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 LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.

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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeMar 19 Déc - 8:06

Sabrina Sebaihi, membre d'Europe Écologie Les Verts, députée des Hauts-de-Seine depuis 2022 ayant la double nationalité Algérienne , s 'oppose a la renégociation des accords de 1968.










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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeLun 27 Nov - 9:48

LES ECOLOS VEULENT AUGMENTER LE COUT DES CARTES GRISES DE 22 %


          
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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeSam 28 Oct - 9:50

« Laïcité à géométrie variable » : le maire de Lyon critiqué pour avoir inauguré une mosquée


L’inauguration de la mosquée Imam Malik par le maire de Lyon a suscité la controverse, alors que Grégory Doucet refuse systématiquement de participer à la cérémonie catholique du Vœu des Échevins.


Maugan Rambour27/10/2023 à 22:47



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Le maire de Lyon, Grégory Doucet. NurPhoto via AFP / :copyright: Nicolas Liponne/NurPhoto





Le 9 septembre 2020, le maire de Lyon Grégory Doucet posait la première pierre de la mosquée Imam Malik de Gerland. L’initiative n’avait pas manqué de susciter la controverse, l’édile écologiste ayant refusé la veille de participer à la cérémonie catholique du Vœu des Échevins au nom du « respect du principe de laïcité ». Trois ans plus tard, Grégory Doucet a inauguré mercredi cette même mosquée, se félicitant de « l’aboutissement d’un long projet », rapporte Le Progrès.


À LIRE AUSSI Hébergement d'urgence à Lyon : le préfet de la région répond aux déclarations de Grégory Doucet au JDD


Il n’en fallait pas plus pour renouveler la polémique, d’aucuns questionnant le rapport parfois ambigu de l’édile avec le concept de laïcité. Depuis son élection, Grégory Doucet refuse en effet toujours de participer à la cérémonie du Vœu des Echevins, une tradition lyonnaise remontant au XVIIe siècle, et devenue depuis un rendez-vous au cours duquel le maire de Lyon et les élus de la ville doivent remettre un écu d’or à l’archevêque. « Nous sommes étonnés de voir le maire de Lyon refuser systématiquement de participer à la cérémonie du Vœu des Échevins […] mais n’éprouver aucune gêne à pénétrer dans une mosquée pour son inauguration », a ainsi déploré le Mouvement conservateur. « L’extrême gauche se perd dans ses incohérences », a de son côté fustigé l’élue LR Béatrice de Montille.


Grégory Doucet affirme respecter la loi de 1905
Un deux poids, deux mesuresqui interpelle également certains élus LREM, tel que l’ancien président de la métropole David Kimelfeld. S’il estime que Grégory Doucet est « dans son rôle de maire en inaugurant cette mosquée », celui-ci s’étonne que le maire de Lyon « n’assiste pas au Vœu des Échevins qui est en réalité plus affaire de patrimoine de la ville que de religion ». Cela relève d’une « laïcité à géométrie variable », estime l’élu centriste.


À LIRE AUSSILyon : une relation toujours tendue entre Gérald Darmanin et Grégory Doucet, le maire écologiste


Face à cette énième polémique, Grégory Doucet n’a pas tardé à réagir sur le réseau social X (anciennement Twitter). Citant les deux premiers articles de la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l’État, le maire de Lyon a assuré respecter scrupuleusement le principe de laïcité affirmant que son « rôle d’élu de la République n’est pas de prendre part à une cérémonie religieuse quelle que soit sa nature ».


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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeDim 10 Sep - 17:18

« Le grand rêve de Sandrine Rousseau c’est d’émasculer tous les hommes.
Pour qu’il n’y ait que des hommes qui jouent aux dames.
Elle se dit fière de vivre avec un homme déconstruit.
Et lui, il le vit comment ? »

https://rmc.bfmtv.com/replay-emissions/les-grandes-gueules/gg-2022-sandrine-rousseau-vit-avec-un-homme-deconstruit-23-09_VN-202109230635.html




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Dernière édition par ACARIE le Sam 28 Oct - 9:52, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeJeu 24 Aoû - 9:31

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Mauvaise alliance : le franc-parler de Caroline Fourest

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par Caroline Fourest



Un tête-à-tête avec Mathilde Panot, puis avec Marine Tondelier, puis chanter à la Fête de l’Huma ! Ce n’est plus une tournée, c’est du speed dating ! Le rappeur Médine tient le haut de l’affiche de la gauche estivale comme peu de personnalités avant lui. Même Tariq Ramadan, à son firmament, n’a jamais réussi un tel noyautage… Partager la vedette avec deux cheffes de parti de la gauche, avant de fêter ça à la Fête de l’Huma. À ce niveau, ce n’est plus un flirt, mais des fiançailles. La noce dit tout du naufrage de la Nupes : son absence de colonne vertébrale, de scrupules, de vigilance en matière d’antisémitisme, et plus encore de stratégie contre le RN. Voilà pourquoi cette programmation, symptomatique et non anecdotique, fait tant de bruit. Le vrai sujet n’est pas Médine, mais sa fiancée : la Nupes qui, loin d’offrir une alternative à l’extrême droite, ne semble exister que pour lui servir de marchepied. Quel plus beau cadeau que cette triple invitation ? En coulisses, de nombreux écologistes sont effondrés.




Parmi les rares à oser le dire, Karima Delli est convaincue que cette réprobation est « majoritaire » au sein du mouvement (le refus de participer du maire de Bordeaux et de la maire de Strasbourg semble lui donner raison). Elle exige qu’on déprogramme le rappeur sous le hashtag #FallaitPasLinviter, pour l’instant sans succès. Mélenchon, lui, tient à cette invitation, qu’il défend férocement. A-t-il perdu la mémoire ? N’a-t-il aucun souvenir de la tempête déclenchée par le NPA, en 2010, lorsque le parti anticapitaliste tenait à présenter une candidate voilée aux municipales ? Ce fut son glas, la faute de trop, celle qui permit l’envol du tout nouveau Parti de gauche fondé par un certain Mélenchon, à l’époque laïque et universaliste. C’était un autre monde, avant de rater la présidentielle de 600 000 voix, avant de vouloir à tout prix le vote des banlieues, de choisir Éric Coquerel comme lieutenant, de trahir la gauche Charlie pour assouvir son obsession présidentielle. À l’époque, on n’invitait pas des rappeurs islamistes pour parler de l’extrême droite à la Fête de l’Huma… J’y ai souvent tenu tribune, devant des militants communistes fermement convaincus que combattre le racisme passait par refuser le fanatisme. Jusqu’à mon agression, en 2012, par des militants proches des Indigènes de la République, alliés des Frères musulmans, lançant des bananes pour dénoncer ma présence.




En ce temps-là, les organisateurs en étaient consternés. Des militants de la CGT promirent de me défendre chaque fois qu’il le faudrait. Cela ne sera pas nécessaire. Maintenant, c’est Médine l’invité, et l’expert… Lorsqu’on s’en désole dans Franc-Tireur, Marine Tondelier se plaint de ne pas avoir été interrogée. Lorsqu’on lui propose, publiquement et par texto, de venir en débattre dans nos pages, pas de réponse. À croire qu’il est plus facile de dialoguer avec un rappeur islamiste qu’avec une féministe laïque. C’est ça, le grand rassemblement ? La Nupes révèle son vrai visage, et son alliage... fait d’un métal froid, calculateur et sectaire. 




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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeMar 22 Aoû - 8:33

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Au nom du nom : l'édito de Raphaël Enthoven

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par Raphaël Enthoven



« ResKHANpée »« Finkielcrotte »« Durafour crématoire »… Pourquoi l’antisémite (de tous horizons et de toute époque) adore-t-il jouer avec les noms ? D’où lui vient cette fantaisie ? Quel rapport entre la haine des juifs et le goût de se moquer d’un patronyme ? La déshumanisation.

D’abord, en agrégeant un nom à une chose, l’antisémite juxtapose les deux et produit une sorte d’hybride gluant qui colle à la peau de sa victime. Le but est, littéralement, de transformer un nom propre en nom commun, de lui ôter sa majuscule à mesure que la chose s’empare du nom, le souille et, si elle peut, le recouvre complètement. Ainsi de Michel Durafour, admirable serviteur de l’État, sénateur et député, plusieurs fois ministre et pourfendeur de l’extrême droite, mort en 2017, dont la postérité ne retient que le calembour atroce qui valut, en son temps, à Jean-Marie Le Pen d’être condamné à une amende dérisoire.

C’est la raison pour laquelle le calembour antisémite s’attache, dans la mesure du possible, à ne pas changer les sonorités d’un nom, mais à les faire tinter différemment, comme s’il en disait le fin mot. Présumant (à juste titre) qu’on pense comme on entend, l’antisémite s’instille dans la conscience collective en faisant saillir une grossièreté ou une infamie par une infime inflexion du nom (« Finkielcrotte »), de sorte que, espère-t-il, le calembour nous vienne à l’esprit chaque fois qu’on prononce le patronyme en question.

C’est dire l’importance de prendre au sérieux cette rigolade avec les noms : elle-même ne plaisante pas du tout. Son œuvre n’est pas de faire rire, mais de faire ricaner en donnant à entendre ce que les gens qu’elle vise, censément, voudraient qu’on taise. Faute de révéler leur visage véritable, on dira leurs vrais noms, on dévoilera le sens caché sous le patronyme dont « ils » sont si fiers ! Autrement dit, le calembour n’a rien d’une blague et tout d’une agression ; il entend manifester la première nature, ou la nature profonde, de ceux dont il feint de se moquer. Et il parie sur la répétition pour nous entrer dans le crâne.

De façon générale, de Céline à Marc-Édouard Nabe en passant par Dieudonné, Soral ou Jean-Marie Le Pen, l’antisémitisme a toujours prisé l’humour. Chez les antisémites, « le rire n’est ni un blanc-seing, rappelle Michaël Prazan, ni un bouclier, ni une excuse… au contraire, c’est un identifiant, un signe de ralliement. » Et pour cause : en faisant ricaner son public, en employant des sous-entendus, en laissant entendre ce qu’il feint de n’avoir pas le droit de dire, l’antisémite se présente comme la victime d’un État qui le bâillonne et qui le contraint de contourner, par la truculence, la censure légale. Plus grave que tout, le calembour est négationniste. Du fameux « Shoahnanas » de Dieudonné au tout récent « ResKHANpée » du sinistre Médine, la vocation du calembour est de réduire la tragédie à néant en en faisant un objet de moquerie, quitte à s’en prendre, comme Médine, à Rachel Khan, dont, à l’exception de son grand-père (qui a survécu à Auschwitz durant trois années) et de sa mère hébergée par des Justes, toute la famille a péri dans les camps. 



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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeJeu 3 Aoû - 8:31

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Affaire Médine : EELV s’engouffre dans les affres de la gauche identitaire

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Baptiste Gauthey

Le rappeur polémique Médine est l’invité des universités d’été d’EELV. Ce qui pourrait être une simple erreur de casting révèle en réalité l’appartenance du parti écologiste à la gauche identitaire.


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Le rappeur Médine






Publié le 3 août 2023


Alors que la période estivale bat son plein et que l’actualité politique est morne, les journalistes à la recherche de sujets d’éditos n’ont pas grand-chose à se mettre sous la dent. C’était sans compter la capacité de certains partis et politiques à faire preuve d’une imagination débordante pour faire parler d’eux-mêmes.
Europe Écologie Les Verts et sa patronne, Marine Tondelier, sont les derniers à s’être (brillamment) illustrés dans cet exercice de haute voltige. Cette dernière a annoncé, ce lundi, la venue du rappeur Médine à leur université d’été au Havre, du 24 au 26 août 2023, pour un débat autour du thème « La force de la culture face à la culture de la force ».
 

Médine : simple rappeur conscient ?

Le rappeur est connu pour son engagement à gauche et son combat « contre l’extrême droite ». Récemment, il s’est opposé à la réforme des retraites et a réclamé, dans un tweet, la Justice pour Nahel.
Jusque-là, rien d’étonnant à ce qu’une personnalité du monde de la culture, assumant son engagement à gauche, soit invitée à échanger avec un parti de cette obédience. C’est d’ailleurs ainsi que le présente, dans un article étonnamment complaisant, le journal Libération.
Mais c’est oublier bien vite que derrière l’image consensuelle d’un « rappeur conscient », Médine porte des messages bien plus polémiques et problématiques… Un article de Marianne datant de 2018, signé des journalistes Hadrien Mathoux et Thomas Vampouille et bien plus fouillé et objectif que celui de leurs confrères de Libé, brosse un portrait bien plus ambivalent du Havrais.
 

La pensée de Médine : de la critique de l’universalisme républicain au communautarisme religieux…

Médine, c’est d’abord une dénonciation de la République, de son passé colonial et du traitement de ses minorités. Les institutions participeraient à maltraiter ses banlieues et sa jeunesse issue de l’immigration : du racisme systémique aux violences policières en passant par l’omniprésence de l’islamophobie dans le discours médiatique, tout cela mènerait à l’exclusion et à la ghettoïsation des minorités.
Cette bataille contre la République s’accompagne bien sûr d’une condamnation de la laïcité. Dans son titre Don’t Laïk, Médine chante « je me suffis d’Allah, pas besoin qu’on me laïcise », ou encore « crucifier les laïcards comme à Golgotha ». Il se défend de remettre en question la laïcité dans son ensemble, et assure dénoncer plutôt une « laïcité dévoyée », simple prétexte servant en réalité un discours islamophobe décomplexé.
Si l’opposition à la laïcité et à l’universalisme républicain constituent le penchant « négatif » de sa pensée, son penchant « positif » s’édifie autour de son adhésion au communautarisme comme contre-modèle.
C’est sur ce point que l’ambivalence et le flou entretenus par le rappeur sont sujets à polémique. Il a par exemple participé à une conférence, en 2009, du Parti des Indigènes de la République, dont la patronne Houria Bouteldja n’est pas connue pour sa grande modération, elle qui souhaite envoyer « les sionistes au goulag ». Cette fréquentation donne tout de suite une autre teinte à son engagement propalestinien…
De même, si d’un côté il invite les musulmans à ne pas entreprendre un jihad guerrier, l’auteur de l’album « Jihad » s’est affiché pendant des années comme ambassadeur de l’association « Havre de paix », qui s’inscrit dans le courant de la pensée des Frères musulmans et partage sur sa page facebook des fatwas de Youssef al Qaradawi, un théologien connu pour son antisémitisme et son soutien d’attentats terroristes…
On pourrait enfin signaler ses liens avec Kémi Séba, qu’il cite souvent, fondateur de la « Tribu Ka » (dissoute par décret pour incitation à la haine raciale) et du Mouvement des damnés de l’impérialisme (proche de mouvements islamistes et néonazis), militant bien connu de la mouvance raciste antiblanc et antisémite.
Bref, des compagnonnages, mais aussi des paroles comme « le pire de de mes frères, je l’aime ongles et bec, qu’il soit de Saint-Denis ou de Molenbeek » (Allumettes) qui devraient laisser tout observateur averti au moins perplexe et hésitant…
 

La gauche identitaire à l’assaut d’EELV ?

