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 SANTE

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ACARIE




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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeSam 22 Oct - 1:38

LES VACCINS ...ENCORE ET TOUJOURS pas testés ...






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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeJeu 20 Oct - 22:46

le professeur Péronne a fait une conférence le 19/10/2022  a Bruxelles ...
Il dénonce le scandale des vaccins , il dénonce la manipulation et la corruption des politiques, des états  et porte plainte contre Bill Gates


Pour les gens pressés : l'exposé du Professeur Perronne commence vers 37:32 et s'achève vers 1:40:10 (mais ensuite les réponses aux questions comportent aussi des informations-clefs). La publication d'extraits de cette conférence permettrait d'ailleurs de la mettre davantage en valeur, par exemple sous la forme de "shorts".



SANTE - Page 2 000120
todSopnsre5m81f69177h8hc5lgH6r llu43i5197m19:hfttie3,0mi f0à  · 



Conférence du Professeur Perronne au Parlement européen de Strasbourg

Conférence du Professeur Perronne au Parlement européen de Strasbourg

Politique vaccinale de l'UE et gestion du COVID : retrouvez en direct la conférence du Professeur Perronne au Parlement européen de Strasbourg !






SANTE - Page 2 000119



https://www.facebook.com/valerielaupies2021/videos/571840478044017
SANTE - Page 2 000119

https://www.facebook.com/virginiejoronrn/videos/1307786603296552


:video_camera: Bill Gates, Barroso, immobilier, bourse, doses détruites, le PDG de GAVI se livre jusqu'au bouquet final : les vaccins sont "quite safe" (assez sûrs) ! :arrow_heading_down:






SANTE - Page 2 29493012
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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeJeu 20 Oct - 9:32

DANS LA SERIE : " je fais de moins en moins confiance aux laboratoires pharmaceutiques "




SANTE - Page 2 Logo194



Levothyrox : le laboratoire Merck mis   en examen pour « tromperie aggravée »  






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En France, moins de 100000 patients sont traités avec l’ancienne formule, importée depuis fin 2017 sous le nom d’Euthyrox. La distribution de l’ancienne formule, qui devait s’arrêter en 2020, a été prolongée jusqu’à la fin 2022. Photo AFP

C’est un nouveau volet dans l’affaire du Levothyrox : la filiale française du laboratoire pharmaceutique allemand Merck a été mise en examen pour « tromperie aggravée » dans le dossier du changement   de formule en 2017 de ce médicament conçu contre les problèmes de thyroïde. 


FRANCE.
Quatre ans et demi après l’ouverture de l’enquête pénale à Marseille, en mars 2018, la décision de la mise en examen du laboratoire Merck dans l’affaire du Levothyrox a été accueillie avec satisfaction par les avocats et représentants des associations de victimes de ce médicament utilisé quotidiennement par 2,5 millions de patients en France, selon Merck. « Le président de Merck en France a été entendu » mardi au pôle santé du tribunal judiciaire de Marseille et la société Merck a été mise en examen « pour tromperie aggravée », a annoncé le groupe hier. 


Une information confirmée par le parquet de Marseille, selon qui la société Merck Santé S.A.S.U a été placée « sous contrôle judiciaire » avec le dépôt d’une caution de 4,3 millions d’euros, ainsi qu’une garantie de 7 millions d’euros. Cette mise en examen est liée aux « modalités d’information mises en place au moment de la transition de l’ancienne à la nouvelle formule en 2017 », pour ce médicament prescrit contre l’hypothyroïdie, avait ajouté l’entreprise.


On se disait que cela n’arriverait jamais. Mes clients n’y croyaient plus. Enfin cela bouge. 


LA QUALITÉ DU MÉDICAMENT N’EST PAS EN CAUSE


« La juge a écarté les infractions les plus graves – blessures et homicides involontaires et mise en danger de la vie d’autrui –, pour ne retenir que des manquements dans le plan de communication », a insisté l’avocat de Merck au pénal, M e Mario Stasi, assurant que « la qualité du médicament n’est pas en cause ». « L’instruction se poursuit sur l’ensemble des chefs visés lors de l’ouverture de l’information judiciaire », a précisé le parquet de Marseille.


Au cœur de cette affaire, la nouvelle composition du Levothyrox, arrivée en France fin mars 2017 utilisant le même principe actif, la lévothyroxine, mais avec de nouveaux excipients. Or, des patients se sont plaints de nombreux effets secondaires : crampes, maux de tête, vertiges ou perte de cheveux. Une pétition pour réclamer le retour de l’ancienne formule avait recueilli plus de 170 000 signatures. 


L’annonce de la mise en examen a été saluée par Marie-Odile Bertella-Geffroy, avocate représentant quelque 3 000 patients du Levothyrox : « On se disait que cela n’arriverait jamais. Mes clients n’y croyaient plus. Enfin cela bouge. ». « C’est une victoire d’étape, dans l’attente du procès », a estimé M e David-Olivier Kaminski, représentant quelque 200 victimes, pour qui le laboratoire « a fait comme s’il ne s’était rien passé en ignorant la douleur des victimes ».




« Le chef de tromperie aggravée, c’est déjà pas mal. Merck n’aurait jamais dû introduire une nouvelle formule (…) sans alternative. Ils savaient qu’ils prenaient le risque de déséquilibrer des patients », a réagi Beate Bartès, présidente de l’association Vivre sans thyroïde. En juin 2019, l’Agence nationale française contrôlant la sécurité des médicaments avait mené une étude sur plus de deux millions de patients et conclu que le passage à la nouvelle formule n’avait pas engendré de « problèmes de santé graves ». Elle est aujourd’hui visée par une action collective de quelque 1 100 plaignants, pour « défaut de vigilance » et « défaut d’anticipation ».


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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeLun 17 Oct - 7:40

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Quatrième bombe à retardement : le système de santé


Claude Goudron


S’il fallait un exemple de dysfonctionnement de notre système de santé c’est bien la gestion de l’arrivée du covid en France.



Publié le 17 octobre 2022
Jusqu’à l’arrivée du covid, une majorité de Français pensaient disposer du meilleur système de santé au monde. Si un jour ça a été le cas, cela remonte à de nombreuses années. S’il fallait un exemple de dysfonctionnement du système de santé français, c’est bien la gestion de l’arrivée du covid.
En effet, cette crise a démontré combien l’administration était incompétente aussi bien dans la gestion des masques et du matériel de réanimation que dans l’organisation de la campagne vaccinale qui a fait perdre plusieurs mois de protection aux Français fragiles.


 

La prise de pouvoir de l’administration



La part des personnels non soignants dans les effectifs hospitaliers est de 34 % en France contre 25% en Allemagne, Italie ou Espagne.
C’est sans compter les effectifs des ARS, soit environ 10 000 personnes, qui ont un pouvoir de décision souvent hors de leur champ de compétences. Elles sont critiquées par une grande majorité du personnel soignant, à tel point que ce dernier lui a intimé l’ordre de rentrer dans leur bureau et de ne plus en sortir. C’est à partir de ce moment que la situation s’est améliorée dans les cellules de réanimation covid.


.
L’administratif occupe plus de 30 % du temps de travail des infirmiers et empiète sur leur temps de soin.
Le directeur d’un grand hôpital de Paris a même déclaré à la télévision que dans son service la partie administrative pouvait atteindre 50 %.
Il faut donc revenir à une organisation plus performante qui dégagerait davantage de temps pour le soin.


 

Notre système de santé : beaucoup de dépenses pour des résultats très insuffisants



Avec des dépenses de santé équivalentes à 11,3 % du PIB (chiffres 2019) la France se situe dans le haut de la fourchette européenne dont la moyenne est de 10 %.
Malgré un budget de 234 milliards d’euros le système de santé français fait beaucoup moins bien que ses voisins. En effet, les délais pour obtenir des rendez-vous chez un spécialiste ou pour un examen sont devenus catastrophiques. C’est ce que j’ai pu constater dans ma région : deux à trois semaines pour une simple radiographie, jusqu’à six mois, voire davantage pour un bilan cardiaque.
Malgré la prise de conscience de nos dirigeants l’avenir reste encore moins rose avec l’envolée des prix de l’énergie (+50 % en un an), l’augmentation moyenne du prix des médicaments de 12,6 %, de la restauration de 2,9 % et du nettoyage des linges de 6,4 % (témoignage de Xavier Vaillant dans L’Express du 8/09/2022).


Le coût prohibitif de l’administration pénalise également les hôpitaux dans leurs investissements de matériel de pointe qui sont, dans le meilleur des cas, reportés ou tout simplement annulés ou remplacés par du matériel moins performant.


Le résultat est que la France dispose de 15,4 appareils IRM par million d’habitants quand nos voisins allemands en possèdent 34,7 !


Dans l’accès aux nouveaux médicaments mis sur le marché, là encore le patient français est pénalisé par un délai de 530 jours contre 106 en Allemagne et 111 au Royaume-Uni.


Le [url=https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/sites/default/files/2021-07/Fiche 32 - La situation %C3%A9conomique et financi%C3%A8re des h%C3%B4pitaux publics.pdf]taux d’endettement des hôpitaux[/url] est passé de 33 % de leurs capitaux en 2002 à plus de 50 % en 2018. C’est une envolée des intérêts qui va s’abattre sur eux, sachant que 30 % de leur endettement est à taux variable.
 

Largesses et fraudes de l’aide médicale L’aide médicale d’État



La France peut-elle faire preuve d’autant de largesses lorsqu’une partie de plus en plus importante des citoyens français n’ont pas accès à autant d’avantages que ceux dont bénéficie un étranger sur notre territoire ?
Elle constitue par ailleurs un appel d’air. Selon l’iFRAP, son coût est en augmentation régulière jusqu’à atteindre 1,5 milliard d’euros.


La Complémentaire santé solidaire 


Elle est accordée, après demande, à toute personne percevant moins de 9203 euros pour 2022. C’est aussi une avancée à saluer, mais comme tout système gratuit elle engendre des abus : près de 7,3 millions de personnes en ont bénéficié en 2018 pour un coût total de 2,3 milliards.

Par :

Claude Goudron
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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeVen 14 Oct - 17:21

LES VACCINS PFITZER n'ont pas été testés !
Nous sommes tous des cobayes ...



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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeVen 14 Oct - 12:29

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Myocardites post-vaccinales : plus graves qu’annoncées !

  • 06/10/2022








Accueil » Articles scientifiques » Myocardites post-vaccinales : plus graves qu’annoncées !


Par : Collectif Reinfocovid


À Retenir :



  • 25 % des myocardites post-vaccinales ont été hospitalisées en réanimation.

  • 16,5 % des patients n’étaient pas guéris au bout de 90 jours.

  • Environ 50 % des patients présentaient des IRM anormales.

  • 25 % des patients considérés « guéris » étaient encore sous traitement médicamenteux.




 

Introduction



Avant 2021, soit avant la mise sur le marché des vaccins à ARNm, la myocardite a toujours été considérée comme une « pathologie grave », selon la Société Française d’Anesthésie et de Réanimation (SFAR). Les myocardites évoluent, en effet, défavorablement dans un tiers des cas [1].
Selon une étude d’Anzini et al, la mortalité de la myocardite à 12 ans est de 28 %, le taux d’insuffisance cardiaque chronique de 60 % et le taux de mort subite de 13 %. Presque 10 % des patients nécessitent une transplantation cardiaque dans les années suivant l’épisode initial de myocardite [2].


Les myocardites sont donc graves par leurs effets potentiels à long terme.


Reinfocovid a déjà donné quelques explications sur les myocardites en général et les myocardites post-vaccinales dans deux articles dédiés, que vous pouvez retrouver en suivant ces liens :
https://reinfocovid.fr/science/balance-benefice-risque-defavorable-pour-les-ados-et-jeunes-adultes-trop-de-myocardites/
https://reinfocovid.fr/wp-content/uploads/2021/09/Myocardite-US-12-17-ans_fin.pdf
Ces deux articles soulignaient que :
• Les myocardites et les péricardites sont des inflammations du muscle et de l’enveloppe du cœur (péricarde) aboutissant bien souvent à une perte plus ou moins importante des capacités cardiaques.
• Les vaccins Pfizer et Moderna présentent un sur-risque de myocardite post-vaccinale chez les 12-50 ans !
• Ces myocardites ont entraîné une hospitalisation chez 94% à 96% des adolescents touchés.
• Les myocardites / péricardites post-vaccinales entraînent plus d’hospitalisation chez les 12-17 ans que la maladie Covid-19, surtout chez les garçons, 12 fois plus touchés que les filles.
• Certaines études recensent jusqu’à 1 myocardite toutes les 2 649 vaccinations (deux doses) chez les hommes jeunes.
• Une dose de vaccin à ARNm comporte plus de risques que de bénéfices pour les garçons ayant déjà eu la Covid-19.
• Les myocardites post-vaccinales seraient dues à un syndrome adrénergique provoqué soit par l’ARNm du vaccin, soit par la protéine spike qui résulte de la vaccination.


Des autorités sanitaires rassurantes



Mais selon l’ANSM, les myocardites post-vaccinales ne seraient pas ou peu graves : « L’évolution est favorable pour la grande majorité des cas. Cette conclusion a également été partagée au niveau européen » [3].
Mais jusqu’à présent les séquelles à long terme des myocardites post-vaccinales n’ont pas encore été étudiées. Or, on sait que les myocardites laissent des séquelles à long terme sur 5 à 10 ans après l’épisode aigu initial.


Première étude sur les séquelles des myocardites post-vaccinales : enfin !



Une nouvelle étude du Lancet a tenté de déterminer le pronostic des myocardites post-vaccinales à moyen terme chez les 12-29 ans en lançant une étude sur les séquelles à 90 jours après le diagnostic [4]. Notons tout de suite que l’un des auteurs a reçu des fonds de Moderna et de Pfizer, ce qui relève du conflit d’intérêt.
Les auteurs ont recherché/inclus 819 patients répondant à la définition de myocardite post-vaccinale du CDC et ayant fait l’objet d’un rapport d’évènement indésirable dans le système de pharmacovigilance passive américain (VAERS). Seules les données de 519 patients ont pu être récupérées et analysées dont 393 avec l’expertise d’un médecin.
Cette étude représente, à l’heure actuelle, la plus vaste et la plus longue étude réalisée sur les myocardites post-vaccinales, bien que le suivi à 90 jours reste encore largement insuffisant.
On peut noter que sur les 393 patients ayant fait l’objet d’un suivi médical :
• 261 patients « seraient » complètement guéris selon les médecins.
• 59 patients seraient probablement guéris mais des informations complémentaires sont encore nécessaires pour l’affirmer formellement
• 8 patients ont une évolution inconnue.
• 61 patients ont connu une amélioration de leur myocardite.
• 4 patients n’ont pas connu d’amélioration de leur myocardite et leur état de santé reste le même qu’au moment du diagnostic.
De plus, un patient a même nécessité le recours à une circulation extra-corporelle (ECMO), qui est utilisé pour la prise en charge des myocardites fulminantes et gravissimes.
Environ 25 % des patients ont dû être hospitalisés en réanimation.
16,5% des patients ne sont pas guéris de leur myocardite 90 jours après l’épisode initial !


Des myocardites bénignes et d’évolution favorable ? Pas réellement.



Tous les patients de cette étude n’ont pas bénéficié des mêmes examens paracliniques (imagerie et biologie médicale), il est donc difficile de tirer des conclusions ; toutefois à l’issue du suivi :
• 9 % des patients présentaient un taux de troponine toujours élevé (n=200),
• 14 % des patients conservaient encore des troubles du rythme cardiaque (n=96),
• 23 % des patients souffraient encore d’un électrocardiogramme perturbé (n=311).
• Plus de la moitié des patients ayant eu un suivi par IRM cardiaque présentait des résultats anormaux à 90 jours de suivi avec et un quart des traces cicatricielles cardiaques de la myocardite ; ce qui signifie que des cellules de leur coeur avaient été détruites (n=151).


Des patients « guéris » pas si guéris que ça !



La terminologie « guéri » et « partiellement guéri » est floue et jette le doute sur la robustesse des conclusions. D’ailleurs, cette définition est totalement laissée à l’appréciation du médecin. Comme on peut le lire dans le matériel et méthode :
« Pour évaluer la guérison de la myocardite, les médecins ont été interrogés sur les points suivants : sur la base de votre évaluation clinique et des résultats des tests, veuillez décrire l’état de guérison cardiaque du patient à la date de votre dernière visite ou consultation (par rapport à l’état actuel) »
Ainsi, on est surpris de lire que parmi 257 patients considérés comme « guéris » par leur médecin, près de la moitié présentait encore un symptôme de la maladie (douleurs thoraciques ou fatigue même au repos) et 26 % prenaient encore des médicaments pour traiter la myocardite !


Des évolutions différentes selon l’âge des patients



Si l’on regarde maintenant les différences d’évolution des myocardites selon l’âge : de 12 à 24 ans, on compte de 9,67 à 14,28% de personnes non guéries avec une tendance à un pronostic plus défavorable pour la tranche d’âge des 15-19 ans puis des 20-24 ans.


En conclusion



Cet article présente la plus longue étude réalisée sur le suivi des myocardites post-vaccinales à ce jour, qui n’est pas très rassurante sur l’évolution et les séquelles des myocardites post-vaccinales chez les jeunes de 12 à 29 ans.


Environ 25 % des patients ont dû être hospitalisés en réanimation et un patient a nécessité le recours à une circulation extracorporelle ECMO, technique de sauvetage.


Par ailleurs, entre un tiers et la moitié des patients déclarés « guéris » présentent toujours des symptômes 90 jours après l’épisode aigu et plus de 10 % restent encore essoufflés, même au repos.


La myocardite post-vaccinale est donc loin d’être bénigne, contrairement aux affirmations de nos autorités de santé. Il faut surtout rappeler que les 12-29 ans présentent un risque quasi nul de faire une forme grave de la Covid-19.
Un suivi sur plus de 5 à 10 ans serait souhaitable pour donner une image correcte du pronostic réel de ces myocardites post-vaccinales. En attendant, il semble évident que ces injections ne devraient pas être recommandées.


Références :



[1] https://sfar.org/wp-content/uploads/2017/10/Amour-Myocardite.pdf
[2] Anzini M1, Merlo M, Sabbadini G, Barbati G, Finocchiaro G, Pinamonti B, Salvi A, Perkan A, Di Lenarda A, Bussani R, Bartunek J, Sinagra G. Long-term evolution and 12 prognostic stratification of biopsy-proven active myocarditis. Circulation. 2013; 128(22):2384-94
[3] https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/la-grande-majorite-des-effets-indesirables-sont-attendus-et-non-graves
[4] https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S2352-4642%2822%2900244-9


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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeVen 14 Oct - 12:14

CORRUPTION ????????? 


POURQUOI CE SILENCE DES MEDIAS FRANCAIS ??????


"L'achat de 4,5 milliards de doses du vaccin covid-19 pour 450 millions de citoyens de l'UE est le plus grand SCANDALE DE CORRUPTION de l'histoire de l'humanité."
L'Euro député Mislav Kolakusic.



SANTE - Page 2 Captu823


SANTE - Page 2 000117

https://www.facebook.com/valerielaupies2021/videos/479370580816229



No No No No No No No No No No No No No No No No No No cherry cherry cherry cherry cherry cherry cherry
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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeMar 11 Oct - 17:43

L'europe de Van Der Layen ...CORRUPTION PASSIVE ?







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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeMar 11 Oct - 10:06

Michèle Zielinski Duriez



Encore un mois d'octobre a supporter!
Le grand festival rose est commencé. SANTE - Page 2 1f389SANTE - Page 2 1f38a
C'est parti pour le grand business où toutes les marques veulent en être...Oh comme ils sont charitables tout ces chefs d'entreprises qui tiennent à soutenir la cause.
Tu m'étonnes Ginette avec tout le pognon qu'ils se font sur notre dos!!!SANTE - Page 2 1f62c

C'est que ça rapporte un max le cancer et avec les millions que ça brasse, on devrait déjà avoir trouvé le remède miracle pour guérir tous les cancers ou mieux un vaccin pour tous.

Mais en vérité, il reste bien peu pour les malades et la recherche. Ils y en a qui se sont sucrés au passage ma pauv' Ginette.


Ahh pourtant on y met le paquet, tous les ans on y voit un peu plus de rose chaque fois au grand carnaval d'octobre où tout le monde se déguise ....en rose, du rose partout, total look rose jusqu'aux chaussettes, les monuments illuminés en rose (et gare à la petite commune du fin fond de sa campagne qui n'éclaire pas sa mairie ....en rose !)

C'est la fête!!
On dirait presque que c'est rigolo d'avoir un cancer, tout le monde a la super pêche, on court à belles foulées, on s'éclate, on boit le champagne en chantant, en dansant, en pleine forme quoi!

Eh beh Ginette, j'dois pô être une bonne élève cancéreuse, moi qui tombe quasi raide morte après avoir grimpé mon escalier avec une ou deux pause quand même SANTE - Page 2 1f609 avec tout ce poison qui coule dans mes veines depuis 4 ans ( et bientot 2 ans non stop).
Ok j'avoue quand j'étais apprentie Winneuse, je m'y suis laissée prendre.

Mais là ...la multi métastasée, elle a une overdose ... comme Pernelle et tant d'autres, une indigestion de tout ce rose., de toutes ces émissions de télé sur le sujet (Là aussi je m'y suis un peu laissée piéger...avant )

Alors je crois que je vais me cacher dans un trou de souris et attendre que passe la déferlante rose.

Parce que le cancer , les blouses blanches, les chimios, les médocs, les scanners, Irm, tdm, les perfusions, prises de sang pour analyses, l'attente des résultats chaque semaine la trouille au ventre et les nuits blanches, etc... je suis dedans tous les jours et toutes les nuits souvent, et je commence à en connaitre un rayon sur la question, parfois plus que certains médecins ( si si !!) alors le mois d'octobre et son business rose, ça m'épuise.


+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
Soigner c 'est bien mais éviter de tomber malade c 'est BEAUCOUP mieux .
Il nous faut donc militer pour que les multinationales respectent le "vivant" .
Les perturbateurs endocriniens qu 'elles utilisent nous tuent...
Militer , c'est ce que j 'ai fait avec Michele Zielinsky et le docteur Yves Sarrazin et qqs amis...
A plus de 80 ans je ne baisse pas les bras ...

