| | LA FRANCE QUI PLEURE | |
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PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
| Sujet: Re: LA FRANCE QUI PLEURE Dim 23 Nov - 18:48 | |
| http://www.contribuables.org/2014/11/plus-de-80-des-francais-pour-une-baisse-des-impots-et-de-la-depense-publique/PLUS DE 80% DES FRANÇAIS POUR UNE BAISSE DES IMPÔTS ET DE LA DÉPENSE PUBLIQUE !Article publié initialement sur notre site Tropd'Impots.com :Pour 88% des Français, la diminution de la dépense publique est une priorité dans leur futur vote de 2017. Ils sont 82% à souhaiter dans le même cadre que les impôts baissent. Si ces deux éléments sont évidemment intimement liés, comme le rappelle Contribuables Associés dans son récent article : « C’est l’État qui paie »… mais qui paie l’État ?, ces chiffres symbolisent à merveille le ras-le-bol fiscal qui touche l’ensemble de la population ! Notons également qu’ils sont près de 75% à souhaiter « un alignement » des régimes spéciaux de retraite sur le régime général ; 78% attendent de véritables réformes structurelles, « difficiles » mais vitales à moyen et long terme. | |
| | | PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
| Sujet: Re: LA FRANCE QUI PLEURE Mar 8 Juil - 10:28 | |
| RUE 89.nouvelobs:La Cour des comptes voit un peu trop d'« Algériens immortels »Mathieu Deslandes | Rédacteur en chef adjoint
Il arrive coincé entre un spam « enlarge your penis » et un mantra tibétain. Ce mail vous harponne façon Guinness de la démographie : « Savez-vous que l’on vit plus vieux en Algérie que partout ailleurs dans le monde ? » Suit le récit d’une « découverte » : la Cnav (Caisse nationale d’assurance vieillesse) aurait constaté que le nombre de retraités centenaires algériens était « particulièrement important ». Important au point d’être « supérieur au total des centenaires recensés par l’état civil en Algérie “. Aux lecteurs édifiés, l’auteur anonyme s’empresse de livrer la clé de l’énigme : certains décès ne sont pas déclarés. - Citation :
- ‘Les Algériens binationaux ayant travaillé en France deviennent immortels à partir du moment où ils se retirent en Algérie pour leur retraite. Ce sont leurs enfants, voire leurs petits-enfants qui continuent à percevoir la pension, bien après leur décès.’
Rolande RuellanLa dénonciation de cette arnaque repose sur une source sérieuse : l’audition en juillet 2010, devant la mission parlementaire d’évaluation et de contrôle des lois de financement de la sécurité sociale (Mecss), de Rolande Ruellan, présidente de la VIe chambre de la Cour des comptes.Des retraités qui ‘ne meurent plus’ ? Après un premier exposé sur la ‘fraude aux départs anticipés en retraite’, la magistrate en vient à la ‘fraude à l’existence’ et au cas des ‘retraités qui ne meurent plus’, en particulier en Algérie.Elle dit : - Citation :
- ‘Les centenaires qui ont une pension française en Algérie, c’est un chiffre supérieur à celui de tous les centenaires en Algérie repérés par le système statistique algérien.’ (Ecoutez le son, source LCP)
- Citation :
AUDITION DE ROLANDE RUELLAN
Cet exemple était déjà évoqué dans une enquête réalisée par la Cour des comptes en avril 2010 (page 89). Il semble tellement sidérant qu’il sera une fois encore mentionné dans le rapport final (page 203) consacré par la Cour à la Sécurité sociale en septembre 2010.‘Un retraité soigné en France n’a pas la même espérance de vie’Mais trois points posent problème dans cette histoire :
- impossible de vérifier si le nombre de centenaires pensionnés par la Cnav en Algérie (il y en a 539, sur 440 000 pensionnés) est effectivement ‘supérieur au total des centenaires recensés par l’état civil algérien’. Et pour cause : le département démographie de l’Office national des statistiques algériens ne dispose pas du ‘niveau de détail’ pour isoler les centenaires ;
- la Cour des comptes a donc utilisé les données disponibles sur l’espérance de vie. A première vue, les soupçons de fraude semblent justifiés : à 60 ans, l’espérance de vie des hommes retraités de la Cnav en Algérie est 18% plus élevée que celle de l’ensemble des hommes qui vivent en Algérie. A 95 ans, l’écart atteint 36%.
Pourtant, selon Pascale Robakowski, l’agent comptable de la Cnav, ‘ces écarts sont tout à fait compréhensibles : un retraité qui a passé toute sa carrière en France, qui a été soigné en France, n’a évidemment pas la même espérance de vie que la moyenne des retraités algériens’ ;
- ultime argument avancé par la Cour des comptes : ‘La part des décès des pensionnés résidant en Algérie survenus après 90 ans et après 100 ans paraît supérieure à celle observée dans les autres pays du Maghreb.’
Pascale Robakowski a réexaminé les chiffres et dément toute ‘atypie statistique’ et souligne en retour que le taux de centenaires des retraités de la Cnav en Algérie est presque similaire au taux de centenaires en France (un peu plus d’un pour 1 000 retraités).