Manifestement, ce n’est pas le cas de Marine Tondelier et d’Europe Écologie les Verts. Mais alors, doit-on en conclure que cette invitation signifie adhésion aux thématiques développées plus haut ? Assurément, non. Mais elle est au moins révélatrice de la reconstruction idéologique en cours à gauche, et des errements qui l’accompagne.
EELV tendance Tondelier (c’était moins le cas avec Yannick Jadot, plus « old school ») fait partie de cette nouvelle gauche héritière des théories post-structuralistes issues d’une réinterprétation mal digérée (et d’une politisation) de la « French Theory » par les campus américains, que j’appelle gauche identitaire. Cette dernière, confrontée depuis la chute du mur au désenchantement des théories marxistes, a cherché à se renouveler en passant de la lutte des classes à la lutte des races.
On est certainement ici dans la manifestation la plus évidente d’islamo-gauchisme, terme polémique car trop souvent mal employé, tel que l’avait défini Pierre-André Taguieff au début des années 2000 afin de « désigner une alliance militante de fait entre des milieux islamistes et des milieux d’extrême gauche ». Ce choix, de la part de Marine Tondelier, n’a rien d’anodin, et s’inscrit dans une stratégie électorale plus large de séduction des quartiers populaires.
On ne manquera pas, avec un brin d’ironie, de constater que le choix de Médine comme représentant de cette jeunesse des quartiers colle en tout point aux stéréotypes et à l’imaginaire convoqués par l’extrême-droite lorsqu’ils parlent d’insécurité ou d’immigration.
Sur le plan des idées, cette invitation marque également un rapprochement avec la mouvance décoloniale. En effet, la gauche identitaire adhère en grande partie à la version modérée du discours de Médine, celui de la dénonciation du néocolonialisme, de l’universalisme républicain aveugle à la couleur de peau et de la laïcité dévoyée permettant l’expression d’une islamophobie systémique.
Mais il faut toujours supposer de ses adversaires politiques les meilleurs sentiments afin de critiquer la version la plus solide de leur argumentation. Je ne tomberai donc pas dans le piège qui consiste à taper sur un homme de paille : EELV n’est pas un parti islamique, anti-républicain et racialiste.
C’est précisément pour cette raison que l’invitation d’un personnage aussi controversé que Médine pose un problème. En décidant de mettre sous le tapis tous les éléments problématiques cités ci-dessus, la gauche identitaire ne condamne pas, voire accepte qu’en son sein puissent prospérer des idées auxquelles elle prétend ne pas adhérer.
 

La gauche et l’antisémitisme

La relation ambigüe qu’entretient une partie de la gauche avec l’antisémitisme est en ce sens exemplaire. Tous les élus de la gauche Nupes se présentent comme de grands combattants de l’antisémitisme, et s’insurgent qu’on puisse remettre en question leur engagement sur cette cause.
Or, comme le montre Rafael Amselem dans un article pour Le Point, « les juifs apparaissent comme les dommages collatéraux » du nouveau combat antiraciste, qui a substitué la lutte des races à la lutte des classes. En effet, la gauche identitaire adhère à la théorie critique de la race, qui repose sur une opposition binaire entre dominants et dominés. Dans ce schéma interprétatif, les juifs, parce que blancs et invisibles dans l’espace public, appartiennent nécessairement au camp de la « blanchité », donc des dominants. Et quand on est de gauche, les dominants, on les combat. Ajoutez par-dessus l’arrière-plan du conflit israélo-palestinien ainsi qu’un zeste d’intentions électoralistes à destination des quartiers populaires, et vous obtenez un mélange décapant.
Il n’y a ainsi rien d’étonnant, pour ne citer que cet exemple (et ils ne manquent pas…) à ce que Danielle Obono, députée de la France insoumise, ait déclaré qu’elle ne savait pas si la phrase prononcée par Houria Bouteldja était antisémite. Je vous laisse juge : « Les juifs sont les boucliers, les tirailleurs de la politique impérialiste française et de sa politique islamophobe ». Ambiance.
La répétition de ces compromissions de la gauche identitaire ne relève pas simplement d’erreurs individuels, de dérapages, mais est le symptôme d’un mal plus profond : son adhésion aux théories racialistes et identitaires. Une telle conceptualisation du monde social, centrée sur le couple dominant-dominé, ne peut qu’aboutir à la mise en accusation d’un groupe de la population contre lequel, au nom de la justice et de l’égalité, tout est permis.
Si La France Insoumise semble, sur ce point, s’être engluée un nombre incalculable de fois dans des prises de positionnement franchement douteuses, EELV avait jusqu’ici limité la casse. Mais il semble bien que Marine Tondelier ait rejoint certains de ses collègues de la NUPES dans le grand concours de « qui dira / fera la plus grosse énormité ». Qu’elle s’accroche, la compétition est rude…

Par :
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Baptiste Gauthey


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2 août 2023

Être de gauche rend intolérant et peu généreux ? C’est la conclusion de ces chercheurs


Alexis Vintray
7 minutes

Les personnes de gauche et, plus généralement, les interventionnistes de tout bord, sont les premiers à revendiquer les valeurs de tolérance et de générosité. En particulier pour cette dernière valeur, le fait de vouloir utiliser l’État à des fins sociales est présenté comme gage de générosité. Les politiques sociales sont bonnes par nature, les autres égoïstes.
Pourtant, comme le montrent les études universitaires, ce sont les gens de gauche - ou, il faudrait absolument préciser, les étatistes - qui sont les moins tolérants et les moi...Poursuivre la lecture
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Analyse
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20 juillet 2023

Le péril vert : gardons-nous bien des écologistes !


Claude Sicard
12 minutes

Sous la houlette de leur leader féministe Sandrine Rousseau, une militante « pétrie de radicalité » (Le Point, août 2021) nos écologistes s’emploient à ruiner l'économie française.
Ils sont « les nouveaux sorciers de l’Apocalypse » selon le journaliste Pascal Perri dans Le péril vert, paru en 2021.
Certes, le souci de l’avenir de notre planète face aux dégâts causés à la nature par les activités humaines est légitime, et l’on comprend que les jeunes générations soient inquiètes pour leur avenir. 




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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeLun 24 Juil - 7:32

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L’écologie punitive : misérable, contre productive et irrationnelle


Yves Bourdillon
L’écologie politique instrumentalise la science à des fins idéologiques. Pourtant, la lutte pour un meilleur environnement ne pourra se faire sans croissance et progrès.


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Publié le 24 juillet 2023


Pour réduire l’empreinte carbone : Tour de France transformé en tour de Bourgogne ; enseignement à distance et télétravail généralisés ; quota d’un steack par mois et d’un achat de vêtement par an et par personne ; interdiction des pelouses et piscines individuelles…
Vous avez, bien sûr, deviné qu’il s’agit là de science-fiction. Plus précisément d’anticipation, c’est-à-dire de ce qui pourrait arriver demain. En effet, pas un jour ou presque ne passe sans que les pouvoirs publics français ou européen n’instaurent des mesures décroissantistes, ou ne durcissent les normes en matière de transport, logement, alimentation. Un contrôle renforcé de nos interactions et modes de vie dans l’objectif obsessionnel d’arriver un jour au Graal du zéro carbone net.
 

Un insidieux agenda radical

Les gouvernements n’assument certes pas un agenda aussi radical que celui évoqué plus haut, ou la prescription de « quatre voyages en avion maximum dans toute votre vie » faite, d’un air presque jubilatoire, par l’un des gourous les plus influents de ce discours, dont l’absence totale de doutes et de prises en compte d’hypothèses diverses signe, en fait, la démarche non scientifique. Discours martelé aussi par les militants-délinquants détruisant cultures, routes et usines, ainsi que les diverses vedettes qui, Tartuffe, se rendent aux quatre coins du monde en avion pour expliquer qu’il ne faut plus le prendre.
Mais un chemin équivalent est bien tracé par les pouvoirs publics.
Le Parlement européen ne vient-il pas de voter une loi imposant la mise en jachère d’un dixième des surfaces agricoles d’ici la fin de la décennie ? Le président de la Cour des comptes, dont on croyait naïvement que sa mission était de veiller à l’utilisation conforme de l’argent public, n’a-t-il pas appelé récemment à réduire notre consommation de viande (mais pas de fromages. Cherchez l’erreur) ? Il plantait au passage un poignard dans le dos de l’une des filières d’excellence de notre pays, qui ploie sous les normes et, surtout, les anathèmes au même titre que l’automobile, l’aérien, le tourisme, ou le BTP.
Combien d’entrepreneurs, ingénieurs et techniciens fiers jadis de nourrir le monde, transporter les gens, ou les loger, jettent aujourd’hui l’éponge, accablés par les discours de culpabilisation ?
Et le président de la République ne vient-il pas à l’instant de nous faire miroiter une « planification écologique touchant tous les secteurs » ?
Planification : le mot a l’air inoffensif, mais cela implique que les prix et quantités de tout ce que vous produisez, consommez, ou investissez passent par les fourches caudines d’un comité d’État.
 

Vous apprendrez à aimer vous appauvrir

Entendons-nous bien. Le combat écologique authentique visant à lutter contre gaspillages et pollutions est tout à fait estimable. Il ne s’agit pas non plus ici de nier l’impact de l’humanité sur le climat, ou de minimiser les graves épisodes caniculaires en cours en Espagne, Italie, États-Unis.
Mais, l’air de rien, la politique suivie aujourd’hui vise à instaurer une véritable écologie punitive (ses thuriféraires n’aiment pas l’expression, mais c’est bien de cela qu’il s’agit, puisque cette fureur planificatrice consiste à pénaliser, voire interdire diverses activités, sans miser sur le progrès technologique, comme l’admet candidement un de ses influenceurs, l’astrophysicien spécialiste autoproclamé de l’extinction des espèces (??!!) Aurélien Barrau).
Afin de ne plus rejeter à terme dans l’atmosphère ce gaz carbonique présenté désormais comme un poison (c’est aussi le nutriment des plantes, mais passons), ou du méthane et protoxyde d’azote, il s’agit de réduire l’économie à des secteurs d’activité vertueux subventionnés par les impôts levés sur celles des activités jugées nocives qui n’auront pas encore été tuées par le poids des taxes et des règlements.
« On va vous apprendre à aimer ne plus prendre l’avion, ni la voiture et à ne plus manger, vous vêtir, ou vous loger à votre guise ».
Les mêmes gourous vantent les parcours en vélo, même quand nous sommes vieux, fatigués, malades, chargé de sacs, ou avec de jeunes enfants, ou qu’il pleut. Il s’agirait pour eux d’expier notre addiction à la société de consommation pour découvrir des relations humaines « plus authentiques », comme si une vie immobile, faite de frugalité et de contemplation allait miraculeusement nous faire aimer nos voisins.
Il ne suffira pas de se priver de week-end à Barcelone, mais bien d’imposer méthodiquement une décroissance qui ne dit pas son nom. Par la persuasion au début, « vous verrez comme vous aurez plaisir à vous conformer à ces restrictions et pénalités », puis plus fermement quand les gens se montreront récalcitrants. Certains Verts proposent déjà de poursuivre pour écocide tel ou tel industriel du pétrole (les automobilistes aussi, pour complicité ?), ou oublient que cette société industrielle qu’ils abhorrent s’est accompagnée depuis deux siècles d’une spectaculaire amélioration. Eh oui, c’est ce que disent les indicateurs de développement humain (malnutrition, mortalité infantile, espérance de vie, alphabétisation) partout dans le monde. Ainsi que d’une chute inédite de la proportion de l’humanité vivant dans l’extrême pauvreté (revenu de moins de 2,5 dollars par jour) ces quarante dernières années.
Cette écologie-là se révèle tout à la fois misérable, contre-productive et irrationnelle.
 

