| | | 9 me circonscription du 62 |  |
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ACARIE
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| Sujet: Re: 9 me circonscription du 62  Mar 5 Mar - 9:32 | |
| Béthune : la députée RN Caroline Parmentier ne vote pas «pour» l’inscription de l’IVG dans la ConstitutionCaroline Parmentier, la députée Rassemblement national de la 9e circonscription, s’est abstenue, lundi 4 mars, lors de la dernière étape du projet de constitutionnalisation de l’IVG. Par la rédactionPublié:5 Mars 2024 à 09h07Temps de lecture:3 minPartage : C’est historique. Après des mois, voire des années, de lutte, le droit à recourir à l’interruption volontaire de grossesse est inscrit pour toujours dans la Constitution française. Alors que beaucoup de pays régressent en matière de droits des femmes, la crainte était de voir ce droit fondamental attaqué un jour en France.La gauche a été la première à dégainer une proposition de loi constitutionnelle en 2022. Plusieurs fois retoquée, mais cette fois aura été la bonne. Le 4 mars, les parlementaires réunis en Congrès ont voté une ultime fois pour l’inscription dans la Constitution le droit à recourir à l’interruption volontaire de grossesse. Il fallait 512 votes en faveur, il y en a eu 780.Vingt députés et sénateurs de plus ont voté pour, par rapport aux premiers votes. Au total, 72 parlementaires ont voté contre, dont 50 parlementaires LR et 11 RN.Et chez nous ?Dans le Nord, il y a 11 sénateurs et 21 députés. Tous ont voté pour la constitutionnalisation de l’IVG.Dans le Pas-de-Calais, on compte 7 sénateurs et 12 députés. Tous ont voté pour la constitutionnalisation de l’IVG, sauf Caroline Parmentier, la députée RN de la 9e circonscription, qui s’est abstenue, avec 49 autres parlementaires français.Que dit le texte final ?Le projet de loi constitutionnelle a été voté par une majorité des sénateurs, mercredi 28 février, au Palais du Luxembourg. Le texte final retient la même formulation que celui voté à l’Assemblée nationale : « La loi détermine les conditions dans lesquelles s’exerce la liberté garantie à la femme d’avoir recours à une interruption volontaire de grossesse. »S’ouvrait lundi 4 mars 2024 la dernière étape : la réunion des parlementaires des deux chambres en Congrès (présidé par une femme pour la première fois, Yaël Braun-Pivet). Le Congrès désigne la réunion conjointe des deux Chambres du Parlement, Assemblée nationale et Sénat.À cette occasion les 925 parlementaires (577 députés et 348 sénateurs) siègent ensemble dans l’hémicycle de l’Aile du Midi du château de Versailles, le plus grand de France. Les élus ont la responsabilité de se prononcer une nouvelle fois sur le texte, qui devra être adopté aux trois cinquièmes des membres pour être inscrit dans la loi fondamentale.Quelques chiffres sur l’IVG en FranceL’Institut national d’études démographiques (Ined) a enregistré 232 000 interruptions volontaires de grossesse (IVG) en 2022, un chiffre en hausse par rapport à 2020 et 2021 marquées par le Covid-19, avec 215 000 IVG en 2020 et 216 000 en 2021 contre 224 000 en 2019.« Les IVG sont concentrées aux âges compris entre 20 et 34 ans, et le taux de recours le plus élevé se situe entre 25 et 29 ans », selon l’Ined, pour qui la dégradation du contexte socio-économique paraît être un facteur d’explication à cette hausse : « l’avortement a pu être davantage mobilisé dans une période possiblement jugée peu propice à la décision d’accueillir un enfant ».Les femmes ont plus recours aux IVG médicamenteuses : 38 % des IVG sont réalisées en ville par méthode médicamenteuse, 40 % à l’hôpital via la même méthode. Le reste (22 %) est pratiqué par méthode chirurgicale.Le lieu de l’acte varie selon l’âge : si l’hôpital est globalement le principal lieu d’IVG, les femmes les plus âgées se rendent davantage en ville et dans les établissements privés, alors que les femmes de 25 à 34 ans ont davantage recours aux sages-femmes, et les moins de 20 ans aux établissements publics. La part des IVG réalisées à l’hôpital public est plus importante chez les 15-18 ans (76 %). | |
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| | Sujet: Re: 9 me circonscription du 62 Lun 29 Jan - 7:27 | |
|  La députée RN Caroline Parmentier veut faire « privatiser l’audiovisuel public »Lors de sa cérémonie de vœux, à Mont-Bernanchon, la députée Rassemblement national de la neuvième circonscription (autour de Béthune et Lillers) a tracé ses priorités : la proximité, la protection de l’enfance et son combat contre « le militantisme des médias publics ». Caroline Parmentier lors de sa cérémonie de vœux 2024.Par Anne-Claire GuilainPublié:28 Janvier 2024 Du gel, du soleil et une salle des Libellules pleine. Ce dimanche 28 janvier, la députée RN Caroline Parmentier avait choisi Mont-Bernanchon pour adresser ses deuxièmes vœux locaux, sans Jordan Bardella cette fois mais en présence d’élus voisins.