SANTE - Page 2 96000610 SANTE - Page 2 19628811


SANTE - Page 2 96703310 SANTE - Page 2 13993310

SANTE - Page 2 14046610 SANTE - Page 2 15095711SANTE - Page 2 Comite10 SANTE - Page 2 Flamov10SANTE - Page 2 Jose_b10 SANTE - Page 2 High_d97



SANTE - Page 2 88131013 SANTE - Page 2 Repons11 SANTE - Page 2 Iqvir_10

SANTE - Page 2 01510 SANTE - Page 2 25715010
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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeLun 10 Oct - 7:57

la propagande continue ...
pourtant le nombre de décès du covid  est très marginal




SANTE - Page 2 Logo_c22




Pourquoi la Commission Européenne a besoin d’orchestrer une nouvelle crise du COVID


SANTE - Page 2 Albert-Bourla_edited


Une nouvelle crise du COVID (une énième vague justifiant une nouvelle mise sous contrainte de la population) se prépare activement. La propagande a commencé pour angoisser les gens ordinaires et pour les pousser à recevoir des vaccins en tout sens. Une raison économique préside à ce regain de terreur : il faut honorer les contrats passés avec les firmes pharmaceutiques pour approvisionner l'Union en vaccins.


SANTE - Page 2 Image_2022-10-07_183818929

Sans surprise, les agences de presse commencent à propager la rumeur selon laquelle le COVID reprendrait en Europe, alors que la campagne de vaccination bat de l’aile. L’agence Reuters s’est ainsi fendue d’un article qui préfigure parfaitement le raisonnement conditionné auquel nous sommes désormais habitués : il faut imposer le vaccin pour préparer la prochaine vague.




Citation :
In the week ended Oct 4, COVID-19 hospital admissions with symptoms jumped nearly 32% in Italy, while intensive care admissions rose about 21%, compared to the week before, according to data compiled by independent scientific foundation Gimbe.
(Au cours de la semaine terminée le 4 octobre, les admissions à l’hôpital COVID-19 avec symptômes ont bondi de près de 32 % en Italie, tandis que les admissions en soins intensifs ont augmenté d’environ 21 %, par rapport à la semaine précédente, selon les données compilées par la fondation scientifique indépendante Gimbe.)






Au passage, on appréciera l’affirmation selon laquelle la fondation Gimbè serait indépendante… puisque ladite association ne cache pas ses liens avec l’industrie pharmaceutique. Mais là encore, ce genre de détail n’embarrasse plus guère la presse officielle. 

Des vaccins à écouler

La raison pour laquelle la machine à propagande commence à se mettre en branle tient au schéma que nous publions en tête d’article. L’Union européenne a vacciné 300 millions d’adultes, à la louche, soit un petit milliard de doses consommées…
Le problème est qu’elle en a acheté près, et qu’elle a posé une option sur le quintuple !
Faute de statistiques claires (à notre connaissance en tout cas), il est impossible de savoir avec précision combien de doses sont en stock. Mais il est sûr que l’Union a massivement acheté des vaccins qu’elle ne peut complètement gaspiller aujourd’hui. 


Les étranges achats d’Ursula von der Leyen



Sur le fond, les raisons pour lesquelles Ursula von der Leyen a acheté dix fois plus de doses de vaccins qu’il n’y a d’habitants dans l’Union, pour la seule période courant jusqu’à 2023, soulève d’évidentes questions de probité.
 
Nous avons listé hier les erreurs graves commises par Ursula von der Leyen dans sa stratégie d’acquisition de vaccins. L’une des principales consiste à avoir négocié directement, sans l’équipe officielle de négociation, un achat de 2,4 milliards de doses Pfizer, soit de quoi injecter 8 doses à chaque adulte européen d’ici à la fin 2023. 


Cette étrange commande devrait justifier bien des angoisses mises dans la tête des Européens sur une nouvelle vague dont les thuriféraires du pouvoir n’hésiteront pas à outrancièrement dramatiser les effets.  


++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
A LIRE ABSOLUMENT... A LIRE ABSOLUMENT...A LIRE ABSOLUMENT


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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeDim 9 Oct - 10:16

LA PRESSE PARLE D 'UNE HUITIEME VAGUE, INCITE A UNE ENIEME VACCINATION... 
et a remettre le masque .


Pourtant le nombre de décès sur les 5 départements des Hauts de France ne dépasse pas les 5 personnes par jour sur presque 7 millions d habitants.


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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeMar 6 Sep - 8:15

Les vaccins illustrent depuis longtemps les conflits d’intérêt récurrents entre l’industrie pharmaceutique et les autorités publiques – par Laurent Aventin


  • 29 août 2022



SANTE - Page 2 Image-industrie-vaccin

C’est une vidéo datée de 2017 qui nous permet d’introduire ce sujet majeur : bien avant l’apparition de l’épidémie de Covid, le Pr Romain Gherardi, chef de service du centre expert en pathologie neuromusculaire de l'hôpital Henri-Mondor, explique la dangerosité des adjuvants dans les vaccins et explique comment l’industrie pharmaceutique fait obstruction à toute critique sur les vaccins, quels qu’ils soient. Il sera vilipendé avant l’heure par ses confrères, les autorités publiques… Cela rappelle la tyrannie actuelle du CNOM – financée par l’industrie pharmaceutique - contre les médecins qui n’ont pas respecté les protocoles imposés contre Covid. Les vaccins font partie d’une stratégie sanitaire et financière qui ne date pas d’aujourd’hui. Mais pour la conduire, il faut la collaboration des autorités sanitaires publiques, Covid n’est qu’un passage à l’échelle. Ou comment créer une idéologie sanitaire qui permet d’inoculer des produits expérimentaux à des personnes en bonne santé.


SANTE - Page 2 Image-AFSSAPS

Un ancien directeur des laboratoires Merck, Henri Gasden, déclarait en 1976 : « c’est embêtant de ne vendre des médicaments qu’à des gens qui sont malades ; si on pouvait agrandir notre marché auprès des gens en bonne santé, il est évident que ça arrangerait nos affaires ». Face à ce constat qu’Henri Gasden n’était pas le seul à partager dans l’industrie pharmaceutique, il y avait deux solutions : soit rendre les gens malades, soit vendre des produits aux personnes en bonne santé. En réalité, l’industrie pharmaceutique a travaillé sur ces deux objectifs, notamment en s’associant à l’industrie chimique pour les engrais parfois toxiques (affaire Monsanto et agrochimie) et les adjuvants ou autres colorants dans la nourriture industrielle devenue le mode de consommation dominant en occident. Les cancers ne sont pas étrangers à notre alimentation.


Mais il est également possible de travailler simultanément à ces 2 objectifs en associant à la fois la proposition d’un traitement préventif comme le vaccin qui permet de vendre un produit à des personnes en bonne santé et d’y ajouter des adjuvants toxiques sources de maladies à venir. Cette approche mortifère n’est pas apparue avec l’épidémie de Covid et les vaccins expérimentaux, elle est bien plus ancienne. Les explications du Pr Gherardi, qui datent de 2017 dans le cadre de la présentation de son ouvrage intitulé Toxic Story, sont tout à fait explicites et illustrent nos propos.


L’aluminium, un adjuvant toxique dans les vaccins



L’adjuvant des vaccins est un composant prévu pour renforcer leur efficacité et beaucoup contiennent de l’aluminium, une substance toxique qui peut entrainer une grave maladie (du moins celle-ci est-elle identifiée) : la myofasciite à macrophages. Voici ce qu’affirme dans une vidéo le neurologue Romain Gherardi, praticien hospitalier et spécialiste des maladies neuromusculaires :
La myofasciite à macrophages, c’est la détection – aux signes d’une vaccination antérieure – de macrophages, c’est-à-dire de cellules immunitaires qui sont normalement des éboueurs de l’organisme, qui seront remplies de particules d’adjuvant et donc maintiennent cet adjuvant à l’intérieur de l’organisme alors que normalement on devrait être capable de s’en débarrasser, de les l’éliminer d’une manière ou d’une autre, notamment par voie urinaire. La plupart d’entre nous ne faisons aucune complication après avoir été vacciné…une petite part des vaccinés vont avoir un problème, une maladie identifiée depuis 1969 qui s’appelle l’encéphalomyélite myalgique ou syndrome de fatigue chronique.


Le journaliste : Vous décrivez l’industrie des vaccins comme une jungle faite pour qu’on n’y mette pas le nez, que voulez-vous dire ?


Un coup d’arrêt a été tenté sur notre recherche en 2004 par l’agence du médicament français qui s’appelait l’AFSSAPS (aujourd’hui ANSM). Une étude menée par des épidémiologistes de grand renom à Bordeaux, démontrait qu’il existait une association statistiquement significative entre la présence d’une fatigue, profonde, cognitive et la détection d’une lésion de myofasciite à macrophages dans le muscle deltoïde (point de vaccination). Ce rapport a été réfuté par un ensemble d’experts du Conseil scientifique de l’époque et on s’aperçoit que tous – trois sur trois – avaient des conflits d’intérêts avec l’industrie du vaccin ; c’est-à-dire que c’est l’industrie du vaccin qui a fait cette expertise négative sur ce travail et qui a dit non finalement on ne peut rien dire, circulez il n’y a rien à voir et pas de recherche, surtout pas de recherche.


L’industrie pharmaceutique contrôle les autorités de régulation sanitaire



 Ces adjuvants aluminiques ont été introduits dans la pharmacopée de façon totalement empirique. En 1928, les spécialistes de ces adjuvants, c’étaient des chimistes, ils n’avaient pas pris en compte que dans le vivant, ça ne se passe pas comme dans un tube à essai. Deuxième surprise, c’est que le monde des adjuvants est un monde extrêmement clos. Quand on regarde qui dépose des brevets sur les adjuvants de nouvelle génération, on s’aperçoit que ce sont exclusivement les entreprises de la recherche industrielle. La recherche du secteur public est totalement absente de ce champ. Quand il a fallu recréer des adjuvants pour les tester en phase expérimentale, on n’a pas été capable de refabriquer le même adjuvant parce que l’adjuvant aluminique est protégé par un brevet […].


Une recherche comme la nôtre a tout pour déranger, l’OMS dit que le chiffre d’affaires du vaccin en 2025, ce sera environ 100 milliards d’euros annuels…donc on parle de très, très, grosses sommes. Il faut savoir qu’il y a 120 vaccins en développement et que la plupart sont adjuvantés en hydroxyde d’aluminium. Et donc s’il y a des problèmes (de santé) avec l’hydroxyde d’aluminium, ça peut impacter de quelques points l’indice de croissance du secteur.


Injections Covid : une répétition de l’histoire ou la mondialisation de la corruption par l’industrie pharmaceutique



Nos lecteurs seront heureux d’apprendre que les autorités publiques – et donc les autorités de régulation sanitaire – n’ont pas de compétence dans le domaine de la fabrication des adjuvants et donc sur l’analyse in vitro des effets secondaires sur la santé humaine. C’est bien ce que nous dit le Pr Romain Gherardi. Les autorités sanitaires sont également celles qui donnent les autorisations de mise sur le marché pour les injections expérimentales contre Covid… sans réelle compétence donc sur l’analyse des effets secondaires, ce que révèle les conséquences mortifères post vaccinales que la même agence (ANSM) continue de minimiser.


Nous avions illustré dans un dossier ce que l’on appelle [url=https://fr.wikipedia.org/wiki/Pantouflage#:~:text=Le terme %C2%AB pantouflage %C2%BB d%C3%A9signe de,travailler dans une entreprise priv%C3%A9e.]le pantouflage[/url], c’est-à-dire le passage des experts du privé au public et vice versa ainsi que les conflits d’intérêts permanents entre l’industrie pharmaceutique et les autorités publiques de régulation sanitaire.


Le Pr Gherardi nous explique aussi clairement la corruption des autorités sanitaires publiques, notamment le Conseil scientifique… celui-là même qui a piloté la gestion de la crise du Covid en France.
Enfin, si certains s’interrogent encore sur l’intérêt des grands de ce monde pour l’industrie du vaccin – comme Bill Gates qui, il l’assure, agit pour le bien commun (philanthrope) en ayant investi dans cette industrie – on constate que Gherardi et l’OMS se sont trompés sur un point. En effet l’industrie du vaccin a atteint plus de 72 milliards en 2021 et devrait dépasser les 100 milliards en 2022 … les chiffre d’affaires de Pfizer a atteint 27,7 milliards au second trimestre 2022. A elle seule, l’entreprise pourrait dépasser 100 milliards de chiffre d’affaires en 2022.


Vous comprenez pourquoi il est urgent de développer des plateformes de vaccin à ARNm pour toutes les maladies virales et dans le monde entier. C’est bien sûr une question de santé publique, une urgence sanitaire…





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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeSam 3 Sep - 9:42

https://infodujour.fr/mot-cle/coronavirus-covid-19





Vaccins anti-Covid : confirmation des effets secondaires graves




10 juillet 2022 - par Marcel Gay

On comprend mieux la méfiance des patients à l’égard de la vaccination quand on connaît les effets secondaires, parfois graves, des vaccins révélés par l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM).
SANTE - Page 2 Vaccination-UnlimPhotosVaccination (UnlimPhotos)
« Tous vaccinés, tous protégés » rabâchent en boucle les autorités sanitaires sur nos écrans télé depuis près de deux ans. Ajoutant : « On peut discuter de tout, sauf des chiffres ! »
Les chiffres, justement, parlons-en. Ceux, très officiels, de la très officielle Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM).

24% de cas graves

Que disent-ils ? Dans son ‘’suivi des effets indésirables des vaccins Covid-19’’ effectué par les Centres régionaux de pharmacovigilance (CRPV) entre le 24 mai 2022 et le 16 juin 2022, l’ANSM constate que 729 900 injections ont été réalisées en France. Elle rappelle que ce sont plus de 145 178 000 injections qui ont été réalisées depuis le début de la vaccination dont 112 211 700 avec Pfizer, 23 709 100 avec Moderna, 7 859 600 avec AstraZeneca, 1 087 600 avec Janssen et 22 300 avec Novavax.
Du 24 mai au 16 juin 2022, sur trois semaines, 4 103 nouveaux cas d’effets indésirables ont été rapportés pour l’ensemble des vaccins (sur un total de 169 557 cas depuis le début de la vaccination) dont 20% de cas graves sur la période et 24% depuis le début de la vaccination.

Des affections nombreuses et variées

Une analyse des effets secondaires ciblés par vaccin et par organe est tout aussi édifiante. Pour le vaccin Pfizer, le plus injecté en France, l’ANSM enregistre 2 871 cas pour la période du 24 mai au 16 juin 2022 et 109 329 cas au total.
Les effets indésirables graves concernent d’abord les ‘’troubles généraux et anomalies’’ à l’endroit de l’injection. Ils sont suivis par des affections de l’oreille et du labyrinthe, des affections de la peau, des infections et infestations, des affections gastro-intestinales, des affections musculosquelettiques, thoraciques et médiastinales, des affections vasculaires, cardiaque et du système nerveux.
Parmi les nouvelles affections relevées par les CRPV, la surdité. Ce sont 115 cas graves de surdité retenus sur 191 déclarations expertisées. 54 cas survenus après la première dose, 48 après la deuxième dose et 12 après la dose de rappel. Pour 38 patients, l’audition a été rétablie sans séquelles, 4 ont eu des séquelles nécessitant un appareillage et dans 71 cas, il n’y a pas eu de rétablissement (au moment de la déclaration).
L’ANSM rappelle que de nombreux effets secondaires sont déjà sous surveillance dont les troubles menstruels, l’hypertension artérielle, les myocardites/péricardites, les zonas, les troubles du rythme cardiaque, la thrombopénie, les hématomes spontanés, le déséquilibre diabétique, la pancréatite aiguë, la réactivation à virus Epstein-Barr, la méningoencéphalite, etc., etc.

Chez les enfants

La vaccination des enfants de 5 à 11 ans est très controversée en France. Elle est autorisée depuis le 20 décembre 2021. Au 9 juin 2022, ce sont plus de 500 000 enfants qui ont été vaccinés avec le vaccin Pfizer. 126 cas d’effets indésirables ont été constatés dont 14 cas graves.
Depuis le 15 juin 2021, la vaccination des 12-18 ans est possible avec le vaccin Pfizer. Ce sont plus de 10,2 millions de doses qui ont été administrées chez ces jeunes (chiffres arrêtés au 16 juin 2022). Au total, 3 402 cas ont été recensés dont 864 cas graves après vaccination.
Des effets peu ou prou identiques et dans des proportions comparables sont observés pour les autres vaccins.
On notera que depuis le début de la vaccination, 71% des femmes sont touchées par les effets indésirables des vaccins (contre 29% chez les hommes) et que les personnes âgées de 30 à 49 ans (34%) et de 50 à 64 ans (24%) sont plus concernées que les autres par les effets secondaires.

Une augmentation progressive d’effets indésirables des vaccins Covid-19

SANTE - Page 2 Jean-Marc-Sabatier-DR-2-200x300Jean-Marc Sabatier (DR)
Par Jean-Marc Sabatier*
Selon l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des Produits de Santé (ANSM), il y a eu un total d’environ 145 178 000 injections réalisées avec les vaccins Covid-19 en France à la date du 16/6/2022 (période du 27/12/2020 au 16/6/2022). L’ANSM a recensé sur cette période un total de 169 557 cas d’effets indésirables (ce nombre est probablement largement sous-estimé car tous les cas d’effets secondaires ne sont pas systématiquement « déclarés » à l’ANSM). Ceci représente une moyenne d’un cas d’effets indésirables pour 856 injections vaccinales (dont 24% d’effets dits « graves »).
Sur la période récente du 24/5/2022 au 16/6/2022, il y a eu, environ, 729 900 injections vaccinales, avec 4 103 cas d’effets indésirables rapportés. Ceci représente une moyenne d’un cas d’effets indésirables pour 181 injections vaccinales (dont 20% d’effets dits « graves »).

Le danger des injections multiples

Ces données de pharmacovigilance de l’ANSM montrent qu’il existe une augmentation importante des cas d’effets indésirables rapportés sur une période récente, suggérant fortement que les injections vaccinales répétées sont « délétères », comme nous l’avons mentionné et argumenté dans plusieurs articles publiés dans « Infoduour.fr », et autres. Ces effets indésirables peuvent être associés à la toxicité potentielle directe des vaccins (protéine spike vaccinale, nanoparticules lipidiques ou autres adjuvants, etc.), et à l’atteinte de l’intégrité du système immunitaire (notamment l’immunité innée). Ces injections vaccinales multiples vont de plus favoriser les phénomènes délétères de facilitation de l’infection par les nouveaux variants du SARS-CoV-2 (phénomènes ADE et ERD).
Il apparaît ainsi que les injections et rappels vaccinaux multiples ne sont pas souhaitables au niveau sanitaire, car les effets obtenus seront à l’opposé de ceux attendus.
Il est notable que la majorité des effets indésirables concernent les femmes. Pour le vaccin « Comirnaty » à ARN messager de Pfizer-BioNTech (le plus injecté en France avec 112 211 700 injections au 16/6/2022), 71% et 29% des cas d’effets indésirables rapportés concernent les femmes et les hommes, respectivement).

* Jean-Marc Sabatier est directeur de recherches au CNRS et docteur en Biologie Cellulaire et Microbiologie. Il s’exprime à titre personnel.
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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeSam 3 Sep - 9:34

BILAN : Les pays les plus vaccinés furent les états qui ont enregistré  le plus de malades du Covid par rapport à leur population !!!! 



SANTE - Page 2 Captu763



Parmi les champions des contaminations, nous avons choisi de retenir seulement ceux qui étaient comparables à la France, avec les mêmes vaccins utilisés ou avec un climat proche du nôtre. Ce qui exclut par exemple les îles Caïmans, le Groenland ou l’Australie (voir la carte ci-dessus pour un recensement exhaustif). 

Aujourd’hui, les pays battant des records de contaminations sont Chypre, Monaco, le Monténégro, l’Irlande, le Danemark, l’Islande ou encore la Grèce. 

Ces indicateurs sont évidemment à mettre en relief avec d’autres données, telles que l’ampleur du dépistage quotidien ou le taux de positivité enregistré. 

Car le nombre de cas détectés chaque jour dépend étroitement du nombre de tests réalisés.

 Sans surprise, le Portugal et la France figurent parmi les pays testant le plus leur population avec respectivement 22,25 tests et 20,14 tests effectués chaque jour pour 1000 habitants. 

Chypre s’élève au premier rang mondial, avec 121,86 tests par jour pour 1000 habitants, suivi des Émirats arabes unis (41,77 tests). On retrouve ensuite l’Autriche (35,99 tests pour 1000 habitants), talonnée par la Grèce (32,37 tests) et le Danemark (30,09).

En résumé, l’exemple de la France est le bon : deuxième pays rapportant le plus de cas par jour au monde, l’Hexagone est aussi dans les plus vaccinés. 

Même procédé pour le Portugal, qui enregistre beaucoup de cas mais a déjà vacciné plus de 90% de sa population. 


lol! lol! lol!
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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeVen 26 Aoû - 17:24

SANTE - Page 2 000110



https://www.francesoir.fr/societe-sante/chute-de-la-natalite-en-allemagne-et-en-suisse



Une chute de la natalité en Allemagne et en Suisse soulève de nombreuses questions
Auteur(s)
FranceSoir

Publié le 26 août 2022 - 





Le début de l’année 2022 est marqué par une brutale chute de la natalité en Allemagne et en Suisse. Lorsque l'on examine les chiffres, et qu’on les met en perspective avec ceux des années précédentes, on note une baisse significative des naissances pour les deux pays.

Que disent les statistiques officielles ?



Selon les résultats provisoires de l’office allemand de la statistique Statistisches Bundesamt (Destatis) pour l’année 2022, environ 285 800 enfants sont nés en Allemagne entre janvier et mai 2022. Lorsque l'on observe les chiffres des années 2019, 2020 et 2021 et en établissant une comparaison sur les mêmes mois, on note une diminution de 9 % des naissances. Une baisse particulièrement importante de janvier à avril (− 10 % selon des données encore incomplètes) qui se réduit cependant au mois de mai à - 3 %.
SANTE - Page 2 Forte%20baisse%20de%20la%20natalit%C3%A9%20en%20Allemagne%20au%20premier%20trimestre%202022
Il existe également des différences importantes entre l’Allemagne de l’Ouest, qui a accusé une diminution de 8 %, et celle de l’Allemagne de l’Est, plus élevée encore avec une baisse de 12,9 % (−12,5 % sans Berlin).
Lorsqu’on entre dans les détails, c'est le nombre de naissances du deuxième enfant qui accuse la plus forte baisse avec (− 11 %) des naissances. Pour le premier enfant, l’institut de la statistique affiche une baisse de 8,3 %, tandis que pour le troisième, ce chiffre est de - 6 %. 
De son côté, la Suisse accuse une diminution plus marquée encore puisque selon les chiffres de l’Office fédéral de la statistique (OFS), il y aurait 5 526 nouveau-nés de moins enregistrés par rapport à l’année précédente, ce qui équivaut à une baisse de 15,1 % des naissances.
SANTE - Page 2 Nombre%20de%20naissances%20vivantes%20par%20mois%20de%202015%20%C3%A0%202022
 
SANTE - Page 2 Modification%20du%20taux%20de%20natalit%C3%A9%20entre%202019%20et%202022


Comment interpréter ces chiffres ?