Réduire, ralentir, rationner, rapetisser, réprimer

En effet, nous appauvrir constitue bien l’objectif derrière les mots aimables de « transition » et « frugalité », imposés sans la moindre évaluation de l’impact sur nos vies. « Transitez, y a rien à voir. Réduire la quantité et le choix de biens et services que nous pourrons consommer, ou les rendre plus chers, donc inaccessibles au plus grand nombre, s’apparente bien à une cure d’appauvrissement. La seule nuance étant que pour certains ce serait volontaire (pas longtemps, la frugalité étant une théorie qui perd beaucoup de son charme dès qu’on passe aux travaux pratiques).
Réduire, ralentir, rationner, rapetisser, réprimer.
Cela constitue une politique de régression sociale, tout d’abord, bobos contre prolos. Déjà, ceux qui n’ont pas les moyens de changer de voiture sont menacés d’être exclus des centres-villes. Les pénalités associées aux logements à classe énergétique médiocre imposent des travaux que les ménages à revenus modestes n’ont souvent pas les moyens de payer. Quant à la raréfaction dramatique du foncier prévue par la loi ZAN (zéro artificialisation nette) elle se traduira, mathématiquement, par un renchérissement des logements au profit des possédants, souvent âgés, au détriment des jeunes primo-accédants. Sans compter qu’elle nuira à toute réindustrialisation.
Réindustrialisation qui ne saurait qu’être verte, évidemment, grâce à la fameuse transition énergétique. Mais le solaire et l’éolien ont le léger inconvénient d’être non pilotables, dépendants des terres rares chinoises et bien plus coûteux qu’on ne le prétend ; les écologistes prétendent que le renouvelable crée trois fois plus d’emplois que les autres énergies, en oubliant que cela implique trois fois plus de salaires et donc des tarifs en conséquence…
 

Un coût social vertigineux

Notamment, mettre fin aux moteurs thermiques et diminuer de moitié les gaz à effet de serre, gaz carbonique et méthane, d’ici 2030 en Europe nous infligerait inévitablement une récession d’une ampleur équivalente à celle provoquée par le covid…
Malgré la vogue des renouvelables, les énergies fossiles constituent en effet toujours 80 % du mix énergétique mondial, comme au début du siècle !
Les gouvernants savent que tout cela est irréaliste, ce qui ne les empêche pas de se livrer à une surenchère d’objectifs et engagements spectaculaires. Sans atteindre toutefois le niveau de l’Arabie saoudite, premier exportateur mondial de gaz et de pétrole qui promet la neutralité carbone à l’horizon 2050. Des hydrocarbures sans carbone, cela aurait tendance à être de l’eau, non ?
Si réduire notre dépendance aux énergies fossiles en provenance de Russie et Moyen Orient est géopolitiquement judicieux, aboutir au zéro carbone à l’horizon 2040 aurait un coût social et humain monstrueux, comme l’explique bien un article de l’économiste Ralph Schoellhammer.
De plus, cette transition à marche forcée aura un impact dramatique sur l’emploi.
Que feront les ouvriers et ingénieurs de l’agro-alimentaire, l’automobile, l’aéronautique suite à l’effondrement de la demande ainsi programmé ? Ils se reconvertiront en consultant en mobilité douce, certificateurs d’agences de certification, ou producteurs de tofu ? Et puisqu’on parle d’agro-alimentaire, réalise-t-on que tourner le dos au si décrié modèle productiviste en refusant engrais et pesticides aboutira à des rendements divisés par deux ou trois, ce qui ne permettra pas de nourrir huit milliards d’humains ? Le Sri Lanka en a fait la funeste expérience.
Bref, il n’y aura pas de décroissance heureuse.
 

Les écologistes jouent contre leur camp

Cette politique se révèlera aussi contre-productive.
En effet, si la France, dont l’économie est une des plus décarbonées au monde grâce au nucléaire, disparaissait purement et simplement, l’effet sur les gaz à effet de serre serait annulé en moins d’un an par la croissance de la Chine (et en trois ans par celle de l’Indonésie).
Pékin construit une grande centrale à charbon très polluante tous les… quatre jours. « Qu’importe, répondent les écologistes radicaux, il faut bien que quelqu’un montre l’exemple ».
Parce que vous croyez que, subjuguées par tant de vertu, la Chine et l’Inde vont nous emboîter le pas ? Au contraire, quand elles auront vu combien cela aura rendu les Français malheureux, comment cela aura dévasté leur industrie et donc leur indépendance nationale, ils en déduiront que cette politique doit être évitée à tout prix. Le combat écologique apparaîtra comme un odieux repoussoir et suscitera une réaction électorale d’allergie, partout dans le monde, qui emportera le bébé Vert avec l’eau du bain.
 

La Science instrumentalisée 

Qu’importent emplois, prospérité et géopolitique, s’exclament toutefois ces écologistes, puisque la Science nous démontre que, sauf mesures draconiennes, la planète va mourir. Ils exciperont de cette menace pour piétiner sans limite nos droits et libertés, et faire taire sceptiques et contestataires.
Le problème étant que la Science ne démontre rien de tout cela.
Les certitudes catastrophistes assenées par des forts en gueule sur les plateaux TV, à rebours des écologistes pondérés comme Bjorn Lomborg, ou le cofondateur de Greenpeace Patrick Moore, ne sont pas si scientifiques qu’elles le prétendent. S’est imposée la vision de l’adolescente Greta Thunberg (dont les études sur les interactions complexes entre atmosphère, biotope et climat font autorité auprès des spécialistes), selon laquelle l’humanité aurait « droit » encore à un quota de 210 gigatonnes de rejet de CO2 dans l’atmosphère avant de déclencher un emballement irréversible menaçant la vie sur Terre.
L’affaire semble pourtant un peu plus compliquée que ça. Il n’est pas non plus établi rationnellement qu’à force de sacrifices et de planification interétatique l’humanité puisse limiter le réchauffement de la planète comme on règle le rhéostat d’un grille-pain !
S’il n’est pas question de contester ici les conclusions des spécialistes en climatologie, biologie ou énergie (on n’invoquera pas le « consensus », notion politique mais non scientifique, puisque la Science se nourrit seulement d’expériences irréfutables et de démonstrations), force est de constater que la Science court le risque d’être instrumentalisée par l’écologie décroissantiste.
John Clauser, prix Nobel de physique 2022, fustigeait récemment le fait que « le narratif commun sur le changement climatique constitue une dangereuse corruption de la science qui menace le bien-être de milliards de personnes. Une science climatique mal orientée s’est métastasée en une pseudoscience massive, promue et étendue par des agents marketing d’entreprise, des politiciens, des journalistes, des agences gouvernementales et des environnementalistes tout aussi mal orientés ».
Médias, politiques et ONG mettent désormais systématiquement en avant le scénario le plus inquiétant parmi tous ceux cités par les études rigoureuses, en prenant soin de retirer le conditionnel.
C’est ainsi que s’est imposée la conviction que les archipels des Kiribati ou des Maldives seraient submergés dans quelques décennies par la montée des océans, sans que leurs surfaces aient pourtant diminué notablement depuis trente ans. Ou que nous vivons « la sixième extinction« , d’origine humaine, à la suite du livre de la journaliste sans formation scientifique Elizabeth Kolbert.
En 2019, les journaux du monde entier ont à ce sujet fait leur Une sur l’étude d’une université australienne pronostiquant la disparition de la quasi-totalité des insectes, c’est-à-dire, en masse, et de la majorité des animaux, d’ici un siècle, par extrapolation à partir d’une recherche google « chute dramatique d’insectes » concentrée sur les régions céréalières d’Europe et du Kansas. On appelle ça un biais de confirmation XXL.
 

Le Jour du dépassement : fausse alerte 

C’est chaque année, fin juillet, le même succès éditorial mondial, le Jour du Dépassement.
Inventé par l’ONG américaine Global Footprint Network, dont il fait la fortune, ce concept calcule le jour de l’année à partir duquel l’humanité est censée avoir consommé l’ensemble des ressources renouvelables que la planète est capable de produire en un an pour générer ces consommations, ou absorber les déchets produits. À partir donc du 28 juillet on tape dans les stocks de Gaïa, d’où le succès de l’expression « il nous faudrait 2,2 planètes pour vivre », voire, mieux, quatre si tout le monde vivait « à l’occidentale ». Problème : ce concept est passablement inepte.
Les activités consommant des ressources naturelles, en clair chasse, pêche, mines, agriculture, sont désormais relativement marginales dans le PIB mondial.
Parmi elles, certaines ne sont pas du tout renouvelables, comme le pétrole, pour lequel le Jour du Dépassement serait le 1er janvier au matin, et d’autres beaucoup plus qu’on ne le croit, comme l’eau, qui est utilisée, certes, mais pas vraiment consommée, intégrée dans un cycle évaporation/pluies, pour laquelle le Jour du Dépassement serait plutôt fin décembre. Pour surmonter cette difficulté, Global Footprint a trouvé astucieux de convertir en fait toutes les activités humaines, à base ou pas de ressources naturelles, en une empreinte carbone, et de la comparer à ce que la planète pourrait absorber sans se réchauffer. C’est à dire que l’ONG passe, en douce, d’une problématique « épuisement des ressources » à celle du réchauffement climatique. Tout sauf rigoureux sur le plan scientifique.
Puisqu’on parle d’épuisement des ressources, se rappeler des prévisions du fameux Club de Rome sous-tendant la réflexion des collapsologues et cité récemment comme source d’inspiration par la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, qui avait prédit en 1972 que la dernière goutte de pétrole serait extraite en l’an 2000, et que le monde connaîtrait d’ici là famines sur famines. Depuis lors, on a découvert plus de pétrole qu’il n’en a été consommé, grâce aux progrès technologiques. Quant aux famines, la proportion de l’humanité en sous-nutrition, 9 % selon la FAO, est aujourd’hui à un plancher historique.
Cette problématique rappelle aussi le pari sur les prix de cinq matières premières censées refléter des pénuries graves qu’avaient fait en 1980 l’économiste Julian Simon et l’écologue Paul Ehrlich, lequel criait à la fin du monde et appelait à un contrôle autoritaire des naissances. Au terme échu, en 1990, Ehrlich avait perdu le pari dans les grandes largeurs.


 
Il semble désormais impossible de contester ne serait-ce que les hypothèses des projections les plus catastrophistes sans se voir qualifié aussitôt de facho, voire pire, de climatosceptique par les bonnes âmes vertes.
 
L’affaire mérite pourtant des discussions la tête froide.
Et pour limiter l’impact de l’humanité, il existe toutefois une autre piste que les sacrifices extrêmes, à la limite de l’expiation, réclamés par les écologistes radicaux : l’agilité technologique et la recherche scientifique, aux résultats si spectaculaires depuis trois siècles. Par exemple, se profilent des techniques pour piéger le gaz carbonique atmosphérique, en utilisant notamment les roches d’olivine.
Et les hydrocarbures pourraient être peu à peu remplacés par une filière particulière du nucléaire en cours de mise au point, celle du thorium qui n’a à peu près aucun des inconvénients de l’uranium : il est abondant, inapte à la production de bombes atomiques, et produit des déchets radioactifs moins dangereux.
Il nous faut des chercheurs, et non des marchands de peur.
 .
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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeDim 25 Juin - 10:09

Les écolos de EELV  veulent organiser avec la "NUPES " l'accueil des migrants.





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DR




Le député écologiste Julien BAYOU a jugé mercredi le débat actuel sur un possible projet de loi sur l’immigration “bidon”, et veut avec l’alliance de gauche Nupes mieux “organiser l’accueil”.
Pour l’ancien patron d’EELV, “c’est un débat bidon” et l’idée d’un projet de loi devrait être “oubliée”. “Le gouvernement jour après jour est de plus en plus ridicule”, alors que “c’était soi-disant une priorité de la campagne”, a-t-il relevé devant l’Association des journalistes parlementaires.
Selon l’élu de Paris, “on a un ministre (Gérald Darmanin, NDLR) qui cherche le soutien de la droite qui elle-même fait la course avec le Front national”, devenu Rassemblement national, alors que “s’il y a un sujet, c’est l’organisation de l’accueil”.


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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeSam 24 Juin - 6:53

Selon les informations de nos confrères de Lyonmag, une vaste opération de police s’est déroulée ce dimanche 18 juin au soir dans le 8e arrondissement de Lyon, avec à la clé d’importantes saisies et plusieurs interpellations.
L’enquête avait débuté en novembre dernier, quand les enquêteurs de la Sûreté Départementale avaient été alertés sur la présence d’une salle de jeu clandestine située rue Professeur Joseph Nicolas.
D’après les éléments de la police, les parties se déroulaient dans un local associatif appartenant à la municipalité écologiste de l’arrondissement, au sein même du siège du club de football local. Pour participer au poker interdit, il fallait débourser entre 150 et 300 euros. Toujours selon Lyonmag, d’énormes gains étaient promis aux gagnants, jusqu’à 10.000 euros en liquide, mais aussi d’autres lots matériels comme des scooters haut de gamme ou des montres de luxe.
Les perquisitions au sein du local qui appartient à la mairie du 8e ont mené à une autre découverte : 11 kilos de résine et d’herbe de cannabis. Cette marchandise d’une valeur de plusieurs milliers d’euros a été saisie dans les sous-sols, d’après une source proche du dossier.
   


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JUDICIAIRE
Jeudi 22 Juin 2023 à 10h00

Lyon : une salle de jeux clandestine dans un local de la mairie du 8e arrondissement, des kilos de drogues découverts


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Photo d'illustration - LyonMag
Exclusif.