[size=44] HelloIl était grand temps que ce sujet vienne dans l'actualité !!!! > Voila ou prendre de l'argent pour les économies Il est plus facile de prendre l’argent sur la retraite des Français que d’aller récupérer 1.000.0000.000 € (Oui ! Un milliard d’euros) en Algérie …La cour des comptes s’intéresse enfin aux "retraités" algériens .....C’est l’intéressante découverte ( !) faite par la Cour des Comptes qui, en épluchant les comptes de la CNAV (caisse nationale d’assurances vieillesse), l’organisme qui paye les retraites a constaté que : le nombre de retraités centenaires algériens (plus de 50.000) était particulièrement important.Ce nombre est même très supérieur au total des centenaires recensés par l’état-civil en Algérie.Rolande Ruellan, présidente de la 6e chambre de la Cour des Comptes qui a présenté le 9 juillet dernier un rapport sur la fraude sociale devant une commission parlementaire reconnaît le problème (document que chacun peut consulter pour vérifier cette info) :« Il y a des retraités qui ne meurent plus dans les pays étrangers » dit-elle, insistant, en particulier, sur le nombre de retraités centenaires algériens.Pourquoi ? Comment ? C’est ce qu’a tenté de savoir la commission. Il suffit de ne pas déclarer à la caisse de retraite le décès de l’ayant droit précise la magistrate.Mais il n’y a pas de contrôle ? s’étonne un membre de la commission. En Algérie nous n’en avons pas les moyens. Il faudrait mettre des contrôleurs itinérants dans tous les pays.Ce n’est pas évident ! souligne-t-elle.En résumé : Les algériens binationaux, ayant travaillé en France deviennent immortels à partir du moment où ils se retirent en Algérie pour leur retraite.Ce sont leurs enfants, voire leurs petits-enfants, qui continuent à percevoir la pension de retraite, bien après leur décès. Et il ne faut évidemment pas compter sur les autorités algériennes pour faire la chasse aux fraudeurs.On peut s’étonner, tout de même, qu’un organisme comme la CNAV qui verse chaque année 4 milliards d’euros de retraite à l’étranger, dont plus d'1 milliard d'euros pour l’Algérie, ne soit pas en mesure d’effectuer un minimum de vérifications : Soit en demandant, tous les deux ans par exemple, aux bénéficiaires de donner une preuve de leur existence, soit en les invitant à se présenter dans les consulats de France pour percevoir leurs pensions.Alors que le dossier des retraites est au cœur des préoccupations des Français, il est impensable que nos gouvernants ne se penchent pas sur cette question connue d’eux depuis longtemps.Sinon, ce «racisme antifrançais», finira par contrarier très fortement le plus borné des retraités mais aussi tous ceux qui cotisent pour une lointaine retraite hypothétique. [/size] | |
| | | PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
| Sujet: Re: LA FRANCE QUI PLEURE Dim 11 Mai - 15:16 | |
| Même si vous n'êtes pas concernés, faites suivre à vos amis retraités !!! Après nous avoir vendu le pain, ils réclament les tartines. Une nouvelle mesure est dans les tiroirs des Enarques du Parti Socialiste. Elle est actuellement à l'Etude, dans les couloirs de Bercy, et va toucher directement nos retraites. Cette mesure va directement amputer nos retraites de la manière suivante : > > Jusqu'à 1800 euros de retraite mensuelle, pas de changement > > * Entre 1801 et 2500 euros, Ponction de 5%, > > * Entre 2501 et 3500 euros, Ponction de 10%, > > *Entre 3501 et 4500 euros, Ponction de 15%, > > *Au-dessus de 4501 euros, Ponction de 20%. Ce nouvel impôt pourrait s'appeler "Contribution Solidaire Chômage" (C.S.C), nom proche de la C.S.G pour mieux nous embrouiller mais ce nom n'est pas définitif...
> > Ce nouvel impôt sera destiné à redresser les Fonds des Caisses de Chômage, qui seront touchées de plein fouet par les multiples plans de Licenciements découlant des nombreuses fermetures d'Entreprises à venir, et qui vont s'accélérer... > > > > Confirmation : 1. 157 EUR de retraite pour les étrangers n'ayant jamais travaillé !!!! Information del'AGIRC et ARCCO
RETRAITES : LE BILLET DE SAUVEGARDE 1157 euros de retraite sans avoir cotisé ni même travaillé en France ! Toute personne qui débarque en France, sans même jamais y avoir mis les pieds, peut prétendre, si elle a 65 ans, à 709,euros de retraite par mois ou même à 1 157 euros si elle vit en couple C'est plus que la pension moyenne de nosagriculteurs après une carrière complète, plus que la pension de la majorité de nos commerçants et artisans, plus que la pension de nombreux employés et ouvriers, sans oublier les veuves qui en sont réduites à faire les poubelles.....
