SARKOSY

Messages : 4055 Date d'inscription : 14/06/2019

J'aurai pu mettre cet article dans la rubrique : "TOUS POURRIS ?"

Affaire « Bygmalion » : une nouvelle peine de prison ferme pour Nicolas Sarkozy

PAR ÉRIC DUSSARTedussart@lavoixdunord.fr

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Le prochain rendez-vous judiciaire de l’ex-président Nicolas Sarkozy pourrait être le plus délicat, pour lui. À suivre. PHOTO AFP

L’ex-président a été condamné hier en appel à un an d’emprisonnement, dont six mois avec sursis, dans l’affaire « Bygmalion », s’agissant des dépenses excessives dans sa campagne de 2012. Il s’est aussitôt pourvu en cassation.

PARIS.
Mine de rien, c’est comme un étau qui se resserre encore. Déjà condamné à trois ans de prison, dont un ferme, dans l’affaire des écoutes téléphoniques qu’on appelle « Bismuth » (condamnation contre laquelle il s’est pourvu en cassation), Nicolas Sarkozy vient de s’entendre prononcer une nouvelle peine d’emprisonnement ferme. Cette fois, c’est six mois (plus six mois avec sursis). Une nouvelle fois, cette peine est suspendue par un pourvoi.

Comme lors du premier procès, l’ex-président a contesté «vigoureusement toute responsabilité pénale»…

On ne saura pas ce qu’en pense l’ex-président. À la mi-journée, il était arrivé souriant au palais de justice de Paris, il a écouté sans rien dire la décision de la cour et il est reparti sans un mot. Qu’en penser, d’ailleurs ?

C’est mieux que ce qu’avait prononcé le tribunal en première instance (un an ferme) mais moins bien, pour lui, que ce qui avait été requis à l’automne dernier (un an avec sursis).

Et ici aussi, il a bataillé. Pas contre les dépassements de frais de campagne, pour la présidentielle de 2017, parce qu’ils sont incontestables. Cela a même été une explosion : près de 43 millions d’euros pour un maximum autorisé de 22,5 millions. Et pas non plus contre le système de double facturation mis en place pour masquer cette dérive : Jérôme Lavrilleux, qui était directeur adjoint de l’équipe de campagne, l’a expliquée dans tous ses détails.

« DEUX POIDS DEUX MESURES »

Nicolas Sarkozy, c’était son combat, a toujours juré qu’il n’était pas au courant de tout ce montage. Il n’était d’ailleurs pas renvoyé pour ce système de fausses factures, mais il lui était reproché ici d’avoir « poursuivi l’organisation de meetings électoraux, demandant un meeting par jour », alors même qu’il « avait été averti par écrit » du risque de dépassement. Et comme lors du premier procès, l’ex-président a contesté « vigoureusement toute responsabilité pénale », et n’a cessé de dénoncer « des fables et des mensonges ».

La cour ne l’a pas vraiment suivi, donc. Pour la plus grande colère de ses avocats : « Monsieur Nicolas Sarkozy est pleinement innocent, il a pris acte de cette décision, il a décidé de se pourvoir en cassation, a annoncé M e Vincent Desry. Il maintient donc son combat, sa position dans cette affaire, car l’arrêt rendu ce jour par la cour d’appel est hautement contestable. »

Et l’avocat a cru bon de faire allusion à une autre affaire : « Lorsqu’on le compare notamment à une décision rendue la semaine dernière dans l’affaire des assistants parlementaires du Modem, le raisonnement est en pleine contradiction. »

Il y voit « une forme de deux poids deux mesures concernant M. Nicolas Sarkozy ».
Il fait évidemment référence à la relaxe, « faute de preuves », du président du Modem, François Bayrou, dans le dossier des assistants d’eurodéputés. Lui aussi sera rejugé en appel. Les neuf autres personnes qui comparaissaient ici ont également été condamnées, à des peines d’un an de prison avec sursis à deux ans de prison dont dix-huit mois avec sursis.

Pour la plupart d’entre elles, c’est la fin de cette interminable affaire « Bygmalion », et de leurs ennuis judiciaires. Pour Nicolas Sarkozy, qui a donc désormais deux pourvois en cassation en cours, il reste d’autres perspectives inquiétantes.

À commencer par l’affaire des soupçons de financement libyens de son autre campagne présidentielle, celle de 2007, pour laquelle il comparaîtra en début d’année prochaine.