L'examen des chiffres de la natalité en Suisse ou en Allemagne pour l'année 2022, et la comparaison établie avec les données des années précédentes, fait apparaître une diminution spectaculaire et inédite des naissances.
À la lecture de ce qui est rapporté dans la très grande majorité des médias sur le sujet, on constate que les problèmes de fertilité rencontrés suite à l’infection par Sars-CoV-2, ou suite à la vaccination contre le covid, ne sont jamais envisagés comme des causes potentielles de chute de la natalité. Cependant, lorsqu’on regarde de plus près les périodes des premières vaccinations pour les personnes en âge de procréer (20 à 49 ans) en 2021, et la chute des naissances neuf mois plus tard, l'étrange correspondance qui en ressort interroge et mériterait certainement une investigation.
Cependant, lorsqu’un phénomène d’aussi grande ampleur que celui-ci se produit, il est toujours dangereux de lui attribuer une cause unique. Mais, il est également dangereux de ne pas l’envisager pour l'inclure dans les causes possibles de la baisse de la fertilité. 


Une étude anticipe la baisse de la population mondiale



D’après les dernières prévisions des Nations unies, la population mondiale pourrait atteindre les huit milliards d’êtres humains le 15 novembre prochain, et 10,4 milliards en 2100. Cette projection, loin de faire l'unanimité, est notamment contestée par James Pomeroy, un économiste de HSBC qui a rendu des prévisions très différentes dans son étude parue le 22 août 2022. Selon lui, la population mondiale pourrait être divisée par deux d'ici à 2100, un chiffre qu’il explique à la fois par la baisse de la natalité et la hausse de la mortalité due au vieillissement de la population.
« La probabilité que la taille de la population mondiale commence à se réduire dans les vingt prochaines années est bien plus élevée que ce que nous avions prévu initialement », a déclaré l’économiste, qui pense que le pic prévu vers 2080 par les Nations unies ne serait pas réel. Lui, le situe plutôt aux alentours de 2043. Dès lors, la décroissance commencerait plus tôt que prévu. 
Le taux de fécondité ne cesse de baisser. Dans les années 50, la fécondité moyenne de la population mondiale était de 5 enfants par femmes, un chiffre qui s’est effondré à 2,3 % de naissances par femmes en 2021 et qui pourrait encore baisser à 2,1 % d'ici à 2050, aboutissant à la stabilité de la population avant de chuter rapidement pour aboutir à 4 milliards d’habitants sur Terre d'ici à 2100.
Selon le rapport, cette baisse du taux de fécondité aurait de multiples causes. L’accès à la contraception, la hausse des prix de l’immobilier dans les pays développés ainsi que l’intégration des femmes au marché du travail sont autant de facteurs qui pourraient jouer en faveur de cette baisse mondiale du taux de natalité. Pour autant, la possibilité que l'infection par Sars-CoV-2 ou la vaccination contre le covid ait pu affecter la fécondité n’est jamais mentionnée dans le rapport.


L'action de la protéine Spike sur les organes reproducteurs



Parmi les effets induits par le SARS-CoV-2 ou par la protéine Spike vaccinale, on observe des atteintes au niveau des organes sexuels de la reproduction.
L'Étude israélienne
Une étude israélienne sur la baisse de la fertilité après la vaccination a démontré que l'injection du vaccin génique Pfizer altérait temporairement la fertilité, avec un retour à la normale possible, mais pas démontré après l'injection. En effet, lorsqu'on examine les données, on constate qu'au bout de six mois (T3), il y a encore une diminution de 15,9 % du niveau de la concentration en sperme tandis que le nombre total en spermatozoïde mobile (REM) accuse encore une baisse de 19,4 %.
On considère que la fertilité est altérée lorsque le nombre de spermatozoïdes mobile est en dessous de 40 %. Si la valeur normale se situe entre 40 et 81 %, une baisse de 19,4 % est susceptible de rendre infertiles toutes les personnes qui ont une moyenne en dessous de 60 %. 
Cette étude ayant été réalisée sur les donneurs vaccinés avec deux doses, on peut par ailleurs se demander quels pourraient être les conséquences des injections répétées tous les trois ou quatre mois, et ce qu'il en est pour les donneurs qui ont déjà reçu trois, quatre ou cinq doses. 
Les mécanismes biologiques
Comme l'explique le directeur de recherche au CNRS Jean-Marc Sabatier, ces attaques ont été rendues possibles par la très forte présence du récepteur cellulaire ECA2 au niveau des cellules des organes reproducteurs masculin et féminin, et reconnu par le Sars-CoV-2 qui lui sert de point de fixation. 
Lors d'une infection chez l'homme ou d'une inoculation d'un vaccin anti-SARS-CoV-2, il peut y avoir une altération des productions des hormones androgènes (dont la testostérone) et des spermatozoïdes via son action sur le système rénine-angiotensine (SRA) des organes reproducteur masculin. L'hormone angiotensine-2 est impliquée dans la régulation négative de la production de testostérone, et la régulation de la croissance testiculaire, tandis que le récepteur AT1R inhibe la spermatogénèse et la production de testostérone. 
Ainsi, chez les personnes infectées ou vaccinées, il a été rapporté des troubles de l’érection (dus à l’effet vasoconstricteur du récepteur AT1R suractivé), une diminution de la taille (atrophie) du pénis et des testicules, ainsi que des troubles de la libido (pour les deux sexes) qui sont les effets « visibles » de ces atteintes sexuelles induites par le dysfonctionnement du SRA. Les effets indésirables du SARS-CoV-2 ou de la Spike vaccinale sur la spermatogénèse et la production de testostérone peuvent affecter la fertilité masculine. En effet, l’importance du SRA dans la fertilité où l’infertilité a été largement démontrée à ce jour, aussi bien chez l’homme que chez la femme.
Chez la femme, le SRA ovarien (appelé OVRAS) joue un rôle clef dans la physiologie des ovaires et les maladies ovariennes associées. Il est nécessaire à une reproduction normale. Or, un dysfonctionnement du SRA ovarien potentiellement induit par le SARS-CoV-2 ou la protéine Spike vaccinale peut donc affecter la maturation et l’ovulation des ovocytes (altération du cycle menstruel), la production des hormones œstrogènes, et conduire à des dérèglements ou pathologies telles que l’infertilité, le cancer des ovaires, le syndrome des ovaires polykystiques, etc. La présence d’anticorps auto-immuns dirigés contre le récepteur AT1R peut se traduire par une infertilité.
Chez la femme, on peut ainsi observer (parallèlement aux autres pathologies Covid-19 potentielles) un dérèglement du cycle menstruel plus ou moins important et invalidant.


Citation :
Lire aussi : L'ANSM invite les femmes vaccinées souffrant de troubles menstruels à les signaler, "Où est mon cycle" s'en félicite


La protéine Spike (du virus SARS-CoV-2 ou vaccinale) peut agir directement sur l’endomètre et les vaisseaux sanguins associés et provoquer des troubles de la coagulation sanguine, dont la thrombocytopénie (baisse du nombre de plaquettes sanguines qui aident le sang à coaguler). Ceci est dû à un phénomène appelé hémophagocytose qui survient lors du syndrome d’activation macrophagique induit par le virus ou la protéine Spike vaccinale qui est directement responsable des troubles de la coagulation et menstruels parfois observés chez certaines personnes lors de l'infection au SARS-CoV-2 ou suite à une vaccination. Dans certains cas extrêmes, l’ablation de l’utérus (hystérectomie) a été nécessaire après une vaccination.


Citation :
Lire aussi : Les effets délétères associés au virus SARS-CoV-2 ou induits par les vaccins: Jean-Marc Sabatier
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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeMer 17 Aoû - 16:24

Les panneaux antivax se multiplient à Toulouse

Mardi 16 août 2022 à 19:46 - 
Par Manon KleinFrance Bleu OccitanieFrance Bleu


Toulouse

De nouvelles affiches qui dénoncent les prétendus dangers du vaccin contre le Covid-19 viennent de faire leur apparition à Toulouse. On en compterait environ neuf selon la mairie de Toulouse. Certains professionnels de santé s'indignent que de tels panneaux puissent être visibles en pleine rue.

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L'un des panneaux antivax, ici dans le quartier des Trois Cocus :copyright: Radio France - Alexandre Vau


Le message est sans ambiguïté : les vaccins contre le Covid seraient dangereux. Un message qui s'affiche sur environ neuf panneaux différents à Toulouse. C'est la mairie qui avance ce chiffre, d'après plusieurs remontées de terrain. France Bleu Occitanie est en mesure de confirmer l'existence de deux d'entre eux. Le premier est apparu dès le mois de juillet, sur le boulevard de l'Embouchure, aux Minimes, près du commissariat central. Un autre est visible depuis peu dans le quartier des Trois Cocus. 


Des messages qui interpellent, qui choquent certains, mais qui sont pourtant légaux.
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Le premier message antivax est apparu boulevard de l'Embouchure, près de cet immeuble :copyright: Radio France - Manon Klein

Un affichage légal ?

Le service juridique de la mairie de Toulouse s'est bien penché sur la question, pour trouver un moyen de faire retirer ces affiches, en vain. En effet, qu'elles se trouvent sur le domaine public ou non, elles ne peuvent être retirées que si elles provoquent un trouble à l'ordre public, ce qui pour le moment ne serait pas le cas selon la municipalité. 
C'est une société privée, basée en Meurthe-et-Moselle, qui possède les panneaux où sont affichés ces messages. Le fait que ces panneaux soit de propriété privée laisse peu de marge de manœuvre à la mairie, selon cette dernière.
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Les panneaux appartiennent à une société privée :copyright: Radio France - Alexandre Vau


Des médecins indignés

On ne sait pas qui a financé cette campagne d'affichage antivax, mais les messages sont signés notamment du collectif "Réinfocovid", et du "conseil scientifique indépendant". Ils font bondir notamment les professionnels de santé, comme le docteur Jérôme Marty, installé à Fronton et président du syndicat Union française pour une médecine libre. "Ça me choque venant d'une association, en l'occurrence Réinfocovid, qui présente des dérives sectaires depuis plusieurs mois, qui épouse les théories QAnon [mouvement complotiste américain, né sur internet, qui s'est ensuite en partie politisé en soutenant notamment Donald Trump] et qui ne cesse de participer à la manipulation autour de cette vaccination, qui fait courir des risques à un certain nombre de personnes qui, écoutant cela, pourraient ne pas se vacciner ou cesser de participer à la campagne vaccinale" déplore le médecin généraliste.


Le docteur Jérôme Marty appelle à un changement de la législation, pour interdire la promotion de ce type de message antivax. "De la même façon que l'on demande depuis plusieurs mois  qu'il y ait une loi sur la diffusion de fake news en ce qui concerne la science", complète le président du syndicat Union française pour une médecine libre.


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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeMar 26 Juil - 8:28

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Quels effets du vaccin sur les hormones féminines ?
  • 21 juillet 2022


Aux Etats-Unis, une nouvelle étude a mis en lumière les effets des vaccins Covid-19 sur les cycles menstruels et les hormones féminines. Les troubles menstruels après les injections anti-Covid seraient provoqués par l’augmentation des voies inflammatoires liées à l’immunité.

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Depuis le lancement de la campagne vaccinale, différents cas d’effets secondaires ont été signalés. Les troubles menstruels comme des saignements anormaux, aménorrhées ou retards de règles en font partie. Ils ont touché des milliers de femmes qui venaient de recevoir la première ou la seconde injection de vaccin. Une nouvelle étude indique que les vaccins COVID-19 ont eu un impact sur les règles, en particulier chez les femmes qui n’en ont pas habituellement en raison de contraceptifs à longue durée d’action, de traitements hormonaux ou de la ménopause.

Des changements hormonaux liés à l’augmentation des voies inflammatoires

Cette étude de l’Université de Tulane a été réalisée en 2021 en pleine campagne de vaccination. A l’époque, de nombreuses femmes auraient commencé à signaler des cas de troubles menstruels post-vaccination. L”échantillon étudié est composé de femmes pré et post-ménopausées.
Pour Katharine Lee, professeur adjoint d’anthropologie à la Tulane University School of Libertal Arts, auteur de l’étude,  cette enquête était basée sur des expériences autodéclarées, elle ne peut pas établir de lien de causalité ni être considérée comme prédictive. Néanmoins, à travers cette étude, elle et son équipe avaient pour objectif de réaffirmer l’efficacité des vaccins contre le Covid-19 grave.
Selon la co-auteur principale Kathryn Clancy, professeur d’anthropologie à l’Université de l’IllinoisUrbana-Champaign, d’autres vaccins contre la typhoïde, l’hépatite B et le VPH sont parfois associés à des changements dans les menstruations.
Les analyses menées ont alors dévoilé que ces troubles menstruels seraient surtout provoqués par l’augmentation des voies inflammatoires liées à l’immunité et non aux changements hormonaux. Autrement dit, les vaccins Covid-19 n’auraient aucun effet sur les hormones féminines.

Des symptômes de courte durée mais intrigantes

Selon l’enquête menée par les chercheurs, 42% des femmes interrogées ont présenté des troubles menstruels après vaccination. Il s’agissait notamment de saignements abondants. Ces symptômes concernent pour la plupart les femmes ménopausées. D’autres participantes à l’étude n’ont pas eu leurs règles.
Selon le Pr Lee, la plupart des cas de troubles menstruels associés à la vaccination sont de courte durée. Ainsi, les victimes devront juste consulter leurs médecins afin de bénéficier de soins supplémentaires. Même conseil que l’ANSM, qui recommandait aux professionnels d’adopter certaines mesures face aux cas de troubles menstruels post-vaccination.
Cela dit, Lee pense que « les futurs protocoles de test des vaccins » devront inclure des études concernant l’impact de la vaccination sur les menstruations. Ces cas de perturbations des règles touchant des milliers de femmes semblent susciter plus d’inquiétude que ne veulent bien le montrer les discours officiels.
Dans The Telegraph, Caroline Criado-Perez, militante féministe, auteur de « Invisible Women », avait dénoncé le fait que: « Comme pour la plupart des études cliniques, les essais de vaccins Covid-19 n’ont pas étudié les effets du cycle menstruel – en fait, dans de nombreux essais, les femmes sont totalement exclues ».
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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeMar 5 Juil - 16:25

Qui est François Braun, le nouveau ministre de la Santé ?







Par Louise Ginies  Le 04 juil 2022 à 12h44
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Médecin urgentiste et président du syndicat Samu-Urgences de France, le docteur François Braun remplace Brigitte Bourguignon au ministère de la Santé, évincée après sa défaite aux élections législatives.



Après avoir remis les conclusions d’une "mission flash" sur l’état des services d’urgence en France la semaine dernière, le médecin urgentiste François Braun a été nommé ministre de la Santé ce lundi 4 juillet. Il succède à Brigitte Bourguignon dans un contexte tendu, en pleine crise de l’hôpital et alors que de nombreux hôpitaux craignent des fermetures en raison du manque de soignants cet été.


Pour son nouveau gouvernement, la Première ministre a cette fois privilégié un profil issu de la société civile et non de la classe politique. François Braun est un hospitalier, patron du SAMU de Moselle et chef du pôle urgences au CHU de Metz-Thionville. Il est aussi le président de Samu-Urgences de France, le premier syndicat d’urgentistes du pays.



Agé de 59 ans, il était aussi le référent "santé" du candidat Emmanuel Macron pendant la campagne présidentielle, l’aidant à élaborer son programme en matière de santé.



Rapport Braun : une "mission flash" pour réguler l’accès aux urgences


Le 30 juin dernier, François Braun a rendu à la Première ministre les conclusions d’une "mission flash" confiée par le président lui-même afin d’essayer de limiter les dégâts dans les hôpitaux cet été. Parmi les 41 propositions rédigées sur 60 pages figure notamment l’amélioration de l’orientation et de l’information des patients, en incitant la population à appeler le SAMU en cas de problème plutôt que de se rendre directement aux urgences. Un autre volet du rapport Braun concerne la médecine libérale et veut inciter les médecins de ville à la prise en charge de malades qui ne sont habituellement pas dans leur clientèle, avec une majoration de 15 euros des consultations pour des patients envoyés par le 15.
Il est également l’un des fondateurs et des fervents défenseurs du SAS, le "service d’accès aux soins" visant à mieux associer la médecine générale et les SAMU afin de désengorger les urgences.

Une personnalité contestée


François Braun et ses pratiques ne font néanmoins pas l’unanimité au sein du monde médical. L’Association des médecins urgentistes de France s’oppose déjà à la mesure visant à prendre en charge les patients au téléphone plutôt qu’aux urgences, dénonçant une "rupture de service public qui va mettre la population en danger".
Dans un portrait que lui a consacré le journal Marianne en juin, il est décrit comme "sans états d’âme", "plutôt du côté de la direction de l’hôpital et des gouvernants que de celui des soignants sur le terrain". "Les urgences ici sont en piteux état. Je vois mal comment il va gérer des solutions à l’échelle nationale alors qu’au niveau local il ne s’en sort pas", rajoute Patricia Schneider, représentante du syndicat Sud-Santé-Sociaux.
En 2020, il s’était notamment fait connaître au moment de la crise du Covid-19, en organisant des transferts de patients en TGV médicalisés partant du Grand-Est en direction de la côte Atlantique et en hélicoptère en direction de l’Allemagne.
Lire aussi :



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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeMar 5 Juil - 9:31

Nous subissons 30 ans de mauvaise gestion, de gaspillage, de favoritisme, de non concurrence entre médecins par appât du gain grace au numerus clausus ...  




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Pourquoi les déserts médicaux s’étendent-ils ?  






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Après une augmentation de 75 % en 20 ans, le nombre de médecins en activité n’a ensuite progressé que de 9 % depuis le début des années 2000. Au 1 er janvier 2021, 214 000 médecins exerçaient en France, contre 196 000 en 2001.

Au global, la densité médicale n’a donc diminué que légèrement, passant de 335 médecins pour 100 000 habitants en 2001 à 318/100000 en 2021. Mais sur la même période la population âgée de plus de 75 ans a augmenté de 2,4 millions.

« Vous avez une population qui vieillit, une société française qui s’est beaucoup médicalisée. Donc la demande en soins a augmenté plus vite que l’offre », analyse Frédéric Pierru. Et la densité médicale souffre de fortes disparités régionales, de 241/100000 en Centre-Val de Loire à 377/100000 en PACA.

« Une politique purement budgétaire »

Et surtout, le nombre total de médecins ne se maintient que par l’augmentation du nombre de spécialistes, + 6,4 % depuis 2012 selon la DREES, qui la relie « à l’arrivée importante de médecins à diplôme étranger ». Le nombre de généralistes a, lui, chuté de 5,6 % sur la même période et même de 7 % depuis 2016 dans les Hauts-de-France, selon la Fédération hospitalière de France (FHF).

Une évolution à mettre en parallèle avec celle du numerus clausus. Instauré en 1971 pour limiter l’entrée dans les études médicales à environ 8 500 places par an, il a ensuite diminué fortement jusqu’en 1993 où il a atteint 3 500 places par an.

« Le numerus clausus, c’est une politique purement budgétaire. Moins de médecins, c’est moins de prescripteurs et donc moins de dépenses », estime Frédéric Pierru qui rappelle que « les médecins libéraux y étaient favorables puisque moins de médecins, c’est aussi moins de concurrents et donc plus de revenus ». « Il y a eu une espèce d’alliance dans les années 90 autour de cette gestion malthusienne de la démographie médicale et c’est ça qui pose problème aujourd’hui », analyse-t-il.

Rehaussé dans les années 2000, le numerus clausus a été officiellement supprimé en 2020. « Un effet de communication politique » selon le chercheur, puisque « les capacités de formation sont hypercontraintes ». De fait, l’augmentation du nombre de places reste modérée : on en comptait 11 180 en 2021 contre 9 300 l’année précédente.


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La faute aux déserts médicaux ? Pas uniquement répond le chercheur, qui pointe aussi « la suppression en 2002 de l’obligation de garde des médecins libéraux ». « La cause fondamentale de la crise de l’hôpital, c’est le laxisme dont a bénéficié la médecine de ville pendant que l’hôpital subissait des oukases budgétaires. » Allusion  notamment à la « liberté d’installation » et aux « dépassements d’honoraires » des médecins libéraux.
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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeLun 27 Juin - 11:19

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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeVen 24 Juin - 10:00

COVID : quand l’OMS croit très très fort à l’accident de laboratoire





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L'origine naturelle du COVID (voir sur ce point l'excellent article de Laurent Aventin dans nos colonnes) fait partie des fables modernes au moins aussi drôlatiques que la balle du tueur solitaire qui aurait touché sept fois de suite John Kennedy à Dallas. Encore faut-il prouver que cette hypothèse véhiculée par le cartel de la presse subventionnée et achetée par Big Pharma ne tient pas. Le Daily Mail vient, en anglais, d'apporter une nouvelle pierre à l'édifice en révélant les propos tenus en privé par le docteur Tedros, directeur général de l'OMS. Ceux-ci sont sans ambiguïté sur l'origine humaine de la pandémie. Nous vous proposons une traduction de l'article en question.



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Voici l’article du Daily Mail, traduit en français :

Citation :
Le chef de l’Organisation mondiale de la santé confie en privé que la pandémie de Covid a commencé à la suite d’une fuite d’un laboratoire chinois, selon une source gouvernementale de haut rang.

Alors que publiquement le groupe soutient que ‘toutes les hypothèses restent sur la table’ sur les origines du Covid, la source précise que Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), avait récemment confié à un haut responsable politique européen que le plus l’explication probable était un accident catastrophique dans un laboratoire de Wuhan, où les infections se sont propagées pour la première fois fin 2019.

Le Mail on Sunday a d’abord révélé des inquiétudes au sein des services de renseignement occidentaux concernant l’Institut de virologie de Wuhan, où des scientifiques manipulaient des coronavirus prélevés sur des chauves-souris dans des grottes à près de 1 000 miles de distance – les mêmes grottes où Covid-19 est soupçonné d’être originaire – en avril 2020. On estime désormais que le nombre de morts dans le monde dû à la pandémie de Covid a atteint plus de 18 millions.
L’OMS a d’abord été critiquée pour son approche déférente envers la Chine face à la pandémie, ainsi que pour sa volonté d’accepter les protestations de Pékin selon lesquelles les allégations d’une fuite de laboratoire n’étaient qu’une ‘théorie du complot’.

Cependant, en l’absence de toute preuve convaincante de propagation «zoonotique» – le processus par lequel un virus passe des animaux aux humains – elle adopte maintenant une position publique plus neutre.

Le Dr Tedros a informé les États membres de la pandémie ce mois-ci, admettant: «Nous n’avons pas encore de réponses quant à son origine ni à la manière dont elle est entrée dans la population humaine.

«Comprendre les origines du virus est très important sur le plan scientifique pour prévenir de futures épidémies et pandémies.