Cela signifie tout simplement que nos caisses de retraite paient bien souvent davantage à des personnes qui n'ont jamais cotisé, ni participé à l'économie de notre pays qu'à leurs propres affiliés, qui ont souvent trimé toute leur vie. Ce dispositif aberrant est vanté noir sur blanc dans le livret d'accueil "Vivre en France" diffusé par le ministère de l'Immigration aux nouveaux arrivant C'est à se taper la tête contre les murs : il suffit à une personne d'au moins 65 ans qui arrive en France d'aller tranquillement frapper à la porte des services sociaux pour avoir immédiatement droit à 709 euros par mois, voire 1 157 euros si elle vit en couple. Cette situation est très injuste vis-à-vis des retraités français, qui voient dans le même temps leurs pensions constamment rabotées au fur et à mesure que leurs caisses s'enfoncent dans le rouge
> > Si l'on ajoute à cela que la Cnav verse des pensions à l'étranger sans aucun contrôle, au point que la Cour des comptes dénonce le versement de pensions à des morts, notamment en Algérie (mais sans proposer le moindre remède), on ne peut que constater que notre système de retraite est ouvert à tout vent : prestations injustifiées, fraudes etc.. Il est urgent de se mobiliser pour faire cesser ces graves injustices et défendre nos caisses de retraite.
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| | | PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
| Sujet: Re: LA FRANCE QUI PLEURE Dim 9 Mar - 15:10 | |
| http://fr.irefeurope.org/Reformes-structurelles-l-exception-francaise,a2823Réformes structurelles : l’exception française Baisse des dépenses publiques, diminution du nombre de fonctionnaires, réduction des impôts : tous les pays ont réagi à la crise de façon salutaire. Bien souvent ce sont les plus touchés qui ont réalisé les réformes les plus drastiques ; aujourd’hui ils s’en sortent. Pourquoi pas la France ? Sommaire En juin 2010, l’IREF organisait à l’Assemblée nationale, en partenariat avec l’association Contribuables Associés, un colloque intitulé « Baisse des dépenses publiques : ils l’ont fait, pourquoi pas nous ? » avec comme principaux invités un ancien ministre canadien et un haut fonctionnaire suédois. L’objectif était de montrer que ces deux pays, la Suède et le Canada, avaient réalisé d’importantes pour réformer l’Etat et pour baisser les dépenses publiques. Aujourd’hui, quatre ans après, si l’on voulait organiser le même colloque, il faudra inviter des représentants d’au moins une trentaine de pays. Car, partout dans le monde, on diminue les structures étatiques et on fait des coupes budgétaires drastiques. Partout, sauf…en France. Notre pays est probablement le seul parmi les membres les plus riches de l’OCDE à ne pas avoir touché au nombre de fonctionnaires et à leurs privilèges. Et pourtant, plus de 23 % de la population active travaille pour l’Etat et les collectivités locales contre 14 % en moyenne dans les pays de l’OCDE. Nous avons 90 fonctionnaires pour 1 000 habitants contre 50 pour 1 000 en Allemagne. Notre Etat dépense en moyenne 135 Mds d’euros de plus par an que l’Etat allemand. Et, d’après les calculs de Jean-Philippe Delsol, 14.5 millions de Français vivent, directement ou indirectement, de l’argent public. Il y a donc urgence à faire de vraies réformes. D’autant plus que tout le monde l’a fait ou est en train de le faire. Un Rapport (Economic Policy Reforms 2014) de l’OCDE qui vient de sortir (février 2014) montre que pratiquement tous les pays membres (à l’exception de plusieurs émergents) ont mis en place depuis le début de la crise de 2008 des réformes structurelles importantes. Parmi ceux qui ont agi le plus figurent aussi les plus touchés par la crise : l’Irlande, l’Espagne, le Portugal ou bien la Grèce. L’Irlande par exemple a été l’un des pays les plus touchés par la crise de 2008. Les dépenses publiques et le chômage ont explosé, par l’effet direct de l’écroulement du secteur immobilier et des faillites bancaires. Fin 2010, l’économie du pays était à l’agonie, dont la dette et les déficits récurrents le prédestinaient à un avenir toujours plus morose. Dès 2011, le Fonds monétaire international et l’Union européenne venaient à son secours et débloquaient 85 Md€ d’aides financières, soit plus de la moitié de son PIB. Dès 2010, l’Irlande décide de réduire sont budget de 10 Md€, soit 7 % du PIB (l’Irlande est d’ailleurs championne d’Europe de la baisse des dépenses publiques). Par comparaison, c’est l’équivalent d’une réduction de la dépense publique de l’ordre de 120 Md€ en France ! Pour y parvenir, l’Irlande sabre dans les services publics, et réduit de 20 % les traitements de ses fonctionnaires, ainsi que les pensions de retraites. De plus, l’Irlande décide de ne pas céder au chantage de l’Union européenne et de garder son taux d’IS (Impôt sur les sociétés) à 12.5 %. Cet entêtement a porté ses fruits : Il y a trois ans, le marché de l’emploi détruisait 7 000 emplois par mois. Aujourd’hui, on