 Avant Caroline Parmentier, son suppléant et conseiller régional RN, Alexandre Maeseele, a pris la parole.Avec comme priorité : démontrer qu’elle est une élue de proximité. Celle qui est originaire de Pau a énuméré les communes qu’elle a sillonnées depuis son élection, en 2022, et les rencontres qu’elle y a faites. Elle a évoqué inondations et colère des agriculteurs qu’elle défend pour « rester un pays libre et souverain ». Et a assuré à la salle « porter vos dossiers locaux » : la désertification médicale, les fermetures de classes en milieu rural, les frelons asiatiques, le statut de garde champêtre, les boulangers, etc. Elle est revenue aussi sur le dossier de la prison de Béthune et les travaux nécessaires pour lutter contre « ce fléau des jets de colis » : « Ce n’est pas encore gagné. Je dois rencontrer prochainement des riverains. Je ne renoncerai pas, j’irai jusqu’au bout ».
Lutter contre la pédocriminalitéDeux autres sujets ont particulièrement marqué son discours : « la protection de l’enfance » et « le pluralisme des médias ». Pour le premier, « c’est un sujet qui me tient à cœur car je suis mère de trois enfants », confie-t-elle, rappelant les œuvres « qui montrent des scènes de pédocriminalité » qu’elle a dénoncées avec « indignation ».Concernant les médias, l’ancienne journaliste et chargée des relations presse de Marine Le Pen, a expliqué comment elle avait défendu « CNews et C8 face à une ministre de la culture avec laquelle nous avons ferraillé jusqu’à obtenir son départ du gouvernement ». Mais aussi qu’elle « menait un combat contre le militantisme des médias publics » à qui elle a réclamé « un effort de pluralisme et une certaine neutralité ». Elle a d’ailleurs annoncé qu’elle venait de « proposer une loi pour privatiser l’audiovisuel public ». Et les trois médaillés sont… Enfin, comme le député RN voisin Thierry Frappé l’avait fait vendredi, elle a mis à l’honneur trois personnes du secteur en leur remettant la médaille de l’Assemblée nationale : Evelyne Sergent, de Gonnehem, pour ses 177 dons de sang et de plasma ; Xavier Delebassée, ancien combattant de Locon et garde d’honneur de Lorette, pour sa passion pour les véhicules militaires anciens ; et Louis Louchart, 21 ans de Calonne-sur-la-Lys, pour son engagement associatif.. | |
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| | Sujet: Re: 9 me circonscription du 62 Lun 18 Sep - 9:23 | |
|  Caroline Parmentier, députée Rassemblement national : « On est un peu le dernier recours »La députée du Rassemblement national a profité de cette première année de mandat pour notamment faire connaissance avec le territoire, sans oublier de dénoncer et créer la polémique Caroline Parmentier revient sur sa première année de mandat.Par Stéphanie Hameaux JournalistePublié:17 Septembre 2023L’essentiel. Caroline Parmentier a été élue députée dans la 9e circonscription du Pas-de-Calais lors des élections législatives de juin 2022. Elle entame donc sa deuxième rentrée politique. L’occasion de revenir sur sa première année de mandat, ses priorités, ses difficultés. Mais aussi, sur les polémiques qu’elle soulève et dont elle est la cible. Elle a rendu son mandat de conseillère régionale d’Ile-de-France en décembre dernier pour se consacrer à sa circonscriptionSa permanence est installée au 77, rue de l’Égalité à Béthune. Dans la salle d’accueil, des photos de Caroline Parmentier sur diverses manifestations et aux côtés de différentes personnalités politique. L’élue entame sa deuxième rentrée politique à l’Assemblée nationale, l’occasion