«Mais moralement, nous le devons aussi à tous ceux qui ont souffert et sont morts et à leurs familles. Plus cela prend de temps, plus cela devient difficile. Nous devons accélérer et agir avec un sentiment d’urgence.

«Toutes les hypothèses doivent rester sur la table jusqu’à ce que nous ayons des preuves qui nous permettent d’écarter certaines hypothèses. Cela rend d’autant plus urgent que ce travail scientifique soit séparé de la politique. Le moyen d’empêcher la politisation est que les pays partagent des données et des échantillons avec transparence et sans ingérence d’aucun gouvernement. La seule façon dont ce travail scientifique peut progresser avec succès est avec la pleine collaboration de tous les pays, y compris la Chine, où les premiers cas de SRAS-CoV-2 ont été signalés.
Le gouvernement britannique a adopté une approche prudente pour donner un blâme sur le Covid – quelque chose que les sceptiques chinois attribuent à la peur d’offenser Pékin.

Cependant, les services de renseignement américains ont placé le laboratoire secret de Wuhan au centre de leur analyse.

L’ancien secrétaire d’État américain Mike Pompeo a affirmé que les travailleurs de l’institut étaient tombés malades avec des symptômes de type Covid à l’automne 2019 – des semaines avant que l’alarme ne soit déclenchée, et a déclaré que dans le cadre de projets militaires, ses scientifiques expérimentaient un coronavirus de chauve-souris très similaire à celui qui cause le Covid.

Un porte-parole de l’OMS a déclaré: ‘Le Dr Tedros n’a cessé de dire que toutes les hypothèses restent sur la table alors que les scientifiques poursuivent leurs travaux.’

Voilà une information cash qui tranche avec le gloubi-boulga ambiant dans le cartel de la presse subventionnée en France.
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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeVen 27 Mai - 7:03




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Vaccination contre le Covid-19 : qui sont les 17 000 enfants de moins de 12 ans déjà vaccinés en France ?


Contrairement aux Etats-Unis ou à Israël, la France n’a pas ouvert la vaccination aux jeunes enfants. Pourtant, les exceptions se multiplient, avec des justifications diverses.


Par Raphaëlle Aubert
Publié le 23 novembre 2021 


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Un enfant de 8 ans reçoit une dose de vaccin contre le Covid-19 à Chapel Hill, en Caroline du Nord, le 4 novembre 2021. 
GERRY BROOME / AP

L’élargissement de la vaccination contre le Covid-19 aux enfants de moins de 12 ans fait débat en France, mais près de 22 600 d’entre eux ont déjà reçu au moins une dose de vaccin. Au 18 novembre, ils sont 17 199 à être complètement vaccinés et 110 à avoir bénéficié d’un rappel. Le fichier « Vaccin Covid », qui permet de suivre la progression de la vaccination, recense deux premières injections sur des tout-petits dès le 27 décembre 2020.

Ces données, mises à jour quotidiennement par Santé publique France (SPF), peuvent surprendre car, contrairement aux Etats-Unis ou à Israël, la France n’autorise pas, pour l’heure, la vaccination des enfants.

La vaccination des plus jeunes a fortement progressé à partir de la mi-juin
Nombre d'enfants de moins de 12 ans vaccinés en France par date d'injection, au 18 novembre 2021.

SANTE - Page 2 Captu601
Source : Santé publique France

  • Une très grande majorité proche des 12 ans




Pour comprendre l’origine de ces 22 600 exceptions, il faut prendre en compte les risques d’erreurs de saisie, marginales, mais qui peuvent donner lieu à une légère surévaluation de ces cumuls encore très faibles – toutes classes d’âges confondues, plus de 50 millions de personnes sont aujourd’hui complètement vaccinées en France.



Une analyse plus fine des chiffres recensés par l’agence montre que près de 80 % des vaccinations complètes des plus jeunes concernent des enfants âgés de 10 et 11 ans. « Ce sont probablement des enfants dans leur onzième ou douzième année, qui ont été vaccinés dès la sortie des recommandations de vaccination chez les adolescents », interprète Isabelle Parent du Châtelet, épidémiologiste, responsable de l’unité infections respiratoires et vaccination de SPF.

Le nombre d’injections augmente en effet de manière plus significative à partir du 15 juin, date à laquelle les adolescents de 12 à 17 ans sont devenus éligibles à la vaccination. Par ailleurs, le 30 septembre, le passe sanitaire est devenu obligatoire pour les enfants âgés d’au moins 12 ans et deux mois, ce qui peut expliquer une anticipation des vaccinations pour les enfants approchant cet âge.

La plupart des enfants concernés ont plus de 10 ansSANTE - Page 2 Captu602

Source : Santé publique France

  • Certains enfants vulnérables bénéficient du vaccin




Faute d’une autorisation pour vacciner les moins de 12 ans, certains pédiatres ont pris la responsabilité, après concertation avec les parents, d’immuniser leurs jeunes patients les plus susceptibles de contracter une forme grave de la maladie.
Lire le décryptage : Faut-il vacciner les enfants de moins de 12 ans ? Le point sur ce que l’on sait des bénéfices et des risques
Pour les enfants en bonne santé, le SARS-CoV-2 représente, en général, une menace mineure. Le bénéfice individuel de la vaccination reste modeste et le manque d’études portant sur ses effets indésirables pour cette classe d’âge ne permet pas encore de déterminer un rapport bénéfices-risques de manière satisfaisante.



« Mais dans le cas de porteurs de maladies chroniques, le débat sur la balance bénéfices-risques chez l’enfant ne tient plus, puisque le bénéfice est largement supérieur aux effets secondaires du vaccin, explique Christèle Gras-Le Guen, présidente de la Société française de pédiatrie. Ces enfants ont été vaccinés sans hésitation. »

Les sociétés savantes de pédiatrie se sont concertées pour identifier les patients à protéger en priorité. Parmi eux, des enfants souffrant de pathologies sous-jacentes très sévères, des déficits immunitaires primitifs, mais aussi des transplantés comme les greffés cardiaques, ou encore des patients en dialyse.

  • Des cas minimes de vaccination de l’entourage




Pour protéger les populations les plus vulnérables, les praticiens peuvent aussi préconiser une immunisation de leurs proches. « Il est possible qu’il y ait eu de jeunes enfants vaccinés autour d’enfants qu’on ne pouvait pas vacciner eux-mêmes, à cause de déficits immunitaires ou de maladies du système immunitaire », détaille Mme Gras-Le Guen. Une stratégie encouragée par l’Académie de médecine dans son avis du 17 novembre.



L’Agence européenne des médicaments examine en ce moment les demandes d’autorisation de vaccination des enfants de 5 à 11 ans pour l’Europe. « Nous attendons de voir les études sortir, de manière à pouvoir revenir à un cadre plus classique de prescription », s’impatiente la professeure.

Jusqu’à présent, les travaux des laboratoires portent sur des échantillons, a priori insuffisants, d’un millier d’enfants vaccinés environ. « Aujourd’hui, on n’a pas eu d’effet secondaire majeur rapporté, ni de mauvaise tolérance sur ces enfants qui ont été vaccinés, mais le niveau d’information reste insuffisant », rapporte Mme Gras-Le Guen.

Dans les services de pédiatrie, où « les vaccinations ont été faites un peu dans l’urgence pour protéger les enfants », un registre nommé COV-Popart se met en place. Il devrait permettre de recueillir dans un format homogène les informations sur la vaccination des enfants de moins de 12 ans, notamment ceux souffrant de comorbidités.


Raphaëlle Aubert
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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeMer 25 Mai - 8:25

DÉVELOPPER LA SANTÉ À DOMICILE : UNE URGENCE VITALE


écrit par Philbert Carbon 24 mai 2022
SANTE - Page 2 Pexels-andrea-piacquadio-3814571-1170x785
Les confinements décidés lors des pics épidémiques du covid et le scandale des Ehpad Orpea ont eu pour bénéfice de faire resurgir la question du maintien à domicile des personnes âgées.


On a ainsi pu découvrir l’exemple néerlandais où les maisons de retraite n’existent plus depuis que le gouvernement, à la fin des années 1990, s’est inquiété de leurs coûts toujours croissants pour un service qui ne donnait pas toujours satisfaction. 
Les premiers opposants à ces maisons de retraite étaient d’ailleurs les personnes âgées elles-mêmes, de plus en plus nombreuses à vouloir rester chez elles.
 Le maintien à domicile est donc devenu la règle et la dernière maison de retraite des Pays-Bas a fermé ses portes en 2015. Les soins sont depuis prodigués par un personnel soignant attaché au quartier, de la vérification de la prise des médicaments à la rééducation post-opératoire en passant par l’alimentation par sonde, etc. Si toutefois la perte d’autonomie devient importante, les personnes sont admises dans une maison de soins.

Le maintien à domicile coûte moins cher

Ce système a de nombreux avantages dont le premier est que les personnes âgées, davantage actives, dont le moral est bien meilleur chez elles et dans leur quartier, restent plus longtemps en bonne santé ; et pour des coûts moindres. Cela dit, il n’est pas pour autant la panacée puisque certains seniors peuvent souffrir de solitude, voire d’isolement, et préférer alors rejoindre des structures collectives.
Bien sûr, en France, toutes les personnes âgées ne sont pas en Ehpad et la plupart d’entre elles continuent à vivre chez elles. Néanmoins, comme l’indiquait le rapport Libault de 2019, 21 % des plus de 85 ans vivaient en institution en France en 2011, soit le double qu’au Danemark.
Le rapport mettait également en avant que si les dépenses françaises de protection sociale sont les plus élevées de l’Union européenne avec 34,3 % du PIB, elles sont structurées différemment de celles des Pays-Bas, du Danemark et de la Suède. La France dépense 2 à 3 points de PIB de plus que ces trois pays pour les retraites, 2 à 3 points de plus pour la santé et 1 à 2 points de moins pour la perte d’autonomie.
Ce qui vaut pour les seniors vaut également pour le reste de la population française en ce qui concerne les soins ambulatoires, c’est-à-dire ceux qui sont effectués dans la journée à l’hôpital ainsi que ceux qui sont dispensés au domicile du patient, en remplacement d’une hospitalisation. Ils sont bénéfiques à plus d’un titre : rétablissement plus rapide des patients, réduction des risques de complications, notamment des infections nosocomiales, coûts allégés pour les établissements hospitaliers, dépenses moindres pour l’Assurance maladie, réduction de la durée des arrêts de travail, etc.

L’ambulatoire est insuffisamment développé

L’ambulatoire s’est développé en France à partir des années 1970 et a progressé constamment jusqu’à aujourd’hui, du moins en chirurgie où il représente 54 % des interventions (chiffre de 2016). En revanche, il stagne en médecine où seules 40 % des interventions éligibles – par exemple les séances de dialyse, de radiothérapie, de chimiothérapie – se déroulent en ambulatoire.
Dans les pays anglo-saxons et scandinaves, le taux de recours à l’ambulatoire approche 80 %. Il est même de 90 % pour les actes chirurgicaux en Suède et au Danemark.
La France semble cependant vouloir rattraper son retard. La stratégie nationale de santé a pour objectif de porter le taux de recours à l’ambulatoire à 70 % en chirurgie et 55 % en médecine d’ici la fin de l’année 2022.
Si les soins à domicile se développent insuffisamment en France, c’est peut-être dû à la multiplicité des acteurs, la plupart du temps farouchement indépendants les uns des autres et manquant de coordination.
Parmi ces acteurs, on trouve bien entendu l’hôpital (ou la clinique), puis les établissements d’hospitalisation à domicile (HAD), les services de soins infirmiers à domicile (SSIAD), les professionnels de santé libéraux (médecins, infirmiers, kinésithérapeutes, etc.). Il convient d’ajouter les services d’aide à domicile (de la garde de nuit au portage des repas, en passant par l’auxiliaire de vie ou l’aide-ménagère). Enfin, dernier acteur, peu connu, les prestataires de santé à domicile (PSAD) qui interviennent, par exemple, dans le domaine respiratoire (traitement de l’apnée du sommeil, oxygénothérapie…), pour l’insulinothérapie, pour la fourniture d’équipements (lits médicaux, fauteuils roulants…), pour la nutrition artificielle, etc.

Les propositions des prestataires de santé à domicile

Ces prestataires emploient 32 000 salariés et accompagnent 2,5 millions de patients. A l’occasion de l’élection présidentielle, la fédération des PSAD a publié quelques propositions à l’adresse des candidats. Celles-ci peuvent être regroupées en trois thèmes : 1) accélérer les prises en charge à domicile, 2) accompagner la transition numérique du système de santé, 3) repenser le financement de la santé et des modalités de régulation des dépenses.
Sur le premier sujet, on ne sera pas surpris que les PSAD veuillent jouer un plus grand rôle à l’avenir et l’on acquiesce aisément aux propositions visant à s’appuyer sur eux pour renforcer la coordination ville-hôpital et ainsi faciliter les parcours de soins ; à clarifier les rôles et responsabilités de chacun des acteurs de la santé à domicile (quoiqu’il semblerait plus judicieux de faciliter une forme de regroupement et de mutualisation de leurs services) ; à développer et valoriser financièrement les actions de prévention à domicile ; ou encore à leur ouvrir, ainsi qu’aux professionnels de ville, de nouvelles activités à domicile.
S’agissant de la transition numérique, les PSAD souhaitent être pleinement intégrés dans le projet d’Espace numérique en Santé, avoir accès aux données produites par les dispositifs médicaux (open data) pour améliorer la prise en charge des malades, participer au déploiement de la télésurveillance.
En revanche, sur la question du financement de la santé, les propositions de la fédération des PSAD s’inscrivent, nous semble-t-il, trop facilement dans ce qui existe déjà. On aurait aimé davantage de créativité et d’innovation, on aurait par exemple apprécié qu’elles incluent la mise en concurrence de l’Assurance maladie comme le préconise Jean-Charles Samuelian-Werve, le fondateur d’Alan, ainsi que l’IREF. On aurait applaudi à un peu plus d’audace, comme une défense de la retraite par capitalisation. Car c’est notamment grâce à ce système que, par exemple, les Pays-Bas servent des retraites plus avantageuses que la France (pour un coût deux fois moindre) permettant aux seniors de s’offrir des prestations à domicile de qualité.
Espérons enfin qu’Elisabeth Borne ne donne pas suite à l’une des propositions les plus mauvaises des PSAD : créer un secrétariat d’État de la santé à domicile dont l’une des premières missions pourrait être d’organiser un Ségur de la santé à domicile.
Suggérons plutôt aux PSAD de prendre l’initiative d’un Charenton de la santé à domicile – la fédération a son siège rue de Charenton à Paris – avec les autres acteurs favorables à une évolution du système actuel, sans attendre qu’un hypothétique secrétariat d’État, de toute façon prisonnier d’une administration de la santé rétive à tout changement structurel et méfiante vis-à-vis des entreprises (qui représentent 2/3 des PSAD, le troisième tiers étant constitué d’associations), veuille bien organiser un simulacre de concertation.
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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeDim 15 Mai - 8:26

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Dépakine : Sanofi condamné pour manque d’informations sur la notice  





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C’est seulement en 2006 que la notice déconseillera la Dépakine pendant la grossesse.

 Photo Philippe Pauchet

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FRANCE.
Le groupe français Sanofi a été condamné jeudi par le tribunal de Nanterre à indemniser à hauteur de 450 000 euros une famille dont la fille, exposée à la Dépakine in utero, est née avec des malformations. Le tribunal a estimé que le risque de troubles autistiques en lien avec la Dépakine était connu du laboratoire, au moins en 2005, et qu’en conséquence il avait le devoir de le mentionner dans la notice.

La mère, suivie pour des crises d’épilepsie, a pris ce médicament depuis 1982. En 2004, au cours de sa grossesse, elle prenait quatre comprimés par jour.

RETARDS DE DÉVELOPPEMENT

À l’âge de sept mois, sa fille a été hospitalisée pour une bronchiolite. Il a alors été noté un « retard d’acquisitions global ». Des retards de développement psychomoteurs ont été ensuite observés durant toute son enfance. En 2016, ses parents ont assigné Sanofi devant la justice.

Utilisé depuis 1967 dans le traitement de l’épilepsie et des troubles bipolaires, le valproate de sodium (principe actif de la Dépakine) augmente le risque de malformations physiques (absence de fermeture de la colonne vertébrale, anomalies cardiovasculaires…) et de troubles neuro-développementaux (retard de langage, troubles du spectre de l’autisme…) chez les enfants exposés dans le ventre de leur mère.

« Cette décision de condamnation du laboratoire marque un tournant pour la reconnaissance individuelle de chacun des enfants exposés à la Dépakine », a réagi l’avocat de la famille, M e Joseph-Oudin, appelant le groupe à « changer de comportement dans toutes les procédures ». Le laboratoire « doit désormais se ranger à la raison et prendre en charge dignement les familles durement touchées » par le médicament.

À Nanterre, ce dossier est le premier d’une longue série à être jugé au fond. En tout, le tribunal est saisi de 23 dossiers dont un regroupant 272 demandeurs.


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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeLun 18 Avr - 7:57

UN  GRAND FIASCO DE MACRON: 

LA SANTE 


SANTE - Page 2 00015SANTE - Page 2 00015



https://lvsl.fr/comment-macron-a-sacrifie-la-sante-des-francais/


----------Lex-ministre de la Santé, Agnès Buzyn, a été mise en examen pour "mise en danger de la vie d'autrui" à l'issue de son audition par des magistrats de la Cour de justice de la République (CJR). Première personnalité mise en cause dans l'enquête sur la gestion du Covid-19 - responsable de 115 000 morts en France -, les plaignants lui reprochent son inaction ou d'avoir menti sur l'utilité des masques dans le seul objectif d'en dissimuler la pénurie. Au total, seize plaintes ont été jugées recevables sur plus de 14 000 déposées. Ailleurs dans le monde, les décisions prises par certains dirigeants lors de la pandémie mondiale sont, elles aussi, scrutées à la loupe. 


------------LES HOPITAUX


                                   SANTE - Page 2 FGPEtbUWUAAYhFP?format=jpg&name=900x900


Ces chiffres, largement repris par les médias, sont issus de la Statistique annuelle des établissements de santé (SAE), une enquête administrative «exhaustive» et «obligatoire» réalisée chaque année par la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees). A cette occasion, l’ensemble des établissements de santé français (publics, privés à but non lucratif, et privés à but lucratif) sont sollicités pour fournir «des informations sur leur activité, leurs capacités, leurs équipements, et leurs personnels médicaux et non médicaux».







LA SANTÉ SOUS MACRON : UN BILAN CATASTROPHIQUE, QUI NE SE RÉSUME PAS À LA PÉRIODE DE LA CRISE SANITAIRE

Force est de constater que les deux premières années du dernier quinquennat ont contribué à affaiblir notre système de santé publique. Ce bilan repose sur trois principales défaillances : la poursuite du démantèlement de l’hôpital public, la détérioration des conditions de travail des soignants, ainsi que les difficultés accrues d’accès aux soins pour les citoyens.

FACE À LA CRISE, UN « CHEF DE GUERRE » QUI CONTINUE DE DÉSARMER SES SOLDATS

Emmanuel Macron nous l’a répété ad nauseam : face au virus, nous étions « en guerre ». Et pour mener cette guerre à ses côtés, en pleine crise hospitalière, il a fait le choix de nommer Jean Castex comme Premier ministre, à la suite de la démission d’Édouard Philippe. Si les médias se sont empressés – sans doute à raison – d’y voir l’influence de Nicolas Sarkozy sur l’actuel locataire de l’Élysée, ce choix était également révélateur du programme macronien en matière d’hôpital public. 
[size=30]La suppression de 5 700 lits d’hospitalisation en pleine épidémie […] invite à relativiser « l’effort de guerre » et le « quoiqu’il en coûte ».[/size]

UN RENIEMENT HISTORIQUE DES PRINCIPES DE SANTÉ PUBLIQUE, AU DÉTRIMENT DE CELLE DES FRANÇAIS

Par-delà le démantèlement de l’hôpital, c’est le principe même de santé publique qui a été sérieusement ébranlé par la gestion gouvernementale de la crise sanitaire. S’il était presque impossible, en mars 2020, de mettre sérieusement en cause les décisions prises par l’Élysée, dans un contexte d’urgence sanitaire inédit, nul ne peut ignorer la dimension idéologique de celles-ci. Des choix politiques ont été faits. L’application uniforme des restrictions sanitaires sur l’ensemble de la population, d’une part, sans prise en compte des inégalités géographiques, économiques et de santé préexistantes. Une enquête publiée par la Drees en juillet 2020 permettait déjà d’identifier les principaux facteurs de vulnérabilité face au virus : présence de comorbidités aggravantes (obésité et diabète entre autres), forte exposition à la contamination (sur le lieu de vie ou de travail), difficultés d’accès aux soins.
[size=30]Après avoir savamment dilapidé l’hôpital et poussé une grande partie du pays dans la précarité, Macron faisait, malgré lui, le constat de son impuissance politique.[/size]

UNE GESTION DE CRISE CONFIÉE AUX CABINETS DE CONSEIL PRIVÉS AU DÉTRIMENT DE L’EXPERTISE MÉDICALE

La révélation récente de la place donnée aux cabinets de conseil privés – notamment l’américain McKinsey – dans la gestion de crise, et de l’instrumentalisation de l’expertise médicale à des fins politiques, illustre bien le cynisme du gouvernement, dont la principale bataille a été celle de l’opinion. Ainsi émancipé des avis du Conseil scientifique avec une décomplexion désarmante, Emmanuel Macron pouvait laisser libre cours à sa posture de savant et de politique. Les médias eux-mêmes ne pouvaient que souligner « comment l’entourage d’Emmanuel Macron met[tait] en scène un président qui serait devenu épidémiologiste ».
Une plainte contre les cabinets McKinsey, JLL France et Citwell pour « détournement de fonds publics, favoritisme, corruption et prise illégale d’intérêts » a d’ailleurs été déposée début avril 2022 par l’association Coeur vide 19. Par exemple, ne serait-ce qu’entre décembre 2020 et mai 2021, le ministère de la Santé a rémunéré le cabinet américain McKinsey pour près de 10 millions d’euros, pour avoir participé à l’élaboration de la stratégie vaccinale du gouvernement.

