| | FOOT | |
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PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
| Sujet: Re: FOOT Mar 24 Jan - 9:50 | |
| http://www.nordeclair.fr/Actualite/2012/01/24/gervais-martel-place-en-garde-a-vue.shtml RC lu dans NORD ECLAIR LENS Gervais Martel placé en garde à vue Publié le mardi 24 janvier 2012 à 06h00 - MORAD BELKADI > morad.belkadi@nordeclair.frUn prêt aurait été accordé à G. Martel par deux entreprises en échange d'un accès en priorité dans le chantier de rénovation de Bollaert. Gervais Martel a été placé hier en garde à vue tout comme huit autres personnes dont des dirigeants d'entreprises de BTP. La cause : un prêt de quatre millions que ces derniers auraient consenti au président du RC Lens. Cette fois, Gervais Martel est passé par la case garde à vue. Après une première convocation au commissariat d'Avion le 17 novembre dernier, le président du Racing Club de Lens était convoqué hier matin vers 9 h à Marcq-en-Baroeul devant la police judiciaire. Mais là, il n'était pas seul. Les enquêteurs de la brigade financière ont également placé en garde à vue sa femme et l'ancien directeur général du club artésien. La liste ne s'arrête pas là, car trois salariés dont deux dirigeants du groupe de BTP Ramery étaient également convoqués, tout comme Jean-François Dutilleul, le président du directoire de la société Rabot Dutilleul, le président du conseil de surveillance Patrick Bailloeul, ainsi que le secrétaire général. Les déboires du club Ils ont été entendus toute la journée. Que leur reproche-t-on exactement ? Si Gervais Martel avait assuré à l'issue de sa première audition qu'il s'agissait d'une affaire « privée » en rapport avec son patrimoine, les éléments apportés hier font clairement le lien avec la gestion du RC Lens. Au printemps 2010, les groupes Ramery et Rabot Dutilleul auraient prêté chacun deux millions d'euros à Gervais Martel. À l'époque, le président aurait voulu tenter une manoeuvre : pouvoir racheter les obligations convertibles détenues par le Crédit Agricole Nord de France - à la fois soutien et créancier du club - afin de l'empêcher de passer actionnaire majoritaire. Un dessein que le président Martel n'a pu éviter suite aux déboires sportifs du club et sa seconde rétrogradation en Ligue 2 qui ont affaibli la trésorerie lensoise. Contraint à jouer les chevaliers blancs, le Crédit Agricole a fini par devenir en 2011 l'actionnaire majoritaire à hauteur de 70 %. Double problème. L'argent prêté par le groupe de BTP n'a donc pas servi au but initial. Pourtant, il aurait été notifié au président du RC Lens qu'au moins 50 % de la somme devait servir au rachat de ces obligations. Suite à une dénonciation, Tracfin, la cellule française de lutte anti-blanchiment, a fini par s'intéresser à ces mouvements importants de capitaux, dont la provenance n'aurait pas été justifiée. Ce qui a conduit à l'ouverture d'une enquête préliminaire par le parquet d'Arras. « Conditions habituelles » La question est de savoir pourquoi, si Gervais Martel n'a jamais racheté d'obligations convertibles, les deux groupes de BTP n'ont pas cherché à récupérer leur argent. Selon des sources proches du dossier, le prêt aurait été consenti en contrepartie d'un accord sous seing privé (convention écrite) donnant la priorité aux deux entreprises dans l'optique du futur chantier de rénovation du stade Bollaert. Reste à savoir si ces deux groupes avaient le droit de prêter à un organisme privé ? « Le prêt accordé par le groupe Ramery au président du RC Lens a été fait dans le respect de l'intérêt social du groupe et mentionné en toute transparence dans nos comptes conformément à la législation », a précisé hier Ramery dans un communiqué. Un prêt dans des « conditions habituelles », a indiqué de son côté Rabot Dutilleul. Cet emprunt aurait été signé par M. Martel et sa femme, bien que vivant sous le régime de la séparation des biens. D'où la garde à vue de cette dernière. Enfin, il faut