des choses à Béthune au travers du Département. » Une liste apolitique formée de personnes très éloignées de la politique, des professionnels, des passionnées, des membres d’association.
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"Elle emménage à Béthune en 1992 et accepte un poste de femme de ménage à la mairie". Magnifique promotion ! ! ! ! | |
| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Sam 1 Fév - 17:24 | |
|  Béthune: Jacques Mellick pas candidat, mais soutien de Nathalie Delbart Jacques Mellick a éclairci son ambiguë publication postée sur sa page Facebook, jeudi 30 janvier, qui semblait annoncer sa candidature aux prochaines élections municipales Par Frédéric Guillout | Publié le31/01/2020 Partager Twitter Finalement, non : Jacques Mellick n’a pas annoncé sa candidature, jeudi 30 janvier, sur sa page Facebook. L’ancien ministre et député-maire de Béthune a levé les doutes sur son énigmatique publication : « Non, je n’ai pas dit que j’étais candidat. J’ai voulu replacer le vrai débat qui doit s’instaurer à un mois et demi des élections municipales », déclare-t-il, vendredi 31 janvier. Selon lui, sa publication ne représente « qu’un cri d’alerte » face à la situation politique actuelle : « Au niveau national, Macron se nourrit de Le Pen comme Le Pen se nourrit de Macron. À Béthune, Gacquerre se nourrit de Saint-André comme Saint-André se nourrit de Gacquerre. On ne parle plus projet pour l’intérêt commun, on parle d’ego, de place, etc. »
Son « appel » s’adresserait ainsi à « tous ceux qui veulent venir. J’entends contribuer par ces idées au rassemblement le plus large. »
« À ce jour pour moi, c’est Nathalie Delbart. Nathalie a une fraîcheur. »
Jacques Mellick
Seulement, s’il sonne le rassemblement, il n’est donc pas candidat. Mais au premier tour des élections, le 15 mars, les électeurs devront bien glisser un bulletin dans l’urne, pour un candidat. Alors lequel à ses yeux incarne ce rassemblement ? « Actuellement, on a la chance d’avoir une vice-présidente du Conseil Départemental, qui est une femme, une nouvelle figure dans le paysage politique Béthunois. Elle n’a pas de passé dans les haines recuites. À ce jour pour moi, c’est Nathalie Delbart. Nathalie a une fraîcheur. »
Jacques Mellick en reste persuadé : le débat politique actuel doit se dérouler « en dehors des partis politiques. Les partis politiques sont discrédités, on en prend acte. Aucune idée nouvelle ne sort »
Dans cette configuration qu’il élabore, quel rôle jouerait-il ? Figurerait-il sur la liste conduite par Nathalie Delbart ? « Je n’ai rien en tête à ce jour. Je reste disponible pour ce qui permet le rassemblement le plus large possible. Il faut qu’on sorte du face-à-face. C’est un autre chemin que je propose. »
S’il sort de la réserve où il s’était placé ces derniers mois, c’est en sa qualité d’ancien homme fort de l’échiquier Béthunois : « J’ai toujours un lien particulier avec les Béthunois qui m’autorise à faire cela. Je suis toujours arrivé en tête des élections municipales, en 2008 comme en 2014. J’ai donc une autorité morale qui me permet de me prononcer. » Une question reste en suspens : aujourd’hui, sa parole sera-t-elle entendue et surtout, suivie ? | |
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| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Sam 1 Fév - 17:17 | |
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Béthune: Jacques Mellick, candidat aux municipales ? Coup de tonnerre dans la course au siège de maire de Béthune ? Une publication postée sur la page Facebook de Jacques Mellick entretient sérieusement le doute Par Frédéric Guillout | Publié le30/01/2020 La campagne des élections municipales à Béthune vient-elle de vivre l’un de ses moments les plus marquants ? Une publication postée sur la page de Jacques Mellick, jeudi 30 janvier en fin d’après-midi, soulève la question : l’ancien ministre et maire de Béthune a-t-il décidé d’être candidat aux municipales 2020 ? Énigmatique, les mots qu’il distille au millimètre semblent l’indiquer. En introduction, il rappelle sa « longue histoire de cœur et de raison », qu’il le lie aux Béthunois(es).
Un appel à le rejoindre
Puis, plus loin, ses mots sonnent véritablement comme une synthèse des événements et péripéties successives qui ont empêché l’union des forces de Gauche, principalement articulés autour de Nathalie Delbart et Stéphane Saint-André, tous deux candidats : « Je pense qu’il est temps de dépasser les querelles, les égos, les étiquettes politiques, il est temps de panser les plaies et de se mettre au travail. ». Il livre ensuite son analyse locale de la situation : « Après leurs échecs et pour un certain temps, la droite et la gauche tant au niveau national qu’à Béthune se sont discréditées. »
Son constat livré, Jacques Mellick se propose comme une alternative à ces querelles et donc aux actuels candidats : « Je pense qu’au-dessus de la gauche et de la droite, il y a la République. C’est pourquoi, je propose pour Béthune « La République Sociale et Écologique ». Cette formule permet de dépasser les jeux des appareils des partis politiques. Elle seule permet d’être libres et rassemblés. »
Enfin, il conclut son propos par cette équivoque proposition : « Rejoignez-moi et portons ensemble une nouvelle ambition pour les Béthunois. » Quel sens donner à cet appel au rassemblement ? La constitution d’un groupe de réflexion et de propositions ? Jacques Mellick a déjà franchi cette étape. La réponse semble s’imposer d’elle-même : Jacques Mellick serait bel et bien candidat. Injoignable, nous n’avons pu recueillir son explication sur sa publication.
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| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Mer 29 Jan - 12:35 | |
| La liste « verte » avance sans tête, en collectif, sur son programme PAR STÉPHANE LEULIER bethune@lavoixdunord.fr Yves Sarrazin, Bruno Nocerino, Brigitte Helle, Ronan Corin, Jocelyne Martin et Stéphane Chiers ont développé les idées de leur liste. PHOTO «LA VOIX» Y aura-t-il une liste « verte » à Béthune ? Lundi soir, le collectif Citoyens clim’actifs, emmenés par Stéphane Chiers et Jocelyne Martin (EELV), a répondu par l’affirmative. La liste n’est pas encore actée mais le collectif a bien avancé sur la construction d’un programme.
>
BÉTHUNE.
Sur la base de la charte Citoyens clim’actifs des 100 communes, établie le 3 septembre 2019, le collectif, porté par Stéphane Chiers et Jocelyne Martin (EELV), a travaillé sur un projet. « Cette charte sera défendue à Béthune par la liste L’écologie, un avenir désirable pour tous », avance le premier. Les Béthunois auront donc le choix entre cinq listes, au premier tour des élections municipales, le 15 mars.
Tous les candidats se déclarent en faveur de l’écologie. Pourtant, ils ont tous soutenu des politiques (qui y sont) défavorables.
Contrairement à Bruay, où le collectif va soutenir une liste – celle de Bernard Cailliau ? –, ni Stéphane Saint-André (divers gauche), ni Nathalie Delbart, longuement auditionnés, ne les ont convaincus.
« Tous les candidats se déclarent en faveur de l’écologie. Pourtant, ils ont tous soutenu, pendant des années, des politiques défavorables à la biodiversité, au climat, à la qualité de l’air et au vivant en général, assure Stéphane Chiers.
Cette conversion soudaine est certes à saluer, mais se résume à un ripolinage verdâtre des programmes appliqués depuis très longtemps. »
PAS DE TÊTE DE LISTE
De fait, la liste portée par les Citoyens clim’actifs – la charte compte 200 signataires sur les près de 300 000 habitants que compte l’agglo –, entend « changer le logiciel, de mode de pensée ». Cinq axes ont été dégagés : favoriser les mobilités actives ; améliorer les conditions de logement par la sobriété énergétique et les énergies renouvelables ; maîtriser la politique alimentaire du territoire et s’engager pour le 100 % local et bio dans les cantines ; végétaliser la ville pour faire face au réchauffement climatique ; et faire de Béthune un territoire leader dans le domaine de l’économie circulaire.
Alors que toutes les listes présentées avancent derrière un visage, la liste « verte » n’a pas de tête. Elle a pourtant approché Bruno Dubout (France Insoumise), qui n’ira pas. « On travaille d’abord sur des projets, des propositions et à un moment, on verra comment on présente ces projets aux électeurs », balaie Stéphane Chiers.