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JOURNAL DU 18 AVRIL 2022

«La charge en soins qui augmente» n’est pas une fatalité

Les services d’urgences sont débordés, en crise permanente, et la métropole lilloise n’y échappe évidemment pas. La prise en charge des urgences à l’hôpital, encore plus depuis la crise du Covid, est vouée à évoluer, ses acteurs doivent imaginer des parcours de soins différents. État des lieux avec celui qui affiche une carrière de 45 ans dans l’urgence, au CHU de Lille, Patrick Goldstein.
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«Précisons que le nombre de patients hospitalisés parmi tous ceux qui arrivent aux urgences du CHU de Lille (également hôpital de recours) est de... 20%/, soit un patient sur cinq seulement», Patrick Goldstein. 
Photo PIB - VDNPQR


Patrick Seghi
Publié: 17 Avril 2022 à 19h00 


- En dix ans, l’activité des urgences a augmenté. Qu’en est-il au CHU de Lille ?
« Il y a la réalité des faits et les impressions subjectives. En 2010, les urgences du CHU de Lille comptaient à peu près 85000 passages. En 2019 (2020 n’est pas représentatif à cause du Covid-19), nous étions à 115 000 passages pour les urgences adultes, pédiatriques et psychiatriques. L’augmentation n’a donc pas doublé en dix ans... Plus qu’une hausse de 30 %, je dirais : modification du profil des patients, explosion de la charge en soins et nécessité de réévaluer l’intégralité du parcours de soins... »

- Vous évoquez une augmentation de la charge de soins, que cela signifie-t-il ?
« L’âge moyen des patients a augmenté. J’ai participé à cinq rapports ministériels sur la crise des urgences. J’avais déjà dit à l’époque que l’un des problèmes majeurs pour les urgences de demain et la société en général, sera le vieillissement de la population. Nous y sommes. Les patients de plus de 75 ans représentent 12% des patients qui se présentent. Ils nécessitent beaucoup d’attention de la part du personnel médico-soignant. Il faut permettre à tous ces grands seniors de ne pas passer par les urgences, d’emprunter d’autres circuits d’hospitalisation immédiate... Un important travail de réseau des accueils de patients très âgés est en cours dans la Région sous l’impulsion de l’ARS. Aujourd’hui, il y a probablement une crise du court séjour gériatrique... Si on ne réfléchit pas réadaptation, réhabilitation, réinsertion, cela devient une équation impossible à résoudre. »


- Combien de patients sont hospitalisés après un passage aux urgences ?
«... Il est de 20 % parmi tous ceux qui arrivent aux urgences du CHU de Lille (également hôpital de recours), soit un patient sur cinq seulement. Ne devraient arriver aux urgences que les malades qui le justifient réellement.
Certains ont pu proposer que l’accès aux urgences ne se fasse que sur prescription médicale, nous ne soutenons pas cette hypothèse. Les urgences doivent rester en libre accès à toute la population mais nous ne revendiquons très clairement que 50 % des patients qui se présentent. Les autres devraient être pris en charge différemment en lien avec la médecine de ville. C’est un nouveau partenariat entre la ville et l’hôpital non dogmatique et collaboratif qui porte aujourd’hui tous nos espoirs. À titre d’anecdote, pour nous le jour noir de la semaine est le lundi mais il l’est également pour les médecins généralistes débordés par leurs patients qui ont attendu tout le week-end. Les difficultés des uns sont les difficultés des autres. »

SANTE - Page 2 B9730622234Z.1_20220416175041_000%2BGLMK5GSKJ.3-0Photo PIB - VDNPQR

- Reste la question cruciale des lits disponibles...
« Il y a incontestablement moins de lits d’hospitalisation... Ce qui est donc compliqué pour les 20 % d’hospitalisés, et cela vaut pour tous les CHU, c’est de leur trouver une place... Il y a eu lors de la dernière décennie un discours incantatoire sur l’ambulatoire (être hospitalisé dans la journée et regagner ensuite son domicile)... Faire, 50,60,70 % d’ambulatoire, c’est certes merveilleux mais cela ne s’invente pas du jour au lendemain. Il faut d’abord que les patients pris en charge dans ce cadre puissent s’appuyer sur un réseau de professionnels de santé en ville disponibles...
Citation :
Citation :[size=18]« On a calculé qu’un médecin urgentiste consacre 35 % de son temps à chercher un lit... »

[/size]
En multipliant l’ambulatoire, on a divisé le nombre de lits. Sauf qu’à un moment les patients qui arrivent aux urgences, il faut bien les mettre quelque part... Ce qui pose énormément de problèmes aux médecins urgentistes, c’est le temps qu’ils passent, l’énergie qu’ils dépensent pour trouver des places pour leurs patients. On a calculé qu’un médecin urgentiste consacre 35 % de son temps à chercher un lit... Côté patients, quand il n’y a pas de place et bien ils attendent... Des durées trop longues se traduisent par des risques certains, c’est médicalement prouvé... »
- Quelles pistes devrait-on envisager au niveau métropolitain pour faire baisser la pression ?
« Rien ne se fera sans une véritable collaboration, mutualisation, réflexion avec la médecine générale, avec la médecine de premier recours qui est en train de se réorganiser de manière très intéressante, avec celle des CPTS, centres (ou maisons) de coordination pluridisciplinaire de territoire de santé... Beaucoup de médecins généralistes sont en train de restructurer leurs disponibilités pour pouvoir assurer eux-mêmes non pas des urgences mais des soins non programmés ambulatoires. Il faut faire la différence entre les deux. Et puis, il y a tout ce qu’on a mis en place, le service d’accès aux soins (SAS), la régulation... Tout cela avance... Quand les patients appellent le 15 pour ce qui relève non pas d’une urgence mais d’un soin non programmé, c’est un médecin généraliste qui régule et qui trouve une réponse adaptée. »
- De nouveaux dispositifs doivent-ils être inventés, les communes de la métropole impliquées?
« Oui. Il y a de moins en moins de médecins qui vont chez les patients en dehors des heures ouvrables, c’est le patient qui va chez le médecin. Il y a des expériences qui sont en cours avec des véhicules mis à disposition par des municipalités (Croix, Wasquehal), c’est remarquable. Il faut encourager les communautés de territoire à faire cela. Il faut avoir des navettes qui permettent à des personnes âgées d’être amenées cher leur médecin et ensuite d’être ramenées à leur domicile. Il y a un nombre incroyable de patients âgés qui vont aux urgences simplement parce qu’ils n’ont pas les moyens physiques ou matériels d’aller voir leur médecin. Les aider est l’affaire de tous. »

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Photo PIB - VDNPQR

- Et au niveau hospitalier ?
« Nous sommes aujourd’hui, et c’est très probablement la raison de la crise, dans une rupture entre un hôpital programmé qui se heurte à un hôpital non programmé (urgences). C’est la confrontation de ces deux organisations qui produit de grandes difficultés... Il est temps de se réintéresser au non programmé. Beaucoup d’établissements, dont le CHU, sont en train d’entamer de très grosses réflexions sur la réouverture de services de médecine polyvalente qui constituent probablement une des solutions d’avenir... Ce qui est dommage également est de ne pas avoir assez investi dans les outils de e-santé. Il y a très peu d’hôpitaux en France capables de donner en temps réel le nombre de lits disponibles... Le Segur de la Santé comporte un gros plan d’investissements sur l’hôpital digital, j’espère qu’une partie de ces crédits permettront de servir le flux général des patients. »
- Quels sont les défis professionnels identifiés ?
« Pour les urgentistes, la question fondamentale est celle de la qualité de vie au travail et de la pénibilité. Il va falloir l’appréhender de façon énergique. Il va falloir également recruter... On forme 35 médecins urgentistes par an au niveau de la région, c’est encore trop peu pour les deux à trois ans à venir... À ces derniers, il faut dessiner un véritable parcours professionnel, un projet personnalisé et évolutif. Un urgentiste, comme tout médecin hospitalier, doit bien sûr traiter des patients, faire de la consultation mais aussi participer à la recherche, à l’enseignement, au management... Il doit avoir du temps pour se former. Il faut leur libérer du temps pour autre chose que pour du soin lourd et fatigant... »
- Donc, voir de nouveaux métiers apparaître ?
« Je crois aussi beaucoup à la création de nouveaux métiers (bed managers...) et aux transferts de compétences...L’évolution des infirmières de pratiques avancées est essentielle. Il faut absolument combler nos retards et favoriser la délégation de tâches encadrées par des médecins (plâtres, résine, suture simple... Nous devons recruter, valoriser leur métier, faire l’effort de les former tout en veillant qu’une infirmière partie pour ces formations soit remplacée. La règle doit être des infirmières en plus et pas à la place de... Nous avons besoin d infirmièr(e)s , d’aides-soignant(e) dans nos services d’urgence et de réanimation. Nous faisons face à un vrai problème de désamour de la profession, de pertes de valeurs. Il faut absolument redonner le sens de l’envie du travail à ces personnels indispensables. Infirmières et aides-soignants ne sont pas assez payés... »

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«Il y a des expériences qui sont en cours avec des véhicules mis à disposition par des municipalités (Croix, Wasquehal), c’est remarquable.» Photo PIB - VDNPQR

- Quid, pour conclure, de la question sensible du partage des gardes ?
« La permanence de soins doit être partagée avec d’autres... Il n’est pas normal que dans certains hôpitaux (pas au CHU de Lille) on considère que la nuit, il n’y a que les urgentistes qui ont la responsabilité de l’ensemble de l’hôpital dès lors que les lumières s’éteignent. Une vraie question est aussi : faudra-t-il que les médecins généralistes reprennent le chemin de la garde ? C’est un vrai sujet. Aujourd’hui, il n’y a plus d’obligation légale... Et pour beaucoup de personnes, il n’y a pas d’autres solutions que d’aller aux urgences après 20 h ou le week-end. Nos collègues sont en train de se restructurer en mutualisant leurs forces à travers des maisons pluridisciplinaires... C’est l’avenir. »
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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeMer 13 Avr - 11:32

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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeMer 13 Avr - 9:31

Les morts fœtales ont augmenté de près de 2 000 % depuis le début du déploiement du vaccin COVID


11 AVRIL 2022









Un membre de l’association America’s Frontline Doctors a averti les femmes enceintes que le déploiement du vaccin contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) a coïncidé avec une augmentation de près de 2 000 % des décès fœtaux.

SANTE - Page 2 Vae
Le Dr Peterson Pierre a présenté des données concernant le taux de mort fœtale par vaccin administré aux États-Unis, et celles-ci ont montré un pic des cas depuis que les vaccins COVID-19 sont disponibles. Il a également indiqué que les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont enregistré 550 millions d’injections de COVID administrées, avec 3 725 morts fœtales.

Cela signifie qu’il y a eu un décès fœtal pour 147 651 injections. En revanche, il y avait eu quatre milliards de piqûres administrées pour d’autres vaccins au cours des années 2006 à 2019, avec 1 368 décès fœtaux, soit un décès fœtal pour 3 millions de piqûres.
« Donc, si vous faites le calcul, vous vous rendez compte que depuis que les injections de COVID sont disponibles, il y a eu une augmentation de 1 925 % des décès fœtaux », a-t-il déclaré. Il a également exhorté les futures mères à prendre note de ces chiffres pour le bien de leurs enfants.
Malheureusement, les données ne semblent pas pertinentes « car la recommandation de se faire vacciner [par le COVID] n’a pas changé », a noté M. Pierre. « Vous devez faire attention à vos propres enfants. Vous êtes leur protecteur. Vous avez beaucoup de choses à penser. Cette décision vous revient, pas à quelqu’un d’autre. »
Environ 23 des 32 futures mères ayant reçu des vaccins Pfizer COVID ont subi des « avortements spontanés » ou des fausses couches, selon la réponse de Pfizer et de la Food and Drug Administration (FDA) à la loi sur la liberté d’information, telle que rapportée l’année dernière.
On constate également une multiplication par plus de 50 du nombre de grossesses extra-utérines, qui entraînent également la mort du fœtus.
La plupart des femmes enceintes ne remarquent pas les symptômes de la grossesse extra-utérine à un stade précoce, car si elle présente les signes et symptômes habituels de la grossesse, celle-ci ne peut se poursuivre normalement, l’œuf fécondé se développant à un endroit inapproprié.
Au Canada, le Lions Gate Hospital a déclaré qu’il constatait habituellement un décès de mort-né par mois, mais en novembre de l’année dernière, 13 décès de mort-né ont été enregistrés en 24 heures. Les CDC ont également indiqué que les injections de COVID ont des effets sur les « problèmes de fertilité », tout en reconnaissant que les résultats des études à long terme en cours ne sont pas encore disponibles.

Des experts mettent en garde les futures mères contre les vaccins COVID à ARNm

Des experts médicaux ont depuis longtemps mis en garde les femmes enceintes contre les vaccins à ARNm, notamment l’experte en vaccins Pamela Acker et l’ancien dirigeant de Pfizer Michael Yeadon, qui ont déclaré que les femmes en âge de procréer, en particulier celles qui sont enceintes ou qui allaitent, devraient rejeter complètement les vaccins COVID-19.
« Vous ne donnez jamais, au grand jamais, des médicaments, des produits médicinaux, insuffisamment testés, à une femme enceinte », a déclaré Yeadon.

Malgré les preuves indiquant les dangers des injections d’ARNm pour les enfants à naître, les CDC recommandent toujours que les personnes âgées de 18 à 49 ans présentant certaines conditions médicales, y compris la grossesse, reçoivent des injections d’ARNm COVID-19, y compris une dose de rappel, en fonction des risques et des avantages individuels.
La base de données du gouvernement a montré, jusqu’au 18 mars, une augmentation sans précédent du nombre de décès et de blessures enregistrés à la suite de l’administration des vaccins COVID-19 au cours des 15 derniers mois, depuis leur mise en place pour une utilisation d’urgence.
Les statistiques ont montré une augmentation massive des effets indésirables signalés, notamment des accidents vasculaires cérébraux (68 000 %), des maladies cardiaques (44 000 %) et des décès (6 800 %).
En fait, la majorité des cas trouvés dans les plus de 31 ans d’historique avec le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) datent de décembre 2020, lorsque la FDA a accordé l’utilisation d’urgence des vaccins COVID-19.
Les données provenant de différents systèmes de surveillance n’ont pas indiqué de signaux de sécurité évidents en ce qui concerne les grossesses ou les résultats néonatals associés aux vaccinations. Cependant, les experts suggèrent des études supplémentaires concernant les décès fœtaux associés aux vaccins, en particulier pour les femmes qui ont été vaccinées au début de leur grossesse.
Regardez la vidéo ci-dessous sur les chercheurs qui demandent l’arrêt de l’inoculation des femmes enceintes.

Cette vidéo provient de la chaîne Tammy Cuthbert Garcia sur Brighteon.com.
Les sources comprennent :

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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeVen 25 Mar - 9:46

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Bruay et Beuvry: ces machines peuvent-elles être une réponse à la pénurie de médecins?

Medadom : c’est le nom de cette borne de téléconsultation qui a fait son apparition dans des pharmacies du secteur. Une machine, équipée de six instruments médicaux, qui vous met en relation avec un médecin en moins de 15 minutes et sans rendez-vous. Comment ça marche ? On vous explique.

Anne-Claire Guilain | Publié le24/03/2022


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Voilà deux mois qu’une borne Medadom est installée dans une petite pièce, sans fenêtre, à l’abri des regards, dans la pharmacie du Donjon à Bruay, côté Labuissière. « Pour l’instant, il n’y a pas vraiment d’engouement », nous confiait peu après sa mise en service Amélie, préparatrice en pharmacie.



« Solution de secours »


Pourtant, au regard de la pénurie grandissante des médecins généralistes, de la difficulté de retrouver un médecin traitant dans le coin et des inquiétudes grandissantes pour l’avenir vu le nombre de départs prévus, ces machines pourraient bien faire un carton.


SANTE - Page 2 B9730350360Z.1_20220324154959_000%2BGBQK5PFPV.2-0

« C’est vrai que l’on a fait les démarches pour ça, pour faire face à la pénurie de médecins. Car les clients nous le disent, dans le coin, c’est une catastrophe. Pour un rien, ils sont obligés d’aller aux urgences. Cette machine peut sans doute aider un peu, pas pour tout mais c’est comme une solution de secours », poursuit Amélie.

SANTE - Page 2 B9730350360Z.1_20220324154959_000%2BG9FK5CDEO.2-0Le Medadom existe en cabine ou en borne.



Six instruments pour s’auto-ausculter


Mais ça marche comment ? « Il faut commencer par insérer sa carte vitale et se créer un compte avec son adresse mail, il faut absolument une adresse mail ». Puis, l’intéressé est soumis à un questionnaire d’une dizaine de minutes pour préciser son profil et voir s’il entre dans les cases de la machine. Si c’est le cas, un médecin (de n’importe où en France) se connecte et assure la consultation. « Les gens doivent s’auto-ausculter : ils ont à leur disposition des instruments pour la tension, la peau (un dermatoscope en cas de boutons ou de taches), les oreilles (avec différents embouts jetables), le taux d’oxygène et un stéthoscope », détaille Amélie. Qui prévient : « C’est idéal pour un rhume, des maux de ventre, un problème d’oreille, etc. Mais ça ne met pas en place de traitement à long terme et ne prolonge pas les arrêts de travail. Cette machine a des limites ».

SANTE - Page 2 B9730350360Z.1_20220324154959_000%2BGFUK5MVT5.2-0Les six dispositifs médicaux dont dispose la borne pour prendre les constantes.



Pas d’avance de frais


Mais aussi des aspects bien pratiques car c’est sans rendez-vous, un médecin peut se connecter dans les 15 minutes et il n’y a aucune avance de frais : tout passe par la carte vitale à raison de 25 euros la consultation.

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Évidemment, le manque d’humanité peut faire grincer des dents mais la machine ne sert que de lien avec un médecin. Comme une visio en réalité. Sauf qu’au sein de la pharmacie, les patients peuvent se faire plus facilement accompagner que derrière leur téléphone portable. « Nous, on a plutôt une clientèle de personnes âgées, on sait qu’on va pouvoir les aider au besoin ».
Si la machine est présente dans des pharmacies, elle peut aussi trouver sa place dans des collectivités. Pas nécessairement chez un professionnel de santé. Alors convaincus ?


[size=30]La pharmacie du Quinty à Beuvry, convaincue : « C’est vraiment pratique »[/size]
Depuis octobre, la pharmacie du Quinty, pas loin du centre hospitalier Béthune-Beuvry, a sa Médadom. « Et franchement, c’est vraiment pratique. On a au moins une consultation par jour », assure Élodie, préparatrice en pharmacie. Qui tempère tout de suite : « attention, c’est du dépannage, ça ne remplace pas un médecin traitant du tout. Mais ça dépanne bien ».

« Il manque des médecins »


Mais notre interlocutrice semble totalement convaincue. « On a un médecin suspendu à Violaines en ce moment. À Beuvry on n’aura bientôt plus de médecins : sur quatre, deux partent en retraite et deux vont s’installer dans une autre ville. Des gens sont démunis, perdus, il manque des médecins. Là, ils viennent dans la cabine, sans rendez-vous, attendent 15 minutes. C’est bien parce que l’écran est grand et simple pour tout le monde, même les personnes âgées. Et ils ressortent avec une réponse, une ordonnance, et même un arrêt de travail de trois jours maximum. Et si le médecin juge qu’il n’est pas apte à régler le problème à distance, il les envoie aux urgences ».
Et Élodie multiplie les bons exemples pour argumenter : « la dernière fois, un monsieur avait le tympan percé, grâce à l’otoscope de la machine, le médecin a pu diagnostiquer et il est ressorti avec son ordonnance. Des parents viennent avec des enfants de plus de trois ans (moins ce n’est pas possible) qui ont une diarrhée et ils ressortent rassurés. Moi-même je l’ai utilisé pour une infection urinaire et je suis très satisfaite. »



Des inconvénients ?


Beaucoup d’avantages donc, selon elle, et peu d’inconvénients. « Bon, c’est plus de travail pour nous car on doit désinfecter la machine à chaque passage, mais c’est un vrai service en p lus ». Du coup, l’investissement, de 20 000 euros la machine, n’est pas inutile selon elle. Et pour le côté déshumanisé : « il y a des réticences, surtout des personnes âgées peu habituées au distanciel, mais quand on leur explique, quand on les accompagne, ça se passe très bien. »


[size=30]Pas soumis à l’autorisation de l’ARS[/size]


Jointe par téléphone, l’agence régionale de santé (ARS) nous a expliqué que ces machines « n’étaient pas soumises à autorisation. C’est une offre libérale qui ne dépend pas de nous. Ça ne nous regarde donc pas ». Mais elle a déjà été questionnée sur cette nouvelle offre. « On nous en parle. Plusieurs marques se sont lancées dans ces cabines de téléconsultation. Mais nous n’avons pas notre mot à dire ».


[size=30]Pour l’ordre des médecins : « Ça ne réglera pas le problème de désertification médicale »[/size]
Pour connaître l’avis des médecins sur ces bornes de téléconsultation, nous avons fait appel à l’Ordre des médecins. C’est le Docteur Francis Meurin, qui nous a répondu. « Ces bornes, ça ne réglera pas le problème de la désertification médicale. Ce n’est pas une solution, mais c’est tout de même une réponse à la pénurie ».


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Le président du conseil départemental du Pas-de-Calais de l’Ordre des médecins concède que ces machines, «  c’est mieux que rien », mais ça ne suffit pas. « Le problème avec ces cabines, c’est que ce n’est jamais le même médecin qui se connecte. Il n’y a donc aucun suivi médical. Alors pour des petites pathologies, tout va bien. Mais certaines petites pathologies peuvent se compliquer et un suivi est nécessaire ».

« Pas des philanthropes »


Autre inquiétude pour lui, « Medadom n’est pas philanthrope, ils sont là pour faire de l’argent. Aujourd’hui, derrière ces machines, il y a des médecins français, mais demain ? Rien ne nous l’assure. Il faut faire la différence entre cette télémédecine, qui s’est développée avec le Covid, et le télésoin ». Lui, prône cette deuxième direction, qui est une aide au diagnostic. « Pour moi, la solution, c’est de se regrouper. Il faut arrêter de travailler chacun dans son coin mais mutualiser et créer des centres de soin avec infirmiers, sage-femmes… qui pourraient faire les premiers examens et orienter vers le médecin si nécessaire, ce qui lui ferait gagner du temps ».
[size=30]Bruno Sablière, de Medadom: «On veut diminuer le renoncement aux soins»[/size]
Entretien avec Bruno Sablière, de la direction de Medadom.
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Racontez-nous le point de départ de Medadom.
« L’entreprise a été créée en 2017 pour deux médecins et un ingénieur polytechnicien. Medadom s’est développé sur deux canaux : via notre application sur smartphone et via ces bornes ou cabines. L’idée est de proposer une mise en relation rapide avec un médecin. Pour cela on travaille avec des centres de santé partenaires qui salarient du temps de médecins généralistes : nous en sommes à 150 équivalents temps pleins pour 500 000 téléconsultations effectuées. On a pour objectif de se positionner sur un centre de santé par région a minima. »


Nous avons croisé ces bornes dans deux pharmacies, quels sont les lieux qui peuvent accueillir ces machines ?
« C’était la première cible : 90 % sont dans des pharmacies, 1 500 sont équipées en France (93 dans le Nord et 75 dans le Pas-de-Calais). Ça reste une cible prioritaire. Mais on veut s’adresser à d’autres acteurs pour toucher tous les publics, comme les universités – car les étudiants sont un vrai enjeu, beaucoup renoncent aux soins –, les résidences seniors ou les EHPAD, les collectivités (nous allons équiper 20 Maison France services), et les structures de publics fragiles… »


Les bornes ont plus d’avantages que la téléconsultation sur son portable.
« Oui, là, on n’est pas seul devant son écran : dans les structures équipées, il y a souvent un accompagnement, il y a aussi les six instruments pour la prise de constantes (tension, température, oxygène, etc.), il n’y a pas d’avance de frais, et le fonctionnement est simple et intuitif. Il y a vraiment de la valeur ajoutée. »


Ces machines sont à la vente ou à la location ?
« Les deux. La location est sur 36 mois (315 € par mois). L’acquisition va de 20 000 à 100 000 € selon les options, pour quatre ans avec cabine, maintenance et accès au service médical inclus. Au bout de quatre ans, on peut renouveler l’abonnement sans la machine. Mais on prépare déjà des évolutions sur les futures machines. »
Pharmaciens et médecins parlent d’une réponse à la « bobologie » mais pas d’une solution pour le suivi médical des patients : vous êtes d’accord ?