de revenir sur ce début de mandat.Comment se présente cette rentrée politique et quel est le bilan de votre première année de mandat ?Il y avait une grosse demande de la population que j’avais déjà sentie lors de la campagne, une demande de considération, d’être entendu, de présence aussi, ce que ne faisait pas mon prédécesseur (Marguerite Deprez-Audebert), j’ai pris le parti de faire exactement l’inverse et ça s’est senti tout de suite dans les rendez-vous de circonscription. On en est je pense actuellement à 250 rendez-vous de permanence avec les habitants de la circonscription : un appel, une rencontre, une rencontre avec mon collaborateur. On a eu beaucoup de demandes de logement, les retards de dossiers de calcul de retraite, d’aide à la création d’entreprise, le chômage. On est un peu le dernier recours quand ils n’ont de réponse nulle part. Vous pourriez me dire, vous êtes un peu le France services et si c’est le cas, j’en suis fière. J’ai dit que je serai au service de ma circonscription.Comment se passent les relations avec les élus du territoire ?Il y a une courtoisie républicaine de la part des élus. J’ai été invitée à toutes les cérémonies de vœux des maires, en dehors de Chocques avec qui c’est compliqué. Lui, je sais qu’il n’aime pas quand je vais dans sa commune, donc je vais y retourner bien évidemment, le plus souvent possible. Le maire de Béthune est tout à fait courtois, je sais qu’il n’était pas content de mon élection. J’ai rencontré un peu plus de la moitié des maires de la circonscription. J’ai l’intention de tous les rencontrer avant la fin d’année. Le mandat municipal est le plus difficile qu’il soit.Ils sont aussi mécontents du désengagement de l’État, en tant que députée, vous les soutenez ? Et que pouvez-vous faire ?Bien sûr, je trouve qu’ils sont abandonnés et je comprends leur colère. Je peux intercéder pour eux, mon rôle est de les rencontrer et de faire remonter leur demande à l’Assemblée.Vous êtes intervenue à l’Assemblée sur le dossier de la prison de Béthune, qu’en est-il aujourd’hui ?J’ai posé une question au gouvernement et j’ai obtenu le budget de 400 000 euros pour lutter contre la problématique des jets de colis qui empoisonnent la vie des riverains. Vont être installés normalement caillebotis, filets, tout un système qui permettra d’activer cette lutte. À l’Assemblée, j’ai déposé 120 amendements, on a bataillé contre la réforme des retraites notamment ; six projets de loi (lutter contre le viol, la création d’une commission d’enquête sur l’exposition des mineurs à la pornographie, etc.)D’où votre réaction face au tableau exposé au Palais de Tokyo et la BD Bastien Vivès ?J’ai posé des questions orales au gouvernement, une sur le pouvoir d’achat, une sur le tableau pédopornographique et une sur la liberté de la presse. Concernant le tableau, cette scène qui représentait un enfant, l’auteur s’en est défendu, mais ce n’est pas pour autant que le plus grand nombre ne voit pas la représentation d’un enfant. 15 associations de protection de l’enfance ont déposé un recours, elles ont été déboutées. C’est la loi, mais je suis dans mon rôle de membre de la délégation des enfants quand je représente l’indignation de millions de Français à l’Assemblée nationale sur ce tableau. Concernant Bastien Vivès, l’exposition de ces dessins a été déprogrammée du festival d’Angoulême et il est actuellement sur le coup d’une enquête de la brigade de protection des mineurs pour diffusion d’images pédopornographiques.Vous parlez d’indignation, mais votre nom est aussi