Ils ont jusqu’au 27 février pour se décider.. | |
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| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Jeu 23 Jan - 16:12 | |
|  Stéphane Saint-André a réuni les Gauches F.G.  Stéphane Saint-André a désigné Virginie Capelle comme sa première adjointe en cas de victoire. Béthune L’ancien député-maire a lancé sa campagne, à la tête d’une liste en cours de finalisation Le candidat Stéphane Saint-André l’affirme avec conviction : « Nous gagnerons cette élection municipale, au deuxième tour, avec le rassemblement de la gauche, écologiste et républicaine. »
Vendredi 17 janvier, il a officiellement lancé sa campagne de reconquête de la ville. Unis autour de lui, les principaux acteurs de la politique béthunoise de gauche affichaient des visages résolus et confiants : Henri Tobo du Parti communiste, l’écologiste Joël Caron, le conseiller municipal Michel François ou encore le président des Radicaux de Gauche de Béthune, Yvon Bultel.
LES EX-PROCHES DE NATHALIE DELBARRE
Stéphane Saint-André a malignement évoqué ses soutiens, comme Jacky Lefort. Malignement, car Jacky Lefort n’est autre que l’ancien président de l’association Vivre Béthune, rassemblée autour de Nathalie Delbarre, et qui avait démissionné de ses fonctions après la désignation du sénateur et ancien maire de Barlin, Michel Dagbert comme rassembleur de la Gauche.
D’ailleurs, le candidat l’a évoqué : « Certains membres de Vivre Béthune sont en train de basculer de groupe… » Derrière ces petites phrases se cache un véritable enjeu : la capacité de Stéphane Saint-André à rassembler l’ensemble des forces de Gauche.
Il a ainsi imprimé un signal fort, en désignant en seconde position de sa liste Virginie Capelle, ex-vice-présidente de Vivre Béthune. Autant de gestes qui restent révélateurs : beaucoup à Gauche n’ont pas cautionné l’arrivée de Michel Dagbert dans l’échiquier politique Béthunois et se sont désolidarisés de Nathalie Delbarre, toujours pas candidate, qui a rallié le groupe de Jacques Mellick.
Sur la possibilité ou non d’une alliance au second tour, Stéphane Saint-André le répète : « Nous ferons tout pour que cette alliance se fasse. Mais si elle ne se faisait pas, nous pourrions tout de même emporter l’élection. En 2014, il y a eu une quadrangulaire. Elle pourrait cette fois nous être profitable. »
En cours d’écriture, le programme n’est pas totalement défini et la liste définitive n’est pas encore figée.
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| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Lun 20 Jan - 8:37 | |
| Joël Caron et Hervé Rubin, le pragmatisme et la gauche au service de l’écologie PAR STÉPHANE LEULIERbethune@lavoixdunord.fr Hervé Rubin (à gauche) et Joël Caron ne sont pas d’accord avec la position du groupe EELV Béthune-Bruay.
Pointés du doigt par le groupe local EELV vis-à-vis de leur choix de soutenir la candidature de Stéphane Saint-André, Joël Caron et Hervé Rubin persistent et signent. Ils seront très vraisemblablement sur la liste de l’ancien député-maire. BÉTHUNE.Pointés du doigt par le groupe local EELV qui récuse leur choix de soutenir le candidat Stéphane Saint-André aux élections municipales de Béthune, Hervé Rubin et Joël Caron, adhérents au parti, persistent et signent. Pragmatiques. Pour changer les choses, il faut être dans l’exécutif. Et pour être dans l’exécutif, il faut être élu. « Les sondages montrent que les électeurs se soucient de l’écologie, pose Hervé Rubin. Nous voulons mettre l’écologie en action sur une liste. »
PARTAGE DE POINT DE VUE
« À Béthune, EELV a fait 13 % aux élections législatives. Ça donne confiance , poursuit l’ancien vice-président du SIVOM, qui est contre une écologie punitive. Mais ce n’est que 13 %… Monter une liste, c’est rechercher des compétences, des personnes motivées capables de mener une politique pendant six ans, voire plus. » « Notre démarche est de constituer une alternative à la liste menée par Olivier Gacquerre. Cela passe par le biais d’alliances avec la gauche », enchérit Joël Caron.
« Nous avons choisi de rattacher l’écologie à un projet, un projet dont l’écologie et l’environnement sont la colonne vertébrale. Dans le groupe de Stéphane Saint-André, même si tout le monde n’est pas adhérent à EELV, beaucoup de personnes partagent ce point de vue », assurent-ils en chœur.
Les deux militants verts regrettent que, malgré un « grand oral » de plus de 3 h passé par Stéphane Saint-André devant le groupe local EELV en tout fin d’année, aucun accord n’ait pu être trouvé. « L’échange avait pourtant été positif, juge Joël Caron. Nous sommes dans une élection municipale : il faut qu’une personne se dégage.
Les enjeux ne sont pas les mêmes qu’une élection européenne : la liste doit être portée par une personne capable d’entraîner un électorat. Stéphane Saint-André a montré qu’il était capable de le faire. ». | |
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| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Mar 14 Jan - 11:27 | |
| LA VOIX DU NORD L’univers impitoyable des élections municipales à Béthune: tout comprendre, en vidéo
À l’occasion des municipales 2020, nous vous proposons une nouvelle série. Objectif : tout comprendre, en vidéo et en quelques minutes, des enjeux. Aujourd’hui, direction Béthune.
Raphaëlle Remande Et Stéphane Leulier, Infographies Julien Depelchin Et Édouard Wayolle | 13/01/2020 Quels sont les enjeux des municipales à Béthune https://www.lavoixdunord.fr/693982/article/2020-01-13/l-univers-impitoyable-des-elections-municipales-bethune-tout-comprendre-en-video?utm_medium=Social&utm_campaign=echobox_bethune_bruay&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR1Xpb5110KAhCVRRJdd2Ma5xXtX1eDJyjfkpXNotre vidéo, pour les décrypter, avec le regard de Stéphane Leulier, journaliste à Béthune.Quels sont les enjeux des municipales à Béthune ? Notre vidéo, pour les décrypter, avec le regard de Stéphane Leulier, journaliste à Béthune. La vie politique béthunoise n’est pas un long fleuve tranquille et c’est le moins que l’on puisse dire. Voici une vidéo pour tout comprendre, en quelques minutes, grâce au regard de notre journaliste qui suit l’actualité politique à Béthune. Marquée par la personnalité de Jacques Mellick, maire emblématique de 1977 à 1996 puis de 2002 à 2008 mais aussi député et ministre sous Mitterrand, la ville a été gouvernée par un maire de gauche jusqu’en 2014 (Stéphane Saint-André ayant ravi la place de Jacques Mellick en 2008). Mais voilà, en 2014, la droite a réussi «un coup». Un tandem mené par Olivier Gacquerre (UDI) – l’ancien premier adjoint de Stéphane Saint-André ! – et Pierre-Emmanuel Gibson (LR), a ravi le beffroi. Les deux hommes l’ont annoncé dès le début de l’année 2019 : ils repartent ensemble. Retrouvez le bilan du maire, Olivier Gacquerre, ici. Face à eux, l’ancien maire de gauche, Stéphane Saint-André est persuadé qu’il peut retrouver son fauteuil. Michel Dagbert, ancien président socialiste du Pas-de-Calais et ancien maire de Barlin, a failli entrer dans la danse avant de jeter l’éponge en début d’année. C’est finalement une proche de Jacques Mellick, Nathalie Delbart qui va monter une liste. Quant au rassemblement national, il est emmené par un jeune, Alexandre Maeseele. . | |
| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Mar 14 Jan - 11:13 | |