assiste à une création nette mensuelle de 5 000 postes. En Espagne, pour économiser 50 Mds d’euros sur trois ans, le Premier ministre de l’époque, Zapatero a annoncé en 2010 une réduction en moyenne de 5 % des salaires des fonctionnaires (le gouvernement s’appliquera une réduction de 15%), le renouvellement d’un seul fonctionnaire sur 10 partant à la retraite et la baisse de l’investissement public de 6 Mds d’euros en 2010 et en 2011. En 2012, le nouveau chef du gouvernement espagnol, Mariano Rajoy, décide de frapper fort en baissant drastiquement les dépenses publiques. Les budgets des ministères espagnols sont réduits de 17 % en moyenne et les salaires des fonctionnaires restent gelés. On prévoit aussi la suppression de la plupart des niches fiscales et une amnistie fiscale pour lutter contre l’économie au noir qui représenterait environ 20 % du PIB. Les communautés autonomes sont aussi obligées de baisser leurs dépenses afin d’arriver à l’équilibre budgétaire. Le Portugal a baissé le nombre de fonctionnaires et leurs salaires (jusqu’à 20 % de réduction sur la fiche de paye). Même la Grèce l’a fait : 150 000 postes de fonctionnaires supprimés entre 2011 et 2014, soit 20 % du total ! En Grande-Bretagne on ne parle que du chiffre de 700.000. C’est le nombre de fonctionnaires que le gouvernement anglais a programmé de supprimer entre 2011 et 2017 : 100.000 par an. Par comparaison, la France a supprimé, au titre de la politique de non remplacement d’un fonctionnaire sur deux, seulement 31 600 en 2011. Trois fois moins qu’en Grande-Bretagne qui a – déjà – beaucoup moins de fonctionnaires que la France : 4 millions contre 6 millions… Depuis 2010, et l’arrivée au gouvernement des conservateurs, le secteur public a vu entre 500 000 et 600 000 emplois publics supprimés (et cela continue) là où le secteur privé a créé 1,4 millions. La Grande-Bretagne ne fait pas aussi bien que les Etats-Unis (1 emploi public supprimé et 5 emplois créés dans le privé) mais elle se situe nettement au-dessus de la France : 2.8 emplois créés dans le privé pour 1 emploi supprimé dans le public entre 2010 et 2013. Aux Etats-Unis donc, sous Obama, entre 2010 et début 2013, on a supprimé 1.2 millions d’emplois dans le secteur public ! Plus de 400 000 postes de fonctionnaire centraux ont été supprimés et aussi plus de 700 000 postes de fonctionnaires territoriaux. A titre de comparaison, sur la même période (2010-2013), le nombre d’agents publics a augmenté de 13 000 en France (surtout au niveau local) et on a compté 41 000 emplois privés détruits tandis que l’Amérique en créait 5.2 millions ! Toutes ces réformes ont été provoquées par la crise de 2008 mais aussi par les exemples canadien et suédois. Ces pays ont déjà diminué le poids de l’Etat dès le début des années 1990. Et cela s’est vu car les deux pays ont plutôt été épargnés par la crise comme l’Allemagne qui a aussi réformé durant les années Gerhart Schroeder. Une comparaison mérite l’attention. Le Canada a supprimé environ 23 % de sa fonction publique en trois ans (entre 1992 et 1995). Si la France faisait la même réforme et dans les mêmes proportions, 1.3 millions de fonctionnaires français devraient quitter leurs postes ! Mais les réformes ont concerné aussi la fiscalité. Tous les ans, l’IREF publie un aperçu (Taxation in Europe) de la fiscalité dans plus d’une trentaine de pays européens. Ce qu’on remarque depuis environ 4-5 ans, c’est que de nombreux pays préfèrent baisser la pression fiscale, surtout la fiscalité sur les entreprises. La concurrence internationale et la mondialisation obligent les Etats à s’adapter tout en supprimant des réglementations et en donnant plus d’air aux entreprises. Il y a deux ans, la Grande-Bretagne avait annoncé une baisse de l’impôt sur les sociétés de 28 à 24 %. Mais le gouvernement de David Cameron veut aller encore plus loin et annonce une baisse jusqu’à 22 % d’ici 2015. Moins 6 points en 3 ans seulement. En janvier 2013, l’impôt sur les sociétés a baissé de 26.3 à 22 % en Suède. Une baisse sensible, qui suit l’exemple d’autres pays comme l’Allemagne (de 30 à 26 %). La Finlande l’a fait aussi (de 28 à 26 %). Et le Danemark : son taux d’impôt sur les sociétés passera d’ici 2016 de 25 à 22 %. Tous les pays ont d’ailleurs compris qu’il faut soulager les entreprises sauf… la France. Dans le classement des taux d’imposition sur les sociétés, la France est championne européenne avec un taux à plus de 36 %. L’IREF a même montré que parmi les membres de l’OCDE, c’est en Norvège que l’IS génère le plus de rentrées fiscales (11 % du PIB). Et pourtant, le taux de l’IS se situe à 24 %, plus de 10 points de moins que l’IS français (36 %) qui ne fait rentrer que… 2.5 % du PIB. Voici d’autres exemples : au Luxembourg, le taux d’IS est à 17.1 % mais les recettes générées représentent 5 % du PIB, le double de ce qu’elles génèrent en France. En Grande-Bretagne, c’est 3 % du PIB pour un IS à 26,7 %. En Belgique, c’est 3 % du PIB pour un IS à 17 %. Faut-il encore rappeler le 12,5 % de l’Irlande qui avec 2,6 % du PIB rapporte davantage que ce que nous vaut le taux français, trois fois supérieur ! Tout le monde l’a fait, sauf la France : baisses des dépenses publiques, réduction du nombre de fonctionnaires, moins de pression fiscale… Les politiques français seraient-ils complètement coupés de la réalité économique ? | |