associé à des polémiques ou des propos jugés choquants. Vous avez été poursuivie pour propos racistes quand vous étiez journaliste et vous avez prononcé une phrase, comparant l’avortement à un génocide. Est-ce que vous maintenez ces propos aujourd’hui ?J’avais dit qu’il y avait trop d’immigrés en France, que vu leur nombre, on ne pourrait pas les assimiler, ce sont des propos qui remontent à 1994. Pour ce propos aujourd’hui, je ne serais plus condamnée (sic), la parole s’est libérée dans ce domaine, il y a une telle immigration que tout le monde s’est mis à en parler, tout le monde reconnaît ce phénomène d’immigration massive. Concernant l’avortement, on ne s’opposera pas à la loi sur l’avortement.Mais le choix des mots était tout de même violent. Est-ce que vous reprononceriez cette phrase aujourd’hui ?Non. Je ne renie pas mes propos de l’époque, je pense qu’il y a eu trop d’avortements, par une mauvaise connaissance des moyens contraceptifs et par une mauvaise diffusion des moyens contraceptifs. Je pense que l’avortement est toujours un drame. On aura dû y remédier par une campagne mieux faite des moyens contraceptifs.L’avortement n’est pas forcément motivé par une absence de pilule…Les femmes ont tout à fait le choix de décider cela, mais je pense que sur le nombre, peut-être que si certaines avaient été informées, elles n’auraient pas avorté, voilà. Parce qu’elles se seraient protégées différemment, notamment chez les jeunes.Localement, quelles seront vos actions pour cette rentrée ?Concernant la circonscription, je vais continuer ce que l’on a fait, me rendre plus souvent dans les villes et communes dans lesquelles je ne me suis pas rendue. J’ai envie d’aller dans tous les restaurants et les bars car c’est un bon moyen de rencontrer les gens, un peu le système de café rencontre, en prévenant ou sans prévenir. On y rencontre les gens. Ceux qui n’ont pas compris qu’il fallait être sur le terrain n’ont rien compris.Questions écrites à l’Assemblée nationale
Caroline Parmentier a déposé des questions écrites à l’Assemblée nationale sur les thématiques : les oubliés du Ségur de la santé, les fermetures de classes, le frelon asiatique, la difficulté des producteurs d’endives, les moyens consacrés aux feux de forêt dans le Pas-de-Calais, l’emploi et le chômage des seniors, l’installation des gens du voyage sur les parcelles agricoles, la désertification médicale dans le Bruaysis et le Béthunois, etc.Une élue de terrain
On le sait, la technique du Rassemblement national, c’est être présent sur le terrain. Se montrer, rencontrer, lors des campagnes électorales. Cela a été la stratégie de Ludovic Pajot à Bruay-la-Buissière, Caroline Parmentier a fait de même lors des dernières élections législatives de juin. Mais depuis son élection, celle-ci n’a pas changé de formule et elle se plaît à lister les événements sur lesquels elle s’est rendue. « Mon ordre, je vais partout où on m’invite et partout où on ne m’invite pas. Je suis allée dans les marchés aux puces, sur les commémorations, sur les événements. En essayant de se répartir dans les villes, il n’y a pas que Béthune dans la circonscription. » Elle n’a pas oublié le domaine des entreprises. « J’ai visité Tereos à Lillers, Semex à Guarbecque, BlackStar à Béthune, Roquette à Lestrem, le château de Beaulieu à Busnes. » Et elle a soutenu, notamment, les commerçants face au coût de l’énergie.. | |
| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: 9 me circonscription du 62 Mar 18 Avr - 18:52 | |