« Le téléconsultation ne peut pas tout résoudre. Ce que l’on fait, c’est trouver du temps de médecin perdu car on veut diminuer le renoncement aux soins. Beaucoup arrêtent de se soigner faute de trouver un médecin. D’ailleurs, nous cherchons aussi des solutions pour réembarquer les patients qui en ont besoin dans un parcours de soins généralisés. »

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++


Bien sur que l 'on peut utiliser des machines ...
Et aussi dissoudre l 'ordre des médecins grand responsable de la pénurie de médecins qui a imposé le Numerus Clausus ...
Ce qui est important c 'est une ordonnance pour obtenir les médicaments car sans ce bout de papier rien n'est possible contrairement aux pays libres, comme les USA ou la Grande Bretagne !


Il faut aussi autoriser l 'automédication, car avec internet certains patients connaissent leur maladie et n' ont pas besoin de médecins pour le renouvellement de leurs médicaments ...
De plus  certains médecins  débordés ou peu attentifs passent a coté de graves problèmes qu 'ils ne détectent  pas chez leurs patients.


QUESTION : a chaque visite votre medecin utilise t 'il ces outils ?




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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeMer 23 Mar - 8:25

LES DEPENSES DE  SANTE 


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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeDim 6 Mar - 7:52

Voici ce que le docteur Christiane Laberge a dit dans sa chronique à la radio au 98.5 il y a quelques semaines :
Un médicament à la même efficacité 4 ans après la date de péremption.
- Mais il ne faut pas le dire trop fort parce que les compagnies pharmaceutiques n'aiment pas ça .

 
Tout ce gaspillage écologique...Voilà pourquoi nos portefeuilles sont vides avec l'inertie de nos gouvernants !
 
L'armée américaine avait pour plus d'un milliard de médicaments et voulait savoir si c'était vrai qu'il fallait en disposer selon la date indiquée.
Ils ont tout testé et seulement un produit perdait un peu de son efficacité après 4 ans.

CAITAL, une revue française, expose également :
- Les dates limites de conservation sont imposées par les industriels pour écouler un maximum de produits et renouveler régulièrement leurs stocks

 
En fait, les yogourts ont été analysés et goûtés 57 jours après le dernier jour de consommation autorisé inscrit sur l'emballage :
 
- même saveur, même fraîcheur, donc aucun problème à être consommés.
 
Même chose pour les charcuteries sous vide qui peuvent être utilisées 15 jours après la date de consommation affichée. 
 
Pour les gâteaux secs, biscuits sous vide de toutes sortes :
- confiseries, chocolats, légumes secs, pâtes, riz, lentilles, ces produits sont consommables et de même saveur 3 à 4 ans après la date limite de consommation affichée.
 
Les industriels organisent ce gâchis alimentaire pour augmenter leurs bénéfices et satisfaire les actionnaires de plus en plus exigeants.
 
Un médecin a confirmé qu'il en est de même pour les pilules.
Il s'agit d'un racket des compagnies pharmaceutiques.
La seule différence, c'est qu'après 3 ans, l'efficacité est légèrement diminuée, soit autour de 95 % au lieu de 100 %.

 
Donc, avant de jeter vos Tylenol, Immodium, Aspirine et autres pilules du genre,
 
Pensez que vous enrichissez les compagnies pharmaceutiques et creusez le deficit de notre sécurité sociale  


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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeMar 1 Mar - 17:44

SANTE - Page 2 Captu445    SANTE - Page 2 25685510
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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeMar 1 Mar - 16:32

NOUS VIVONS DANS UN PAYS DE FOUS 


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Violaines: un médecin généraliste suspendu «parce qu’il travaillait trop»

Puni d’avoir trop travaillé. C’est ce qu’explique le docteur Marc Delsart, qui exerce à Violaines depuis 32 ans. Il est suspendu par la sécurité sociale six mois. Aucun remplacement n’est possible.

Stéphane Leulier | Publié le01/03/2022


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C’est le désarroi pour les patients du docteur Marc Delsert. 
PHOTO Hubert Van Maele - VDN




« C’est l’infirmière qui nous a prévenus, ce matin. Elle nous a dit : " Vous n’avez plus de docteur."  » Les époux Martinage n’en croient pas leurs oreilles. Tellement pas qu’ils appellent à droite, à gauche. La nouvelle se confirme… Sur son répondeur, le message vocal laissé par le docteur Marc Delsert ne laisse pas de place au doute. « Comme vous le savez, la sécurité sociale me reproche une trop grande activité. Pour me punir, elle m’interdit de vous soigner du 1er mars au 31 août. Le cabinet médical rouvrira le 1er septembre. »
De quoi provoquer un vent de stupeur. Sur les réseaux sociaux, les commentaires vont bon train sur le sort de ce médecin estimé, dans un secteur frappé de plein fouet par le désert médical. « Le docteur Delsert à Violaines vient d’être suspendu injustement ! Il ne sera pas remplacé il est également médecin à l’EHPAD de la Bassée. Nous trouvons cela très injuste. Nous nous retrouvons sans médecin car les médecins aux alentours ne prennent pas de nouveaux patients ! » « Sanctionné et mis à pied pour suractivité ! Tout simplement scandaleux. »



Les patients punis



Michel Martinage, voisin du docteur installé dans cette commune qui jouxte La Bassée depuis 32 ans, est inquiet. « J’ai cru comprendre qu’il avait eu des rappels. Mais il avait sa patientèle et, dernièrement, il avait aussi des demandes de nouveaux patients… » Ces derniers mois, les docteurs Patrick Leroux et Bernard Parent, à La Bassée et le docteur Serge Duplat, à Richebourg, ont cessé leurs activités.




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C’est le désarroi pour les patients du docteur Marc Delsert. 
PHOTO Hubert Van Maele




Se pose la question, désormais, de savoir où les patients du docteur Delsert iront consulter. « Les médecins du coin ne prennent plus de nouveaux patients. Ma femme est diabétique. Tous les deux mois, elle doit voir un médecin. Comment va-t-on faire ? On est pris en otage. D’autant qu’il semble que le docteur Delsert n’a pas le droit d’avoir un remplaçant pendant les six mois de sa suspension. » Le téléphone du maire de Violaines, Jean-François Castell, ne fait que sonner suite à la nouvelle que le docteur Delsert a apprise la semaine dernière. « Je suis écœuré pour les patients, souffle l’édile. Je vais tout faire pour défendre ce médecin. »


Depuis ce mardi midi, une pétition est en ligne sur le site change.org en faveur de sa reprise d’activité. Elle comptabilisait 170 signatures mardi, en milieu d’après-midi.
lol! lol! lol!
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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeDim 13 Fév - 9:04

ENCORE UN NOUVEAU SCANDALE SANITAIRE 

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Appareils contre l'apnée du sommeil : un nouveau scandale sanitaire ?


En France, 370 000 respirateurs Philips contre l'apnée du sommeil sont jugés dangereux pour la santé. Le rappel de ces modèles défectueux est trop lent, selon les autorités sanitaires, qui veulent accélérer la cadence sans provoquer de psychose.
Par Emma Derome - 09 févr. 2022 à 12:40 | mis à jour le 11 févr. 




Ces appareils respiratoires aident des milliers de Français souffrant d'apnée du sommeil à respirer correctement la nuit  : 370 000 respirateurs Philips ont un problème de conception qui peut avoir des conséquences sur la santé de ses utilisateurs.
A l'intérieur, une mousse insonorisante qui relâche des particules volatiles en se dégradant. Inhalées ou ingérées, elles peuvent causer une irritation et donc de la toux, des maux de tête, de l'asthme et possiblement un cancer. Ce sont les symptômes listés par le constructeur lui-même il y a sept mois lorsque Philips a annoncé le rappel de ses cinq millions de machines dans le monde. Sauf qu'aujourd'hui, seulement 7% de ces appareils ont été remplacés en France, soit environ 25 000. Trop peu pour l'Agence nationale de sécurité du médicament, qui a tiré mardi la sonnette d'alarme.


Un utilisateur atteint d'un cancer des ganglions veut savoir s'il y a un lien

« La situation n’est plus acceptable. Philips ne respecte pas ses engagements », a déclaré mardi lors d'une conférence de presse Caroline Semaille, directrice adjointe de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM). « Nous mettons tout en œuvre pour contraindre Philips à accélérer le remplacement de ces machines », assure-t-elle, exigeant que le groupe accélère la cadence en remplaçant trois quarts des appareils d'ici à fin juin et la totalité d'ici décembre 2022.



Les associations de malades et certains témoignages de patients particulièrement alarmants ont incité l'autorité sanitaire a agir vite. RMC a notamment relayé lundi le témoignage d'un patient de 44 ans qui utilise un appareil Philips et à qui on a diagnostiqué un cancer des ganglions, un lymphome. Mathieu a consulté un médecin pour « une toux qui ne passe pas » avant de découvrir la gravité du diagnostic. Il n'a jamais su que son respirateur présentait un danger et qu'il devait être remplacé. Selon la radio, 356 cas d'effets indésirables ont été signalés et cinq cas de cancer sont « en cours d'investigation ». 
J’ai appris par hasard qu’il y avait une campagne de rappel de mon appareil d’apnée du sommeil.
« J’ai appris par hasard qu’il y avait une campagne de rappel de mon appareil d’apnée du sommeil, explique-t-il. Je souhaiterais savoir pourquoi je n’ai pas été contacté depuis le mois de mai par Philips (…) La question la plus importante, c’est savoir si la machine est responsable de mon cancer. »


L'apnée du sommeil touche 4% des Français
L'apnée du sommeil est une affection qui touche 4% de la population française. Il s'agit d'un trouble de la respiration du sommeil qui se caractérise par des pauses respiratoires de 10 à 30 secondes, voire plus, pouvant se répéter plus de 10 fois par heure. Ce blocage de la tranchée et ces apnées entraînent des micro-réveils qui retentissent fortement sur la qualité de vie. Tout le monde peut être touché par cette maladie respiratoire, y compris les enfants, mais certaines personnes sont plus à risque que d'autres, notamment les hommes, les personnes obèses ou en surpoids et les plus âgés.
Cette maladie est sous diagnostiquée : environ 80% des personnes concernées l'ignorent. Le PPC, ou le dispositif de ventilation à pression positive, est un traitement qui consiste à porter un masque sur le nez et/ou la bouche qui envoie de l'air sous pression qui permet de maintenir les voies aériennes supérieures ouvertes pendant le sommeil.
Philips pourrait avoir été au courant de ces problèmes sur ses dispositifs PPC (Pression Positive Continue) depuis plusieurs années, selon l'autorité de santé américaine FDA, qui enquête depuis plusieurs mois.

« On veut seulement la vérité »



Christian Trouchot, président d'Airas, une association d'insuffisants respiratoires, est en colère. Cela fait maintenant huit mois que le rappel a commencé, mais de nombreuses questions restent sans réponse. « On se demande comment ces centaines de milliers de machines vont être remplacées si rapidement. Ça ne se fait pas en un claquement de doigt. On ignore encore les conséquences réelles sur notre santé et on ne sait pas non plus si le fabriquant de la mousse incriminée fournit d'autres industriels ! Y a-t-il eu des composants non autorisés en Europe qui sont entrés dans le processus de fabrication ? Tout ce qu'on veut, c'est la vérité », lance celui qui a eu pendant cinq ans au moins la « DreamStation », l'un des modèles Philips épinglés.



Retrouvez ici la liste des machines Philips rappelées.


Pour lui, la DreamStation est synonyme d'un nouveau scandale sanitaire : « Ces machines sont financées pour les malades par l'Assurance maladie, c'est de l'argent public. Moi j'ai peur qu'on ait payé ces appareils pour rien, comme le Mediator, ce médicament qui tue ».

Pas de panique, dit l'ANSM

L'ANSM a pris vendredi une « décision de police sanitaire ». Concrètement, cela veut dire que Philips s'exposera à des poursuites pénales si le fabricant ne respecte pas le calendrier imposé par l'autorité. Elle s'assure aussi que Philips lance une étude d'ampleur pour évaluer précisément les risques, en particulier ceux de cancer, qui sont encore théoriques. Les résultats devront être communiqués au plus tard dans un an. Tout les mois, Philips doit aussi tenir au courant l'ANSM de l'avancement des remplacements des machine.
Il vaut mieux conserver un appareil défectueux plutôt que ne plus avoir d'appareil du tout.
Cependant, l'autorité de santé ne veut pas non plus créer un vent de panique chez les utilisateurs. Elle affirme : « Il vaut mieux conserver un appareil défectueux plutôt que ne plus avoir d'appareil du tout ». Les patients doivent continuer leur traitement car, selon un communiqué de l'agence, « l'arrêt du traitement présente un risque avéré à court terme, par exemple une aggravation de l’insuffisance respiratoire ».


« Nous, les utilisateurs, on est entre le marteau et l'enclume », ajoute Christian Trouchot, qui se réjouit néanmoins de la décision de l'ANSM. « D'un côté ne pas avoir de machine, c'est jouer à la roulette russe, c'est augmenter le risque d'AVC, d'arrêt cardiaque, d'hypertension, mais de l'autre, on continue d'inhaler potentiellement toutes ces cochonneries. »
La directrice adjointe de l'agence nationale de sécurité des médicaments veut prévenir toute « vague alarmiste » et attire l'attention sur les données d'une étude effectuée au Canada, sur un groupe de patients qui ne « montre pas de sur-risque » de cancer. Le manque d'informations a poussé néanmoins l'organisation a annoncer la création d'un comité d'experts sur la question.
     

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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeDim 13 Fév - 8:49

Malgré les 11 % d' africains vaccinés...

  L’Afrique est en bonne voie pour passer à une phase endémique, selon un expert de l’OMS 



SANTE - Page 2 Test-afrique

C’est avec beaucoup d’optimisme que le chef de l’OMS Afrique a déclaré la sortie de l'Afrique de la phase la plus dure du COVID-19. Cette dernière estime que la situation en Afrique est actuellement sortie du stade pandémique. Evidemment, le directeur général de l’OMS pense qu’il est bien trop tôt pour crier victoire....En fait, l'OMS est bien ennuyée car il est difficile de donner l'Afrique en modèle du point de vue de la doctrine officielle des dirigeants mondiaux. Seulement 11 % de la population africaine, sont entièrement vaccinés. Mais vraisemblablement, le continent n'en a pas besoin pour lutter contre le COVID.


SANTE - Page 2 Afrique


Une vie post-pandémie pour l’Afrique ?



Au cours d’une conférence de presse qui s’est tenue jeudi dernier, le Dr Matshidiso Moeti  a fièrement déclaré  que l’Afrique entame une nouvelle phase : “Je pense que nous sommes en train de passer de la phase pandémique à une situation où nous devrons gérer la présence de ce virus sur le long terme […] La pandémie entre dans une phase différente… Nous pensons que nous nous dirigeons maintenant, surtout avec l’augmentation prévue de la vaccination, vers ce qui pourrait devenir une sorte de vie endémique avec le virus“.
Cette dernière a également souligné le fait que le continent africain a maintenant appris de ses expériences et qu’il est désormais en mesure de réagir positivement face aux nouveaux cas d’infections liées au Covid-19. Elle ajoute : « Contre toute attente, y compris d’énormes inégalités dans l’accès aux vaccinations, nous avons affronté la tempête COVID-19 avec résilience et détermination. »
Mais comme toujours, l’OMS porte-parole de la peur, son patron, Tedros Adhanom Ghebreyesus, veille à ce qu’on n’abandonne pas trop vite la vision existante en déclarant que le monde n’est pas près de voir le bout du tunnel et que « le Covid n’en a pas fini avec nous ». Selon lui, il y a de fortes probabilités que de nouvelles variantes du virus naissent et réduisent en cendres les efforts déployés jusqu’à maintenant.
Il met d’ailleurs l’Afrique en garde, estimant que c’est le continent qui subira le plus de dommages collatéraux. En effet, si l’on se fie aux données de la Banque mondiale, il semblerait que la pandémie ait engendré une situation de pauvreté extrême chez près de quarante millions de personnes en Afrique. Mais est-ce la faute de la pandémie ou bien des restrictions mises au commerce et à l’économie mondiale par les pays privilégiés? 


Une population qui hésite à se faire vacciner



Le Dr. Moeti ne peut toutefois s’empêcher de s’inquiéter face au taux de vaccination très faible de l’Afrique, car sur toute la population adulte, seuls 11% de cette dernière a reçu son vaccin alors que le continent a bénéficié de 670 millions de doses.
Elle sensibilise ainsi la population à adopter le vaccin afin d’«atteindre les niveaux d’immunité atteints dans d’autres parties du monde ».
Elle ajoute également qu’il est essentiel que le continent soutienne la fabrication locale de traitements, de matériels de diagnostic et de vaccins afin d’atténuer les conséquences à long terme que peuvent provoquer les futures contaminations. 
À ce niveau, le directeur des Centres africains de contrôle et de prévention des maladies a indiqué que la mobilisation actuelle qui est relative à un désir de raffermir les capacités en vue de produire des vaccins anti-Covid n’a pas pour visée de répondre aux besoins actuels. En effet, le but est de « trouver une solution à long terme pour la vaccination en Afrique ».
Depuis le début de la pandémie, l’Afrique a enregistré plus de 11 millions de cas de Covid-19 au cours des deux dernières années, avec plus de 240.000 décès recensés, ce qui équivaut à environ trois pour cent des cas et un peu plus de quatre pour cent des décès au niveau mondial.
Les pays africains impliqués dans ce processus de Partenariat africain pour la fabrication de vaccins sont : le Rwanda, l’Afrique du Sud, le Maroc, l’Algérie, et le Sénégal.
Pour rappel, lors du Sommet mondial de la santé » à Berlin, le directeur général de l’OMS a fixé comme objectif de vacciner 70% de la population mondiale d’ici le milieu de 2022.
Malgré les dons de l’initiative Covax de l’ONU ou des stocks entiers se périment , l’Afrique n’en a pas besoin pour lutter contre le COVID.


 Avec un système sanitaire affaibli et sous-financé, le continent préfère se soigner avec l’ivermectine et l’hydroxychloroquine pour mettre fin à la pandémie.
 Pourtant, l’OMS recommande de ne pas utiliser l’ivermectine.


lol! lol! lol!
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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeVen 11 Fév - 11:03

Plus de 1000 sportifs de haut niveau victimes d’accidents graves ou mortels dans un régime de vaccination massive contre le COVID-19




SANTE - Page 2 Image-d-illustration-de-seringues-contenant-le-vaccin-anti-covid-de-l-alliance-pfizer-biontech-qui-a-depose-une-demande-d-autorisation-aux-etats-unis-pour-les-enfants-de-5-a-11-ans_6326060



Le Courrier des Stratèges a déjà abordé le sujet des morts subites ou des accidents graves de sportis de haut niveau, professionnels ou amateurs dans un contexte de vaccination massive contre le COVID-19 avec des produits encore expérimentaux. Nous vous indiquons le lien avec une liste quotidiennement mise à jour. On en était le 9 février au soir à 1088 cas recensés


SANTE - Page 2 Athlete

Nous avions déjà abordé le sujet et nous vous avions proposé le 20 janvier 2022 une liste de 500 cas avérés ou demandant une investigation approfondie. Nous avions promis de faire des mises à jour régulières. Nous avions utilisé la compilation de Good Sciencing. 
Un travail de compilation élargie, qui inclut Good Sciencing est effectué quotidiennement et nous vous recommandons de vous y reporter. Nous mettons le document à la date du 9 février 2022 au soir à disposition sous forme de document Slideshare. 
Prenez le temps de lire les histoires ici racontées, suivez les liens référencés. Et contribuez vous-même, si vous avez connaissance de faits graves et documentés, à la liste. 

 
Liste des sportifs de haut niveau professionnels ou amateurs victimes d'accidents graves éventuellement mortels dans un contexte de vaccination anti covid from EdouardHusson


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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeJeu 10 Fév - 8:13

Santé mentale : ce qui explique les disparités dans les Hauts-de-France

Dans la région, une personne sur quatre serait confrontée à des troubles psychiques au cours de son existence, selon le dernier rapport du Conseil économique, social et environnemental Hauts-de-France. Un phénomène lié, en partie, aux conditions de vie.


Par
 Brianne Cousin
 -
9 février 2022


SANTE - Page 2 Une-psyLe dernier rapport du Ceser sur la santé mentale dans les Hauts-de-France met en avant le grand nombre de troubles psychiques et de suicides dans la région.
Photo : capture d'écran Viméo


Est-on plus malheureux dans les Hauts-de-France qu’ailleurs en France ? C’est en tout cas ce que soutient le dernier rapport du Conseil économique, social et environnemental régional (Ceser) sur la santé mentale dans la région, publié le 18 janvier 2022. « Une personne sur quatre est confrontée à un trouble psychique au cours de sa vie : 200 000 patients sont actuellement concernés en région », déroule le document. Des chiffres qui ne sont pas sans conséquences : les maladies psychiatriques entraîneraient un risque de suicide supérieur de 30% dans les Hauts-de-France à celui de la moyenne nationale.
« Dans notre région, ce qui est différent, ce sont les conditions socio-économiques défavorables par rapport au reste de la France métropolitaine », explique Laurent Plancke, responsable de l’observatoire régional de la santé mentale et de la psychiatrie à la Fédération régionale de recherche en psychiatrie et santé mentale (F2RSM Psy). Si le niveau de vie peut influencer la santé mentale, « le suicide est plurifactoriel ; on n’a jamais de cause unique », précise le sociologue.