| | | Admin Admin
Messages : 787 Date d'inscription : 26/08/2007
| Sujet: Re: LA FRANCE QUI PLEURE Mar 8 Oct - 17:05 | |
| http://www.journaldunet.com/economie/magazine/villes-les-plus-endettees.shtml
Les villes les plus endettées de FranceDette totale, par habitant, évolutions... Découvrez tous les détails des emprunts des communes de plus de 20 000 administrés.60,7 milliards d'euros, soit 10 milliards de plus qu'en 2000. Tel est le montant des dettes cumulées des 36 000 et quelques villes françaises. Un chiffre conséquent, qui augmente chaque année depuis 2003. Loin d'être en reste, 2012 marque même une accélération : +2,3% par rapport à 2011, contre +0,9% et +1,1% les années précédentes.Résultat, en dix ans, l'encours total de l'endettement des communes de l'Hexagone a grimpé de 20,5%. Et comme le montre la carte ci-dessous (uniquement les villes de plus de 20 000 habitants), le recours à la dette n'épargne aucune grande cité, aucune zone du territoire.Attention tout de même, l'endettement n'est pas forcément signe de mauvaise gestion. Cela dépend de son utilisation (emprunte-t-on pour investir ou pour assumer ses frais de fonctionnement ?) mais également de sa capacité de remboursement. Ceci étant dit, certaines villes se distinguent par un endettement par habitant conséquent, comme les 20 ci-dessous (communes de plus de 20 000 habitants).Les villes à la plus forte dette par habitant en 2012 (villes +20 000 habitantsComme chaque année depuis que le JDN établit ce classement, Levallois-Perret est largement en tête, avec une dette de plus de 11 000 euros par habitant. Un chiffre en hausse de 305% depuis 2000 mais en baisse de 0,3% sur un an. Depuis 2001, ce n'est que la deuxième fois que cela arrive. Trop peu pour compenser les hausses de 25,8% en 2004 ou de 73,5% en 2008 notamment. A noter que le podium 2012 reste inchangé puisque Cannes et Saint-Ouen occupent toujours la deuxième et la troisième marche.Pas de changement non plus en tête du classement des villes à la plus forte dette totale : Paris, Marseille et Levallois font encore la course en tête.Les villes à la plus forte dette totale en 2012 (villes +20 000 habitants)[th]Rang[/th][th]Commune[/th][th]Département[/th][th]Encours de la dette (€)[/th][th]Annuité de la dette (€)[/th] Source : Bercy / JDN | 1 | Paris | Paris | 3 260 027 000 | 280 609 000 | 2 | Marseille | Bouches-du-Rhône | 1 805 961 000 | 273 914 000 | 3 | Levallois-Perret | Hauts-de-Seine | 731 425 000 | 77 544 000 | 4 | Nice | Alpes-Maritimes | 384 628 000 | 52 875 000 | 5 | Saint-Etienne | Loire | 371 909 000 | 34 454 000 | 6 | Lille | Nord | 358 891 000 | 41 187 000 | 7 | Lyon | Rhône | 346 695 000 | 54 545 000 | 8 | Reims | Marne | 318 605 000 | 43 858 000 | 9 | Cannes | Alpes-Maritimes | 277 926 000 | 24 749 000 | 10 | Grenoble | Isère | 267 162 000 | 36 603 000 | 11 | Nantes | Loire-Atlantique | 253 438 000 | 43 445 000 | 12 | Le Havre | Seine-Maritime | 246 695 000 | 34 318 000 | 13 | Tours | Indre-et-Loire | 238 690 000 | 22 101 000 | 14 | Montpellier | Hérault | 229 162 000 | 22 290 000 | 15 | Perpignan | Pyrénées-Orientales | 228 689 000 | 25 368 000 | 16 | Argenteuil | Val-d'Oise | 226 796 000 | 18 068 000 | 17 | Nîmes | Gard | 211 989 000 | 23 888 000 | 18 | Saint-Maur-des-Fossés | Val-de-Marne | 209 306 000 | 17 818 000 | 19 | Bordeaux | Gironde | 199 086 000 | 27 320 000 | 20 | Avignon | Vaucluse | 194 607 000 | 26 127 000 | http://www.journaldunet.com/business/budget-ville/bethune/ville-62119 | |
| | | PACA
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| Sujet: Re: LA FRANCE QUI PLEURE Dim 28 Juil - 15:59 | |
| http://www.contribuables.org/2013/07/26/29-juillet-2013-jour-de-liberation-des-contribuables/2926/07/201 En 1999, pour la première fois en France, Contribuables Associés a commencé à calculer le « Jour de libération fiscale des contribuables », aujourd’hui dénommé « Jour de libération des contribuables ». En 2013, la dépense publique atteint un record jamais égalé, repoussant ainsi la libération des contribuables français au 29 juillet. Cela représente 5 jours de revenu des Français qui ont été dépensés par l’Etat de plus qu’en 2012.Le Jour de libération des contribuables est le symbole d’un Etat et d’une bureaucratie toujours plus étouffante, s’immisçant dans tous les aspects de la vie des Français. Le nouveau gouvernement choisi par François Hollande poursuit la fuite en avant de ses prédécesseurs car depuis 1999 cette date a reculé de 12 jours. Pire ! Depuis les années Mitterrand, jamais la dépense publique n’est retombée en dessous de 50% du PIB.