Selon nos informations, une vaste opération de police s’est déroulée ce dimanche 18 juin au soir dans le 8e arrondissement de Lyon, avec à la clé d’importantes saisies et plusieurs interpellations.
L’enquête avait débuté en novembre dernier, quand les enquêteurs de la Sûreté Départementale avaient été alertés sur la présence d’une salle de jeu clandestine située rue Professeur Joseph Nicolas. D’après les éléments de la police, les parties se déroulaient dans un local associatif appartenant à la municipalité écologiste de l’arrondissement, au sein même du siège du club de football local. Pour participer au poker interdit, il fallait débourser entre 150 et 300 euros. D’énormes gains étaient promis aux gagnants, jusqu’à 10 000 euros en liquide, mais aussi d’autres lots matériels comme des scooter haut de gamme ou des montres de luxe.
C’est ainsi qu’une surveillance a été mise en place par la police lyonnaise, qui a vite compris que les montants qui étaient joués lors de ces nuits étaient faramineux. Alors qu’une nouvelle partie avait été annoncée sur les réseaux sociaux pour dimanche, les forces de l’ordre ont décidé de passer à l’action. 
Lundi, vers 1h du matin, de nombreux policiers ont donc investi les lieux pour permettre un flagrant délit. Quinze personnes étaient alors attablées, vraisemblablement en train d’enchainer les mains. Rapidement, et puisqu’ils avaient été identifiés en amont, les quatre organisateurs présumés ont été interpellés et placés en garde à vue tandis que les joueurs ont été entendus librement. Environ 6500 euros ont aussi été trouvés sur place.
Mais les perquisitions au sein du local qui appartient à la mairie du 8e ont mené à une autre découverte : 11 kilos de résine et d’herbe de cannabis. Cette marchandise d’une valeur de plusieurs milliers d’euros a été saisie dans les sous-sols, d’après une source proche du dossier.
Tous les mis en cause ont reconnu l’existence de la salle de jeu durant leurs auditions, mais ont néanmoins nié leur participation à un trafic de stupéfiants. Ce mercredi, après avoir été présentés devant le parquet de Lyon, le quatuor a été mis en examen. Un seul a été écroué alors que les trois autres ont été laissés libres et placés sous contrôle judiciaire. 
Contacté, le maire d’arrondissement Olivier Berzane indique qu'une plainte sera déposée par son équipe. Il dénonce "un détournement d'usage des locaux" de la part de l'association sportive qui avait signé une convention pour occuper les lieux. L'élu avait bien été informé de la descente de police mais "sans précision sur la nature de l'opération".  Il affirme enfin qu'il "travaillera avec les services de police" pour tirer au clair cette affaire.
J.D.



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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeMer 21 Juin - 16:10

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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeJeu 15 Juin - 10:37

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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeMer 14 Juin - 7:26

ET TOC !


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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeLun 12 Juin - 14:23

LES RACAILLES VERTES NOUS FONT HONTE


En Loire-Atlantique, cette opération des Soulèvements de la Terre passe mal

Entre 1 200 et 3 000 militants écologistes ont manifesté contre l’exploitation du sable, arrachant notamment des plants de muguet.

Par Le HuffPost avec AFP

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[size=10]SEBASTIEN SALOM-GOMIS / AFP

Des manifestants arrachant des plants pour les remplacer par des graines de sarrasin dans une serre expérimentale de la fédération des agriculteurs nantais à Saint-Philbert de Grand Lieu (Loire-Atlantique), le 11 juin 2023.
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LOIRE-ATLANTIQUE - La manifestation a été lancée à l’appel d’un collectif regroupant notamment Les Soulèvements de la Terre et La tête dans le sable, une association qui lutte pour la protection de cette ressource.
Environ un millier de personnes ont participé ce dimanche 11 juin à un rassemblement itinérant au sud et au nord de Nantes pour dénoncer l’exploitation du sable à des fins industrielles.

Dans la matinée, des militants de tous âges, partis de Saint-Colomban (Loire-Atlantique) cheminant pour la plupart à vélo ou sur des tracteurs vers Nantes, ont mené une première action de « désobéissance civile » qui a consisté à arracher des plants de muguet et des tuyaux qui les irriguaient pour les remplacer par des semences de graines de sarrasin.
Cette action, loin de faire l’unanimité pour certains (voir les tweets ci-dessous), visait à dénoncer l’utilisation intensive de l’eau et du sable, ont expliqué les manifestants.
« Aujourd’hui je pleure. Les zadistes ont détruit nos serres expérimentales en sol vivant et cultures sans pesticides. En toute impunité... », partage ainsi un maraîcher sur Twitter, photos à l’appui.



LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Captu909



Le cortège bigarré a rassemblé 1 500 personnes, des centaines de vélos et 30 tracteurs, selon les organisateurs.
Les manifestants, qui ont parcouru une trentaine de kilomètres, arboraient des pancartes sur lesquelles on pouvait lire : « L.R.E.M. Libérez les Radis Et la Mâche »« Éco-résistons contre les libéraux-terroristes du climat », ou encore « Darmanin, si tu cherches des terroristes, va plutôt voir Lafarge en Syrie ».

3 000 manifestants selon les organisateurs

LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Captu910

Les deux cortèges ont ensuite convergé pour se rassembler dans l’après-midi devant le CHU de Nantes où était présent un troisième groupe « Hosto debout ! » qui manifestait contre la construction d’un nouveau CHU sur l’île de Nantes.




Les manifestants des trois groupes, qui étaient entre 1 200 selon la préfecture et 3 000 selon les organisateurs, ont alors défilé jusque devant les locaux de Nantes Métropole où ils ont recouvert la porte d’entrée du bâtiment avec un mélange de paille et de terre.
« Une manière symbolique de marquer qu’il est temps de passer à la construction écologique et à la rénovation plutôt que de détruire et reconstruire sans cesse pour les seuls profits de l’industrie du béton », ont expliqué les organisateurs dans un communiqué.
La journée s’est déroulée dans le calme, avec des gendarmes le long du convoi, devant le CHU et Nantes Métropole.


« On va être confrontés à une sécheresse majeure l’été prochain, on l’est déjà, et donc on ne peut pas continuer à assécher nos sols, à artificialiser tout notre bocage », a estimé Julie Laernoes, député EELV de Loire-Atlantique, présente, comme d’autres élus, à la manifestation.
Le point de départ du cortège sud était à Saint-Colomban, où se trouvent des carrières de sable dont l’extraction « défigure le paysage, anéantit le bocage et affecte profondément les nappes phréatiques », selon un communiqué des Soulèvements de la Terre.
« Les carrières sont une cible de choix pour rassembler toutes celles et ceux qui luttent contre l’artificialisation des terres, en Loire-Atlantique et ailleurs », avaient dénoncé Les Soulèvements de la Terre, dont le gouvernement envisage la dissolution.
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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeLun 5 Juin - 6:54

POUR MARINE TONDELIER, UNE SALADE COÛTE ENTRE 17 ET 27 €, PROBLÈMES DE SANTÉ COMPRIS


écrit par Nicolas Lecaussin 4 juin 2023 

Invitée sur La Chaîne Parlementaire, Marine Tondelier, secrétaire générale d’Europe Ecologie Les Verts (EELV), a critiqué le label HVE, ou haute valeur environnementale, qu’elle considère comme complètement « bidon » et a soutenu que seul le « vrai bio » devrait se retrouver dans l’assiette des Français. Tous les autres produits présentant de véritables dangers pour notre santé. Toujours selon Marine Tondelier, en réalité, une salade bio ne coûte qu’un euro et une salade classique, non-bio, coûterait entre 17 et 27 euros en intégrant les problèmes de santé. Marine Tondelier est diplômée de l’Institut d’études politiques de Lille et petite-fille d’agriculteurs. On ne sait pas comment elle a calculé cette renversante fourchette. On ne le saura probablement jamais. On doute fortement que ce soit dans la ferme familiale. Il n’existe aucune preuve d’un quelconque impact des salades non-bio sur la santé. Avec ce raisonnement, tout aliment coûterait en réalité 10 à 20 fois plus cher et une voiture, qui peut provoquer effectivement des accidents, n’aurait même pas de prix.
Ce qui est certain en revanche, c’est que le bio n’est pas un gage de santé. Comme l’a montré l’IREF dans une Note, aucune étude scientifique ne justifie la consommation des produits dits bio au détriment d’autres qui ne le seraient pas. Le bio est non seulement beaucoup moins productif que le conventionnel, mais il n’apporte aucun bénéfice environnemental, sanitaire ou nutritionnel sur l’agriculture conventionnelle. Une enquête du magazine l’Express a confirmé nos conclusions : l’intérêt nutritionnel du bio est extrêmement limité et l’engouement pour le bio n’a aucune explication rationnelle.
Les affirmations plus que saugrenues de Marine Tondelier ont laissé de marbre les deux journalistes qui l’interviewaient sur la chaîne publique. Eux, par contre, on le sait très bien, coûtent très cher aux contribuables.
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NICOLAS LECAUSSIN
Directeur de l'IREF, Nicolas Lecaussin est diplômé de Sciences-po Paris, ancien président de l'IFRAP (Institut Français de Recherche sur les Administrations Publiques), fondateur de l'association Entrepreneur Junior et auteur de plusieurs ouvrages sur le capitalisme, l’Etat et les politiques publiques. Auteur et co-auteur de plusieurs ouvrages dont : Cet État qui tue la France (Plon, 2005), L’absolutisme efficace (Plon, 2008), Au secours, ils veulent la peau du capitalisme ! (First Editions, 2009), A quoi servent les riches, coauteur avec Jean-Philippe Delsol (Lattès, 2012), L’obsession antilibérale française (Éditions Libréchange, 2014), Anti-Piketty, coauteur avec Jean-Philippe Delsol (Éditions Libréchange, 2015), Echec de l'Etat, coauteur avec Jean-Philippe Delsol (Éditions du Rocher, 2017), Les donneurs de leçons (Éditions du Rocher, 2019).
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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeDim 23 Avr - 8:29

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DANS LE TARN, « VIVRE ET TRAVAILLER AU PAYS »  




PAR JEAN-MICHEL BRETONNIERjmbretonnier@lavoixdunord.fr


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Le projet d’autoroute A69 voit s’opposer une population locale majoritairement favorable et des militants écologistes hostiles. 

pr

Concilier « fin du mois » et « fin du monde » est un credo que répètent les partisans d’une politique écologiste pour oublier à quel point la conciliation d’intérêts sociaux et d’intérêts environnementaux est délicate. S’ils devraient finir par se rejoindre au bout du compte, pendant la longue période de transition climatique qui s’ouvre, ils se heurteront au contraire tous les jours. Passer à une énergie décarbonée, aux bâtiments bien isolés voire passifs, à une agriculture moins « chimique », coûtera cher et bouleversera bien des fonctionnements collectifs et individuels.

La manifestation qui se déroule ce week-end dans le Tarn (lire page suivante), contre le projet d’autoroute A69, dont les travaux ont déjà débuté, en est une nouvelle démonstration. Ces 53 km d’autoroute entre Toulouse et Castres opposent la population locale, favorable à 75 % à l’infrastructure, à des militants écologistes, hostiles à un aménagement qu’ils considèrent comme une atteinte à la biodiversité et à la lutte contre le réchauffement climatique. Les habitants, pas moins favorables à la qualité de leur environnement, ne veulent pas que leur territoire se transforme en musée agraire et en réserve touristique. Ils veulent pouvoir « vivre et travailler au pays » !

Il faut choisir entre ces deux exigences. Qu’on déplore ou non le résultat, c’est ce qui a été fait. Quinze ans d’études, d’enquêtes, d’échanges ont abouti à des décisions politiques approuvées légalement. Cet état de fait n’interdit pas les manifestations pacifiques. L’opposition à cette infrastructure doit se faire entendre, mais sans nier la légalité – ni a fortiori la légitimité – du processus en cours. S’y opposer « par tous les moyens », comme le propose un des mouvements écologistes, est en contradiction avec les principes de notre démocratie.
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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeSam 4 Fév - 16:43

Sandrine Rousseau :
en 2022 elle vote pour Macron aux présidentielles
en 2022 et 2023 elle défile et se bat contre Macron 
en 2023 elle ne votera pas contre Macron si il y a un référendum ...
comprenne qui pourra... 

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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeDim 27 Nov - 9:12

LES VERTS SAURONT-ILS UN JOUR SE RÉFORMER ?  




PAR JEAN-MICHEL BRETONNIERjmbretonnier@lavoixdunord.fr

LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. High_d-20160213-G5XM5G.jpg?crop_x1=-0.0&crop_y1=0.0045&crop_x2=1.0&crop_y2=0.8955&widthPct=0.08214283&heightPct=0

Les dirigeants d’Europe Écologie Les Verts noient généralement   un combat vital dans des manœuvres d’appareil et des coups de Jarnac. 


 

Les Verts avaient à choisir, hier, les délégués qui désigneront leur secrétaire général. Une secrétaire générale, puisque six candidates s’affrontent, à la tête d’une motion. Marine Tondelier, élue d’opposition au conseil municipal d’Hénin-Beaumont, tenait la corde ( lire page 33). Mais tout est possible lors d’un congrès d’Europe Écologie Les Verts, et surtout une surprise. Ce parti, qui se voudrait en rupture avec les vieilles routines politiques, se distingue en réalité par sa capacité à noyer son ambitieux combat dans les batailles d’appareil les plus picrocholines.

Il a longtemps prêché dans le désert pour convaincre la classe politique et l’opinion publique de l’urgence qu’il y avait à empêcher la rupture des grands équilibres naturels. Mais la prise de conscience enfin advenue est loin de s’être traduite par des résultats électoraux probants en faveur des candidats écologistes. La dernière présidentielle (4,6 % pour Yannick Jadot) en atteste. Les électeurs, dans leur écrasante majorité, ne pensent pas une seule seconde que ceux qui eurent raison avant d’autres, en alertant, pouvaient aussi répondre à l’urgence climatique.

Ni l’absence de charisme de leurs candidats successifs à la présidentielle, ni le manque de crédibilité de leurs programmes, ni le fonctionnement clanique et belliqueux de leur formation, ne posent aujourd’hui les écologistes comme une alternative politique. La bataille lors de ce congrès, entre des motions souhaitant « ouvrir » le parti et d’autres le porter au contraire vers des luttes radicales, ne rassurera pas ceux qui aspirent à voir un puissant courant écologique s’imposer dans le paysage politique.

Car même si la première motion – un parti de masse – l’emporte, on se demande si ce mouvement saura se réformer pour œuvrer dans ce sens.



Marine Tondelier bien partie pour devenir la nouvelle cheffe des écolos 






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Marine Tondelier a obtenu 46,97% des voix des adhérents. PH Archives L. Maillard


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PARIS.
Les adhérents d’Europe Écologie Les Verts ont largement placé en tête hier soir l’élue nordiste Marine Tondelier, à l’issue d’une première phase de vote pour désigner, parmi six prétendantes, la future cheffe d’un parti toujours divisé et peu audible.