Moins de suicides dans la métropole lilloise


« Plus on est riche et diplômé, moins on a de troubles psychiques », caricature le rapport du Ceser en grossissant volontairement le trait (« Il ne s’agit pas d’une corrélation mécanique et il reste nécessaire d’éviter les raccourcis de raisonnement », tempère-t-il). Pour Laurent Plancke, un haut niveau socio-économique semblerait en effet « protecteur ».
Au sein de la région, il note une scission nette entre les territoires : « On a deux zones qui se différencient significativement : la métropole lilloise, locomotive économique, et le sud de la région, la vallée de l’Oise, qui a un dynamisme économique également important. Entre les deux, on a des zones beaucoup plus défavorisées. L’Aisne, un département qui se dépeuple, qui n’arrive pas à attirer dans ses hôpitaux les médecins et professionnels de santé, la Somme qui souffre également d’un déficit d’attractivité… » Les derniers chiffres de l’Observatoire de la santé mentale en France, sortis en juin 2021 et repris par l’étude du Ceser, pointent également ces disparités entre les départements de la région. Ainsi le taux d’hospitalisation pour tentative de suicide pour les 12-18 ans s’élève, par exemple, à 24,9 pour 100 000 habitants dans le Nord, et 47,6 pour 100 000 habitants dans la Somme. Du simple au double, ou presque…
Le diagnostic territorial publié par la F2RSM Psy en 2018 note quant à lui une mortalité suicidaire moins élevée qu’ailleurs dans la métropole européenne de Lille. En 2015, 2 230 personnes ont été hospitalisées à la suite d’une tentative de suicide dans la métropole, soit 16,6 pour 10 000 habitants. Dans la Somme, 1 418 ont été hospitalisées pour les mêmes raisons, soit 31,5 pour 10 000 habitants.
« On meurt moins du suicide grâce à des interventions plus ciblées, notamment vis-à-vis des personnes qui ont déjà fait une tentative », explique Laurent Plancke. Le dispositif d’accompagnement téléphonique VigilanS, par exemple, aurait engendré une diminution des tentatives de suicide de l’ordre de 10 à 12% trois ans après sa mise en place à l’échelle du Nord et du Pas-de-Calais en 2015. Un succès qui explique son extension, par la suite, à l’ensemble des territoires français. « La prévention du suicide, c’est quelque chose de complexe qui ne peut pas reposer sur un seul dispositif », nuance cependant Christophe Debien, praticien hospitalier au CHU de Lille et responsable du déploiement de VigilanS à l’échelle nationale.


Citation :
« Il faut penser la MEL en plusieurs pôles. Roubaix, ce n’est pas Lille. »

La métropole européenne de Lille serait-elle plus épargnée par les troubles psychiques pour autant ? Pas tout à fait, car ce territoire est lui-même marqué par de fortes disparités. « La MEL est une mégalopole multiculturelle avec de nombreux brassages, explique Christophe Debien. Il faut penser la MEL en plusieurs pôles. Roubaix, ce n’est pas Lille. » Et de rappeler - réflexe professionnel - le numéro national gratuit de prévention suicide, le 3114.
C’est aussi ce que souligne le diagnostic territorial de la F2RSM Psy : « Les inégalités socio-économiques sont très marquées en secteurs du territoire, voire même entre quartiers d’une même commune, comme à Lille, à Roubaix ou à Tourcoing, où quelques centaines de mètres peuvent séparer des quartiers en grande difficulté de zones très résidentielles. » « Roubaix, c’est la ville des paradoxes », constatait Saïd Habbas, conseiller en insertion professionnelle de la ville, dans une vidéo devenue virale en novembre 2021. De grandes fortunes y sont nées, comme le fondateur de l’enseigne de distribution Auchan, mais 44% de la population vit sous le seuil de pauvreté. La crise sanitaire n’a pas aidé : en septembre 2021, le Secours populaire y distribuait en moyenne 200 à 250 colis alimentaires par jour.
Le nombre de patients suivis pour des troubles psychiatriques est, quant à lui, plus élevé dans la métropole lilloise que dans le reste de la région. En 2018, la part de la population prise en charge en service de psychiatrie s’élevait à 4,7% dans le territoire Métropole-Flandres (MEL - Flandre intérieure - Dunkerquois), contre 3,7% dans les Hauts-de-France ou 2,7% dans la Somme.

Une offre de soins plus importante dans la MEL


« On a des taux de prise en charge supérieurs à ce qu’on a ailleurs car on a un grand nombre de services hospitaliers et ambulatoires. On est dans une zone dense où on peut assez facilement gagner un centre médico-psychologique », liste Laurent Plancke. Au 1er janvier 2020, le Nord comptait 117 psychologues pour 100 000 habitants, selon l’Observatoire de la santé mentale. L’Aisne, quant à elle, en dénombrait seulement 82. « Si vous prenez l’équipement psychiatrique de l’Aisne par rapport à celui de Lille, c’est le jour et la nuit ! », confirme Christophe Debien. Dans ce département, quatre établissements de santé ont un pôle de psychiatrie. Ils sont neuf sur le territoire de la Métropole-Flandres.      
Pour Laurent Plancke, la santé mentale d’une population reste cependant - et assez logiquement - très difficile à évaluer. Les études s’appuient en effet sur le nombre de malades pris en charge en psychiatrie. Seulement, « il y a souvent une période où on nie nos problèmes de santé et on ne se rapproche pas des lieux de soins ». La démarche de se faire aider par un professionnel est, là encore, fortement influencée par le profil socio-économique des malades : « C’est une pratique plus bourgeoise que populaire », soutient-il.

Et la crise sanitaire dans tout ça ?

La pandémie de Covid-19 a-t-elle changé la donne ? Nous avons posé la question à Laurent Plancke, co-auteur des études de territoires publiées en 2018 par la F2RSM Psy.
Si les dynamiques territoriales n’ont pas évolué de façon significative, il revient quand même sur les différents impacts de la crise sanitaire sur la santé mentale : « Il y a deux périodes à distinguer. D’abord, la sidération, au premier semestre 2020. Les tentatives de suicide enregistrées ont diminué. Puis les anxiétés et insomnies ont repris. On a vu les délivrances de médicaments augmenter fortement. »
« En temps de crise, les gens pensent à leur survie avant de penser à leur psychisme, complète Christophe Debien. La problématique, c’est qu’on n’est pas encore sorti de la crise… »
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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeMer 9 Fév - 18:11

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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeVen 4 Fév - 15:41

PREUVE QUE LE VACCIN N 'EST PAS LA PANACEE 


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COVID-19: POURQUOI LA SEINE-SAINT-DENIS A-T-ELLE LE TAUX D'INCIDENCE LE PLUS FAIBLE DE MÉTROPOLE MALGRÉ UNE FAIBLE COUVERTURE VACCINALE?


Juliette Desmonceaux
Le 04/02/2022 à 9:08








Après avoir connu une forte pression hospitalière, le département francilien bénéficie aujourd'hui d'un taux d'incidence en forte baisse. Cette situation n'est pourtant pas surprenante selon des médecins.

C'est a priori un paradoxe. Le département de Seine-Saint-Denis affiche désormais le taux d'incidence au Covid-19 le plus faible de métropole, alors qu'il détient dans le même temps le taux de vaccination le plus bas de France. Après avoir connu une fin d'année difficile 2021 difficile avec un nombre élevé de cas positifs, le département bénéficie à présent de ses retombées positives.

Des chiffres en baisse

Avec un taux d'incidence situé à 1724,8 cas pour 100.000 habitants, la Seine-Saint-Denis est désormais le département métropolitain où la circulation du virus de Covid-19 est la plus faible, après avoir longtemps été l'un des départements les plus touchés par la pandémie.



Le taux d'incidence a également diminué de 37% dans le département en seulement sept jours, selon des chiffres de l'Agence régionale de santé d'Île-de-France. Des chiffres en forte baisse qui contrastent avec la situation d'il y a seulement quelques semaines.
Il y a près d'un an, la situation était pourtant critique dans le département francilien, qui était alors le plus touché de France et dont les services de réanimation étaient saturés.

"Un juste retour des choses"

Citation :
Pour Frédéric Adnet, directeur médical du SAMU 93, l'explication est simple: "la Seine-Saint-Denis est très probablement le département où l'immunité collective est la plus élevée".
Après avoir vu les contaminations monter en flèche l'année passée, le département commence enfin à bénéficier des avantages d'une situation qui a longtemps pesé sur le système de soins du département.
"C'est le taux le plus faible de vaccination en France, mais (cette forte diminution du taux d'incidence) est presque un juste retour des choses puisque c'est la région qui a été la plus touchée au moment des grandes vagues précédentes", explique le docteur Alain Ducardonnet, consultant santé pour BFMTV.



Citation :
"L'immunité spontanée, ça marche aussi, il ne faut pas l'oublier", souligne le médecin.
SUR LE MÊME SUJET

Une bonne nouvelle pour les professionnels de santé de Seine-Saint-Denis qui devraient enfin pouvoir commencer à souffler.



Juliette Desmonceaux


lol! lol! lol!



pour la Seine-Saint-Denis  seulement 22,7% des résidents ont reçu une première injection, contre 34,3% à l'échelle nationale. Et ils s 'en sortent mieux que dans les autres regions ...



lol! lol! lol!
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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeMer 26 Jan - 7:52

LES FRANCAIS ONT PEUR ...
ILS NE FONT PAS CONFIANCE AUX LABORATOIRES ET ILS ONT RAISON 


SANTE - Page 2 000310



Vaccins : La justice américaine demande des comptes à Pfeizer

10 janvier 2022 - 17:00 par Infodujour

Un juge du Texas ordonne à la Food and Drug Administration (FDA) de publier les données sur la sécurité des vaccins Pfeizer dans 8 mois et non dans 75 ans !
SANTE - Page 2 Vaccins-Pfeizer-Flick-2Vaccine Pfeizer (Flickr)SANTE - Page 2 Robert-harneis-2-2-226x300-1Robert Harneis, journaliste


Par Robert Harneis
La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a huit mois – et non les 75 ans qu’elle a demandés – pour publier tous les documents relatifs à l’homologation du vaccin Comirnaty COVID de Pfizer, a décidé jeudi un juge fédéral.
Dans sa décision, le juge Mark Pittman, du tribunal fédéral du district nord du Texas, a cité le président John F. Kennedy, écrivant qu' »une nation qui a peur de laisser son peuple juger du vrai et du faux dans un marché ouvert est une nation qui a peur de son peuple« .
Le juge Pittman a rejeté l’argument de la FDA selon lequel elle ne pouvait publier des versions expurgées des documents qu’à raison de 500 pages par mois, ce qui aurait signifié que la totalité des documents ne serait pas rendue publique avant 2096.
Dans son argumentation, la FDA a reconnu qu’elle avait une « obligation » de rendre l’information publique, mais a affirmé que son Center for Biologics Evaluation and Research, qui conserve les documents en question, ne compte que 10 membres du personnel, dont deux sont « nouveaux ».



400.000 pages de documents

Les documents en question sont liés à une demande de Freedom of Information Act (FOIA) déposée en août 2021 par Public Health and Medical Professionals for Transparency (PHMPT), un groupe de plus de 30 professionnels de la santé publique et médicale et de scientifiques d’institutions telles que Harvard, Yale et UCLA.
Dans son ordonnance de quatre pages, le juge Pittman a ordonné à la FDA de produire plus de 12.000 pages de documents au plus tard le 31 janvier, puis de « produire les documents restants au rythme de 55.000 pages tous les 30 jours, la première production devant avoir lieu au plus tard le 1er mars 2022, jusqu’à ce que la production soit terminée. »


Selon ce calendrier, les presque 400 000 pages de documents auront été rendues publiques en huit mois, et non en 2096.


Dans sa demande de FOIA, la PHMPT a demandé à la FDA de publier « toutes les données et informations relatives au vaccin Pfizer« , y compris les données sur la sécurité et l’efficacité, les rapports sur les effets indésirables et la liste des ingrédients actifs et inactifs.



Le vaccin approuvé en 108 jours !



Le PHMPT avait initialement demandé un traitement accéléré de sa demande en vertu de la loi sur la liberté d’information en invoquant un « besoin impérieux » de divulguer rapidement les documents en question, et en faisant valoir que la documentation devrait être entièrement divulguée dans un délai de 108 jours, soit le nombre de jours qu’il a fallu à la FDA pour approuver le vaccin de Pfizer. Pourquoi faudrait-il plus de temps pour examiner des documents en vue de leur diffusion au public que pour les examiner en vue de leur approbation ?
Lorsque la demande de l’organisation a été rejetée par la FDA, le PHMPT a intenté une action en justice contre l’agence.
Suzann Burk, responsable de la division de la gestion de la divulgation et de la surveillance de la FDA, a déclaré qu’il fallait huit minutes par page pour qu’un employé « effectue un examen minutieux, ligne par ligne et mot par mot, de tous les documents recevables avant de les produire en réponse à une demande de FOIA« .


En conséquence, la FDA a initialement déclaré qu’il lui fallait 55 ans pour divulguer intégralement les versions expurgées de ces documents. L’agence a ensuite modifié cette demande pour la porter à 75 ans.

Une priorité pour l’agence

L’équipe juridique représentant PHMPT a fait valoir dans ses [url=https://fingfx.thomsonreuters.com/gfx/legaldocs/gdvzymjqrpw/FDA FOIA plaintiff brief.pdf]documents judiciaires[/url] que la FDA, en 2020, comptait 18.062 employés, ce qui indique que l’agence pourrait trouver la main-d’œuvre nécessaire pour répondre rapidement à la demande de FOIA.
Dans son ordonnance, le juge Pittman a reconnu qu’il imposait un « fardeau » à la FDA en respectant le délai de publication de ces documents, mais a néanmoins précisé qu’il devait s’agir d’une priorité pour l’agence.


Il a déclaré : « Ici, le tribunal reconnaît les défis ‘indûment lourds’ que cette demande de FOIA peut présenter à la FDA … Mais … il n’y a peut-être pas de ‘question plus importante à la Food and Drug Administration … que la pandémie, le vaccin Pfizer, la vaccination de tous les Américains, [et] s’assurer que le public américain est assuré que cela n’a pas été précipité « .

« Une farce ou une tragédie »



M. Pittman, en plus de citer Kennedy dans son ordonnance, s’est également appuyé sur les paroles de l’ancien président américain James Madison : « Un gouvernement populaire, sans information populaire, ou sans les moyens de l’acquérir, n’est que le prologue d’une farce ou d’une tragédie ; ou, peut-être, des deux. La connaissance gouvernera toujours l’ignorance : Et un peuple qui veut être son propre gouverneur doit s’armer du pouvoir que donne la connaissance. »

L’avocat Arron Siri du cabinet Siri & Glimstad, qui a représenté le PHMPT dans son procès, a déclaré à Reuters que l’ordonnance du juge « s’est prononcée en faveur de la transparence et de la responsabilité« .


Me Siri a poursuivi : « Il s’agit d’une grande victoire pour la transparence et elle élimine l’un des obstacles que les autorités fédérales de la « santé » avaient sur les données nécessaires aux scientifiques indépendants pour proposer des solutions et aborder les problèmes graves du programme de vaccination actuel – des problèmes qui comprennent la diminution de l’immunité, les variants qui échappent à l’immunité vaccinale et, comme le CDC l’a confirmé, le fait que les vaccins ne préviennent pas la transmission. ‘’



L’obligation vaccinale porte atteinte à la liberté



Il poursuit : « Personne ne devrait jamais être contraint de s’engager dans une procédure médicale non désirée. Et s’il est déjà assez grave que le gouvernement ait violé ce droit fondamental à la liberté en rendant obligatoire le vaccin Covid-19, le gouvernement a également voulu cacher les données en attendant de produire pleinement ce sur quoi il s’est appuyé pour homologuer ce produit, jusqu’à ce que presque chaque Américain vivant aujourd’hui soit mort. Cette forme de gouvernance est destructrice de la liberté et contraire à l’ouverture requise dans une société démocratique. »
PHMPT s’est engagé à publier tous les documents de la FDA sur son site web.
La FDA peut faire appel de la décision. Dans le cas contraire, la FDA et le PHMPT sont tenus de soumettre un rapport avant le 1er avril, détaillant les progrès réalisés en matière de publication des documents.
Des rapports supplémentaires devront ensuite être soumis tous les 90 jours jusqu’à ce que tous les documents aient été divulgués.



La primauté du droit



L’histoire médicale montre que ce sont souvent les avocats, généralement aux États-Unis, qui demandent des comptes à l’industrie pharmaceutique plutôt que les médecins, mais cela prend du temps.
En 2009, Pfizer a été condamné à une amende record de 1,3 milliard de dollars pour la promotion illégale de médicaments après que sa filiale Pharmacia & Upjohn a plaidé coupable à des accusations criminelles. La société a également été condamnée à payer un milliard de dollars de dommages civils. L’affaire a été portée devant les tribunaux après qu’un dénonciateur a publié des informations sur l’entreprise en 2003.



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Le groupe Pfizer a-t-il été condamné par le passé à des milliards de dollars d’amendes?
La pandémie de Covid-19 en Francedossier


Comme de nombreux géants pharmaceutiques, l’entreprise américaine Pfizer a été condamnée à de lourdes amendes par le passé, notamment pour des faits de pratiques commerciales frauduleuses ou de non respect de l’environnement et des droits humains.

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La base de données «Violation Tracker» de l’organisation américaine Good Jobs First recense un total de pénalités supérieur à 10 milliards de dollars de 2000 à 2019 pour le groupe Pfizer et l’ensemble de ses filiales. (Ulrich Baumgarten/Getty Images)

par Jacques Pezet
publié le 6 janvier 2022 à 9h51




Vous êtes nombreux à nous interroger sur le passif judiciaire de l’entreprise pharmaceutique américaine Pfizer, qui produit le vaccin Comirnaty utilisé pour lutter contre le Covid. Sur les réseaux sociaux, plusieurs internautes accusent l’entreprise d’avoir été condamnée à plus de 4 milliards de dollars d’amende pour des faits multiples de «publicité mensongère, charlatanisme, corruption de médecins et de fonctionnaires». Cet argument est souvent brandi par les antivax pour justifier (ou susciter) un manque de confiance dans l’entreprise produisant l’un des vaccins à ARN messager les plus utilisés contre le Covid.



Il est tout à fait exact de dire que le groupe Pfizer a été condamné à plusieurs reprises par la justice, souvent pour des sommes importantes, dont un record de 2,3 milliards de dollars en 2009. Bien avant l’apparition du Covid, des associations américaines, comme les organismes de surveillance Public Citizen ou Good Jobs First ont compilé les condamnations de différents groupes pharmaceutiques.



Dans un rapport publié en 2018, Public Citizen notait que «de 1991 à 2017, GlaxoSmithKline [le géant pharmaceutique britannique GSK, ndlr] et Pfizer ont payé plus de pénalités financières – 7,9 milliards de dollars et 4,7 milliards de dollars, respectivement – et ont conclu davantage de règlements (32 et 34, respectivement) avec les gouvernements fédéraux et d’état que toutes les autres entreprises». Ce montant ne concerne que les règlements recensés aux États-Unis et ne prend pas en compte d’autres amendes comme celle de près de 100 millions d’euros infligée au groupe au Royaume-Uni en 2016 pour des hausses de prix.

Valves cardiaques défectueuses et surfacturation de médicaments


Créée en 2015 par l’ancien journaliste économique Philip Mattera, la base de données «Violation Tracker», de l’organisation américaine Good Jobs First, recense le comportement répréhensible des entreprises. Sa fiche dédiée à l’entreprise Pfizer indique un total de pénalités supérieur à 10 milliards de dollars de 2000 à 2019 pour le groupe et l’ensemble de ses filiales. Dans un billet de blog publié en novembre 2020, alors que le vaccin Comirnaty de Pfizer s’apprêtait à être autorisé dans le monde entier, Philip Mattera, bien qu’«impatient de voir les progrès réalisés dans la lutte contre le Covid» et se disant «prêt à faire confiance à [l’immunologue] Anthony Fauci», exprimait sa méfiance à l’égard du géant pharmaceutique. Mattera rappelait alors le «palmarès» judiciaire de l’entreprise «rempli d’affaires dans lesquelles elle a été accusée d’avoir trompé les autorités de réglementation et le public sur la sécurité de ses produits».



CheckNews

Est-il vrai que les vaccins utilisés contre le Covid-19 sont toujours en phase d’évaluation ?

CheckNews
30 mai 2021abonnés

L’entreprise a ainsi dû verser des millions de dollars d’amende pour des valves cardiaques défectueuses, pour la surfacturation de ses médicaments, pour des déclarations fausses ou trompeuses sur ses produits, pour non-respect de l’environnement ou des droits humains (en testant des antibiotiques sur des enfants au Nigeria, sans l’accord de leurs parents) mais surtout pour la promotion de ses médicaments pour des utilisations non approuvées par la Food and Drug Administration, l’organisme américain qui autorise la mise sur le marché de nouveaux médicaments.

La sanction la plus spectaculaire est celle de 2,3 milliards de dollars, versée en 2009 pour «des pratiques commerciales frauduleuses» concernant l’anti-inflammatoire Bextra, retiré du marché en 2005 en raison d’inquiétudes sur ses effets secondaires. A l’époque, le ministère de la Justice avait présenté cet accord comme «la plus grosse amende jamais infligée par la justice américaine dans la santé». En 2012, Pfizer a également été sanctionné de 60 millions de dollars dans une affaire de corruption pour avoir «pris des raccourcis pour développer ses affaires dans plusieurs pays d’Eurasie, en versant plusieurs millions de dollars de pots-de-vin à des responsables gouvernementaux en Bulgarie, Croatie, Kazakhstan et Russie», selon un communiqué du ministère de la Justice américain.



Les autres groupes pharmaceutiques également condamnés


Ce lourd passif judiciaire a-t-il été pris en considération par la Commission européenne lors du marché passé avec Pfizer ? Interrogée précisément sur ce point par l’eurodéputée du Rassemblement National, Mathilde Androuët, la Commission européenne a publié une réponse écrite le 26 avril, dans laquelle elle évite les diverses condamnations du groupe pharmaceutique américain. Le message de l’institution européenne se contente de détailler le processus d’achats des différents vaccins et de souligner l’expertise menée par l’Agence européenne du médicament quant à l’évaluation des informations fiables sur l’innocuité, l’efficacité et la qualité pharmaceutique des vaccins.

Si le «casier judiciaire» du groupe Pfizer se voit régulièrement évoqué par les opposants à la vaccination, les autres grands groupes pharmaceutiques, qu’ils produisent (ou non) des vaccins contre le Covid ne sont pas plus vierges de condamnations. Dans son rapport de 2018, Public Citizen citait déjà le groupe britannique GFK parmi les plus condamnés, ajoutant également les noms de Johnson & Johnson, Teva, Merck, Abbott, Eli Lilly, Schering-Plough, Novartis, Mylan et AstraZeneca parmi les entreprises «qui ont payé plus d’un milliard de dollars de pénalités financières de 1991 à 2017». Pour arriver à ces montants, le médecin et fondateur de Public Citizen, Sidney Wolfe, explique avoir «utilisé les communiqués de presse du ministère américain de la Justice annonçant ces sanctions, ainsi que les sites web des procureurs généraux des Etats».