aussi préciser que la donne a changé pour la rénovation du stade Bollaert. Si le projet de départ prévoyait des financements privés, les multiples péripéties dans ce dossier ont fini par aboutir à une situation où les financements publics dominent. L'accord sous seing privé entre les entreprises et Gervais Martel pourrait donc être en violation du sacro-saint appel d'offre des marchés publics. Hier, Gervais Martel devait passer la nuit dans les locaux du service régional de la police judiciaire. « Sa garde à vue devrait être levée dans la matinée », apprenait-on de source policière. Selon nos informations, le président du RC Lens devrait être déféré dans la foulée. -------------------------------------------------------------------------------- PACA : INCROYABLE ! Je vais finir par croire que dans le BTP les sociétés se partagent les marchés afin de ne pas se concurrencer ...autour d 'une table se seraient ils partagés les travaux ????? ...EIFFAGE ( et ex SGTN ) AU STADE DE LILLE et RABOT DUTILLEUL et RAMERY au stade de LENS ?????????? (cette derniere entreprise etant bien connue a BETHUNE ) | |
| | | PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
| Sujet: Re: FOOT Lun 23 Jan - 10:30 | |
| RÉNOVATION DE BOLLAERT |
Les signes ne trompent pas, l'horizon se dégage progressivement pour la rénovation... du stade Bollaert en vue de l'Euro 2016. Mais les bonnes volontés exprimées ici et là ne peuvent occulter les zones d'ombre qui persistent. L'annonce faite avant-hier par le Crédit agricole Nord de France (CANF) et les réactions qu'elle suscite rappellent que la faisabilité manque encore d'une assise concrète. Pour mémoire, l'actionnaire majoritaire du RC Lens assurait jeudi dans un communiqué, qu'un « accord de principe » avait été trouvé au début du mois entre le club et les collectivités territoriales, sous l'égide du ministre des Sports (lire ci-dessous ). Certes, le CANF a pris la peine d'ajouter que ces propositions restaient « conditionnées à la décision définitive des instances délibératives des acteurs concernés ». Toujours est-il que certains élus n'ont que modérément apprécié une attitude jugée cavalière, à commencer par Guy Delcourt. Le soir même, le Lensois a déploré que l'actionnaire place de la sorte « les collectivités devant le fait accompli ». Il soulignait dans la foulée que l'éventuel transfert du bail emphythéotique aux collectivités, point essentiel du scénario dévoilé par le CANF, était encore soumis à des études juridiques. « Rien n'est acté » Les dents grincent aussi au conseil général, duquel est attendue une subvention d'exploitation de 10 M E dans le cadre du naming. Il y avait bien un représentant de la collectivité début janvier au côté de David Douillet, mais « rien n'est acté de manière officielle », rappelle l'assemblée départementale, passablement « agacée » de voir la banque parler en son nom. Dans le projet de rénovation du stade évalué à 78 ME, le CANF part également du principe que la communauté d'agglomération de Lens-Liévin participe à hauteur de 12 ME. Joint hier, Jean-Pierre Kucheida estime qu'il est encore délicat de mesurer la contribution de la CALL. « Nous sommes à l'écoute mais à ce jour, je n'ai eu aucun devis, explique le président de l'intercommunalité. Avant de parler de participation, j'aimerais savoir précisément combien coûte la rénovation, l'accueil de l'Euro et le cas échéant la reprise du bail emphytéotique du stade par les trois collectivités. » Ensuite seulement le socialiste solliciterait l'avis de son groupe avant de soumettre une délibération à l'assemblée. En 2010, malgré la désapprobation de la minorité communiste, la CALL avait voté une avance remboursable à taux zéro de 20 ME. On parle désormais d'une subvention sèche. Au conseil régional, la participation est à un stade un peu plus avancé. La délibération octroyant un prêt de 25 ME votée en juin 2010 a été transformée un an plus tard en subvention. La Région n'a souhaité apporter aucun