Selon des résultats partiels, l’élue d’opposition d’Hénin-Beaumont, qui était notamment soutenue par l’ex-secrétaire national Julien Bayou, a obtenu 46,97 % des voix des adhérents recueillies sur sa motion « La Suite ». Le résultat définitif et le nombre de votants parmi les 11 000 adhérents du parti seront connus aujourd’hui.

« Jamais un congrès écologiste n’avait donné une orientation aussi claire au vu de l’écart qui sépare La Suite des autres listes. C’est un score historique », a salué Marine Tondelier, promettant « un mouvement bienveillant ».

Sa challenger Sophie Bussière, soutenue notamment par Yannick Jadot, arrive en seconde position avec 18,07 % des voix.

Melissa Camara, candidate qui défend « une forme de radicalité, de rupture », soutenue par la députée écoféministe Sandrine Rousseau et une partie de l’aile gauche du parti, obtient 13,54 %, un score « décevant », pour Alain Coulombel, leader de la gauche du parti.

Trois autres candidates, aux motions plus confidentielles, obtiennent chacune moins de 10 % : l’ex-candidate aux régionales en Bretagne Claire Desmares-Poirrier (9,6 %), la responsable des élections Hélène Hardy (6,59 %), et la membre du bureau exécutif Géraldine Boyer (4,34 %). Les adhérents ont aussi élu les membres du futur conseil fédéral du parti (parlement du parti) et les 400 délégués qui désigneront la nouvelle secrétaire nationale lors d’un « congrès fédéral » prévu le 10 décembre à Rungis.

Pour avoir les mains libres pour gouverner le parti, il faut avoir 60 % des sièges au conseil fédéral, ce qui devrait obliger Marine Tondelier à des alliances avec d’autres listes dans les 15 jours à venir.




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Et si les adhérents  de EELV  ne s'occupaient que d 'écologie au lieu de se fourvoyer dans des combats sociétaux   ?




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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeSam 19 Nov - 13:01

Écologie : la tentation totalitaire


Michel Gay

Si les militants écologistes se sont longtemps vantés d’être non-violents, la multiplication des discours anxiogènes a conduit certaines personnes à radicaliser leurs moyens d’action.


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Publié le 19 novembre 2022
Le vandalisme se verdit pour paraître acceptable. Si les militants écologistes se sont longtemps vantés d’être non-violents, la multiplication des discours anxiogènes a conduit certaines personnes à radicaliser leurs moyens d’action.
 

Sabotez, il en restera toujours quelque chose…

En octobre 2020, le mouvement La Ronce appelait ainsi à multiplier les actions ciblées de sabotage à petite échelle telles que le débouchage de bouteilles dans les rayons de magasin, crever les pneus des SUV (véhicules utilitaires sport)… pour « mettre un joyeux bordel ».
En 1975, la centrale nucléaire de Fessenheim avait été la cible d’un attentat à la bombe.
En 1977, un attentat terroriste à l’explosif revendiqué par le CACCA (Comité d’action contre les crapules atomiques) avait visé le directeur général d’EDF responsable du déploiement de l’énergie nucléaire en France (Marcel Boiteux).
En 1982, la centrale nucléaire de Superphénix avait été victime d’un tir au lance-roquettes fourni par la Fraction armée rouge, organisation terroriste allemande d’extrême gauche. L’auteur de l’attaque a même été élu député écologiste en Suisse. L’alliance entre les nostalgiques du communisme et le fondamentalisme écologiste n’est pas nouvelle (les pastèques : rouges à l’intérieur, vert à l’extérieur).
Des militants écologistes d’Extinction Rebellion ont utilisé des méthodes de délinquants en dégonflant les pneus de 220 voitures à Bordeaux pour dénoncer la pollution de ces véhicules et dissuader par l’intimidation les Français de rouler en SUV.
Quelle sera la prochaine étape ? Faudra-t-il appeler à décapiter les propriétaires des voitures roulant au pétrole ?
En juillet 2021, le collectif Extinction Rébellion revendiquait le sabotage de 300 trottinettes électriques à Lyon.
En mai 2022, un homme a tenté de briser la vitre de protection du tableau de La Joconde avant de jeter sur l’œuvre un gâteau à la crème. L’auteur a déclaré avoir agi ainsi « pour la planète ». « Les artistes, vous disent : pensez à la Terre. C’est pour ça que j’ai fait ça. Pensez à la planète ».
Fin septembre 2022, des militants de Greenpeace sont entrés par effraction dans des locaux de la station de ski de La Bresse-Hohneck pour voler les ordinateurs qui régissent la fabrication de neige de culture en laissant une revendication : « plus d’électricité pour les canons ».
Ces actes violents et parfois désespérés sont le cri d’une génération affolée car manipulée par des journaux en quête de clics, des politiques en quête de pouvoir et des associations en quête de financements et d’existence médiatique.
Ces actes violents sont présentés comme le symbole de la résistance acharnée des défenseurs de Gaïa contre les suppôts du capitalisme et de la grande industrie.
 

Des actes désespérés

Séparée de ses dérives, la cause environnementale est noble.
Mais le risque supposé (souvent fantasmé) d’une dégradation horrible de la planète suscite une peur qui pourrait servir à justifier les actions les plus violentes. Des désespérés veulent sincèrement retarder la catastrophe à venir en effondrant la civilisation industrielle actuelle par des actes « héroïques ».
Ces militants sont encouragés à utiliser tous les moyens de nature à « sauver le monde ». Victimes de discours pessimistes qui autorisent tout, justifient tout, ils se croient investis d’une mission quasi divine qui les pousse à des excès pouvant conduire aux pires dictatures.
Dans cette idée, les principes de la démocratie libérale (dont la liberté de circulation) sont jetés aux orties face au risque imminent d’extinction de notre espèce.
Cette désespérance aboutit à l’éco-anxiété, signe d’une angoisse contemporaine qui se manifeste par un sentiment de terreur face aux menaces qui pèsent sur l’environnement. Une étude de septembre 2021 montre que 84 % des 16-25 ans se disent inquiets face au changement climatique et 75 % estiment que le qualificatif effrayant est celui qui convient le mieux pour évoquer l’avenir, ce qui peut pousser à la violence ou au désespoir.
Cette peur de l’avenir résulte de discours sans cesse plus anxiogènes. Médias, politiques et enseignants font la promotion du « jour du dépassement » (jour où les humains auraient épuisé les ressources que la Terre est capable de générer en une année), concept pourtant démontré comme frauduleux.
Comment envisager l’avenir sereinement après ces discours apocalyptiques à destination notamment d’enfants parfois encore scolarisés en primaire ?
Un jour, ces jeunes finiront par ouvrir les yeux… Les catastrophes annoncées ne se seront pas produites mais ils vivront sous une dictature dans un pays sous-développé. Le réveil sera brutal mais les coupables « écolos » catastrophistes seront morts.
La lutte contre la planification écologique passera avant tout par la pédagogie… hélas si peu vendeuse, et l’arrêt de cette course à l’anxiété.
Puisque des gens suffisamment crédules se laissent escroquer par des lobbies écologistes habiles pour leur extorquer « légalement » de l’argent, alors certains estiment qu’ils n’ont qu’à payer pour leur stupidité. Ce n’est pas moral, mais l’écologie est devenue une industrie de l’escroquerie que certains nomment l’escrologie, prête à appauvrir sans aucun scrupule un peu plus les pauvres.
 

Un nouveau délit d’écocide

La proposition de loi sur l’écocide, si elle est adoptée, révèlera peut-être le caractère totalitaire en cours de l’écologie politique.
En effet, la loi durcit les sanctions pénales en cas d’atteinte à l’environnement par la création :
D’un délit de mise en danger de l’environnement
Le fait d’avoir exposé l’environnement à un risque de dégradation durable de la faune, de la flore ou de l’eau en violant une obligation de sécurité ou de prudence pourra être sanctionné de trois ans de prison et 250 000 euros d’amende. Contrairement au délit général de pollution, les sanctions pourront s’appliquer si le comportement est dangereux et que la pollution n’a pas eu lieu.
D’un délit général de pollution des milieux et d’un délit d’écocide 
Les atteintes les plus graves commises intentionnellement à l’environnement seront passibles d’une peine maximale de 10 ans de prison et 4,5 millions d’euros d’amende (22,5 millions d’euros pour les personnes morales), voire une amende allant jusqu’à dix fois le bénéfice obtenu par l’auteur du dommage commis à l’environnement.
 

La jeunesse ciblée

Le 21 février 2019, le journal Le Temps en Suisse a publié un « Appel de chercheurs à la grève climatique du 15 mars » signé par environ 250 universitaires.
Le public visé est constitué principalement d’adolescents déjà descendus dans les rues et dont les seules connaissances en matière de changement climatique se résument au pilonnage écoligico-idéologique exercé par les médias.
Il est inquiétant de voir des enseignants et des chercheurs recommander à des élèves de quitter l’école pour la rue et les appeler à la désobéissance civile.
Cet « Appel de chercheurs » déclare : « Nous comprenons un mouvement de désobéissance civile comme Extinction Rebellion, dont la radicalité relève du réflexe de survie ».
 

L’apocalypse pour demain ?

Pour emporter la conviction du citoyen la méthode de « mise en épouvante » consiste à faire souffler un vent de panique par un discours apocalyptique parsemé d’assertions scientifiques.
Ainsi, dans cet appel signé par une (petite) partie du monde universitaire prétendant éduquer le peuple, sont évoqués : « la destruction de la biodiversité ; des dangers inédits ; un effondrement de la civilisation thermo-industrielle ; un épuisement de nos ressources naturelles ; le péril qui ne cesse de croître ; jamais l’abîme n’aura été si béant ; l’angoisse de l’effondrement du vivant et l’empoisonnement de l’écosystème ; une civilisation mortifère qui veut nous conduire sur Mars, une planète morte, après avoir rendu la nôtre impropre à la vie ».
Mais il existe-t-il d’autres « appels » de chercheurs et de scientifiques pour juger de la pertinence de cet « Appel des chercheurs » ?
« Comment, d’une façon générale, des faits imaginaires ou inventés, voire franchement mensongers, arrivent-ils à se diffuser, à emporter l’adhésion des publics, à infléchir les décisions des politiques, en bref, à façonner une partie du monde dans lequel nous vivons ? » (Gérald Bronner, La démocratie des crédules).
Le sabotage de l’industrie ourdi par une phalange d’écologistes radicaux infligerait aux Français et aux Européens une dramatique punition socio-économique.
L’actuel locataire de l’Élysée (inconscience ? incompétence ? calcul électoral ?) avait promis en 2018 de saborder une quinzaine de réacteurs en 15 ans avec l’adoption des « propositions » des 150 citoyens de la Convention Climat encadrée par des militants écologistes formatant les réponses.
Avait-il pris cette décision sous pression politique ? Y a-t-il eu chantage ?
Heureusement, le président Macron semble avoir changé d’avis depuis son discours de Belfort du 10 février 2022. Dorénavant, il ne souhaite plus fermer de réacteurs nucléaires. Il a déclaré : « Je souhaite que six EPR2 soient construits et que nous lancions les études sur la construction de 8 EPR2 additionnels ».
Les dirigeants de la France ont préparé depuis 20 ans une débâcle énergétique. Les Français ne la méritent pas mais ils y ont participé par l’aveuglement (volontaire ?) d’une partie de ceux qu’ils ont élus.
La tentation totalitaire écologiste se traduira-t-elle dans les faits ? Le pire n’est jamais sûr… mais il faut rester vigilant !

Par :

Michel Gay
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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeMar 18 Oct - 14:17

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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeJeu 15 Sep - 16:21

Les sorcières brûlées au Moyen-Age étaient-elles, dans leur majorité, des femmes résistant au pouvoir des hommes ? Éclaircissement sur les propos qu'a tenu Sandrine Rousseau lors d'une conférence sur le sujet.


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La députée Sandrine Rousseau, qui fait l'objet d'une forte attention médiatique depuis plusieurs mois, s'est retrouvée au centre d'une polémique récente autour du sort réservé, dans l'histoire, aux sorcières. Lors d'une conférence consacrée à l'écoféminisme, donnée le 11 mars 2022 à l'université de Louvain, et disponible sur Youtube, la députée écologiste évoque le sort de 150 000 femmes qui ont été "torturées", et "brûlées vives", et entre "un million et demi à trois millions de femmes" qui ont été "soit enfermées, soit privées de leurs terres, soit déplacées, soit punies", par le "mouvement des sorcières" en Europe. Un extrait de cette conférence a notamment été relayé, et questionné, de façon massive sur les réseaux sociaux début septembre.




L'argumentaire de la députée reprend en fait celui d'une auteur italienne, Silvia Federici, comme elle l'indique elle-même. Une démonstration qui contient plusieurs affirmations qui peuvent être remises en question, si l'on interroge Ludovic Viallet, enseignant à l'université Clermont-Auvergne. Cet écrivain, auteur de plusieurs ouvrages tel que Sorcières ! La Grande Chasse, a répondu aux questions de La Dépêche.


Les personnes condamnées étaient-elles "en grande majorité des femmes" ?



VRAI. Sandrine Rousseau avance le chiffre de 80% de femmes brûlées parmi les personnes condamnées, un chiffre confirmé par Ludovic Viallet. "Au début du XVème siècle, on était sur un ratio moitié femme/moitié homme, mais on a ensuite assisté à une 'féminisation du crime de sorcellerie', avec deux tiers, voire entre 75 et 80 % de sorcières en Europe centrale". 
Le chiffre de 150 000 sorcières brûlées est également valide : "En étudiant les archives de certains départements et villes, comme par exemple l'Isère et Grenoble, on peut trouver des dizaines de procès sur la question. En mettant bout à bout toutes les estimations européennes, on tombe entre 100 et 150 000 cas de bûcher sur 4 siècles, entre le XVème et le XIXème siècle, mais aussi de noyades, parfois utilisées à la place du bûcher. Cette méthode était privilégiée "car la sorcellerie était le crime ultime: on cherchait donc à tout faire disparaître de la personne condamnée". Elle correspond également à "un objectif de terreur, ce que Sandrine Rousseau explique, afin d'effrayer les fidèles".