| LA VOIX DU NORD Bethune :Gérard Malbranque prêt pour un quatrième mandat à EssarsIl est maire depuis 2001 et achève son troisième mandat. Gérard Malbranque repartira à la conquête d’un quatrième, dans deux mois. Parce qu’il aime ça ! Samedi, à la salle Cabaret, l’heure était surtout dédiée aux hommages.  Jean-Pierre Glorian (Clp) | 14/01/2020 La Chorale Orphéon. - VDN On le savait depuis plusieurs mois. Gérard Malbranque, après avoir consulté sa majorité, a décidé de repartir. Pour une quatrième fois. Il l’a dit à nouveau dans une salle comble lors de la cérémonie des vœux à la population. L’occasion de mettre en avant la chorale Orphéon qui a chanté trois morceaux, et La Cécilienne qui fête cette année ses 155 ans et qui semble bien repartie… Le maire a aussi salué Damien et Syndel qui ont repris la boulangerie du village en septembre 2019. « J’ai confiance en vous », a-t-il indiqué, soulignant que la réception de ce soir avait été préparée par eux-mêmes. Un médecin en avrilGérard Malbranque a aussi souligné qu’une opération lui tenait à cœur en 2019 : installer un médecin en transformant l’ancienne cantine en cabinet médical. Le médecin a été trouvé, il s’agit d’une jeune dame, « enchantée de s’installer dans la commune ». L’ouverture est prévue mi-avril. Hormis pour la pose des menuiseries PVC, ce sont les services techniques qui œuvrent pour ce futur cabinet médical. Un point noir en revanche, que le maire n’a pas voulu passer sous silence, la vitesse excessive des automobilistes dans la traversée du village : « il y a un mois, un véhicule a été contrôlé à 105 km/h au lieu de 50 ». Il a donc appelé la population à avoir le pied léger sur l’accélérateur, en respectant aussi les passages piétons et les panneaux « Cédez le passage ». . | |
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| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Dim 12 Jan - 8:02 | |
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| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Jeu 9 Jan - 8:22 | |
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| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Sam 4 Jan - 15:41 | |
| LA VOIX DU NORD Grégory Debas, soutenu par Daniel Delomez, candidat aux municipales pour Annezin FidèleSoutenu par Daniel Delomez, maire sortant qui ne se représentera pas, Grégory Debas, 45 ans, conseiller municipal délégué aux fêtes, est candidat aux municipales pour le groupe Annezin Fidèle.Stéphane Leulier | 04/01/2020
Grégory Lebas, tête de liste d’Annezin Fidèle, sera secondé par Céline Petit-Tomasi s’il est élu maire en mars. PHOTO « LA VOIX » - LOCVDN Ils se sont rencontrés il y a deux ans, sur la liste Annezin Fidèle montée en deux mois par Daniel Delomez suite à la démission, en conseil municipal, de 14 élus dont cinq adjoints. En 2018, élus, Céline Petit-Tomasi, adjointe en charge des associations et Grégory Debas, conseiller municipal délégué aux fêtes ont travaillé ensemble et rapidement trouvé de nombreux atomes crochus, au centre desquels figure la musique. Dans la continuité « avec un peu d’audace »À l’automne 2019, Grégory Debas était soutenu par Daniel Delomez, maire sortant ne souhaitant pas se représenter, et le groupe Annezin Fidèle dans son envie de porter sa candidature aux élections municipales. « Ça ne m’est pas venu un matin, comme ça, explique le candidat sans étiquette. J’ai pris le temps de mûrir ma réflexion. Le contact avec les gens est très enrichissant et m’a donné envie de m’investir davantage. J’ai 45 ans, qui est l’âge médiant de notre liste, ce qui me permet d’être un point de liaison entre les jeunes et les aînés. » Et, plus que tout, « je ne voulais prendre la place de personne ». La liste, reprenant les trois quarts du groupe élu, est composée. Le programme sera bientôt établi. Il y sera avant tout question de poursuivre le travail entamé par Daniel Delomez, « avec un peu d’audace ». Grégory Debas, 45 ans, est Annezinois depuis dix ans. Précédemment conseiller municipal à Oignies, ce salarié de Sitra – entreprise spécialisée dans le transport international – où il s’occupe de tâches administratives depuis 17 ans, a aussi créé sa société d’événementiel autour du mariage. « Si je suis élu, je me mettrai en disponibilité : Annezin a besoin d’un maire qui soit là à 100 %. » Ses mots d’ordre ? L’équité entre les associations, la continuité, la sécurité, et « ne surtout pas tourner le dos à la communauté d’agglo ». | |
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| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Sam 4 Jan - 8:19 | |
|  Michel Dagbert renonce à conduire une liste pour les municipales
PAR ELSA LAMBERT-LIGIERbethune@lavoixdunord.fr Michel Dagbert se retire des élections municipales à Béthune. Avec une certaine amertume. PHOTO ARCHIVES PASCAL BONNIERE
Ce n’est pas le seul problème aux yeux de l’ancien maire de Barlin et ancien président du conseil départemental. « Celles et ceux qui m’ont accueilli et qui étaient prêts à me faire confiance voulaient m’imposer des choses. Je ne suis pas doué pour le patinage artistique même si la patinoire béthunoise était tentante. Mettre mon nom à côté de celui de Jean-Pierre Chruszez et Sylvie Titrent, des gens de cet acabit, je ne peux pas. Même si Jacques Mellick disait que j’avais toute latitude pour composer la liste, je le connais par cœur. Dans la dernière ligne droite, on remettra dans le circuit des personnes que je ne veux pas voir. J’ai passé l’âge et il y a des choses qu’on ne me fait pas. Ça ne m’empêchera pas d’intervenir dans le débat municipal à Béthune. »
Voilà ce que Michel Dagbert devait dire à l’équipe de Nathalie Delbart et Jacques Mellick hier soir, – après les avoir remerciés.
Nathalie Delbart va-t-elle de nouveau se présenter ? Quel va être le positionnement de Jacques Mellick ?
À deux mois des élections, la gauche béthunoise est une nouvelle fois bien éparpillée. Et bien confuse.J’ai passé l’âge et il y a des choses qu’on ne me fait pas. Ça ne m’empêchera pas d’intervenir dans le débat municipal. « LA MAIN TENDUE N’A PAS ÉTÉ SAISIE »Maintient-il sa candidature à Béthune ? « Ça fait partie des réglages, répond-il avant de se reprendre : Je n’ai jamais officialisé ma candidature. » Candidature pourtant soutenue par 31 des 37 membres de l’association Vivre Béthune de Nathalie Delbart. Et par le groupe de réflexion de Jacques Mellick.« J’étais fortement pressenti, préfère dire l’intéressé. J’ai l’habitude de mener des campagnes. J’ai gagné sept fois en treize ans en comptant les municipales et les départementales. ». | |
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| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Mar 31 Déc - 11:57 | |
| OH LA ...Vous poussez le bouchon un peu loin ... mais c 'est vrai j 'avais oublié mon intervention a Verquin avec Marie Noelle Lienneman au sujet de la directive directive Bolkestein sur les travailleurs détachés... Tassez avait du interrompre cette réunion et virer les 200 personnes ... ce fut la fin de Marie Noelle Lienneman dans le Béthunois ..mais je visais aussi Mellick a travers elle ...  | |
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| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Mar 31 Déc - 10:00 | |
| dernier bonjour de la décennie mes chers forumeurs,
après La Couture, Essars, voici Verquin.
3 points communs :
ces 3 maires sont retraités ce qui leur donnent du temps en journée pour s occuper des dossiers car un bon maire dans une commune de - 10000 delegue très peu ,il s occupe lui même des dossiers avec sa ou son dgs.
c est d ailleurs ce qu on fait les maires Caron et Dufosse.
pour Locon, le maire ne doit pas être retraité mais il lui faut au moins 2 journées hors travail professionnel, l indemnité est d ailleurs prévu pour cela.
l importance de la communauté d agglomération
ils sont tout les 3 vice président de l agglo comme ils le disent c est important psychologiquement, cela permet d apprendre une autre dimension, d être aux premières loges pour regarder ce qui se fait de bien ailleurs.