|  POLITIQUE Députée – Maire : une « courtoisie républicaine » ANTOINE JAMES Caroline Parmentier est députée de la circonscription de Béthune, Olivier Gacquerre le maire de cette même commune.La députée du Rassemblement National a évoqué ses relations avec le maire de Béthune, ville centre de sa circonscription. Une cohabitation plutôt difficile pour les deux élus, sur fond de « courtoisie républicaine » D’un côté, Caroline Parmentier, députée (RN) de la neuvième circonscription du Pas-de-Calais (Béthune, Lillers, Norrent-Fontes, NDLR) élue en juin dernier avec 54 % des suffrages exprimés face à la candidate sortante. De l’autre, Olivier Gacquerre, maire UDI de Béthune depuis 2014, réélu en 2020 pour un second mandat à la tête de la commune jusqu’en 2026. Et au milieu, une relation de travail qui a du mal à se construire depuis bientôt un an.SE FAIRE ACCEPTER EN TERRE INCONNUEDe par leur opposition politique, c’est presque peu de dire que les relations entre Caroline Parmentier et Olivier Gacquerre sont froides. La première citée a évoqué le sujet dans un article de Libération, publié le 31 mars dernier et intitulé « Dans leurs circonscriptions, les députés RN cherchent à se fondre dans le paysage ». Elle qui a découvert le territoire lors de sa campagne, Caroline Parmentier s’efforce d’être présente sur le territoire la moitié de la semaine, et veut être « une députée de Kermesse. »« On ne travaille pas ensemble sur des dossiers de fond. On aurait pu faire mieux sur le dossier de la prison par exemple. » Caroline ParmentierUne implantation qui ne semble pas être du goût de l’élu local, si l’on en croit la députée : « Il ne pensait pas que je serais élue, mais les électeurs en ont décidé autrement. Il souffre de ma présence, il est venu me voir le 14 juillet en disant soyez discrète Madame Parmentier, vous êtes une parachutée , mais je ne serais pas discrète, ce n’est pas ce que je dois faire. » Résultat, Caroline Parmentier s’est installée dans un appartement en face de la mairie et s’invite à de nombreux événements sur un territoire auquel elle s’estime aujourd’hui « très attachée. »PAS DE RENDEZ-VOUS NI DE SALLE COMMUNALEÀ l’échelle de la circonscription, les maires des différentes communes « oscillent entre indifférence, bienveillance », et ce que la députée appelle la « courtoisie républicaine » comme le relatent nos confrères de Libération. Caroline Parmentier relève tout de même quelques édiles avec qui « ça ne passe pas » , dont Olivier Gacquerre, malgré le soutien de certains habitants : « Je me sens acceptée aujourd’hui , confie l’ancienne attachée de presse de Marine Le Pen. Il y avait une attente, et les gens sont en général contents de voir la députée sur le terrain. »Mais avec la mairie de Béthune, c’est plus compliqué : les demandes de rendez-vous avec Olivier Gacquerre sont classées sans suite, la députée est coupée sur les photos et une demande pour une salle communale afin d’y organiser ses vœux lui a été refusée. « On ne travaille pas ensemble sur des dossiers de fond , avoue Caroline Parmentier. Mais je voudrais pouvoir travailler avec lui, on aurait pu faire mieux sur le dossier de la prison par exemple. »Peut-on parler d’un appel du pied ? En tout cas, la députée du Rassemblement National l’assure à propos du maire de Béthune, « je ne doute pas qu’il fait du bon boulot et qu’il est extrêmement travailleur. » Peut-être de quoi permettre d’adoucir la relation entre les deux élus, dont les mandats courent respectivement jusqu’en 2026 et 2027.Contacté, Olivier Gacquerre n’a pas donné suite à nos sollicitations.