commentaire sur le communiqué du CANF, ni sur son éventuel rôle de caution pour l'emprunt des fonds manquants (à hauteur de 29 ME), précisant toutefois que ce scénario n'était encore qu'une « hypothèse ». Car il existe un plan B, celui qui a les faveurs de Gervais Martel, toujours à la recherche d'investisseurs privés pour reprendre le club et contribuer au financement des travaux. Dans un accord conclu avec le CANF, le président lensois a jusqu'au 30 juin pour racheter les parts concédées l'été dernier. • ÉDOUARD WAYOLLE ----------------------------------------------------------------- PACA : Une fois de plus le foot sera subventionné par les contribuables et qqs joueurs seront grassement payés pour jouer dans NOTRE STADE . Pire pour les voir il faudra payer une seconde fois car l 'entrée n 'est pas gratuite ... On marche sur la tête dans le 59/62 ou plutot les elus se paient notre tête ...BOLLAERT EST AUX NORMES ,...en tout cas il l 'etait pour la coupe du monde de foot en 1998 et la coupe de rugby en 2007 .Ce stade est beau et personne ne s 'en plaint alors de qui se moque t 'on ... A Beuvry il n 'y a plus de piscine et pourtant cette piscine etait utilisée par le petit peuple 330 jours par an , le stade BOLLAERT n 'est utilisé par des nantis que 20 demi journées par an ...il n y aurait pas là un probleme ?....Bientôt nous allons voter, alors un petit conseil, votez pour ceux qui ne dilapident pas nos impots et qui sont au service de la plus grande partie de la population | |
| | | PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
| Sujet: Re: FOOT Jeu 11 Aoû - 1:33 | |
| Dossier : Bulle financière et ballon rondLe football européen est malade. Malade d'avoir accumulé dettes et déficits. Plombé par le salaire de ses joueurs et le coût élevé des transferts. A la tête de l'élite européenne, les clubs espagnols et anglais sont tout particulièrement concernés. Pour éviter l'éclatement de la bulle footballistique, un retour à la raison est indispensable. Les autorités européennes du ballon rond appliqueront de nouvelles règles, dites de «fair play financier», à partir de la saison 2011-2012, les premières sanctions tombant en 2013-2014. Rappel des faits. LE FOOTBALL EUROPÉEN MINÉ PAR LES DÉFICITSSaison après saison, le football européen s'enfonce dans le rouge. Le bilan dressé par l'Union des associations européennes de football (UEFA) en janvier 2011 est accablant: en 2009, le déficit cumulé des clubs professionnels a atteint le niveau record de 1,2 milliards d'euros. 56% des clubs ont signalé un déficit, contre 48% en 2008. Et sur 30 «grands clubs», quatre seulement ont atteint l'équilibre. Cette aggravation des pertes s'explique d'abord par l'alourdissement de la masse salariale des clubs, qui a représenté 64% de leurs coûts en 2009 . Plombé par le salaire des joueurs, le football européen s'enfonce dans le rouge [ 12/01/2011 ] Document. Le panorama du football interclubs européen (12/01/2011) La chronique de Jean-Marc Vittori: Les deux bulles du football (31/08/2010) Dans une étude parue en juillet 2010, le cabinet AT Kearney s'inquiète aussi de la viabilité financière des grandes ligues de football européennes. «En fonctionnant comme des entreprises normales, les ligues d'Espagne, d'Angleterre et d'Italie seraient mises en faillite en moins de deux ans», affirment les auteurs du rapport. Il est urgent de réagir et d'initier un changement de modèle économique. | |
| | | PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
| Sujet: Re: FOOT Lun 25 Juil - 10:19 | |
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| | | chipie.g Invité
| Sujet: helas Ven 22 Juil - 9:23 | |
| bonjour PACA comment vas tu? helas plus rien de m'étonne maintenant plus tu reçois de l'argent plus tu as de subventions c'est la vie je suis tres deçue et triste de cette situation qui ira de plus en plus mal |
| | | PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
| Sujet: Re: FOOT Ven 22 Juil - 9:18 | |