pour Locon, cela s apprend, ce sont des connaissances assez faciles à acquérir mais il faut avoir aussi du temps, les techniciens sont là en journée, les reunions avec les élus sont font chaque semaine en soirée
troisième point et le plus formateur pour eux:
les 3 connaissent Pierre Acarie
les 3 ont vécu des faces à faces avec lui
les 3 ont du ensuite infléchir leurs projets
et surtout
les 3 l aiment , souhaiteraient que tous les habitants s interessent autant que lui à la vie de la cité et surtout aimeraient qu il devienne le 1er supercentenaire de Locon |
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| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Mar 31 Déc - 9:09 | |
| «On a créé de l’emploi»: Thierry Tassez fait le bilan des six ans écoulés à Verquin (1/2)Entre rénovation de la médiathèque, question d’emplois et déploiement de la fibre, première partie du bilan de Thierry Tassez, à la tête de Verquin depuis 2001. Un bilan de six ans et de vingt ans que le vice-président à l’agglo juge positif.Stéphane Leulier | 30/12/2019 Thierry Tassez est maire de Verquin depuis 2001. Sa principale réalisation sous ce mandat ? Le développement de la Zac du Beaupré. PHOTO « LA VOIX » - LOCVDNQuel regard portez-vous sur votre bilan ?« Le bilan, ce n’est pas que des briques et du bâtiment. Je préfère mettre les choses en perspective avec ce chiffre : il y a plus de 3 400 Verquinois et, intra muros, nous avons 1 500 emplois. Avec les dossiers, certains connus, d’autres confidentiels, on a une centaine d’emplois qui vont se créer courant 2020. C’est un sacré ratio : 50 % ! Si on enlève les enfants et les retraités, c’est pas mal… On a géré et créé de l’emploi, avant tout pour faire vivre des familles. Ça nous touche plus que de dire : «On a rénové l’église, etc.» »Mais vous avez une emprise limitée sur les entreprises : vous ne pouvez pas les obliger à embaucher des Verquinois…« C’est vrai. Mais je traverse toute la France voire l’Europe quand il faut pour aller chercher les entreprises et les personnes qu’il faut toucher. Par exemple, Leroy-Merlin. Je les ai rencontrés. Je leur ai dit : « Mais vous n’allez pas prendre des mecs qui ont un doctorat en tournevis ! » Eux, ils recrutent sur le système de management canadien : ils prennent d’abord des gens motivés mais qui n’ont pas forcément les compétences. Évidemment, on leur dit : « À compétence égale, prenez des Verquinois ! » Ce qui est extrêmement relatif aujourd’hui : Verquinois un jour, Verquinois toujours, ça n’existe plus. Sinon, c’est Pôle emploi. Le recrutement nous échappe. Mais la pile de CV, on l’envoie à chaque fois. Donc on est acteurs. »Le fait d’être vice-président de l’agglo doit vous aider…« Oui. En France, tu as un problème : quand tu dis que tu es maire, on te demande de combien d’habitants. Si tu dis 100 000, c’est parfait. Quand tu réponds 3 500, c’est : « Allez, les bouseux, cassez-vous… » Du moins, dans le Nord – Pas-de-Calais. Parce qu’avec 3 500 habitants, du côté de Clermont-Ferrand, tu es le roi du monde ! La vice-présidence apporte une logistique. Et puis c’est psychologique vis-à-vis des interlocuteurs, c’est vrai. »En termes de réalisation concrète, que retenez-vous de ce mandat ?« On a rénové la médiathèque, un chantier à 655 000 €, la salle polyvalente pour 500 000 €. On a été les premiers à implanter la fibre. Il reste de la microchirurgie à faire, que l’on suit, même si ce n’est pas notre boulot. En 2001, Annie Hoinville voulait reconstruire une mairie. J’avais dit à l’époque qu’il ne fallait pas faire ça, parce qu’on allait passer à l’époque de la dématérialisation, qu’il faudrait des ordinateurs et des imprimantes, pas un palais fastueux. Si tu n’as pas la fibre, aujourd’hui, tu es déjà déclassé socialement. C’est une avancée extraordinaire qui fait le cachet d’une commune. Là, on est en train de bosser sur la 5G. On a les dossiers. On a rencontré les interlocuteurs. Mais c’est en stand-by : il y en a encore qui disent qu’on va avoir des cancers, des grandes oreilles et des gosses à huit pieds si on l’installe. Mais on sera dans les premiers à l’avoir, oui. On pourrait aussi énumérer toutes les rénovations de voiries pour lesquelles on doit tourner à 100 000 € par an… »Les petites phrases
Jamais d’échec
« Souvent, la réussite, tout le monde se l’approprie, l’échec, ce n’est que pour le maire… Mais il y a un avantage à Verquin : il n’y a jamais d’échec, uniquement des réussites momentanément différées. On ne lâche jamais rien. Les derniers dossiers comme celui de la ZAC du Beaupré, ont montré que même au bout de 25 ans, on ne lâchait pas le morceau. »
L’INSEE, ces « truands »…
« L’INSEE, ce sont des truands ! Vous n’avez jamais les mêmes chiffres suivant les dossiers. Quand ils doivent donner du fric, ils mettent des petits chiffres et quand tu dois leur en donner, ils en mettent des gros. Dans les jours où on doit payer, on est 3 493 Verquinois et quand ils doivent nous filer du fric, on est 3 423… »
La fibre
« Les mecs qui veulent la fibre, parfois, on dirait que c’est leur vie qu’ils jouent. Avant, je mettais le loading, j’allais prendre ma douche, je faisais couler le café, je revenais voir si ça avait avancé et j’allais finir de préparer le petit déj’. Aujourd’hui, ça fait : «Vuit !» Et c’est bon ! Ça change tout ! Pour regarder un film le samedi soir, avant, on commençait à le charger le mardi précédent… »
Comme Delevoye
« J’ai quelques mandats, à côté, comme Delevoye (rires). On me confie beaucoup de responsabilités, mais jamais d’indemnités, alors… Je suis président du Conseil national de la formation des élus locaux : ils ne me payent même pas le taxi ou la bouffe ! On me rembourse mes tickets de train et j’ai 14 € par repas à Paris. À Paris ! Là-bas, tu prends deux cafés et c’est plié… ». | |
| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Dim 8 Déc - 12:01 | |
| SITE D'INFORMATION SUR L'ACTUALITÉ POLITIQUE, ÉCONOMIQUE ET SOCIALE BÉTHUNE : VOUS VOULEZ , MONSIEUR LE MAIRE, LA BIENVEILLANCE, NOUS NOUS VOULONS RÉDUIRE LA MISÈRE !décembre 8, 2019   LE MAIRE A LA MOSQUÉE DE BÉTHUNE Le maire de Béthune, dont on connaît le légendaire communautarisme islamophile et dont la présence récurrente à la mosquée de Béthune est largement médiatisée sur la page Facebook de cette dernière, joue les imans-en-chef et prend l’initiative de réunir certains (1) représentants des différentes confessions religieuses de la ville et d’ailleurs, pour une photo électoraliste, sous le prétexte d’organiser une journée de la bienveillance.
Une initiative plutôt malheureuse pour un élu de la République qui se doit d’incarner la laïcité et dont la campagne électorale, après son slogan « Go-Out » prend des allures d’une campagne à la Gaston Lagaffe.
 Go-Out : le slogan de campagne du candidat Olivier Gacquerre Seuls, selon le premier magistrat de la ville, les croyants sont capables de bienveillance (« dire bonjour » selon Hakim El azouzi, adjoint au maire !). Les représentants du Secours populaires puent sans doute de la gueule et ceux des restos du cœur sont des « sans dents » ?
- Citation :
Les laïques ne prêchent pas le civisme, ils le pratiquent.
Ce sont les laïques qui ont fait la République avec ses trois piliers : Liberté-Égalité-Fraternité. C’est inscrit sur le fronton de l’hôtel de ville.
La fraternité, Monsieur le maire c’est bien plus que la bienveillance ou votre conception électoraliste de la charité. Souvenez-vous de votre association « Béthune Ma Ville », qui sous prétexte des restos du cœur collectait des denrées alimentaires destinées à être redistribuées de manière sélective à vos affidés. Disparue dans la torpeur estivale dans la plus grande opacité.
- Citation :
Vous voulez la bienveillance Monsieur le maire, nous nous voulons venir en aide aux 25% des béthunois qui vivent sous le seuil de la misère.
La charité est d’essence confessionnelle, la lutte contre la misère est volonté politique. A chacun ses choix.
(1) Pas toutes. Exclus, entre autres, les bouddhistes, les orthodoxes, les témoins de Jéhovah et autre « église vielle-catholique » dont la seule femme prêtre est béthunoise , etc.!
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| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Sam 7 Déc - 8:47 | |
| Stéphane Saint-André ne se rallie pas à la liste menée par Michel Dagbert Elsa Lambert-Ligier ELSA LAMBERT-LIGIER Stéphane Saint-André émet le souhait d’une union possible au second tour.PHOTO ARCHIVES PASCAL BONNIèREBÉTHUNE.« Après avoir consulté les membres de mon groupe et entendu l’appel de nombreux Béthunois souhaitant une clarification, j’ai décidé d’emmener une liste de rassemblement de la gauche écologiste et républicaine pour les élections municipales de Béthune », écrit Stéphane Saint-André dans un communiqué envoyé hier après-midi.Autrement dit, il fera « bande à part » et ne rejoint pas la liste portée par Michel Dagbert qui a déjà reçu le soutien de l’association Vivre Béthune, avec Nathalie Delbart et celui du groupe républicain de Jacques Mellick. « Alors que nous étions sur le point de conclure une plus large union, certains adeptes de la vieille politique ont décidé de former à la hâte un rassemblement de bric et de broc. » Stéphane Saint-André ne cite personne, mais l’état de ses relations avec Jacques Mellick n’est plus un secret. Il ne mâche pas ses mots.« LE POISON DE LA REVANCHE »
Un problème d’ego ? De tête de liste ? Non, répond l’ancien député-maire. « J’avais fait savoir que j’étais prêt à m’effacer de la tête de liste. Force est de constater que cette main tendue n’a pas suffi à faire disparaître le poison de la revanche. » Encore une fois, aucun nom mais l’ombre de Jacques Mellick est tout près ! Querelles fratricides dont Béthune ne sortira jamais ? Pas encore cette fois en tout cas.Stéphane Saint-André refuse la main tendue par Michel Dagbert qui voulait éviter les crispations, mais ne ferme pas la porte. « N otre liste reste ouverte car nous croyons que l’union est encore possible. Et si, malheureusement, elle ne l’était pas au premier tour, nous formons le vœu qu’elle soit réalisable pour le second tour. »Rappelons que lors des dernières élections municipales, en 2014, c’est le maintien de deux listes de gauche au deuxième tour qui avait notamment permis l’élection du tandem Olivier Gacquerre/Pierre-Emmanuel Gibson.Duo que Stéphane Saint-André égratigne également : « Je constate l’incompétence et l’inertie de ceux qui, à la tête de notre ville, n’ont pas su mener de projets structurants pendant le mandat et ont multiplié les erreurs, notamment en termes d’aménagement urbain, en méprisant la concertation avec les habitants. »Pas de doute, la campagne est lancée…
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| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Dim 24 Nov - 19:38 | |
| Michel Dagbert candidat de gauche, mais pas de toutes les gauches béthunoisesCe samedi, la diffusion d’un communiqué de l’association « Vivre Béthune » (lire par ailleurs) présentant Michel Dagbert comme candidat aux élections municipales de Béthune a coupé l’élan menant à une union des groupes de Stéphane Saint-André et Nathalie Delbart.Stéphane Leulier | 24/11/2019
 Michel Dagbert n’y allait pas en juillet mais finalement ne serait pas contre, en décembre...