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Messages : 4055 Date d'inscription : 14/06/2019

Nicolas Sarkozy mis en examen en marge de l’affaire du financement libyen

PAR ÉRIC DUSSARTedussart@lavoixdunord.fr

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Nicolas Sarkozy, ici avec Mouammar Khadafi lors de sa visite à Paris en décembre 2007, se dit décidé à défendre son honneur. Ce pourrait être une nouvelle fois devant le tribunal. photo afp
L’ex-président de la République est cette fois empêtré dans l’affaire du revirement de Ziad Takieddine, à propos des soupçons de financement de sa campagne présidentielle de 2007 par Mouammar Khadafi. Une mise en examen qui vient alourdir un agenda judiciaire déjà chargé.
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PARIS.
À l’époque, ce fut un choc. Une interview bien en vue, à la fois sur BFMTV et dans Paris Match, dans laquelle le sulfureux Ziad Takieddine opérait un spectaculaire revirement, dans l’affaire des soupçons de financement libyen de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007.

Aucun élément ne peut m’incriminer dans cette folie, ni de près, ni de loin.
L’homme d’affaires franco-libanais n’avait pas été le seul à prétendre en savoir long sur cette histoire de transferts de valises pleines de billets. Mais il était l’un des maillons forts d’une accusation qui se dessinait dangereusement pour l’ex-président.

« SAUVER SARKOZY »

Pour les juges d’instruction chargés de l’enquête, c’est à ce moment précis que s’est décidé une opération nommée « Sauver Sarkozy », autour de Mimi Marchand, proche de l’ex-leader de la droite et connue dans le tout-Paris comme « la reine des paparazzis ».

L’interview de novembre 2020 devait en être la première étape, avant une lettre envoyée par le même Takieddine à la justice française, puis une tentative de corruption de plusieurs membres du personnel judiciaire libanais. Ceci dans le double but de mettre à mal la crédibilité d’un document publié par Mediapart évoquant un financement à hauteur de 50 M €, et de faire libérer l’un des fils de Mouammar Khadafi – ce qui aurait sans doute mis sa famille dans de bonnes dispositions, pour participer à l’opération « Sauver Sarkozy ». Selon les juges d’instruction, tout cela aurait coûté plus de 600 000 euros.
Autour de Mimi Marchand, une demi-douzaine de personnes, dont l’intermédiaire Noël Dubus ou le chef d’entreprise David Layani, sont mises en cause à ce jour à divers degrés. Depuis mardi, les juges entendaient donc Nicolas Sarkozy pour tenter d’établir s’il était au courant de l’opération, ou même s’il en était à l’origine.

En juin dernier, il avait reconnu avoir été informé de l’intention de Ziad Takieddine de revenir sur ses déclarations, mais il dément formellement toute incitation : « L’idée même que je puisse pousser directement ou indirectement au financement des pieds nickelés est une idée folle », disait-il alors. Et il assure, comme ses avocats qu’un élément ne l’implique, « ni de près, ni de loin ».

Et il a son idée sur les motivations de ceux qui auraient monté toute cette opération. « Toute cette petite bande n’a pour seule préoccupation que de se faire mousser les uns par rapport aux autres », en assurant être ses proches. Mais les juges l’ont mis en examen pour recel de subornation de témoin et association de malfaiteurs en vue de la préparation d’escroqueries au jugement, ce qui ouvre la voie à un nouveau procès pour l’ex-président.
En 2025, il sera jugé dans le dossier du financement lui-même, en compagnie de douze autres personnes.

Messages : 4055 Date d'inscription : 14/06/2019

L'ETAU SE RESSERRE ...

Nicolas Sarkozy mis en examen dans l’enquête sur la rétractation de Takieddine

L’ancien président Nicolas Sarkozy a été mis en examen vendredi par deux juges d’instruction qui l’interrogeaient depuis mardi dans l’enquête sur de possibles manœuvres frauduleuses pour le disculper des soupçons de financement libyen de sa campagne présidentielle 2007.

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L’ex-chef de l’État, Nicolas Sarkozy a été mis en examen pour recel de subornation de témoin et association de malfaiteurs. Photo by Philippe LOPEZ / AFP - AFP

Par AFP
Publié:6 Octobre 2023 à 14h15

L’ex-chef de l’État (2007-2012), Nicolas Sarkozy, arrivé en voiture vers 9h40 au tribunal judiciaire de Paris, a été mis en examen pour recel de subornation de témoin et association de malfaiteurs en vue de la préparation d’escroqueries au jugement en bande organisée. Cette décision ouvre la voie à un possible nouveau procès pour la figure de proue de la droite française.

Elle a été prise au terme d’une trentaine d’heures d’interrogatoire au total sur trois jours et demi, mené par deux magistrats financiers chargés de cette information judiciaire ouverte en mai 2021 sur cette opération, appelée « Sauver Sarkozy » par l’un des mis en cause.

Par cette mise en examen, les juges signifient qu’ils estiment disposer de suffisamment d’indices graves ou concordants quant à sa participation aux manœuvres élaborées par au moins neuf autres protagonistes impliqués à des degrés et moments divers, possiblement en leur donnant son aval.