| Le conseil régional participera au financement du futur Grand Stade au côté de la communauté urbaine de Lille. Il a adopté le principe d’une subvention de 45 millions d’euros. Seuls les écologistes ont voté contre.Martine Aubry a pu signer le contrat de partenariat public-privé avec le groupe Eiffage pour la construction du futur Grand Stade prévu à Villeneuve-d’Ascq. Quelques heures plus tôt, dans un débat de trois heures placé sous la pression du calendrier, une large majorité du conseil régional a finalement décidé de subventionner cet équipement. Sans ce coup de pouce de 45 millions d’euros (sur un coût total estimé à 282 millions d’euros hors taxe), la présidente de la communauté urbaine a confié qu’elle n’aurait pas signé le dossier avec le géant du BTP. C’est donc une étape importante, mais pas encore définitive ni décisive, qui a été franchie hier. Triple détenteDans l’hémicycle du conseil régional, on a, avec quelques nuances, « refait le match » déjà joué en communauté urbaine de Lille. Le principe d’une subvention de 45 millions d’euros versée en trois tranches annuelles de 15 millions a été adopté par 60 voix « pour » (PS et PC), 9 « contre » (les Verts) et 35 abstentions (l’UMP et le FN). Le futur Grand Stade décroche une subvention à triple détente : 15 millions en tant que stade de foot (comme pour ceux de Valenciennes ou Calais), 15 autres millions comme équipement « multisports » et 15 derniers millions comme équipement polyvalent susceptible d’accueillir de grands événements festifs et culturels. Bernard Roman, le vice-président (PS) aux finances, relativise d’ailleurs le montant de l’aide en rappelant qu’elle ne pèse pour la Région que 3 % dans un budget annuel d’investissement de 600 millions d’euros. Quant au vice-président (PS) chargé des sports, Wulfran Despicht, il se fait franchement lyrique en évoquant un « Louvre du sport ». Cet enthousiasme n’est pas partagé sur tous les bancs. Le vote favorable du groupe communiste est assorti de quelques réserves. Alain Bruneel indique qu’il aurait préféré une localisation à Lesquin.Comme à la communauté urbaine, les Verts prennent leurs distances en votant contre cette subvention. Pour leur porte-parole Jean-François Caron, le futur stade est au mauvais endroit, il est aussi surdimensionné et doté d’un montage financier inquiétant. Aux 50 000 places annoncées à Villeneuve-d’Ascq, les écologistes auraient préféré une jauge à 40 000 et une localisation à Lille Sud. Lille Sud ? L’idée n’était pas pour déplaire à Françoise Hostalier (UMP) qui s’interroge également sur les incertitudes dans le montage financier. Si le groupe UMP fait au final le choix de l’abstention, c’est qu’il a obtenu, indique son président Dominique Riquet, un engagement de modération fiscale. Dans les futurs budgets de la Région, la pression fiscale ne devrait pas évoluer plus fortement que l’inflation Quelle part d’État ?Deux élus n’ont pas suivi leur groupe politique. Henri Segard (UMP) a voté « pour » et Rudy Ellegest (apparenté PS) s’est abstenu. En prologue au vote, Martine Aubry a défendu les atouts d’un équipement dont l’innovation est la carte maîtresse. Avec son toit ouvrant, sa pelouse rétractable, sa jauge allant de 6 000 à 50 000 places, sa « boîte à spectacles » escamotée sous le terrain, l’équipement tient à la fois du Grand Stade, du Palais des sports, du Zénith, du Dôme, de l’Arena… Tout cela a un coût. Pour la communauté urbaine, l’addition prendra la forme d’une redevance annuelle de l’ordre de 10 millions d’euros pendant trente et un ans. Et à côté des 45 millions d’euros de la Région, Martine Aubry table sur une participation de l’État de 43 millions. Sinon la note sera plus lourde. Vu sur la voix du nord | |
| | | PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
| Sujet: FOOT Jeu 7 Juil - 0:12 | |
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Dernière édition par PACA le Lun 19 Nov - 18:28, édité 1 fois | |
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