Mi-juillet, il l’assurait dans nos colonnes : non, il n’irait pas. Michel Dagbert, ancien maire de Barlin, ancien président du conseil départemental et sénateur, ne partirait pas à l’assaut de l’hôtel de ville de Béthune. Mais à le voir parader et serrer les mains, à la cité de Noël de Béthune, samedi, quelques minutes après l’annonce de l’association « Vivre Béthune », selon laquelle il « rassemblera(it) pour une République Sociale au-delà des partis politiques ! », que penser ?
Déjà qu’un rapprochement s’est opéré entre le groupe mené par Stéphane Saint-André et celui de Nathalie Delbart. Répondant à l’invitation de l’élu d’opposition Michel François, les deux se sont entretenus en tête à tête, début novembre. En est ressorti un accord de principe : ils seraient prêts à s’unir si l’un et l’autre abandonnaient la tête de la liste. Aucun accord, par contre, n’avait alors été trouvé sur l’identité de celui – ou celle – qui mènerait cette liste.
- Citation :
- Citation :
- « Un coup de force de Jacques Mellick »
Puis est donc venu, tel un pavé dans la mare, ce communiqué. Stéphane Saint-André souligne l’hypocrisie de la situation : « Je les vois et discute avec eux pendant de longues minutes peu après l’envoi de ce document, dont je n’ai pas été destinataire. Et aucun d’eux ne m’en parle ! » L’ancien maire de Béthune évoque « un communiqué particulièrement malhonnête », à travers lequel « on parle à ma place ». Il dénonce surtout « un coup de force de Jacques Mellick pour que la gauche ne parte pas unie. Il ne veut pas l’union de la gauche et ne veut surtout pas que je sois tête de liste ou réélu maire de Béthune. Il est dans la revanche depuis 2008. Mais à un moment donné, il faut savoir prendre sa retraite. »++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++La division des gauches ouvre un vrai boulevard pour le couple Gacquerre-Gibson ...MERCI MELLICK . | |
| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Dim 24 Nov - 9:43 | |
| La majorité béthunoise lance sa campagne… à deux têtes  Chose promise (lors des vœux), chose due : Olivier Gacquerre et Pierre-Emmanuel Gibson repartiront ensemble au premier tour en 2020.
Et concrètement, cela prend trois formes. D’abord des « ateliers-projets, ouverts à tous, acteurs et habitants ». Le premier avait lieu ce samedi à La Charité, les deux prochains se tiendront les samedis 30 novembre et 7 décembre, de 10 h à 12 h, à la Tannerie puis à la Maison des associations… Seconde initiative : les rendez-vous hebdomadaires, tous les lundis de 8 h 30 à 10 h et les samedis de 16 h à 18 h. Mais où se tiendront ces rendez-vous ? Dans leur nouveau local de campagne qui sera inauguré le 7 décembre, à 18 h, au 26, rue des Treilles. | |
| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Dim 10 Nov - 10:27 | |
| Candidat à sa succession, Raymond Gaquère mise sur le développement durable PAR ISABELLE MASTINbethune@lavoixdunord.fr
Raymond Gaquère devant l’ancien presbytère. D’ici la fin de l’année, le chantier de transformation en mairie aura débuté.Maire de son village depuis 1995, Raymond Gaquère assure n’éprouver aucune lassitude. Partant pour un nouveau mandat, il jette un regard satisfait sur les six dernières années. Tandis que le centre continue sa mue, il se félicite de l’engagement de La Couture dans le développement durable. <> LA COUTURE.Dans le centre, nous sommes en tractations pour installer un coiffeur et il restera une cellule. - Maire depuis 1995, conseiller départemental, quel est votre état d’esprit à l’approche de la fin du mandat ?« Toujours optimiste ! Je serai candidat en mars 2020, nous avons toujours des projets. »- Quelle est votre plus grande satisfaction ?« Le développement durable. Nous sommes inscrits comme territoire à énergie positive. La maternelle produit sa propre électricité. La future mairie, dans l’ancien presbytère, s’appuiera sur la géothermie et des panneaux solaires. Nous réalisons 70 % d’économies sur l’éclairage public. Il a fallu nous mécaniser mais nous sommes à zéro pesticide depuis des années. Dans les cantines, c’est zéro gaspillage et chaque semaine, deux repas bio et un végétarien… »- Le centre-bourg se transforme. Quel sera le phasage et le financement ?« Les travaux de la mairie dans l’ancien presbytère vont démarrer dans un mois, pour au moins un an. Nous procédons par étapes, la mairie actuelle accueillera ensuite une médiathèque et une petite salle des fêtes. Nous ferons selon nos finances et selon les subventions ; la salle Salomé, ce sera la dernière étape, on a six ans pour le faire… Le chantier de la mairie, avec la géothermie etc, coûtera 1,2 M€ HT au lieu initialement de 840 000 € HT. La Fondation du patrimoine va nous aider à refaire la façade, on peut aussi compter sur l’État, les fonds de concours de l’agglo…, et l’autofinancement. »- Des commerces, il y en a, mais le village va-t-il retrouver son boucher ?« Dans le centre, nous sommes en tractations pour installer un coiffeur, et il reste une cellule disponible. La poste a déménagé, elle était près de la gendarmerie, elle est désormais à côté de la mairie. On a fait une étude, c’est un bureau qui marche très bien, on y ramène l’activité colis en plus et nous y ajouterons la Maison des services au public. Nous allons réaliser des travaux dans l’ancienne poste, et nous la louerons au boucher. C’était trop compliqué sinon pour un jeune de s’installer seul. Nous avons eu trois ou quatre candidats. »- Des regrets ?« Les Senioriales, un projet non réalisé à ce jour. C’est un projet pour les habitants souhaitant quitter des maisons trop grandes, tout en pouvant disposer d’une salle où recevoir, de la présence d’un gardien…Cela permet aussi un turn-over du parc immobilier. Sept hectares sont réservés vers la rue du Touret mais il y a des complications dans l’acquisition des terrains ; un des gros propriétaires est décédé et des héritiers remettent l’accord en cause. ». | |
| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Lun 4 Nov - 12:52 | |
| C 'est sur, avec lui a Béthune , on élève le niveau des ................IMPOTS
avec le coût du parking souterrain de Q-PARK
et la piscine olympique payée pendant des années par les seuls Béthunois et
qui par générosité fut reprise récemment par la communauté d 'agglo , la CABBALR
Dernière édition par ACARIE le Dim 10 Nov - 10:29, édité 1 fois | |
| | | | Jooris
Invité
| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Mar 22 Oct - 9:05 | |
| au moins avec lui on éleve le niveau,
on parle d autres choses que des lampadaires à Led.
il a raison sur le centre hospitalier.
le pôle métropolitain est un bazar nébuleux pour moi...