Les sorcières étaient-elles un mouvement organisé ?

FAUX. La députée écologiste présente les sorcières comme un mouvement organisé d'un point de vue social, se formant notamment en résistance au système des enclosures : ce terme anglais correspond à la révolution agricole qui a fait passer le modèle de partage de terre sans limites physiques entre les terrains à un modèle d'exploitations agricoles privées.


Mais cette position sur l'organisation supposée des sorcières est erronée, selon Ludovic Viallet : "La chasse aux sorcières doit être contextualisée. Son début effectif, au cours du XVème siècle, est dû à un contexte de pestes, de guerres, et d'une paranoïa des dirigeants visible dans les textes de l'époque, notamment à partir des années 1420 et 1430. C'est surtout le cas avec l'Eglise catholique, qui se présente comme une citadelle assiégée face à un complot satanique, une secte de sorcières et de sorciers organisés, bien que la sorcellerie soit un phénomène bien plus ancien et global, et non pas juste occidental. Aujourd'hui, on a des similitudes avec Qanon [organisation "secrète" dénoncée par des complotistes extrémistes américains] sur ce modèle de complot qui engloberait plusieurs communautés, notamment les juifs".


C'est donc la propagande antisorcière qui les présente comme un mouvement organisé. "Le modèle d'investigation, basé notamment sur la torture et la misogynie prégnante de l'Eglise et de la société, culpabilisait les fidèles, les faisant croire à cette idée de complot, et les poussait à dénoncer plusieurs personnes, souvent des femmes : d'où l'impression qu'il existait de véritables organisations de sorcellerie. C'est ce qui ressort des transcriptions de simples interrogatoires sans torture, avec des témoins semblant adhérer aux thèses d'un complot de sorcellerie", explique Ludovic Viallet.


Des "femmes indépendantes" visées ?



PAS VRAIMENT. Sandrine Rousseau explique que les femmes accusées de sorcellerie étaient souvent "indépendantes, veuves, lesbiennes, détachées de l'autorité masculine de manière générale". Les groupes concernés par la dénonciation sont en réalité très variés : on retrouve bien des communautés isolées, jugées comme déviantes, mais également des cas plus atypiques, comme les notaires, au pouvoir décisionnaire fort et donc souvent visés par des règlements de compte. Le modèle de dénonciation, pouvant reposer sur une seule accusation, comme le revendique Sandrine Rousseau, favorisait des dénonciations motivées par la vengeance.


Selon Ludovic Viallet, "on retrouve bien un grand nombre de guérisseuses chez les accusées, comme l'affirme Mme Rousseau, étant donné qu'en cas d'accident, par exemple de fausse couche, suite à l'intervention de ces femmes, les accusations étaient promptes à tomber".
Cependant, les accusations pouvaient aussi bien viser d'autres groupes, comme les juifs, ou des métiers plaçant des individus à la marge de la société, comme les forestiers. La vérité historique est donc bien plus complexe que ne le relaie la culture populaire moderne, notamment en raison de l'étalement géographique et temporel : comme le rappelle l'historien, la chasse à la sorcellerie s'est déroulée pendant quatre siècles de manière organisée en Europe comme en Amérique.


    
Benjamin Laurent
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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeJeu 25 Aoû - 16:58

La Fédération nationale des Chasseurs porte plainte contre Sandrine Rousseau et réclame près de 100 000 euros de dommages et intérêts



Rémy Dodet - 

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La Fédération nationale des Chasseurs porte plainte contre Sandrine Rousseau et réclame près de 100 000 euros de dommages et intérêts:copyright: Copyright 2022, L'Obs

C’est une nouvelle bataille qui promet d’être féroce entre les écologistes et les chasseurs. D’un côté, la députée écolo Sandrine Rousseau, porte-voix du mouvement #MeToo et figure des Verts habituée des polémiques. De l’autre, la Fédération nationale des Chasseurs (FNC), une association présidée par Willy Schraen et cajolée par le pouvoir, qui a vu ses subventions publiques bondir de 42 000 % en quatre ans et qui bénéficie à plein de la loi sur la chasse promulguée en 2019.
Willy Schraen, le patron des chasseurs qui fait feu de tout bois
Selon nos informations, la fédération a décidé de porter plainte contre Sandrine Rousseau devant la justice civile pour dénigrement et propos stigmatisants. Au total, la FNC réclame à l’élue d’Europe Ecologie-les Verts la somme de 98 879,40 euros de dommages et intérêts, soit dix centimes d’euros pour les 988 794 chasseurs disposant d’un permis. Pas impressionnée, la députée Sandrine Rousseau va tenter de mobiliser derrière elle toute la sphère écolo. « La confrontation va avoir lieu et je ne compte pas me laisser intimider par ces gens », explique-t-elle à « l’Obs ».


« Il faut arrêter la chasse complètement »



L’embrouille remonte au mois de février. La mort d’une randonneuse de 25 ans, tuée accidentellement par un chasseur dans le Cantal lors d’une battue aux sangliers, suscite une vive émotion. Interrogée sur ce fait divers durant « Les 4 Vérités » sur France 2, émission matinale regardée par des centaines de milliers de téléspectateurs, Sandrine Rousseau ne fait pas dans la retenue pour dire combien la chasse et son million de pratiquants lui font horreur :
« Moi, je pense qu’il faut arrêter la chasse complètement. Ce n’est pas un loisir que d’aller tuer des animaux le week-end avec des fusils. Et par ailleurs […], le reste de la semaine, on peut aussi le braquer contre sa femme. On a vu qu’un féminicide sur quatre est lié à une arme de chasse, un féminicide sur quatre. »Interdire la chasse le week-end ? La mort d’une randonneuse de 25 ans relance le débat politique
Un peu surpris, le journaliste rétorque que « tous les chasseurs ne tuent pas leur femme ». La finaliste de la primaire écolo acquiesce, mais poursuit son raisonnement :
« Non, non, mais ça fait partie de cette violence intrinsèque de cette catégorie de la population qui pense que dans les loisirs, dans ses loisirs, on peut aller toutes les semaines tuer des animaux dans la forêt au détriment des promeneurs. »
A l’appui de son propos, on trouve un décompte détaillé du collectif « Féminicide par compagnon ou ex ». D’après cette association, qui recoupe statistiques publiques et articles de presse, un fusil de chasse a été employé dans un quart des 102 féminicides commis en 2020 et des 106 comptabilisés en 2021. Sauf que cela ne prouve rien, réplique-t-on du côté de la Fédération nationale des Chasseurs. « C’est un gros raccourci, il n’y a évidemment pas que les chasseurs qui possèdent un fusil de chasse… », rétorque Jean-Michel Dapvril, directeur délégué en charge des affaires juridiques.

« Une ligne a été franchie »

Deux mois avant le premier tour de la présidentielle, alors que la lutte contre la chasse fut l’un des rares sujets portés médiatiquement par le candidat Yannick Jadot, les propos de Sandrine Rousseau sur France 2 avaient provoqué de nombreuses réactions interloquées parmi les adhérents de la FNC. « Elle a le droit d’être anti-chasse, mais affirmer que nous sommes intrinsèquement violents, ça, nous ne l’acceptons pas. Une ligne a été franchie », selon le même dirigeant. Dans sa plainte, consultée par « l’Obs », la Fédération nationale des Chasseurs dénonce des « propos abjects » et « particulièrement dénigrants » de la part de Sandrine Rousseau. Les chiffres qu’elle avance, peut-on lire, « sont particulièrement farfelus et ne semblent ressortir d’aucune étude scientifique connue ».


Sandrine Rousseau : « On a besoin d’un sursaut tel qu’on en voit en temps de guerre »
De son côté, Sandrine Rousseau maintient ses propos et se prépare à mener un combat très politique contre une association qui porte une vision de la nature diamétralement opposée à la sienne. La députée EELV de Paris sait bien qu’elle cristallise l’hostilité du monde de la chasse qui voit en elle l’incarnation de ces écolos qui veulent tout interdire. Elle n’a pas oublié le coup tordu du Mouvement de la ruralité (MLR anciennement Chasse, pêche, nature et traditions), qui avait présenté face à elle aux élections législatives une candidate nommée… Sandrine Rousseau. « J’appelle à une mobilisation d’ampleur, de toutes les associations de défense de la biodiversité, des militants de la cause animale, de tous les ruraux qui en ont marre de se voir imposer cette vision de leur territoire », dit-elle. Une première audience se tiendra le 21 septembre devant la 17e chambre civile du tribunal de Paris.


lol! lol! lol!

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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeVen 10 Déc - 15:09

https://www.franceinter.fr/emissions/l-interview/l-interview-15-septembre-2018


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Les contradictions du paysan Pierre Rabhi


Zones d'ombre dans son parcours, paradoxes entre son discours de sobriété et la manière dont il vit, conservateur qui ne s'assume pas : derrière les paroles de Pierre Rabhi se cacheraient des contradictions et un business florissant.
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Derrière « les belles paroles » de Pierre Rabhi se cache en fait « un petit business ». :copyright: AFP / ALAIN JOCARD / AFP


Auteur d'une enquête parue dans Le Monde diplomatique, le journaliste Jean-Baptiste Malet pointe les contradictions de celui qui est vu comme un exemple.


Auteur de nombreux livres, dont La sobriété heureuse, Pierre Rabhi a touché en dix ans plus d'un demi-million d'euros en droits d'auteur. Il dispose ainsi d'énormes ressources, entre 7 000 et 10 000 euros par mois. Il explique pourtant lors de ses prises de parole qu'il se contente de très peu ; il touche en réalité beaucoup d'argent.



https://www.franceinter.fr/emissions/l-interview/l-interview-15-septembre-2018





"Des ambiguïtés qui posent problème"





Mais d'après Jean-Baptiste Malet, le paysan ne reverserait que très peu d'argent à ses propres associations, qu'il a initiées (Terre et humanisme, Colibri...). Ces associations vivent en réalité de la facturation des formations en agriculture et non pas des rendements agricoles. "Il y a beaucoup d'amateurisme" affirme le journaliste. 


Pierre Rabhi facture également très cher ses conférences, parfois 2 000 euros, alors que les associations qui l'invitent ont très peu d'argent. Pour Jean-Baptiste Malet, "le décalage entre la prétention de dire 'Je ne vis avec rien', mais toucher beaucoup d'argent sans le reverser aux associations, est problématique".





► ALLER PLUS LOIN | Le système Pierre Rabhi, une enquête de Jean-Baptiste Malet pour Le Monde diplomatique (en accès libre).
Jean-Baptiste Malet :copyright: Radio France / Martin Broyer


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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeDim 28 Nov - 11:42

AFFAIRE HULOT...
Une ex-militante d’EELV, Pauline Lavaud, a dit sur BFMTV avoir été écartée de la campagne de Nicolas Hulot pour la primaire interne du parti en 2011 parce qu’elle « l’excitait trop ». À la suite de ce témoignage, le collectif Pourvoir féministe a demandé des comptes via Twitter à EELV sur « l’identité des personnes qui ont écarté Pauline Lavaud » et Matthieu Orphelin pour savoir s’il « ignorait » cela.


lol!
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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeDim 1 Aoû - 8:19

lol!


Candidate à la primaire des écologistes pour 2022, Sandrine Rousseau estime que les personnes (comme elle) qui ont « un parcours de résistance » et « ont déconstruit » incarnent le renouveau politique face aux « hommes blancs à vélo ».


lol!



“L’écologie, c’est pas des hommes blancs à vélo dans les villes” : la candidate à la primaire EELV Sandrine Rousseau en roue libre

La candidate à la primaire EELV pour l’élection présidentielle 2022 a envoyé un tacle indirect au maire de Grenoble Eric Piolle. 

Par valeursactuelles.com
Publié le 28 juillet 2021 à 14h01

LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Rousseau
Sandrine Rousseau :copyright: ISA HARSIN/SIPA

Un véritable dérapage. L’écologiste Sandrine Rousseau était invitée dans l’émission hebdomadaire BackSeat sur Twitch. A l’occasion de cet entretien, elle n’a pas hésité à assurer que ce ne sont pas les « hommes blancs à vélo dans les villes » qui représentent « l’écologie ». Un tacle raciste qui semble directement s’adresser à Eric Piolle. Le maire de Grenoble est son rival dans la primaire écologiste, à laquelle participeront les partis Europe Ecologie-Les Verts, Cap écologie, Génération.s, le Mouvement des Progressistes et Urgence écologie. Après Sandrine Rousseau, Eric Piolle est la seconde personnalité à s’être déclaré candidat.
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https://twitter.com/i/status/1420100597840326657
lol!

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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeJeu 3 Juin - 8:03

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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeVen 28 Mai - 7:59

LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE ENGENDRE LES DESTRUCTIONS D 'EMPLOIS ET LES TAXES PETROLIERES 

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Pour Carlos Tavares, chaque employé aura la possibilité de " se reclasser "


PAR MÉLANIE COTTREZ
bethune@lavoixdunord.fr

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Carlos Tavares, PDG de Stellantis, s’est exprimé sur la feuille de route de l’entreprise dans les Hauts-de-France. 
PHOTO ARCHIVES MAX ROSEREAU

Vendredi dernier, Carlos Tavares, PDG de Stellantis, visitait à Nersac, près d’Angoulême, le site pilote   de la future usine de batteries ACC de Billy-Berclau. L’occasion de revenir sur le destin de PSA Douvrin. 


DOUVRIN - BILLY-BERCLAU.


– La fermeture de PSA Douvrin, en parallèle de la construction d’ACC, a été mal vécue par les salariés, était-ce clair dès le départ ?
Carlos Tavares : « Chacun doit comprendre, ce n’est pas Stellantis qui décide. Nous nous adaptons aux réglementations qui ont pour objectif de mettre un terme à l’utilisation des moteurs à combustion interne sur le continent. Cette politique, imposée, est décidée par les représentants du peuple. Sous la pression de citoyens qui demandent qu’on accélère le traitement contre le réchauffement climatique.