Dans les archives (2014)

Les documents qui révèlent les dérives du laboratoire Merck

Société
3 févr. 2014

Concernant les groupes producteurs de vaccin contre le Covid, Philip Mattera notait dans son billet de blog que «Moderna n’existe pas depuis assez longtemps pour avoir de gros problèmes, mais d’autres entreprises travaillant sur des vaccins ont des antécédents similaires à ceux de Pfizer. Il s’agit notamment de Johnson & Johnson, dont le total des pénalités sur Violation Tracker s’élève à 4,2 milliards de dollars, AstraZeneca (1,1 milliard de dollars), GlaxoSmithKline (4,4 milliards de dollars) et Sanofi (641 millions de dollars).»

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SANTE - Page 2 15210210  SANTE - Page 2 Captu404



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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeVen 21 Jan - 9:16

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Exclu : Macron a-t-il favorisé Pfizer au détriment de l’industrie française ? Un ex-sénateur se met à table





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Macron a-t-il favorisé (de façon très douteuse) le laboratoire Pfizer au détriment de l'industrie française, notamment au détriment de l'entreprise Valneva ? C'est ce que suggère (très fortement) l'ancien sénateur centriste de Paris Yves Pozzo di Borgo, qui raconte une anecdote croustillante recueillie dans un dîner parisien... Et, progressivement, la vérité se déroule sous nos yeux. Plus le temps passe, plus les éléments se rassemblent pour montrer que la gestion de la crise sanitaire en Europe est d'abord dictée par l'intérêt des laboratoires pharmaceutiques.




L’ancien sénateur centriste de Paris, Yves Pozzo di Borgo, a bien voulu nous accorder une interview dans la foulée de deux tweets explosifs qu’il a publié sur les liens entre Emmanuel Macron et l’industrie pharmaceutique. Selon lui, un patron de laboratoire a été convoqué à l’Elysée pour s’entendre dire qu’il n’aurait pas l’utilisation de produire le vaccin russe, mais qu’il pourrait produire le vaccin Pfizer. 
Faut-il en conclure qu’Emmanuel Macron a personnellement favorisé un opérateur mondialisé comme Pfizer au détriment d’une entreprise française ?
La question est posée et, bien entendu, nos colonnes sont ouvertes à un droit de réponse du Président de la République. 



Les questions non résolues de l’affaire Pfizer

Quelle est la marge de manoeuvre dont chaque ministre de la Santé dispose en matière de vaccination ? Personne ne le sait au juste, mais les langues commencent à se délier. Des acteurs du « système » posent désormais ouvertement la question. Lorsqu’Yves Pozzo di Borgo, connu pour sa modération, explique qu’un patron de laboratoire a été reçu à l’Elysée pour s’entendre interdire de produire des vaccins russes mais recommander de produiree des vaccins Pfizer, on ne peut que s’interroger sur les influences occultes en matière de stratégie vaccinale. 
Pour l’instant, nous ne savons pas tout, mais l’avenir devrait progressivement éclaircir les circonstances dans lesquelles les choix vaccinaux ont été opérés. Nous avons déjà détaillé dans nos colonnes les doutes statistiques que la stratégie publique soulève.  
lol!
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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeMer 19 Jan - 15:08

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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeMer 19 Jan - 11:05

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Un pharmacien soupçonné d’avoir détourné 18 millions d’euros en facturant des tests Covid fictifs

Une escroquerie à grande échelle pour laquelle le pharmacien parisien a été mis en examen et incarcéré.

Avec Afp | Publié le19/01/2022


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Photo illustration Matthieu Botte - VDN


Un pharmacien parisien a été mis en examen et écroué mi-décembre. Il est soupçonné d’avoir facturé des tests fictifs de dépistage du Covid-19, pour un préjudice d’au moins plusieurs millions d’euros pour la sécurité sociale. Selon les informations du Parisien, ce pharmacien à la tête de plusieurs officines à Paris est soupçonné d’avoir perçu frauduleusement la somme de 18 millions d’euros en quelques semaines en facturant à la Caisse primaire d’assurance maladie plus de 3 millions de tests antigéniques qu’il déclarait avoir vendus à des professionnels de santé.



Le 17 décembre, ce pharmacien a été mis en examen pour escroquerie et blanchiment en bande organisée et pour faux et usage de faux, puis placé en détention provisoire, a confirmé une source judiciaire. D’après le Canard enchaîné, qui a révélé l’existence de cette enquête, les investigations ont débuté après qu’un médecin a découvert qu’il avait acheté à son insu des milliers de tests. La CPAM, citée dans le journal, aurait saisi le parquet de Paris après «avoir constaté des pratiques frauduleuses de facturation à l’Assurance maladie de commandes (de tests antigéniques) non délivrées» aux médecins. Entre septembre et mi-décembre, le pharmacien aurait d’une part surévalué ses déclarations de tests réalisés dans son officine et aurait, d’autre part, gonflé le nombre de kits de tests vendus à des médecins, au détriment de la CPAM.


« Des commandes (de tests) ont pu être livrées, d’autres non ou à d’autres personnes»

«Des médecins nous ont dit ne pas connaître le pharmacien», a rapporté une source proche du dossier, affirmant qu’un deuxième pharmacien avait également été entendu en garde à vue. «On doit encore comprendre le mécanisme des remboursements par la CPAM», a-t-on souligné de même source. «Des transporteurs ont été missionnés. Des commandes (de tests) ont pu être livrées, d’autres non ou à d’autres personnes».


800 000 euros en liquide saisis

Selon le Canard enchaîné, les enquêteurs de la brigade de répression de la délinquance astucieuse de la police judiciaire de Paris ont trouvé début janvier 800 000 euros en liquide dans l’une des pharmacies.


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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeMar 18 Jan - 10:36

LA GABGIE FRANCAISE 

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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeMar 18 Jan - 9:14

LA DICTATURE EN MARCHE


ils voudraient maintenir la population dans un mauvais état de santé qu'ils ne s'y prendraient pas mieux !!!

Je suis choqué . C'est tellement grave ce qu'il se passe actuellement !!!




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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeDim 16 Jan - 8:44

LA FRANCE MANQUE DE MEDECINS ?
 C 'est voulu ...car il faut protéger les revenus de ceux qui sont en place et qui défendent leur intérêts .



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VOILA LE RESPONSABLE DU MANQUE DE MEDECINS :


Le lobby du Conseil national de l'Ordre des médecins

Le Conseil national de l'Ordre des médecins est un organisme dont tout le monde a déjà entendu le nom, mais on ne sait pas toujours quelle est sa fonction. Incontournable, cet organisme agirait comme un lobby. Qui adhère au Conseil de l'Ordre ? Qui représente-t-il ? Comment agit-il ? Les explications avec Rudy Bancquart.


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La rédaction d'AlloDocteurs
Rédigé le 17/06/2015, mis à jour le 18/06/2015




Le Conseil national de l'Ordre des médecins est une exception. Il n'existe pas de tel organisme dans aucun autre corps de métier. Il existe d'autres ordres comme chez les avocats, mais ils n'ont pas autant de pouvoir.
Le Conseil national de l'Ordre des médecins est un organisme privé qui a une mission de service public. Il doit faire "vivre la déontologie" et notamment "conseiller les pouvoirs publics" "au nom de la défense de la profession". "Il fait aussi entendre sa voix dans tous les grands débats de santé nationaux et internationaux, qu'ils portent sur l'éthique ou les évolutions de l'exercice médical". On peut donc clairement dire qu'il s'agit d'un lobby.
Le Conseil national de l'Ordre des médecins est composé de 50 membres élus pour six ans. Son président est aujourd'hui est le Dr Bouet. Il succède au Dr Legmann proche de Nicolas Sarkozy, il était élu à Neuilly. On dit que le Dr Bouet est plutôt un homme de gauche, une première à la tête du Conseil de l'Ordre




Qui adhère au Conseil de l'Ordre ? Qui représente-t-il ?




Il représente tous les médecins. Pour qu'un médecin puisse exercer, il doit être diplômé, mais aussi être inscrit au tableau de l'Ordre. Sinon cela s'apparente à un exercice illégal de la médecine (deux ans de prison et 30.000 euros). Etre inscrit signifie aussi payer une cotisation. En France, 270.000 médecins ont l'obligation de payer 300 euros de cotisation sauf les 45.000 retraités qui paient 150 euros. Au total, l'Ordre dispose donc d'une cagnotte annuelle de 75 millions pour faire entendre sa voix.

Comment agit le Conseil national de l'Ordre des médecins ?

Comme tous les lobbies, le Conseil national de l'Ordre des médecins est assez discret et agit en coulisses. Il a la chance d'avoir accès directement aux ministres de la Santé. C'est un lobby institutionnalisé. Et il a pour lui le soutien d'une grande majorité de médecins dont il a toujours défendu les intérêts de façon quasi corporatiste.
Les gouvernements savent que c'est une profession qu'il vaut mieux avoir avec soi que contre soi car les médecins sont des relais d'opinion puissants, le fameux effet blouse blanche. Enfin le Conseil de l'Ordre peut aussi compter sur les parlementaires médecins. Cette profession a toujours été bien représentée à l'Assemblée et au Sénat.

Un organisme très influent

Il n'y a aucune loi de santé prise sans que le Conseil national de l'Ordre des médecins ne soit consulté. Si on devait faire un flash-back, on ne peut pas dire qu'il s'est illustré par son caractère progressiste. Pour preuve, la bataille contre l'ouverture des plannings familiaux, contre la pilule ou encore contre l'IVG où il a été particulièrement actif.
En 1981, le Conseil de l'Ordre a bien failli disparaître. "Supprimer le Conseil de l'Ordre" était en effet la 85e proposition de François Mitterrand, une idée qu'il évoquait déjà en 1978. François Mitterrand parlait d'un organisme anti-démocratique. Mais il ne tiendra pas sa promesse de dissolution, les pressions étaient trop fortes.
Dans les années 2000, il y a eu un petit dépoussiérage. Les représentants locaux ont acquis plus de pouvoir. Les patients peuvent déposer des plaintes plus facilement contre les médecins s'il y a contentieux. En 2013, il en a reçu 5.755. En 2001, il a fait paraître son premier rapport d'activité. Il devient donc un peu moins opaque. Mais globalement on ne peut pas dire qu'il encourage le changement. D'ailleurs Marisol Touraine en a fait les frais.

Loi santé : les pressions du Conseil de l'Ordre

Marisol Touraine a dû composer avec le Conseil de l'Ordre pour la loi de santé votée en avril 2015. La ministre de la Santé a dû céder à ses pressions, comme le prouve un document envoyé à tous les médecins : "L'Ordre vient d'obtenir après trois mois d'action, que la ministre de la Santé revienne sur son projet de loi, le réécrive et en diffère l'analyse parlementaire à avril 2015". Des associations de médecins, certains syndicats ou encore certaines associations de patients militent pour la dissolution de l'Ordre.
Aujourd'hui le Conseil de l'Ordre continue son travail de lobbying, il reste très présent sur certains sujets. En coulisse, il refuse toute augmentation du numerus clausus et défend bec et ongles la liberté d'installation alors qu'on ne cesse de parler des déserts médicaux. Il milite contre l'euthanasie, et a des positions discutables sur les dépassements d'honoraires. Il reste globalement conservateur alors que notre système de santé est en train de bouger.
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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeMar 11 Jan - 15:51

BIENVENUE EN ABSURDIE  ! 


Au royaume de la bureaucratie parisienne déconnectée et manipulée par les lobbyistes de la santé  !



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                                                                           Interdit d'être debout au comptoir des cafés
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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeMar 11 Jan - 8:01

BIENVENUE EN ABSURDIE  ! 


Au royaume de la bureaucratie parisienne déconnectée et manipulée par les lobbyistes de la santé  !

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Tester davantage? En centre comme en pharmacie, pas si évident

Des centres de dépistage à proximité des centres de vaccination, des pharmaciens autorisés à créer leurs centres de dépistage, davantage de personnes habilitées à réaliser les tests... Que peut-on attendre du « plan de renforcement » des capacités de tests annoncé dimanche par le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal ?

Magalie Ghu | Publié le10/01/2022


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Les pharmaciens peuvent ouvrir des centres de dépistage avec des infirmiers, mais en dehors de leur officine, comme ici à Lille. 
PHOTO PIERRE LE MASSON - VDN



Tout de go, il qualifie l’idée d’« hérésie ». La colère un peu retombée, il la trouve « farfelue ». « Complet pour trois semaines minimum » Jean-Claude Telliez, médecin coordonnateur du centre de vaccination d’Armentières, a bien du mal à imaginer ses équipes faire des tests entre deux injections.


«On va demander l’ouverture de centres de dépistage près des centres de vaccination», afin qu’à des moments creux de vaccination, les professionnels sur place puissent réaliser des tests, a en effet expliqué Gabriel Attal.






« Je ne comprends pas qu’on puisse avoir une idée aussi éloignée des réalités du terrain », poursuit le Dr Telliez, qui ironise en invitant le représentant de l’Exécutif, « s’il a des temps morts », à venir prêter main-forte.


Citation :


Citation :
« On ne peut pas faire venir des patients potentiellement positifs auprès de personnes fragiles venues se faire vacciner »







« On est en train d’user tout le monde », renchérit le généraliste croisien Charles Charani, évoquant des « professionnels de santé sur tous les fronts ».


 Et puis, coupler dépistage et vaccination, « c’est impossible », s’exclame celui qui préside la communauté professionnelle territoriale de santé (CPTS) de la Marque, à l’origine sur Wasquehal, Croix et Villeneuve-d’Ascq de deux centres de vaccination et deux centres de dépistage, sur des implantations bien distinctes. « On ne peut pas faire venir des patients potentiellement positifs auprès de personnes fragiles venues se faire vacciner ».


Ce point de vue, Jacques Franzoni, qui coordonne le centre de vaccination de Valenciennes, le partage. En revanche, parmi les propositions de Gabriel Attal, il en est une qui a retenu son attention, celle « sur l’exercice forain des infirmiers ».



Crise sanitaire oblige, l’interdiction qui leur est faite d’œuvrer dans d’autres lieux que ceux dans lesquels ils exercent habituellement a été levée fin 2020, mais celle-ci reste en vigueur en officine ou dans un local commercial pour éviter tout « risque de compérage », pratique que le Code de la Santé publique définit comme « l'intelligence entre deux ou plusieurs personnes en vue d'avantages obtenus au détriment du patient ou de tiers ».


Les infirmiers peuvent donc prêter main forte en centre de vaccination, mais pas en pharmacie. « Des règles qui n’ont plus de sens, à un moment ou tous les professionnels cherchent à travailler les uns avec les autres », juge le Dr Franzoni. Mais cela pourrait changer. Gabriel Attal entend donner aux pharmaciens « la possibilité de recruter eux-mêmes temporairement des professionnels de santé qui viendront travailler dans leur propre petit centre de dépistage».


« Ce qui nous manque, c’est la main d’œuvre »



Rien n’est pour l’instant écrit, rappelait lundi soir l’Agence régionale de santé (ARS), mais ce scénario ne déplairait pas aux pharmaciens. « Les locaux pour dépister on les a. Ce qui nous manque, c’est la main-d’œuvre », explique Grégory Tempremant, président de l’Union régionale des professionnels de santé (URPS) pharmaciens. « Même dans les barnums, nous ne pouvons recruter que des étudiants. Et ils peuvent seulement prélever puisque la lecture des résultats doit être faîte par un professionnel de santé diplômé ». En attendant, il regrette que « les effets d’annonce dans la presse précèdent les informations concrètes ».


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LA FORMULE? C' EST LE BULLETIN DE VOTE


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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeLun 10 Jan - 8:43

En raison de l'effondrement du système de santé et si vous ne voulez pas risquer d'aller immédiatement à l'hôpital.

➙ Comment savez vous que vous avez la Covid-19?!

démangeaisons de la gorge

◉ Gorge sèche

◉ Toux sèche

◉ Haute température

◉ Difficulté à respirer

◉ Perte d'odeur et de goût

__________

◉ Les symptômes apparaissent à partir du troisième jour après l'infection (symptômes viraux).

➙ 1ère phase ;

◉ Douleur corporelle

◉ Douleur oculaire

◉ Maux de tête

◉ Vomissements

◉ Diarrhée

◉ Nez qui coule ou congestion nasale

◉ Yeux brûlants

◉ Brûlure en urinant

◉ Se sentir fiévreux

◉ Gorge éraflée (mal de gorge)

➙ Il est très important de compter les jours de symptômes : 1er, 2ème, 3ème.

◉ Il faut agir avant l'apparition de la fièvre .

◉ Attention, il est très important de boire beaucoup de liquides, en particulier de l'eau purifiée.

Buvez beaucoup d'eau pour ne pas garder votre gorge sèche et pour aider à dégager vos poumons.

__________

➙ 2ème phase ; (du 4e au 8e jour) inflammatoire.

◉ Perte de goût et / ou d'odorat

◉ Fatigue avec un minimum d'efforts

◉ Douleur thoracique (cage thoracique)

◉ Resserrement de la poitrine

◉ Douleur dans le bas du dos (dans la région des reins)

__________

➙ Le virus attaque les terminaisons nerveuses ;

◉ La différence entre la fatigue et l'essoufflement :

• Le manque d'air , c'est lorsque la personne est assise - sans faire aucun effort - et est essoufflée ;

• La fatigue, c'est quand la personne bouge pour faire quelque chose de simple et se sent fatiguée.

__________

➙ Il faut beaucoup d'hydratation et de vitamine C.

__________

Covid-19 lie l'oxygène , donc la qualité du sang est mauvaise, avec moins d'oxygène.

__________

➙ 3e phase - guérison ;

◉ Le jour 9, la phase de guérison commence , qui peut durer jusqu'au jour 14 (convalescence).

◉ Ne retardez pas le traitement , le plus tôt sera le mieux!

__________

➙ Bonne chance à tous!



Il vaut mieux garder ces recommandations, la prévention n'est jamais de trop !

• Asseyez-vous au soleil pendant 15 à 20 minutes

• Reposez-vous et dormez pendant au moins 7 à 8 heures .

• Boire 1 litre et demi d’eau par jour

• Tous les aliments doivent être chauds (pas froids).



➙ Gardez à l'esprit que le pH du coronavirus varie de 5,5 à 8,5.



Donc, tout ce que nous avons à faire pour éliminer le virus est de consommer plus d'aliments alcalins, au-dessus du niveau d'acide du virus.


Bonne chance !  lol!
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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeLun 10 Jan - 8:29

LE SCANDALE DES TESTS ANTIGENIQUES ,  PCR et AUTOTESTS


En décembre ils ont couté 1 milliard d 'euros a la collectivité  
1 test  était vendu   61 euros debut décembre  pour descendre ensuite a 36 euros ...


La chine  vend ces tests  2 euros aux professionnels de la sante français qui se font donc une belle marge bénéficiaire ...la pandémie a du bon !


Macron fait dépenser des sommes ahurissants et inutiles car on si on veut on  peut se tester tous les jours, car tous les jours on risque d 'être contaminé. 


Il faudrait se faire tester que si on a les premiers symptômes ,nez qui coule , mal de gorge , fièvre et grande fatigue.


1 milliards d 'euros  gaspillé pour des tests,  mais rien pour former des infirmières avec de bons salaires 


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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeSam 8 Jan - 16:51

Stop aux derives autoritaires , aux pass , aux tests débiles dans les écoles ou ailleurs , qui agrandissent le deficit de la sécurité sociale. 
 TOUT CA POUR UN GROS RHUME



Fatigue, toux, fièvre... ces symptômes d’Omicron semblables à un rhume qui doivent vous alerter

Les symptômes du variant Omicron peuvent ressembler à ceux d’un rhume, voici ceux à surveiller pour vous faire tester si vous êtes malade.

C. Br. | Publié le08/01/2022


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Les symptômes du variant Omicron peuvent ressembler à ceux d’un rhume, voici ceux à surveiller pour vous faire tester si vous êtes malade. -
 PHOTO THIERRY THOREL




Le variant Omicron continue de déferler sur la France. Ce vendredi, plus de 328 000 cas ont encore été détectés en France, et ce jeudi le taux d’incidence en France a dépassé pour la première fois les 2 000 depuis le début de la pandémie. Dans les Hauts-de-France, il représente désormais près de 4 cas sur 5.
Chaque variant du Covid-19 semble avoir des symptômes qui lui sont propres. Omicron, qui est plus contagieux que Delta mais provoque moins de formes graves, a souvent les caractéristiques d’un rhume.








Dans son point épidémiologique de la semaine, Santé Publique France donne les conclusions d’une investigation réalisée en France pour découvrir les caractéristiques d’Omicron. Au 4 janvier, 338 cas confirmés Omicron ont été investigués, et sur ces cas, au moins 283 étaient symptomatiques et les symptômes expérimentés étaient disponibles pour 246 malades.
Selon cette étude, les symptômes les plus courants d’Omicron sont l’asthénie, à savoir une fatigue anormale très prononcée  : ce symptôme est revenu chez 59 % des malades. Suivent la toux (53,6 % des malades), la fièvre, (53,6 % des malades), les maux de tête (43 %), des douleurs musculaires (39,4 %), un mal de gorge (29,2 %) ou encore un écoulement nasal (26,4 %).




SANTE - Page 2 B9729568189Z.1_20220108111506_000%2BGEEJLHF71.1-0CAPTURE D’ECRAN SANTE PUBLIQUE FRANCE


Le « problème » avec ces symptômes, c’est que certaines personnes peuvent donc avoir le Covid-19 sans le savoir. En cette période hivernale, certains malades sont persuadés d’avoir un rhume et ne se font pas forcément tester.


Peu d’hospitalisations

Seuls 9 % des patients ayant communiqué leurs symptômes ont fait l’expérience d’une perte d’odorat ou de goût, un trouble souvent revenu chez les malades contaminés avec Delta et de précédentes souches.
Par ailleurs, Santé publique France indique dans son point épidémiologique que ces symptômes sont généralement bénins : 5 malades ont été hospitalisés, mais aucun d’entre eux n’a nécessité une prise en charge en réanimation.
Cette étude menée sur 338 cas confirmés d’Omicron montre également que les malades sont plus jeunes que ceux qui avaient été infectés par Delta sur la même période, avec un âge médian fixé à 32 ans.
Santé Publique France rappelle que « ces résultats préliminaires doivent être interprétés avec prudence », notamment puisque certaines données « sont encore en cours de recueil ». Mais, selon l’organisme, « ils suggèrent toutefois une moindre sévérité de l’infection par le variant Omicron, ce qui est cohérent avec les analyses publiées par d’autres pays ».


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MessageSujet: Re: SANTE   SANTE - Page 2 Icon_minitimeSam 8 Jan - 10:25

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