en réalité, le bethunois dont Locon devient une banlieue chic de Lille grâce au développement des routes et à la multiplication des ter. |
| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Mar 22 Oct - 8:48 | |
| LA VOIX DU NORD Sans exclure de mener une liste, Jacques Mellick réunit « un groupe de réflexion » PAR ISABELLE MASTINbethune@lavoixdunord.fr Déçu des tractations de la gauche, Jacques Mellick a réuni «un groupe de réflexion» et soumet les propositions de celui-ci à qui voudra le rejoindre.Si Jacques Mellick est resté dans l’ombre depuis un an, il n’en a pas moins observé les remous politiques de Béthune. Déçu des alliances ratées de la gauche, il a bâti un groupe dans une démarche qu’il veut inédite. Explications. BÉTHUNE.Il revient et il n’est pas content ? Même pas. Jacques Mellick a l’air serein et toujours « passionné par Béthune ». L’ancien député-maire, arrivé en tête aux municipales de 2014, connaît la chanson. « Non, rien de rien », il ne regrette rien. Ce n’était pas à lui de se retirer, quitte à ce que la droite ait pris une mairie ancrée à gauche depuis des décennies. Six ans ont passé. Oui, on l’a trouvé tentant une réconciliation avec Stéphane Saint-André ; oui, on l’a vu suivre les essais de rassemblement de Nathalie Delbart. Au final, il soupire. « Je savais qu’ils ne pourraient pas s’entendre, ce sont des problèmes d’ego. »L’ancien député-maire, arrivé en tête aux municipales de 2014, connaît la chanson. «Non, rien de rien», il ne regrette rien. Alors pour 2020, il vise une stratégie « inverse ». Seul à la table d’un café de la Grand-Place, il se pose en porte-parole d’un groupe d’une vingtaine de personnes qui, pour l’instant, veulent rester anonymes. « Un groupe de réflexion » mêlant âges et professions. Jacques Mellick, simple adhérent au Mouvement des citoyens (MDC), est le seul à avoir été impliqué politiquement ; pour les autres, leur seul acte militant, « c’est leur bulletin de vote ». « Ils ne se satisfont plus d’un duel classique droite et vieille gauche. »« UN BIG BANG »Il étale sept feuilles manuscrites : un manifeste qui résume leurs attentes de citoyens « partageant le constat que la parole publique n’est plus entendue ». « On a observé les réseaux sociaux, nous sommes allés à la rencontre des Béthunois… » Leurs constats : la SmartCity est aux prises « avec une fracture numérique qui s’est aggravée », « nous avons le devoir de donner aux concitoyens les outils pour affronter le nouveau monde ». Il évoque une école du soir. Certaines idées rappellent son credo, comme un groupement hospitalier étendu à Arras « pour que Béthune ne devienne pas un centre de soins de suite » à côté de Lens. Ou un pôle métropolitain qui n’exclut pas Béthune, fort de compétences qui laisseraient à l’agglo, fondue avec le SIVOM, l’apanage du quotidien. Le référendum plaît aussi à ces citoyens, y compris sur le budget, tout comme une étude sur un revenu universel.« Ce qu’on propose, c’est un big bang écologique, numérique, social et démocratique. » Critique sur une droite unie « pour garder le pouvoir » et une partie de la gauche rassemblée « pour reprendre le pouvoir », il attend les appels. De droite, de gauche, apolitique, tout citoyen peut les rejoindre pour bâtir une liste. Et si personne ne se manifeste ? « On fera une liste » quand même et c’est lui qu’ils poussent pour la mener…Contact : courrier adressé en mairie à Jacques Mellick
ou jacques.mellick@hotmail.fr | |
| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Mar 27 Aoû - 9:56 | |
| « Les gens n’ont pas la tête aux élections » mais les politiques s’y mettent PAR RUBEN MULLERbethune@lavoixdunord.fr
Les municipales, c’est dans sept mois: pour l’heure, EE-LV s’intéresse surtout à la lutte contre le glyphosate et au recyclage des mégots.À sept mois des municipales, difficile de ne pas garder un œil sur la traditionnelle braderie politique de Béthune. Mais partout, de gauche à droite, les intéressés assurent qu’on parle quotidien plus qu’élections. <> BÉTHUNE.Du côté de la majorité municipale, c’est simple : ni l’UDI, ni Les Républicains ne tiennent de stand. «Je gère ma journée comme mon mandat, dans la simplicité, assure le maire (UDI) Olivier Gacquerre, qui se partage entre le stand de la mairie et la tournée des étals. Les gens sont saturés de politique politicienne mais pas d’action de proximité. »Mon stand, c’est moi-même et je ne vends rien! PIERRE-EMMANUEL GIBSON Tournée des popotes aussi pour le premier adjoint (LR) Pierre-Emmanuel Gibson : « Mon stand, c’est moi-même et je ne vends rien ! Les gens n’ont pas la tête aux élections, ils me parlent de Béthune Rétro, des travaux à la gare… »Place du 73 e , Europe Écologie - Les Verts (EE-LV) s’intéresse d’abord à la campagne des « Pisseurs de glyphosate » et au recyclage des mégots. Pour les municipales, « on essaie de se positionner au niveau de l’agglo, où les grandes décisions concernant la santé, l’alimentation, les déchets… seront prises », explique le trésorier Stéphane Chiers. Les candidats, « seuls ou avec d’autres », seront désignés en décembre.Chez Vivre Béthune, place Saint-Vaast, Jacky Lefort note « une attente forte de changement » et reste ouvert à la discussion avec les forces de gauche « jusqu’au premier tour ». «L’union est souhaitable mais il faut dépasser les ego, résume Jean-Marc Dendiével (MRC). Rien que proposer une femme tête de liste (Nathalie Delbart) , ça ne va pas de soi. »UNION DE LA GAUCHE ?Stéphane Saint-André, venu « en ami» sur le stand du PC, qui le soutient pour mars 2020, se pose en rassembleur : « Les gens ne me parlent pas des élections mais quand ils me demandent si je suis d’attaque, il y a des sous-entendus… La municipalité a mal géré l’hôpital, Bridgestone, la desserte TGV… Les seuls points positifs sont la passerelle et le cinéma, que nous avons initiés. »L’union derrière lui est loin d’être gagnée mais « il reste sept mois », temporise la sénatrice (PC) Cathy Apourceau. « Si on n’arrive pas à monter une liste commune dès le premier tour, ce n’est pas catastrophique, nuance Henri Tobo. Il faut surtout éviter le scénario de 2014. Si on n’est pas unis au second tour, la droite, voire le Rassemblement national, l’emportera. »De l’autre côté du rond-point, Alexandre Maeseele, candidat RN, se félicite du « super accueil. À force de faire le marché, on commence à me reconnaître et le score des européennes a remotivé les sympathisants ».. | |
| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Ven 23 Aoû - 8:59 | |
| Soupçonné, révoqué, recherché… La déchéance de Stéphane Sieczkowski-Samier, maire d'Hesdin, en quatre actes Le Conseil des ministres a annoncé, mercredi, la révocation de Stéphane Sieczkowski-Samier, maire de cette commune du Pas-de-Calais. Il devient le cinquième maire à faire l'objet d'une telle décision dans l'histoire de la Ve République.  Il n'avait que 22 ans lors de son élection en 2014 sous l'étiquette divers droite. Stéphane Sieczkowski-Samier, maire de la commune d'Hesdin, dans le Pas-de-Calais, surnommé le "Petit Sarko", a depuis défrayé la chronique. Visé par plusieurs enquêtes, notamment pour "détournement de fonds publics", "acquisition d'armes de troisième catégorie", "prise illégale d'intérêts" et "complicité de faux et usage de faux en écriture publique", le plus jeune maire de France a été destitué de ses fonctions, mercredi 21 août, sur décision du Conseil des ministres. L'occasion pour Franceinfo de revenir sur les dernières péripéties d'une épopée étonnante.
Acte 1 : déjà mis en examen en 2016, il est placé en garde à vue deux fois en cinq mois en 2019
En janvier 2019, Stéphane Sieczkowski-Samier et sa mère, Christiane Samier, élue municipale, sont interpellés et placés en garde à vue dans une enquête pour détournement de fonds publics. Ils sont soupçonnés d'avoir utilisé l'argent de la ville pour payer des restaurants, acheter des matériaux, des voitures, divers objets et surtout deux revolvers Soft Gomm. "Des armes d'entraînement qui ne sont utilisables par une collectivité ou des policiers municipaux qu'avec une autorisation de la préfecture. Or, ce n'était pas le cas", relate France 3 Hauts-de-France.
Quelques mois plus tard, le 9 mai, ils sont de nouveau placés en garde à vue pour "poursuite de l'ancienne procédure", selon son avocat Hervé Krych à France 3 Hauts-de-France. Les enquêteurs s'interrogent alors sur une somme correspondant au préjudice supposé du détournement et bloquée par le juge des libertés et de la détention sur un compte bancaire personnel de Stéphane Sieczkowski-Samier. Malgré cette procédure, la somme aurait disparu du compte, entraînant l'interpellation de l'élu pour "détournement d'objets saisis", ainsi que sa mère pour complicité. L'avocat du maire explique alors que "l'argent saisi est le fruit de ses économies et non de détournement de fonds publics".
Le maire et sa mère ont été par ailleurs mis en examen en 2016 pour "complicité de faux et usage de feux en écriture publique". Le maire est soupçonné d'avoir envoyé en avril 2016, en sous-préfecture, "une fausse délibération du conseil municipal qui décidait de confier la gestion des logements communaux à l'agence immobilière Orpi, appartenant... à sa mère", comme l'explique France 3 Hauts-de-France.
Acte 2 : son conseil municipal est menacé de dissolution
Face aux déboires judiciaires du jeune maire, la préfecture du Pas-de-Calais confirme avoir lancé, le 27 mai, une procédure de dissolution du conseil municipal d'Hesdin, qui doit être examinée en Conseil des ministres. Cette disposition figure dans le Code général des collectivités territoriales. Un préfet peut saisir le Conseil des ministres lorsque de graves dissensions au sein d'un conseil municipal perturbent son fonctionnement et mettent en péril la gestion de la commune.