Il nous appartient alors de faire cette transition de la manière la plus responsable dans le domaine social. C’est pourquoi nous avons décidé d’implanter une usine de fabrication de cellules de batterie, activité éminemment technologique dont l’ingénierie est en France, à Billy-Berclau. Nous relocalisons une activité qui représente 40 % du coût d’un véhicule, qui, sinon, serait en Asie. Nous mettons en place des technologies d’avenir qui ont une durée de vie bien plus longue que celle des moteurs thermiques. »


– Concrètement, comment va se passer ce transfert des salariés de PSA Douvrin à l’usine ACC de Billy-Berclau ?


« Nous devons gérer le transfert de nos effectifs qui travaillent le moteur à combustion interne à la chaîne de traction électrifiée dont, le plus technique, la fabrication des cellules de batterie. Nous ferons en sorte qu’il n’y ait pas d’impact. Nous donnerons à tout un chacun la possibilité de se reclasser avec des nouveaux apprentissages sur une activité d’avenir. La stratégie sera très bientôt mise en place par ACC avec le soutien de Stellantis. Elle consiste à prendre acte des compétences existantes et proposer des plans de formation. C’est un effort intellectuel. Car ça va permettre aux intéressés de se doter de nouvelles compétences. J’espère qu’il y a un niveau de curiosité qui aidera à ce que cet apprentissage se passe dans de bonnes conditions. Tout ceci se fera dans la durée. Nous sommes aujourd’hui en mai 2021. Et l’usine se mettra en place dans le deuxième semestre 2023, donc nous ne manquons pas d’anticipation. »


– La transition écologique est entendue par tous, mais le moteur perdu à Douvrin va continuer d’être produit à l’étranger…


« À terme, ça s’arrêtera aussi. Le bouleversement est un mouvement d’ensemble. La FM dépend de la vitesse à laquelle les clients s’écartent de l’objet qu’on va fabriquer.
On pourrait très bien continuer à faire des moteurs à combustion interne si on était démagogues, sans se laisser le temps de faire la transition douce. Et après ? L’activité s’arrête. Brutalement. Et les personnes qui la produisaient se retrouvent sans emploi alors qu’on a lancé les batteries avec d’autres. On veut éviter que ces personnes se retrouvent piégées dans une activité qui va s’arrêter. On prépare l’inverse de ce qu’on nous reproche. Et personne ne veut nous donner le crédit de ce sens des responsabilités. À titre personnel, je suis très à l’aise avec ce sujet. La situation est montée en épingle par ceux qui ont décidé de nous mettre un coup d’arrêt. Nous, industriels, cherchons à limiter l’impact social. Que reprocher dans ces conditions à ACC et à Stellantis ? »


Questionnements autour de l’électrique 


prev
ne– Longtemps, vous avez été critique sur le passage au tout électrique dans l’industrie automobile, avez-vous changé d’avis ?

« Du point de vue de l’entreprise, nous avons dépassé les trente modèles en vente et notre part de marché dans l’électrique est en train de croître rapidement. Nous avons fait les choix nécessaires. Nous allons continuer à développer notre compétitivité à travers des investissements verticaux. Je vous rappelle que nous sommes une coentreprise dont les moteurs électriques sont conçus et fabriqués en France. Nous avons relocalisé par ici de nombreuses activités, dont les batteries, mais aussi les boîtes automatiques électrifiées, qui viendraient sinon de Chine ou du Japon. »

– Et en tant que citoyen ?

« Je n’ai pas changé d’avis. Personne ne se préoccupe des conséquences de la vitesse de cette transformation (vers l’électrique, NDLR), considérant que les constructeurs font le nécessaire. Il faut voir la transition dans sa globalité. D’où vont venir les 450 milliards de recettes fiscales sur les carburants fossiles ? Quelle est l’empreinte carbone des batteries, de l’extraction des matières premières au recyclage ? Quel est l’impact de la fabrication et de l’installation du réseau dense de chargement des véhicules électriques ? Comment garantir à tous l’accès à l’achat de véhicules électriques, et donc à la mobilité, en attendant la réduction des coûts ? C’est sur toutes ces questions que j’appelle de mes vœux une coordination au niveau européen. »


Evil or Very Mad Evil or Very Mad Evil or Very Mad Evil or Very Mad Evil or Very Mad Evil or Very Mad


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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeJeu 29 Avr - 11:10

DE MIEUX EN MIEUX


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Esther Benbassa, née le 27 mars 1950 à Istanbul, est une universitaire et une femme politique franco-turco-israélienne, spécialiste de l'histoire du peuple juif et de l'histoire des minorités. Membre d'Europe Écologie Les Verts, elle est sénatrice depuis 2011, élue dans le Val-de-Marne puis à Paris. Wikipédia
Date/Lieu de naissance : 27 mars 1950 (Âge: 71 ans), Istanbul, Turquie
Époux : Jean-Christophe Attias
Parti : Europe Écologie-Les Verts
Fonction : Sénateur français depuis 2017
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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeJeu 29 Avr - 7:46

Lyon : et maintenant des rodéos sur la place des Terreaux, sous les fenêtres de Grégory Doucet Maire EELV


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DR
La scène est, une nouvelle fois, inédite.






La semaine dernière, deux rodéos se sont déroulés en plein centre de Lyon, après le couvre-feu toujours en vigueur. 
Mercredi, au moins 7 individus, équipés d'une moto chacun, s’étaient rendus place Bellecour pour effectuer des figures au milieu de la place du 2e arrondissement de Lyon. Le groupe qui enchaînait les roues arrière et dérapages avait été filmé par des riverains abasourdis de ce triste spectacle. 
Et rebelote le samedi, toujours au même endroit et au même moment de la journée, quand plusieurs individus bravaient le couvre-feu pour réaliser un rodéo urbain sur la plus grande place de Lyon. 
Mais ce mercredi, une nouvelle vidéo de ce périple très dangereux de samedi a été publié sur les réseaux sociaux. On découvre cette fois le groupe de motards, toujours sans casque ni plaque d’immatriculation, réaliser les mêmes figures dangereuses sur la place des Terreaux. La place piétonne était alors devenue un véritable circuit, à quelques mètres de la mairie centrale, sous les fenêtres de Grégory Doucet
Contactée, la police lyonnaise affirmait il y a quelques jours avoir reçu un appel au 17 et s'être penchée immédiatement sur les caméras de vidéo-surveillance en direct lors du rodéo de mercredi dernier. Mais quand les opérateurs ont posé leurs yeux sur les écrans de contrôle, les individus étant déjà partis. Les fonctionnaires n’avaient donc pas déclenché d'intervention. "Il était impossible de savoir où ils étaient partis", souffle une source à la DDSP du Rhône.
Suite à la publication de notre article, Mohamed Chihi, adjoint au maire de Lyon chargé de la Sécurité, a réagi sur Twitter : "Nos équipes de Police et du centre de vidéosurveillance sont déjà mobilisées avec la préfecture du Rhône pour l'identification et l'arrestation des délinquants de la place des Terreaux et de la place Bellecour. Nous ne laisserons pas passer ces attitudes, ni ici, ni ailleurs à Lyon".
J.D.








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[size=15]MEHDI AIFA

@Mehdi_Aifa_AJR[/size]



Bonjour @Gregorydoucet, des rodéos sauvages ont lieu sous les fenêtres de vos bureaux à l’hôtel de Ville. Après Bellecour, le sentiment d’impunité mène ces individus au pied de la mairie centrale. Vous comptez agir ? Plainte ?

Cc
@prefetrhone @MohamedChihi007 @AudreyHenocque






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9:57 AM · 28 avr. 2021





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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeVen 23 Avr - 9:47

Karima Delli, une virtuose du compromis à l’assaut des Hauts-de-France



Tête de liste d’une union écologiste, socialiste, communiste et insoumise en vue de conquérir le Conseil régional des Hauts-de-France, la députée européenne est parvenue à rassembler derrière elle grâce à un art consommé de la négociation acquis à Bruxelles. Elle en aura bien besoin pour préserver un attelage hétéroclite. Il lui faudra aussi surmonter un criant manque de notoriété.

 
 Alexandre Lenoir  23 avril 2021


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L'eurodéputée Karima Delli en session plénière au Parlement européen à Strasbourg, en octobre 2019. Photo : Marc Dossmann/SIPA


Chez les Verts, la nuit s’annonce blanche en ce 7 juin 2009. Les résultats de l’élection européenne sont tombés quelques heures plus tôt et les écolos d’Ile-de-France arrosent dans une brasserie parisienne près du Châtelet l’élection inespérée de trois des leurs au Parlement bruxellois : Daniel Cohn-Bendit, Eva Joly et Pascal Canfin. Parmi les fêtards, Karima Delli qui figure en quatrième place sur la liste EELV. La Nordiste qui vit et travaille à Paris est tout heureuse d’avoir contribué à ce résultat historique en tractant dur durant la campagne.                      
A trois heures du matin, un numéro inconnu s’affiche sur le téléphone de la jeune trentenaire. « Bonjour Madame, le préfet d’Ile-de-France à l’appareil. Après comptage définitif des voix, je vous informe que vous êtes élue députée européenne. » Enormissime surprise : la liste EELV d’Ile-de-France emmenée par Daniel Cohn-Bendit recueille… 20,86 % des voix ! « Un truc qui vient du ciel… La Terre qui s’ouvre sous mes pieds… Une des premières choses qui me vient à l’esprit : comment je vais finir la thèse (d’ethnologie politique sur les logiques de pouvoir à l’intérieur du Sénat, ndlr) que je dois rendre dans deux mois ? », raconte Karima Delli à Mediacités. Hébétée, l’élue appelle aussitôt ses parents. « OK Karima, tes blagues en pleine nuit, c’est pas drôle. Laisse-nous dormir, tu veux ? », lui répond son père avant de raccrocher.
Une entrée remarquée à Bruxelles
Un mois plus tard à Bruxelles, Karima Delli fait son entrée au « Caprice des Dieux », le surnom du palace de verre qui abrite le Parlement, similaire à la boîte du fromage du même nom. A peine s’est-elle assise dans l’hémicycle que le chef du protocole accourt paniqué : « Madame Delli, on a un problème. Le règlement stipule qu’il ne peut y avoir plus de 10 invités par député ». Venus de Tourcoing, les parents de Karima Delli et ses douze frères et soeurs sont bloqués à l’entrée. Ils bénéficieront ce jour-là d’une entorse au protocole pour assister à l’intronisation de leur héroïne… Cet épisode cocasse fait le tour de l’hémicycle en quelques minutes. Les premières notes de l’Hymne à la joie n’ont pas encore ouvert la séance que la jeune femme s’est déjà fait remarquer. En politique, on appelle ça une entrée réussie.

Citation :
« Madame Delli, on a un problème... »


Dans une assemblée où il n’est pas rare de croiser un député allemand en sandales Birkenstock ou une élue anglaise affublée d’un piercing, la trentenaire d’origine maghrébine dénote moins que si elle était entrée au palais Bourbon. Il n’empêche. En jean et tee-shirt blanc, la bleusaille fait gentiment sourire les notables grisonnants en costard-cravate.
Il faut dire qu’en 2009, Karima Delli est davantage connue comme activiste que comme femme politique. Elle milite alors au sein des collectifs « Jeudi Noir » et « Sauvons les riches » qui dénoncent le mal logement et les inégalités salariales. Quand elle prend le micro en public, c’est pour remettre un diplôme de « fils à papa » à Jean Sarkozy ou pour offrir une montre à sept euros à Jacques Séguéla après la saillie du publicitaire affirmant qu’on a raté sa vie sans Rolex à 50 ans. Ou encore pour moquer Christine Boutin, alors ministre du Logement, en parodiant le tube de David et Jonathan « Est-ce que tu viens pour les vacances », en compagnie de son pote Julien Bayou, actuel secrétaire nationale d’EELV.
Une candidate qui « coche toutes les cases »
Karima Delli flirte alors avec l’aile gauche d’EELV qu’elle a rejoint en 2005 au sein d’une motion . . .


LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Pierre10

Helene Flautre deputée européenne ,Christine Blandin ex présidente de région 62-59 et Karima Delli 


Dernière édition par ACARIE le Jeu 29 Avr - 8:13, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeMar 20 Avr - 8:24

A Nantes la municipalité offre des séminaires ésotériques a 20 000 euros


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Shutterstock


Julien Michel
C’est une information révélée par nos confrères de L’Express. Dans sa dernière édition, le journal satirique local La lettre à Lulu se penche sur les liens entre l’équipe du maire Johanna Rolland et le thérapeute Jean-Philippe Magnen. Ancien élu écologiste à Nantes et porte-parole d’EELV, ce dernier avait quitté la politique en 2014 pour s’orienter vers le développement personnel. Gestalt-thérapeute, Jean-Philippe Magnen enseigne aussi la méditation dynamique selon Osho ou invite ses clients à “rencontrer son enfant intérieur”.  
Toujours selon L’Express, en septembre 2018, il organise un “séminaire de rentrée” pour les 17 membres du cabinet de Johanna Rolland. Celui-ci prend la forme d’un singulier “Jeu du Roi et de la Reine”. Conçu et déposé par le thérapeute tantrique Dominique Vincent, ce jeu de rôle new age est censé permettre de “mieux explorer la personne que vous êtes dans toutes ses dimensions physique, psychologique, sensorielle”.
Tout ça avec de l’argent public.


lol! lol! lol!
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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeLun 19 Avr - 16:53





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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeVen 16 Avr - 14:45

LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Captu155


SIGNONS LA PETITION :


LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. 00043
https://soseducation.org/petitions-mobilisations-collectives/contre-ecriture-inclusive


L’écriture dite inclusive ne devrait même pas faire l’objet de débat.
Puisqu’elle n’a pas de fondement historique, pas de pertinence linguistique, pas de cohérence sociale.
Sa diffusion menace pourtant les enseignements scolaires de nos enfants.
La situation est d’autant plus préoccupante que beaucoup d’enfants ont de grandes difficultés à maîtriser la grammaire et l’orthographe.
Nous savons que la baisse du niveau général est un drame national.
Nous ne pouvons pas ignorer les résultats des évaluations nationales de 6e qui ont été passées dans les établissements scolaires en janvier 2020 :


LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Tableau-resultats


Source : DEPP, NOTE D’INFORMATION n° 21.03 (Janvier 2021) : Résultats des évaluations nationales de 6e passées en janvier 2020

Ni la baisse constante depuis 2000 des performances en lecture de nos élèves en classe de CM1, alors que la moyenne des autres pays de l’OCDE augmente.
Nos enfants sont, en lecture, parmi les derniers en compréhension de texte (Source : OCDE, Progress in International Reading Literacy – Programme international de recherche en lecture scolaire (PIRLS)).
Pour convaincre le ministre de l’Éducation nationale qu’il est urgent d’agir avec fermeté et d’interdire enfin l’écriture dite inclusive et ses multiples graphies, nous devons poursuivre le combat.
Signez la pétition en cliquant ici :


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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeVen 16 Avr - 9:01

Les démolisseurs continuent leur triste besogne 


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Karima Delli   pour une « remise   à plat » du projet  


L. D.


LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. High_d-20210327-GLXXQT.jpg?crop_x1=-0.0&crop_y1=0.3593&crop_x2=1.0&crop_y2=0.9018&widthPct=0.25535706&heightPct=0

pr

RÉGIONALES.
On le savait, Karima Delli, députée européenne EELV, ne porte pas le projet de canal Seine-Nord dans son cœur. À l’inverse, le PS et le PCF, deux de ses principaux partenaires sur la liste d’union de la gauche aux régionales qu’elle mène, en sont d’ardents défenseurs. Il semble que la vision de la tête de liste l’a emporté.


Lors d’un point presse qu’elle a tenu mardi avec ses colistiers, Karima Delli a déclaré : « Nous allons remettre à plat le canal Seine-Nord. Sur la partie budgétaire, mais aussi sur l’ambition de ce canal. Nous allons faire en sorte que ce canal soit une véritable réponse sur le report fluvial des marchandises, mais aussi une perspective de tourisme. » Elle estime le tracé « très mal découpé » et que « le problème, c’est le financement ».


LA PRÉSIDENCE DU CONSEIL DE SURVEILLANCE

Alors que ce vieux serpent de mer apparaît sur le point d’émerger (lire ci-dessus), faut-il l’imaginer de nouveau arrêté si la gauche était élue ? En tout cas, le vainqueur des régionales aura du poids : depuis un an, la Société du canal Seine-Nord est devenue un établissement public local (et plus d’État) dont le conseil de surveillance est présidé par le président de Région.


Xavier Bertrand va d’ailleurs s’évertuer à mettre l’avancement du projet à son actif. Vous l’avez compris, le canal devrait animer la campagne.




affraid affraid affraid affraid
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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeJeu 15 Avr - 9:23

Marlène ... réfléchi un peu avant de l 'ouvrir bêtement ...


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Damien
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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeDim 4 Avr - 13:42

Je suis entierement d 'accord avec vous Mr ACARIE . L'ecologie doit etre orientée vers le bonheur et pas la mortification et la punition 
Je mets ci dessous le message du redacteur en chef de la voix du nord qui va dans ce sens  



DES RÊVES ÉCOLOGISTES AU RAS DES PÂQUERETTES 

PAR JEAN-MICHEL BRETONNIERjmbretonnier@lavoixdunord.fr

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Encore un effort de leur part, et on se demandera si le monde que les écologistes nous préparent mérite vraiment qu’on « sauve la planète » !  

« L’aérien, c’est triste, mais ne doit plus faire partie des rêves d’enfants aujourd’hui. » C’est la sentence de la maire écologiste de Poitiers, Léonore Moncond’huy, expliquant pourquoi elle coupe les subventions aux aéroclubs de la ville. Visiblement, ça lui fait mal de le dire, puisqu’elle ajoute que c’est triste, mais elle le fait quand même. C’est qu’il s’agit, par cette décision, de sauver la planète. Et qu’y a-t-il de plus important et urgent que de sauver la planète ? Rien, pas même, nous sermonne-t-elle, les rêves des enfants.

On ose espérer sans y croire que la maire de Poitiers se rétractera de bonne foi. Il lui suffirait pourtant de poursuivre son raisonnement jusqu’au bout pour en apercevoir l’absurde et l’horreur. Comment empêcher les enfants de rêver aux avions dans le ciel et aux fusées dans l’espace ? En les convainquant que tout ce qui vole aujourd’hui pollue et que tout ce qui volera demain polluera. Comme tout ce qui roule salit et salira. Il faut donc persuader les enfants de la nécessité vitale d’éradiquer, de la surface de la terre et des cieux, tout ce qui ressemble à un moteur.

Mais il n’est pas sûr que ces injonctions fonctionnent. Même la plus insinuante des pédagogies ne peut rien contre les aspirations humaines. Et si les enfants continuent de se rêver en oiseaux, que feront ces professeurs de vertu écologique ? Les enfants et les hommes ont en réalité les mêmes rêves : ils s’échappent et se projettent. En dessinant l’autogire il y a cinq cents ans, Léonard de Vinci n’a pas préparé les conditions d’un futur écocide, il a voulu arracher l’homme à la glaise et à sa condition.

Il serait temps que les écologistes rassurent ceux qui croient en l’écologie. Le projet écologiste consiste-t-il à casser les rêves des enfants pour mieux clouer les hommes au sol ? À endormir l’humanité pour mieux contrôler ses rêves ?
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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeDim 4 Avr - 10:50

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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeDim 4 Avr - 10:04

Les écolos ..style Kmersverts.. ont fait mourir les travailleurs en cassant les outils industriels.
 Ils ont brisé les moyens individuels de locomotion basés sur les énergies fossiles et détruit notre industrie automobile .
 Bridgestone en est une victime collatérale.
 Ils ont taxé les produits pétroliers et les transporteurs routiers.
Par réaction, leurs victimes, habillés de gilets jaunes manifestèrent pendant presque 2 ans .
Et maintenant ils veulent nous faire cesser de rêver et interdisant le tour de France , les sapins de Noel et les baptêmes de l 'air visant particulièrement les plus fragiles ...
Actuellement dans notre région ils se battent contre l 'installation d 'une serre tropicale ...
Contre la modernisation d 'une fabrique d 'enrobes ...
Contre de nombreux projets d 'agrandissement d 'élevages...
ils veulent nous détruire .
A cela s 'ajoute une racialisation dans leurs propos ...
J 'ai personnellement été traité par une écolo ...je cite : " d' HOMME ...BLANC et de VIEUX " et ca je ne le digère pas ... 
De plus cette personne, grande militante, ne travaille pas et n 'est pas gênée que des travailleurs pollueurs lui payent son RSA.

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Dernière édition par ACARIE le Jeu 15 Avr - 9:26, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeSam 3 Avr - 19:25

Quand la maire écolo de Poitiers veut rééduquer les enfants qui rêvent d'avion

Par Nicolas Domenach le 03.04.2021 à 14h00 


La maire écologiste de Poitiers, Léonore Moncond'hui, vient de supprimer les subventions de la municipalité aux aéroclubs de la ville. Une décision abracadabrantesque, motivée par la volonté de "protéger l'avenir des enfants" et de les "préserver" de leurs "rêves" d'aérien. 


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LA MAIRE VERTE DE POITIERS A DÉCIDÉ DE COUPER LES SUBVENTIONS AUX AÉROCLUBS. 

BONY/SIPA - SP - F. MAIGROT/RÉA - POITIERS COLLECTIF - S. ORTOLA/RÉA - A. ROBERT/SIPA


Peut-on domestiquer les rêves, en particulier ceux des enfants? C’est en tout cas le songe abracadabrantesque, d’autres disent déjà "totalitaire", de la maire de Poitiers, l’écologiste Léonore Moncond’huy. Elle vient en effet de supprimer les subventions de la municipalité aux aéroclubs de la ville. Décision trash et crash motivée par la volonté affirmée de "protéger l’avenir des enfants" et "parce qu’il est des rêves dont on doit les préserver". Dieu du…ciel ! 

Il y avait déjà eu le sapin de Noël, ce "bois mort", un temps interdit par le maire Vert de Bordeaux; puis le Tour de France "macho et polluant" décrété indésirable par son homologue lyonnais, qui interdisait déjà le survol de "sa" ville aux avions de chasse de la Patrouille de France, on avait déjà les premiers signes, qu’on pensait maladroits, d’une volonté de purification sociétale des plus préoccupantes. Toujours au nom d’un idéal élevé bien sûr, la préservation de la nature.



Pourchasseurs de songes qui prétendent rééduquer la rêverie enfantine


Au nom du bien, il faudrait ni plus ni moins que rééduquer les esprits. Interdire le vol qui serait mal, ce qui reviendrait à couper les ailes de son imaginaire, de son

[size=40].Du sapin de Noël au Tour de France...Le délire des maires écolos[/size]
Par Maurice Szafran le 13.09.2020 à 16h33

EDITO - En quelques jours, les maires des deux nouvelles métropoles écolos, Lyon et Bordeaux se sont surpassés en s'attaquant à deux traditions : Le Tour de France et le sapin de Noël. Visiblement ils n'ont pas encore compris que leurs électeurs les attendaient sur un autre terrain. Une attitude pas très constructive qui pourrait compliquer la démarche politique de Yannick Jadot.
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Le nouveau maire Vert de Lyon s'en pris au Tour de France, celui de Bordeaux au sapin de Noël.

AFP/ARCHIVES - KENZO TRIBOUILLARD


Que l’on soit accroché ou non à son écran de télévision, que l’on frémisse ou pas aux souvenirs du duel Anquetil-Poulidor ou des affrontements Hinault-Fignon, que l’on s’interroge à juste titre sur les ravages provoqués par le dopage dans le sport cycliste, le Tour de France est partie intégrante (depuis 107 ans, rien que ça...) de notre culture. Culture « populaire », relèvent aussitôt quelques beaux esprits, regardant de haut ces millions de Français agglutinés au bord des routes et des lacets de montagnes pour voir fugitivement passer un peloton de coureurs. Il serait aisé de répliquer à ces dédaigneux là qu’il n’existe guère de rassemblement plus « interclassiste » que le Tour de France et, pour espérer les en convaincre, nous les inciterons à lire les textes magnifiques du journaliste et romancier Eric Fottorino consacrés au vélo, à cette passion collective, à ce rassemblement autour de l’effort et de la souffrance. Mais voilà que ce « Tour de France », frappé lui aussi cette année par les dérèglements du COVID, a été transformé en un objet politique et polémique.

La raison? Une tonitruante sortie du nouveau maire de Lyon, le Vert David Doucet, dont la ville recevait il y a quelques jours de cela une étape de ladite  « Grande boucle ». « Le Tour, a-t-il expliqué, continue à véhiculer une image machiste du sport. Je veux des garanties que les événements que l’on accueille dans notre ville se montrent responsables à l’égard de la planète ». Sur le dos du Tour, David Doucet a réussi un coup double qu’il imagine habile: s’attirer le soutien de certaines féministes puisque le tour de France féminin a été suspendu il y a quelques années; rappeler à tous que l’éco-responsabilité restera pour lui une priorité de tous les instants- la caravane de voitures qui accompagne le Tour est en effet polluante, et on peut en effet l’entendre.

Charte des "droits de l'arbre" 

Mais au même moment, le maire de Bordeaux, Pierre Hurmic, se lançait, lui, à l’assaut du... sapin de Noël (17 mètres de haut) traditionnellement installé sur la place de la mairie. Supprimé, le sapin en décembre prochain. Explication: « c’est un arbre mort. Je garde le souvenir de cette arbre mort qu’on faisait venir tous les ans. Ce n’est pas du tout notre conception de la végétalisation ». Et l’élu d’annoncer l’élaboration d’une « charte des droits de l’arbre ». Si, si, sérieux... Pierre Hurmic semble ainsi se rattacher à un courant dit « végétaliste ». Ses électeurs bordelais le savaient-ils seulement? On peut en douter.
Le Tour de France et le sapin de Noël, soit deux aspects des traditions françaises. « Tradition », y compris pour les progressistes ou pour les écologistes, n’est pas par définition un gros mot. On peut même estimer qu’un maire, quels que soient ses engagements politiques et idéologiques, peut (doit?) en tenir compte. Par ailleurs, le moment, le contexte- le covid, la crise économique et sociale- sont-ils opportuns pour déclencher des polémiques virulents mais secondaires? Est-ce à la hauteur des enjeux politiques et électoraux- notamment la reconstruction de la gauche- consécutifs aux différents triomphes Vert au moment des récentes élections municipales- Lyon, Bordeaux, mais aussi Strasbourg, Tours, Marseille, Besançon, Grenoble, etc? Évidemment pas, et c’est ce qui a provoqué le salvateur coup de gueule de la journaliste et militante écologiste Isabelle Saporta, folle de rage et négligeant pour le coup les bons usages:  « qu’on arrête de faire chier les Français avec une idée à la con par jour. Ils sont caricaturaux, c’est de la petite communication, ça discrédite le message. Ils viennent d’être élus, il y a des milliards de choses à faire et ils vont un jour seul à la télé pour parler du Tour de France et des sapins. Mais fermez vos gueules et travaillez »!


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MessageSujet: Re: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeDim 28 Mar - 14:13

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MessageSujet: LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS.   LES ECOLOS, tendance KHMER VERTS. Icon_minitimeMer 10 Mar - 15:13

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