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| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: 9 me circonscription du 62 Lun 16 Jan - 20:14 | |
|  Béthune: des premiers vœux sous le sceau de la conquête pour la députée Caroline ParmentierJordan Bardella, le nouveau chef du Rassemblement national, était là. Devant près de 150 personnes toutes acquises à sa cause, Caroline Parmentier, a adressé ses premiers vœux en tant que députée de la 9e circonscription, vendredi. Un thème en ressort : la conquête du Pas-de-Calais n’est pas finie. Pour ses premiers vœux de députée, Caroline Parmentier a pu compter sur la présence de son ami et patron du Rassemblement National Jordan Bardella. - LOCVDNPar Stéphane LeulierPublié:16 Janvier 2023 Elle a choisi le Vieux Beffroi, lieu des conférences de presse politiques pour tenir ses premiers vœux. Les invités ? « Des gens de la 9e circonscription » et des élus du secteur, uniquement du Rassemblement national : le maire de Bruay Ludovic Pajot, le député de la 10e circonscription Thierry Frappé, et en invité de marque, son ami et nouveau patron du parti, Jordan Bardella. « Le Pas-de-Calais est devenu une terre de conquête, affirmait le député européen. On va continuer à s’enraciner dans les prochains mois. » Pour ses premiers vœux de députée, Caroline Parmentier a pu compter sur la présence de son ami et patron du Rassemblement National Jordan Bardella. - LOCVDNUne idée qui a marqué la cérémonie. « « Nous partîmes trois et par un prompt renfort, nous sommes aujourd’hui cinquante fois plus. Imaginez ! Si on multiplie notre nombre par 50 tous les six mois, nous serons une armée romaine ou plutôt gauloise, souriait Caroline Parmentier devant une audience conquise. Aujourd’hui, il y a 85 adhérents sur la circonscription, dont 51 nouveaux depuis que je suis députée. Il faut continuer. Tout reste à construire. Nous avons besoin d’amis, d’allier, de militants, nous devons avancer. » L’objectif ? « La conquête du pouvoir. » « Nous devons faire émerger des militants et des responsables qui réaliseront un travail local d’implantation en vue des prochaines sénatoriales et municipales. Parmi vous, nous avons de futurs élus, de futurs maires et sans doute de futurs sénateurs. » Caroline Parmentier a placé ses vœux sous le signe de la conquête: le RN cherche à s’implanter sur le territoire. - LOCVDN100 personnes reçues en permanencePeu avant, Caroline Parmentier avait tenu une conférence de presse où elle est revenue plus en détail sur son travail, désormais uniquement consacré à son mandat de députée. Elle a en effet démissionné de sa fonction de conseillère régionale d’Île-de-France. Depuis six mois, l’élue a déposé trois propositions de loi : une proposition de résolution déclarant la natalité française grande cause nationale 2024, une proposition de loi visant à lutter contre le viol et une proposition de résolution tendant à la création d’une commission d’enquête sur l’exposition des mineurs à la pornographie. La députée a déposé trois propositions de loi, pendant ses premiers mois de travail à l’Assemblée nationale. - LOCVDNElle assure qu’une centaine de rendez-vous de permanences ont été assurés, à Béthune. « Les gens sont très demandeurs en matière de chômage, logement, URSSAF, retraite ou encore création d’entreprise », précise l’ancienne attachée de presse Marine Le Pen, qui a rencontré « un peu moins d’une dizaine de maires » depuis le 19 juin dernier. Son objectif, en 2023, sera d’avoir échangé avec tous. « Ma présence est en train de devenir d’une totale banalité, assure-t-elle. Je vais partout où je suis invitée et partout, parfois, où l’on ne m’invite pas. » Pour ses premiers vœux de députée, Caroline Parmentier a pu compter sur la présence de son ami et patron du Rassemblement National Jordan Bardella. - LOCVDN.
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| | Sujet: Re: 9 me circonscription du 62 Mar 10 Jan - 10:37 | |
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| | | | ACARIE
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| | Sujet: 9 me circonscription du 62 Dim 20 Nov - 8:42 | |
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| | Sujet: Re: 9 me circonscription du 62 | |
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