Dans le cas d'Hesdin, le préfet du Pas-de-Calais précise que c'est le refus de voter le budget, en avril 2019, qui a motivé cette décision. La Chambre régionale des comptes a d'ailleurs publié un rapport accablant sur la gestion de l'argent municipal, en pointant "une situation très critique du pilotage de l’administration communale, devenu chaotique à bien des égards". En 2018, le budget n'avait pas non plus été voté.
Acte 3 : il est révoqué en Conseil des ministres
Une décision du Conseil des ministres, mercredi 21 août, officialise la révocation de Stéphane Sieczkowski-Samier de ses fonctions de maire d'Hesdin. Cette décision est confirmée par décret paru, jeudi matin, au Journal officiel.
La procédure avait été lancée en mai par la préfecture du Pas-de-Calais, en même temps que celle concernant la dissolution du conseil municipal. Cette décision implique l'inéligibilité de l'élu aux fonctions de maire et d'adjoint pendant un an. Mais, comme le rapporte France 3 Hauts-de-France, citant un communiqué de la préfecture du Pas-de-Calais, "le Conseil constitutionnel, l'ayant déclaré en mai 2018 inéligible jusqu’au 17 mai 2021, Monsieur Stéphane Sieczkowski-Samier ne peut se présenter à aucune élection avant cette date". La révocation ne concerne toutefois pas la qualité de conseiller municipal. Il s'agit du cinquième maire à faire l'objet d'une telle décision dans l'histoire de la Ve République. Acte 4 : il disparaît et conteste sa révocation
Après l'annonce de la décision du Conseil des ministres, Stéphane Sieczkowski-Samier reste introuvable pendant près de 24 heures. Les gendarmes n'ayant pu lui remettre sa révocation en main propre, comme prévu par la loi, cela signifie… que le jeune maire n'est pas encore officiellement révoqué. Jeudi, coupant court aux conjectures, ce dernier publie sur Facebook une photo de lui aux Bahamas, selon la géolocalisation du cliché.
Joint par France 3 Hauts-de-France jeudi après-midi, son avocat, Hervé Krych, assure que son client "n'est pas aux Bahamas". S'il a posté cette photo, ce serait "pour montrer qu'il n'est pas déstabilisé, pas abattu par la situation comme certains pourraient le penser". L'avocat, qui s'était amusé de la cavale supposée du jeune maire, indique à France 3 vouloir "attaquer cette révocation" devant le Conseil d'Etat. Il ajoute disposer pour cela de "moyens juridiques suffisants". Dénonçant "une forme d'acharnement", il laisse aussi entendre qu'une conférence de presse est en préparation. Le feuilleton continue. | |
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| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Sam 20 Juil - 10:44 | |
| LA VOIX DU NORD :Michel Dagbert s’est décidé, il ne briguera pas la mairie de Béthune en 2020L’ancien maire de Barlin et sénateur socialiste du Pas-de-Calais aura fait durer le suspense quelques mois. Il avait promis d’annoncer pour le 14 Juillet s’il se présenterait ou pas aux municipales de Béthune en mars 2020. La réponse est... non.Par Isabelle Mastin | Publié le 19/07/2019
En janvier, Michel Dagbert croisait François Hollande à Lespesses. Et refusait de s’avancer sur une candidature à Béthune. PHOTO LUDOVIC MAILLARD - VDNPQR
Sa réflexion peut se résumer au désir de ne pas ajouter de la division à la division d’une gauche qui ne parvient pas à tirer les leçons de la débâcle de 2014. Stéphane Saint-André a annoncé qu’il mènerait une liste, Nathalie Delbart aussi sans doute, pareil pour les Verts...
« L’histoire bégaie »
Michel Dagbert estime que « sénateur depuis 2017, je n’avais dans cet engagement rien à gagner, que des coups à prendre. Mon parcours prouve que je n’ai jamais eu le fantasme d’être maire de Béthune. Sensible aux appels des uns et des autres, j’ai analysé les forces en présence pour conclure que seule l’union des forces de gauche et de centre gauche était gage de réussite. Malheureusement je constate que les conditions ne sont pas réunies. Je le regrette. L’histoire bégaie et les raisons des défaites de 2008 et 2014 sont en train de se répéter. Je ne veux donc pas apporter ma part à cette division. »
- Citation :
- « Sans union, est-il nécessaire d’organiser des élections à Béthune ? »
Il avoue un autre souhait, que sa décision « sera de nature à faire réagir toutes les parties prenantes et qu’elles prendront enfin le chemin de l’union. Faute de quoi est-il encore nécessaire d’organiser des élections municipales à Béthune en 2020 ? Si aucune réflexion pour l’union ne se fait jour sous peu, le président départemental de l’UDI et son allié de droite n’ont pas de soucis à se faire alors même qu’ils n’ont rassemblé que 33% des suffrages au 2e tour de 2014. Alors que sociologiquement Béthune est à gauche il est regrettable que les ego des uns et des autres l’emportent sur la raison. »Jusqu’à ces derniers jours, il est resté en contact avec les protagonistes locaux, Jacques Mellick en particulier, mais aussi Stéphane Saint-André et Nathalie Delbart qui l’auraient bien vu sur leurs listes respectives. Mais non. « S’ils veulent y aller chacun de leur côté, qu’ils y aillent... Mais il leur reste du temps. » Et quand bien même une union surviendrait-elle, il n’en serait pas. Le sénateur « a bien assez à faire au Sénat et au Département. Mais je resterai attentif aux enjeux de cette ville chef-lieu, et plus largement à ceux du territoire », celui de l’agglo notamment.. | |
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| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Dim 7 Juil - 8:52 | |
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| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Sam 6 Juil - 12:46 | |
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| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Jeu 4 Juil - 9:51 | |
| Le Modem n'a pas apprécié les parodies d'un séminaire LREMEn vue des municipales de 2020, le parti présidentiel a proposé un jeu de rôle à ses aspirants candidats, dans lequel ils affrontaient des adversaires aux noms polémiques.ETIENNE LAURENT / POOL / AFP
Marielle de Sarnez, ici à gauche avec Édouard Philippe, Emmanuel Macron et Jean-Yves Le Drian, du temps où elle était ministre macroniste, était particulièrement visée par le jeu de rôle proposé lors du séminaire de La République en Marche.
POLITIQUE - Imaginez-vous candidat aux élections municipales en 2020. Votre objectif est de renverser Paul-Henri Le Comte, maire depuis trente ans de Trifouillis-les-Oies, dans le département du Mordor, et ancien soutien de François Fillon. Pour ce faire, il vous faudra battre Jeanne Fachot, du FN, mais aussi Raymond Poulidor, l’éternel opposant PS ou encore Jean Brutus, le Juppéiste toujours prompt à changer d’alliance.
Non, ceci n’est pas le postulat de base d’un jeu de société politique un rien irrévérencieux, mais celui d’un séminaire de la République en Marche, le parti du président e la République Emmanuel Macron. Comme le rapportait ce 3 juillet Le Parisien, LREM a effectivement convié ses apprentis candidats aux municipales de 2020 à prendre part à un jeu de rôle.