Plus de la moitié du revenu moyen des Français est donc dépensé par des élus bien souvent clientélistes et une bureaucratie de plus en plus inefficace… Cette dégradation de la liberté économique des Français s’accompagne progressivement d’un ralentissement de la croissance économique, d’une explosion du chômage, d’une augmentation de la fraude et de la corruption. C’est à l’aune de son évolution catastrophique dans le temps que le jour de libération doit être compris. Pourquoi la dépense publique est-elle le critère retenu par Contribuables Associés ? Car la dépense publique concerne tous les Français et pas seulement les salariés. Le 29 juillet marque donc le jour à partir duquel les Français deviennent, en moyenne, enfin libres du joug de la bureaucratie. Comparés à leurs voisins européens, les Français sont parmi les plus mal lotis. L’absence de réformes ambitieuses de réduction des dépenses publiques a conduit la France à la deuxième place des pays les plus bureaucratiques, juste derrière le Danemark. Les contribuables européens sont, quant à eux, libérés le 1er juillet, soit presque un mois plus tôt que les contribuables français, appelant la France à revoir au plus vite l’ensemble de ses dépenses publiques. Calendrier de libération des contribuables de l’OCDE
Calendrier de libération des contribuables de l’OCDE Retrouvez ici l’ensemble des triptyques du jour de libération fiscale publiés par l’Association Contribuables Associés : 29 juillet 2013 24 juillet 2012 22 juillet 2011 28 juillet 2010 15 juillet 2009 12 juillet 2008 16 juillet 2007 16 juillet 2006 16 juillet 2005 16 juillet 2004 14 juillet 2003 12 juillet 2002 10 juillet 2001 13 juillet 2000 17 juillet 1999
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| | | PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
| Sujet: Re: LA FRANCE QUI PLEURE Jeu 4 Oct - 12:54 | |
| Durant la Semaine bleue, les retraités CGT voient « rouge »
| Oui à la Semaine bleue festive, oui à la Semaine bleue revendicative mais non à la Semaine bleue pleurnicharde sur la situation des retraités. La CGT, par la voix de sa dynamique section des retraités, l'affirme et invite.- A + PAR DAVID CIERNIAK bethune@info-artois.frQue ceux qui souhaitent dénoncer la situation des retraités l'accompagnent à Paris, le 11 octobre. Une manifestation nationale où les organisateurs attendent 20 000 personnes, est programmée. Sur les pancartes des retraités manifestants, on devrait lire « pouvoir d'achat » ; « aide à l'autonomie » et « accès aux soins ». « Concernant le pouvoir d'achat, un point peut-être rapidement traité. Nous adressons donc une lettre aux députés, dont grand nombre étaient dans l'opposition il y a peu de temps. Nous leur demandons le rétablissement de la demi-part fiscale supprimée aux veuves, veufs, divorcés, séparés », déclare Henri Tobo. « Notre région et plus précisément l'Artois compte malheureusement beaucoup de veuves », ajoute-t-il en pensant aux difficiles conditions de travail. « Si c'est le changement c'est maintenant, alors changeons et rétablissons la demi-part. » Ils seront sur le marché de Béthune, le lundi 8 octobre, avec une pétition à la main. Un retour sur l'indexation des pensions et retraites sur l'évolution du salaire moyen est également réclamé. L'aide à l'autonomie est aussi au coeur des revendications. Avec la création d'une 5e branche du régime général qui couperait court à la tentation de « tout laisser au marché assurantiel. » Qui voit dans les papys boomers en puissance autant de clients potentiels. « Le problème est que lorsqu'un retraité commence à avoir un coût trop élevé, on ne le garde plus », précise-t-on du côté de la CGT. « C'est aussi absurde que les assurances automobiles. En France, tu ne peux pas rouler sans assurance mais une assurance n'est pas obligée de garder son assuré », déclare Jacques Delelis. Et de réclamer « un grand service public de l'aide à l'autonomie des personnes à domicile ou en établissement, en partenariat avec le secteur associatif. » L'accès aux soins sera aussi en première ligne, le 11 octobre. La CGT veut « l'arrêt des dépassements d'honoraires et le respect des conventions médicales. » « Aujourd'hui, des retraités diffèrent des soins dentaires ou de vue par manque de moyens », regrette Henri Tobo. Jeudi 11 octobre, manifestation à Paris, prévue à 14 h. Départ de Béthune en bus à 9 h 45, parking Décathlon. Inscription au Tél : 03 21 01 13 77.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ Pierre Acarie : Henri , tu n 'es jamais content ...La gauche te fais un magnifique stade a Lille de 690 millions d 'euros ; elle te rénove le stade de LENS avec plusieurs centaine de millions d 'euros ...elle va amuser le petit peuple avec les manifestations de Lille 3.000.... Tu as profité de Bethune 2011 dont le cout fut de 12 millions d ' euros...et tu pleurniches encore ...mais tu n 'es jamais content . Tu jouis d 'un magnifique parking souterrain grand place ... Ah oui ...tu rales parceque les retraités n 'ont plus de quoi vivre decemment avec 500 euros /mois???? oui mais ils peuvent aller au foot ...mais il faut encore payer ????? Bin oui ...une fois en impots et une fois a l ' entrée du stade ...tu ne voudrais quand même pas que ça soit gratuit comme au bon vieux temps ...en URSS ! Tu reves ou quoi ? | |
| | | PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
| Sujet: Re: LA FRANCE QUI PLEURE Sam 1 Oct - 16:47 | |
| LA DETTE QUI MENACE NOTRE COTATION AUPRES DES AGENCES ...AFFOLANT!!!! http://cluaran.free.fr/dette.htmlSOUS JOSPIN EN 2004 ELLE SE MONTAIT A 65% DU PIB
SOUS SARKO EN 2011 ELLE EST MONTEE A 85% Chapeau la droite !!!!! | |
| | | PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
| Sujet: Re: LA FRANCE QUI PLEURE Ven 1 Juil - 10:33 | |
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L’ immigration clandestine coûte 4,6 milliards d’euros par an aux contribuables français. L’immigration irrégulière en France, c’est 5,6 milliards de dépenses par an pour 1 milliard de recettes, soit un déficit de 4,6 milliards. Garder les migrants irréguliers coûte 6 fois plus cher que les faire partir.Jean-Paul Gourévitch, consultant international, spécialiste de l’Afrique et des migrations, complète ses trois monographies précédentes rédigées pour Contribuables Associés [1] par une analyse de ce que coûte à l’État l’immigration irrégulière, un sujet jusqu’ici tabou. La France compte en métropole environ 550 000 immigrés clandestins (plus 131 500 en Outre-Mer) qui occasionnent à l’État un déficit de près de 4,6 milliards d’euros : 5 666 millions de dépenses, 1 077 millions de recettes provenant essentiellement des impôts, taxes et amendes. Les postes de dépenses les plus importants sont les soins de santé (662 millions, dont 630 pour l’aide médicale d’État – AME), les coûts des retours et reconduites (788 millions), le travail illégal et l’emploi d’étrangers sans titre (1 745 millions), les coûts liés à l’économie informelle (1 562 millions). L’immigration irrégulière est proportionnellement plus coûteuse pour l’État que l’immigration légale. 4,6 milliards d’euros, c’est plus de 15% du déficit annuel généré par l’ensemble de la population d’origine étrangère (7,8 millions de personnes) que Gourévitch a estimé, en 2010, à 30,4 milliards. C’est aussi un très mauvais rapport recettes/dépenses puisqu’il s’établit à 19% alors que, pour l’ensemble de l’immigration, il était de 61,7%. La France est le pays européen le plus attractif pour les migrants irréguliers et le plus généreux à leur égard en matière de santé, d’éducation, de soutien social et de retours volontaires. Une reconduite sur cinq prononcées est réellement effectuée alors que garder les migrants irréguliers coûte 6 fois plus cher que les faire partir. Une politique européenne commune à l’égard des migrants irréguliers ferait économiser à la France près d’un milliard d’euros par an. À méditer, en ces temps de crise… Pour acheter ou télécharger gratuitement l’ étude : www.contribuables.org/publications/les-monographies/[1] Le coût réel de l’immigration en France n° 14 mars 2008 ; Le coût de l’émigration (ces Français qui quittent la France) n° 21 mars 2009 ; Le coût de la politique migratoire de la France n° 23 mars 2010) Publié par Rédaction le 30/06/11 | |
| | | PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
| Sujet: Re: LA FRANCE QUI PLEURE Mer 8 Juin - 18:28 | |
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| | | PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
| Sujet: Re: LA FRANCE QUI PLEURE Mar 24 Mai - 23:28 | |
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| | | PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
| Sujet: Re: LA FRANCE QUI PLEURE Jeu 19 Mai - 9:00 | |
| Coût des frais de transport de Borloo à la une • dette publique • état • transports Coût de Borloo en frais de transport. Quel était le coût des transports de Jean-Louis Borloo en 2009 ?
En 2009, Jean-Louis Borloo, alors ministre de l’Écologie, a coûté 1,3 million d’euros en frais de transport, au rythme d’ 1 voyage tous les 4 jours ( 93 voyages avec son cabinet).
Coût des transports de Borloo
- Jean-Louis Borloo est allé 21 fois en métropole pour un coût de 24 075 euros.
- Jean-Louis Borloo est allé 1 fois dans les DOM TOM pour un coût de 2 412 euros.
- Jean-Louis Borloo est allé 76 fois à l’étranger pour un coût de 1,28 million d’euros.