Parmi les mis en cause, la reine des paparazzis Mimi Marchand, l’intermédiaire Noël Dubus, déjà condamné pour escroquerie, le puissant chef d’entreprise David Layani, etc. Les poursuites contre le financier Pierre Reynaud, mort en mai, sont éteintes.

Obtenir la rétractation des accusations contre Nicolas Sarkozy

La première étape de l’opération aurait d’abord consisté à obtenir la rétractation des accusations contre Nicolas Sarkozy du sulfureux intermédiaire franco-libanais Ziad Takieddine, fin 2020 en échange d’une possible rémunération. Ce revirement avait donné lieu à une retentissante interview sur BFMTV et Paris Match, point de départ de l’enquête.

Puis, au premier semestre 2021, certains des mis en cause auraient tenté d’obtenir une preuve que le retentissant document libyen publié dans l’entre-deux-tours de la présidentielle 2012 par Mediapart et évoquant un financement à hauteur de 50 millions d’euros était un faux.

D’après la source judiciaire, M. Sarkozy a par ailleurs été placé sous statut de témoin assisté pour l’infraction de participation à une association de malfaiteurs en vue de commettre l’infraction de corruption active de personnel judiciaire étranger au Liban.

Certains protagonistes de cette opération sont en effet soupçonnés d’avoir tenté de corrompre des magistrats libanais pour qu’ils libèrent un fils Kadhafi détenu dans ce pays, afin que la famille du défunt dictateur libyen facilite la mise hors de cause de M. Sarkozy.

Pour les enquêteurs, selon un chiffrage récemment établi, au moins 608 000 euros auraient pu être utilisés pour l’ensemble de l’opération, dont les protagonistes contestent la teneur frauduleuse.

« Aucun élément concret matériel, de téléphonie, ne peut (l)’incriminer »

Entendu en juin par les enquêteurs de l’Oclciff, spécialisés dans les affaires financières, l’ex-président a certes dit avoir été informé par Mimi Marchand en octobre 2020, soit un mois avant que l’information ne soit publique, d’un souhait de M. Takieddine de changer de version.

Mais selon ses auditions dévoilées par Libération et consultées par l’AFP, M. Sarkozy a assuré que « l’idée même que je puisse pousser directement ou indirectement au financement des pieds nickelés est une idée folle ». « Aucun élément concret matériel, de téléphonie, ne peut (l)’incriminer dans cette folie, ni de près, de ni de loin », a garanti l’ancien chef de l’État.

Longuement interrogé sur son agenda et sa téléphonie de la fin 2020 et du début 2021, qui suggèrent des rendez-vous ou conversations à des moments-clés avec des protagonistes du dossier, M. Sarkozy a évoqué quelques « coïncidences » mais nié tout contact significatif.

Pour lui, « toute cette petite bande n’a que pour seule préoccupation de se faire mousser les uns par rapport aux autres » en prétendant être en contact avec lui.

Cette décision des magistrats vient alourdir l’agenda judiciaire déjà chargé de M. Sarkozy, qui sera samedi matin dans son fief de Neuilly-sur-Seine pour la promotion de son dernier livre « Le temps des combats » (Ed. Fayard).

Outre le procès du financement libyen, prévu début 2025, il sera jugé en novembre en appel dans le dossier Bygmalion. L’affaire dite « Bismuth » pourrait, elle, faire l’objet d’un nouveau procès, pour raisons procédurales.

Messages : 4055 Date d'inscription : 14/06/2019

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Messages : 4055 Date d'inscription : 14/06/2019

Messages : 4055 Date d'inscription : 14/06/2019

Messages : 50 Date d'inscription : 03/10/2007

Bonjour,

croyez vous que Sarkosy soit le seul a mentir ? Ils sont tous pareils ! Avant les elections ils promettent , ensuite ils oublient et mentent !

C 'est pareil aussi en AVEYRON Rolling Eyes

Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007

Sarkozy menteur professionnel

https://www.youtube.com/watch?v=xWdr9fWhDPs

Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007

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Coût des déplacements en avion de Sarkozy
06/01/12 | Actu, Dette publique, Gaspillages, Politique économique gouvernementale
En 2010, Nicolas Sarkozy a passé 1218 heures à bord des avions de la République, soit près de 24 heures par semaine.

Le coût des déplacements de Sarkozy en avions de la République est de 8 millions d’euros. Une découverte faite à la lecture du « Journal officiel » du 2è décembre, qui publiait les réponses aux questions écrites posées par le député René Dosière.

François Fillon, lui, ne s’est envoyé en l’air que durant 545 heures à bord des avions de la République, soit pas plus d’un dizaine d’heures par semaine. En 2008, Sarkozy n’avait volé que durant 1089 heures mais avait volé 1337 heures à bord des avions de la République en 2009, alors qu’il n’était pas en campagne…

source: le canard enchainé

Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007

Durand, Zemmour, Ruquier : la « liste noire » de Sarkozy à la télé
Par Augustin Scalbert

Le Président a aussi listé ses chouchous à Carolis, ex-PDG de France Télévisions : les Bogdanov, Barbelivien, Lumbroso et Sabatier.