Le MoDem déplore d’être tourné en ridicule par son allié
Dans ses locaux parisiens et en présence notamment des membres du gouvernement Jean-Michel Blanquer et Amélie de Montchalin, le mouvement macroniste a donc fait jouer ses ouailles à gagner une mairie. Face à eux, des parodies pas franchement laudatives de personnalités politiques, à l’image du communiste Jean-Luc Colérique qui rappelait forcément le patron de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon, d’une sénatrice centriste dénommée Yvette Pascool ou encore d’un sénateur LR baptisé Michel Demymol. - Citation :
NathalieSchuck
 @NathalieSchuck
[ltr]Les RN Jeanne Fachot et Dominique Nazillon, le candidat macroniste Raymond Poulidor, le juppéiste Jean Brutus (sans oublier l'excellent Jean-Luc Colérique): les burlesques personnages du séminaire de formation LREM pour les municipales. Exclu @le_Parisien! http://www.leparisien.fr/elections/municipales/municipales-le-tres-baroque-seminaire-de-formation-de-lrem-03-07-2019-8108634.php …[/ltr]
35
13:01 - 3 juil. 2019
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Municipales : le très baroque séminaire de formation de LREM
Le mouvement macroniste a des méthodes pour le moins novatrices pour former ses futurs candidats, conviés ce samedi à huis clos à un jeu de
leparisien.fr
[ltr] Mais le personnage pas si fictif que cela qui a le plus fait polémique depuis la sortie de l’article du Parisien, c’est une certaine Marielle Orange. En effet, difficile de ne pas voir derrière cette parlementaire “peu à l’aise dans son rôle”, qui “souhaiterait reprendre un mandat local” et qui est soutenue par le MoDem, comme la décrit le document remis aux joueurs, une certaine Marielle de Sarnez. Oui, l’éternelle compagnonne de route de François Bayrou, figure du parti centriste et... alliée de La République en Marche. [/ltr] La preuve en est la réaction du député de Savoie et président du groupe MoDem à l’Assemblée Patrick Mignola. Un homme bien réel, lui. Comme le raconte l’Agence France Presse, ce dernier a effectivement écrit au chef des Marcheurs, Stanislas Guérini, pour s’insurger contre la méthode employée par son allié. Des amis considérés “comme des traîtres en puissance”“J’ai lu avec stupéfaction (...) la curieuse méthodologie que LREM utilise pour la formation de ses candidats”, écrit l’élu de la quatrième circonscription de Savoiedans un courrier. “Je déplore que vous caricaturiez nos adversaires et que vous déconsidériez vos alliés, au premier rang desquels Le Mouvement Démocrate et les amis du Premier ministre”, ajoute-t-il. Selon Patrick Mignola, “l’enracinement de LREM sur le terrain (...) ne peut rimer avec le dénigrement de ses partenaires.” En effet, né dans l’urgence des échéances électorales il y a moins de trois ans, LREM se cherche encore un ancrage local et doit former dans la précipitation ses candidats pour le scrutin municipal qui se tiendra dans neuf mois. Ce qui le pousse à “ce type de maladresses”, comme les qualifie Patrick Mignola, espérant qu’elles ne se “reproduisent pas”. “L’élargissement de la majorité, que le président de la République a appelé de ses vœux dans l’intérêt du pays, doit tous nous conduire à ne pas considérer des adversaires comme des ennemis et des alliés comme des traîtres en puissance”, insiste finalement l’élu MoDem. Et comme pour lui, il y a fort à parier que le petit jeu de rôle du parti majoritaire fasse grincer des dents dans la sphère politique. Chez les adversaires de LREM bien sûr, mais peut-être aussi chez ses alliés juppéistes -dont est issu le Premier ministre Édouard Philippe-, largement moqués dans la description distribuée au cours du séminaire. | |
| | | | Yvon B.
Invité
| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Ven 28 Juin - 23:53 | |
| LISEZ-BIEN !
Dernières nouvelles du Front municipal ou de la Mairie de Bethune
La guerre est ouverte. Gacquerre et Gibson. Le divorce est entamé. Conséquences.
DAGBERT (ancien Maire de Barlin) ferait une liste avec GIBSON. S'ils gagnent la Mairie. GIBSON Maire et DAGBERT Président de l'AGGLO. Au vote de confiance du gouvernement, DAGBERT s'est abstenu. Il se rapproche de MACRON.
PINOCCHIO. Pardon GACQUERRE se rapproche de MELLICK (comme en 2014) pour faire une liste ensemble. GACQUERRE propose à MELLICK .La présidence de l' AGGLO .
Le ridicule ne tue pas. PINOCCHIO va rechercher un vieux sniper désœuvré pour gagner la mairie. PINOCCHIO a peur. Perdre ses 11000 euros par mois...et le pouvoir.Tout est bon. Les valeurs,, la droiture, il s'en moque. Il veut garder l'argent, l'égo et le pouvoir. Aux Béthunois de réfléchir et d'ouvrir les yeux face à ces magouilles !!!!
A nous d'y aller (communistes-les verts- les socialistes -les radicaux de Gauche) d'y aller le feu dans les yeux pour faire triompher l’honnêteté. |
| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Mer 26 Juin - 8:04 | |
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Municipales 2020 : les Français aspirent au renouvellementPublié le 19/06/2019 • Par Romain Gaspar • dans : France AdobeStockSelon un sondage Opinion Way pour Cap Collectif réalisé dans le cadre de l’après grand débat national, les Français veulent étendre le renouvellement de la classe politique à l’échelon local. Une conséquence probable de l’explosion des partis politiques depuis l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron.A moins d’un an des élections municipales, l’institut de sondage Opinion Way vient de dévoiler son étude « Les Français et l’engagement citoyen pour les élections municipales » réalisée auprès d’un échantillon de 1001 personnes représentatives de la population française. « Qu’attendent les Français des candidats et de leur programme en vue des élections municipales de mars 2020 ? », s’interroge Frédéric Micheau, directeur des études d’opinion d’Opinion Way.Plus de deux français sur trois préféreraient voter pour des candidats issus de la société civilePremier enseignement : 71% des Français préféreraient voter pour une personnalité issue de la société civile plutôt qu’un homme ou une femme politique appartenant à un parti. Cette aspiration au renouvellement est particulièrement marquée lorsque les sondés sont interrogés sur leurs souhaits pour la composition des listes électorales. Par rapport aux élections de 2014, ils souhaitent à plus de 67% plus de jeunes, à plus de 66% plus de personnalités sans étiquette politique, et à plus de 61% plus de candidats issus du secteur privé.Mais pour Philippe Laurent, secrétaire général de l’Association des Maires de France, cette distinction entre société civile et personnalités politiques est artificielle à l’échelon communal. « Seulement 5000 élus vivent de la politique sur 500 000 conseillers municipaux donc cette distinction n’a pas de sens. Ce qui est important c’est que le maire soit rassembleur dans la constitution de sa liste municipale », défend-t-il. Sauf que la remise en cause des élus est parfois radicale de la part des électeurs. 45% des sondés, en particulier les 50-64 ans, préfèrent une personne sans expérience politique plutôt qu’un politique expérimenté. Un non sens pour Philippe Laurent qui a insisté sur la spécificité de la fonction de maire. « Un bon maire est à la fois le patron d’une administration, le porteur d’une vision sur 15 ans pour son territoire et un élu à l’écoute capable de répondre aux multiples sollicitations des habitants. Ce n’est pas donné à tout le monde. »Effondrement des partis politiquesSecond enseignement : « On observe un effondrement des structures partisanes », constate Frédéric Micheau d’Opinion Way. Seulement 25% des Français interrogés désirent une personnalité appartenant à un parti politique et seulement 14% du panel votera avant tout en fonction du parti politique des candidats.Mais se présenter sans étiquette n’est pas forcément un gage de renouvellement. Certains maires sortants, ne rejoignant pas la majorité présidentielle de la République en Marche, assument en off leur pari de miser uniquement sur leur ancrage local et leur bilan en effaçant leur étiquette partisane.L’effondrement des partis s’observe également à la question « lors de l’élection municipale de 2020, vous préfériez voter pour un programme qui prend en compte uniquement les enjeux locaux ou un programme suivant la ligne politique nationale d’un parti ? » A 77%, les Français interrogés favorisent les enjeux locaux. « Le parti politique comme vecteur d’homogénéité territoriale c’est terminé », décrypte Frédéric Micheau.Près d’un tiers des Français déclare être prêt à s’engagerTroisième enseignement : 71% des Français se disent prêt à participer à l’élaboration du programme d’un candidat en lui faisant part de ses idées pour la commune. 33% des interrogés s’estiment prêt à être bénévole dans l’équipe de campagne d’un candidat. 32% dont 11% certainement se déclarent prêt à faire partie d’une liste électorale dans sa commune.Un score encourageant quand près d’un maire sur deux hésite à se représenter selon une étude du CEVIPOF de novembre 2018. Ces chiffres sont pourtant « à nuancer car uniquement déclaratifs » selon le sondeur Frédéric Micheau. Les Français ont souvent tendance à surestimer leurs actes dans les sondages déclaratifs.Une opposition entre communes rurales et métropoles« L’attente de renouvellement est un peu plus forte dans les communes rurales de moins de 2000 habitants » selon Frédéric Micheau de l’institut de sondages Opinion Way. Ces territoires attendent plus de femmes, de jeunes, de minorités et de personnalités sans étiquette politique sur leurs listes municipales que dans les grandes agglomérations. Le désir de personnalités sans étiquette politique dans le rural ne date pas d’hier mais il s’est accentué. Le critère du parti politique comme déterminant de vote aux municipales dans le rural n’atteint que 8% contre 14% sur l’ensemble de la France et 18% dans les grandes agglomérations. « Dans les grandes villes la politique est davantage partisane et orientée par le parti », précise Frédéric Micheau. Mais pour le sondeur cet effondrement des grands partis qui s’est accentué depuis la dernière présidentielle est « très dangereux ». « La disparition voire la suppression des corps intermédiaires signifie que l’on rentre dans une opposition du peuple d’un coté contre l’appareil d’Etat de l’autre. C’est un danger totalitaire. Les partis politiques organisaient jusqu’à présent les sensibilités politiques et l’opposition », s’inquiète-t-il. Un drôle de nouveau monde…. | |
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| | Sujet: MUNICIPALES CHEZ LES AUTRES Ven 14 Juin - 9:24 | |
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