Borloo a coûté 867 166 euros en vols commerciaux, 76 486 euros en avions privés, et 362 562 euros avec l’Etec (l’ escadron de l’ armée de l’ Air chargé du transport du Président et du gouvernement).
source: journaldunet.com | |
| | | PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
| Sujet: Re: LA FRANCE QUI PLEURE Jeu 14 Jan - 17:05 | |
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| | | hECTOR Invité
| Sujet: Re: LA FRANCE QUI PLEURE Jeu 25 Déc - 22:43 | |
| Voici une belle explication de cette crise avec les actions toxiques. |
| | | PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
| Sujet: Re: LA FRANCE QUI PLEURE Jeu 25 Déc - 17:35 | |
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| | | PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
| Sujet: Re: LA FRANCE QUI PLEURE Jeu 25 Déc - 17:20 | |
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Dernière édition par PACA le Jeu 25 Déc - 17:36, édité 1 fois | |
| | | LUCAS Invité
| Sujet: Re: LA FRANCE QUI PLEURE Ven 8 Aoû - 17:00 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: LA FRANCE QUI PLEURE Ven 8 Aoû - 11:19 | |
| Tout a fait ......!!
Et cela est bien dommage .....pour une fois qu'ils avaient l'occasion de parler en bien de la Région Nord c'est encore une fois loupé , Messieurs les Grand Elus !!
Mais on entendra que Dany Boon à fait un don pour ces sinistrés ......Mon dieu c'est le moins qu'il pouvait faire !!
Il faut remarquer que le solidarité et l'humanisme des gens du Nord n'est pas un vain mot !!
Mais de cela on ne trouve pas trace dans ce film ...un peu niais ma foi ...qui fait un peu rire mais qui ne fait pas honneur à notre région n'en déplaise au nonbreux public qui s'est déplacé ......Bon on a souri.....ri quelquefois !! Mais + de 20millions je trouve que cela est usurpé ...et ça n'éleve pas le Cinéma à son Niveau de 7éme Art !!!
Mais bon Vox populi ......Vox Dei |
| | | PACA. Invité
| Sujet: Re: LA FRANCE QUI PLEURE Jeu 7 Aoû - 18:40 | |
| Le conseil general vient de donner 150 € par personne et 75 € par enfant victimes de la tornade a HAUMONT....une aumone... On est loin des 600.000 € du conseil regional +300.000 pour la creation de FILM = 900.000 € paye par la region 59/62 pour l 'aide au film de DANY BOON |
| | | PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
| Sujet: Re: LA FRANCE QUI PLEURE Mer 30 Juil - 22:49 | |
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| | | PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
| Sujet: Re: LA FRANCE QUI PLEURE Dim 20 Juil - 12:20 | |
| Non payés par leur patron "en faillite", les salariés d'une déchetterie de Nanterre lui rendent visite… sur son domaine angevin. Depuis le 20 mai, quarante-six travailleurs sans papiers employés de BMS, une déchetterie des Hauts-de-Seine, réclament leur régularisation. Ils ont deux, cinq ou dix ans d’ancienneté dans cette entreprise de démolition nichée derrière les tours de la Défense. Ils n’ont ni masques ni gants ni couverture sociale. Ahmadou Diallo a été embauché en 2003. Loin de là, dans le Maine-et-Loire, le parc Maupassant, jardin à la Française de vingt-deux hectares, a récemment ouvert ses grilles aux caméras d’une grande chaîne privée. Fontaines, anges dorés, roseraies, vignes de Marie-Antoinette, le tour du propriétaire laisse rêveur… Si ce n’est que ce propriétaire s‘appelle Claude Buisson, et qu’il est aussi le patron de BMS. Au moment de la diffusion du reportage, les travailleurs grévistes réclamaient des arriérés de salaires et peinaient à obtenir toutes les régularisations auprès de la préfecture. Alors que neuf d’entre eux ont reçu une obligation à quitter le territoire français, la CGT décide d'une une virée en Anjou jeudi 17 juillet à la rencontre des Buisson, chez eux, au parc Maupassant. Objectif: demander au propriétaire de la déchetterie d’appuyer les salariés n’ayant pu être régularisés et obtenir la garantie du paiement des salaires en retard, comme l'explique Francine Blanche, secrétaire confédérale de la CGT. | |
| | | PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
| Sujet: LA FRANCE QUI PLEURE Sam 19 Juil - 10:04 | |
| Petite histoire vraie: " je travaille depuis l 'age de 14 ans, a 45 j 'ai ete licenciée.Avec ma prime de licenciement j 'ai repris un petit commerce où je travaillais 6 jours sur 7 sans prendre de congés...les 35 h je ne connais pas.
J 'ai reçu mon relevé de carriere et la CRAM me donnera 575 € pour 46 ans de cotisations , l ' ORGANIC : 30 € . Au total j 'aurais en retraite, pour 46 ans de travail 6 jours sur 7 avec des horaires de 10h / jour : 605 € MAIS UNE PERSONNE QUI N 'A JAMAIS TRAVAILLE touchera 610 € de minimum vieillesse. CHERCHEZ L 'ERREUR | |
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| Sujet: Re: LA FRANCE QUI PLEURE | |
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