Le règne de Patrick de Carolis à France Télévisions étant terminé (depuis cinq jours), place à la chronique : selon le journaliste du Point Emmanuel Berretta, Nicolas Sarkozy avait dressé à l'ancien PDG une liste des gens qu'il ne pouvait vraiment plus voir dans la petite lucarne. Et, à l'inverse, de ses chouchous. L'information nous a été confirmée par des proches du dossier.

Au mois de juin, Patrick de Carolis était candidat à sa propre succession quand il a rencontré le président de la République en tête à tête. C'est lors de cette rencontre que, selon Le Point, Sarkozy lui aurait dressé la liste de ces indésirables.

Deux animateurs populaires, connus pour être pour le moins sceptiques vis-à-vis du Président, Laurent Ruquier et Patrick Sébastien, viennent en tête. On trouve aussi Eric Zemmour car, selon nos confrères, « l'Élysée souhaiterait qu'il cesse de tirer sur tout ce qui bouge, et notamment sur Nicolas Sarkozy, du haut de sa tribune chez Laurent Ruquier ».

Le patron du Point, Franz-Olivier Giesbert, fait partie des « blacklistés » (il animait l'émission Vous aurez le dernier mot), ainsi que Guillaume Durand, présentateur de L'objet du scandale et ami de Dominique de Villepin avec qui il partage une passion pour l'art contemporain.

Emmanuel Berretta ajoute qu'à l'inverse, Sarkozy a livré à Carolis les noms de ses favoris : Patrick Sabatier, Daniela Lumbroso, les frères Bogdanov, Didier Barbelivien… Tous, dans le privé, sont des amis du président de la République.

Sarkozy demande de déplacer l'émission de Schönberg
Quelques jours avant son arrivée au poste de PDG de France Télévisions, lundi, le successeur de Patrick de Carolis Rémy Pflimlin a déjà remercié la directrice de l'information Arlette Chabot, qui avait subi les foudres de Nicolas Sarkozy à New York.

Difficile de dire si Pflimlin respectera les listes noire et blanche de Sarkozy. Seule certitude, le Président ne cessera pas l'interventionnisme permanent dont il avait fait preuve sous la direction précédente.

L'activisme de Nicolas Sarkozy sur les programmes de France Télévisions était particulièrement patent durant les derniers mois.

Ainsi, selon nos informations, il a un jour convoqué à l'Elysée Patrice Duhamel, le bras droit de Carolis qui avait la haute main sur les programmes, pour lui dire de déplacer Prise directe, le magazine mensuel de Béatrice Schönberg, du mardi au mercredi.

« Il y a autre chose ? », aurait demandé Duhamel. « Non, c'est tout », aurait répondu Sarkozy, avant de congédier le journaliste.

► Arlette Chabot débarquée de la direction de l'info de France 2

► France Télévisions : "la liste noire" de Nicolas Sarkozy, sur LePoint.fr

Invité

C'est vrai qu'à part SARKOSY, on ne voit pas beaucoup le premier ministre... mais que fait-il au juste ?A quoi sert il ?
Au final, Mr FILLON aurait pu donner sa paye à Mr SARKOSY (ça en aurait fait ça des économies pour la France ! ) et partir puisqu'il ne sert à rien !
M'enfin tout cela n'a pas été émis dans le relevé de conclusion de la commission "Balladuro Bonapartiste" !

Vive Sarko et ses coups d'éclats médiatiques permanents ... Au moins avec un président comme ça on ne s'ennuie pas ... et ça prommet pour les années à venir... Il va y en avoir des bourdes ...

Invité

c 'est facile de se moquer , n 'empeche qu 'il fait bouger les choses et les dossiers, ce que n 'ont pas su faire les rigolos de ce forum tous les vittu , polan et leurs mentors de gauche ou du centre .
d 'ailleurs a part l ' UMP et SARKOSY QUE FONT LES AUTRES ?

ON LES A vus au pouvoir avec les mitterand , fabius jospin !

Admin Messages : 787 Date d'inscription : 26/08/2007

Ce n'est plus un Président que nous avons en SARKOSY , c 'est RAMBO :

Avec les PECHEURS :
" qu' est ce que ta toi? Viens !, descends ! qu 'on s'explique ! "

Avec le TCHAD :
" quoi qu 'ils aient fait , j 'irais les chercher moi même , un a un "

Ca change un peu de nos précédants Présidents voilà la réponse :

https://www.dailymotion.com/video/x1qttc_video-pirate-sarkosy-cho-bouillant

Qu'en pensez vous ?????????