Ras le bol de payer pour leurs voitures et leurs chauffeurs !!! À bas les privilèges des anciens Premiers ministres !
Adressé à : Emmanuel Macron, Président de la République,
Dans les pays scandinaves les premiers ministres en fonction prennent les transports en commun.
En France les anciens premiers ministres jouissent ENCORE d’un chauffeur (entre autres avantages) !
Édouard Philippe nous l’avait promis…
En février dernier, notre Premier Ministre, Édouard Philippe, avait promis que les avantages accordés aux anciens Premiers ministres ne seraient plus à vie[1].
Le délai ?
« Seulement » de dix ans.
10 ans c’est déjà beaucoup
Lorsque nous perdons notre emploi, la plupart d’entre nous n’a droit qu’à un maigre chômage.
Là c’est comme si vous conserviez une partie de votre salaire !
La promesse était pourtant tendre pour leurs privilèges :
Pas du Premier Ministre en fonction, des anciens uniquement
Pas abrogés, juste limités à 10 ans après l’exercice de leur fonction.
Mais rien à faire
Même ça ils n’ont pas voulu nous le concéder.
Les anciens Premiers ministres conserveront donc voitures et chauffeurs… À VIE ! [2]
Et comme d’habitude c’est le bon con…tribuable qui régale.
Les cahiers de doléances du Grand Débat étaient pourtant clairs :
Le Nord a crié « Marre des politiciens de carrière »,
Les Bouches-du-Rhône ont hurlé « abolition des privilèges »,
L’Ille-et-Vilaine a tonné pour la « suppression d’avantages scandaleux »… [3]
En vain.
Ils continuent de faire la sourde oreille
Et donner aux Gilets Jaunes des raisons pour se révolter.
À force de pousser le peuple à bout, le peuple se rebelle et un peuple à bout est capable de tout.
À croire que les manifestations de ces derniers mois ne leur ont pas suffi…
Plus vous entrez dans le détail, plus c’est écœurant
Le nouveau décret parle de la mise à disposition d’un agent « pour leur secrétariat particulier » qui sera limité à « une durée maximale de dix ans à compter de la fin de leurs fonctions et au plus tard jusqu’à ce qu’ils atteignent l’âge de soixante-sept ans ».[4]
Mais rien sur la voiture et le chauffeur.
Ils continueront donc à se faire transporter aux frais de la princesse, sans limite de temps, dans de belles voitures.
Ils n’ont pas à se soucier de l’évolution du prix de l’essence, eux !
Et ce « secrétaire particulier », franchement …
Autre promesse rompue
Édouard Philippe nous a fait croire que ce nouveau dispositif aurait une portée rétroactive sur les anciens Premiers ministres.
Mais en fait, non !
Le décret prévoit que l’accès à un secrétaire particulier sera octroyé pour une « durée de dix années décomptées à partir de cette publication et sans limites d’âge ».
Même chose pour le chauffeur et la voiture à vie ! [5]
J’en connais qui doivent être soulagés
La liste des anciens premiers ministres encore en vie est longue :
Cazeneuve,
Valls (avant qu’il ne fuie en catalogne),
Ayrault,
Fillon,
De Villepin,
Raffarin,
Jospin,
Juppé,
Balladur,
Cresson,
Fabius
…
Ça en fait des secrétaires particuliers, des chauffeurs et des voitures à payer !
(sans compter leur retraite bien sûr).
Les anciens présidents sont encore mieux lotis
Le décès de Jacques Chirac a suscité une émotion nationale.
Mais saviez-vous que jusqu’à son décès il bénéficiait, comme Giscard, Sarkozy, et Hollande de :
Une dotation de 6220€, dont la moitié continue d’être versée à leur conjoint au décès du Président (mes condoléances à Bernadette oui, mes impôts non !)
Des locaux meublés et équipés ainsi que leurs frais généraux pris en charge par l’Etat, sans montant maximum
Les frais de déplacement liés à leur fonction d’ancien président également remboursés
Parfois j’ai l’impression que la royauté n’est pas morte en France
Comment peut-on encore accepter qu’une petite poignée de personnes ait tant de privilèges quand de plus en plus de Français n’arrivent pas à joindre les 2 bouts ?
On a le droit de leur payer des voitures et des chauffeurs à vie et en échange on a le droit de payer toujours plus d’impôts.
Ce système ne tourne vraiment pas rond.
Et ce n’est certainement pas « Jupiter » qui va le réformer !
C’est pour m’élever contre ces dérives que j’ai écrit cette pétition
J’écris aussi chaque jour une chronique pour ouvrir les yeux des Français…
… et leur proposer des solutions concrètes pour se prémunir d’un État vorace qui ne cesse de faire nos poches d’un côté, et raboter nos services publics de l’autre !
Signez cette pétition : Tous pour l’abolition des privilèges des anciens Premiers ministres et des Présidents de la République !
Ras le bol de payer pour leurs avantages dignes de l’Ancien Régime !
Sources
Auteur : Frédéric Duval, Le Vaillant Petit Économiste
Les 600 « Intouchables »: ces hauts-fonctionnaires gagnent jusqu’à
37 000 Euros par mois
28 novembre 2018
Ils sont hauts-fonctionnaires et multiplient les allers-retours entre administration, politique et secteur privé. Ils récoltent des informations dans le cadre de leurs fonctions d’Etat, qu’ils monétisent ensuite dans le secteur privé, avant de revenir vers l’Etat pour refaire un tour (et se remplir les poches au détriment des intérêts du peuple!!!)
Journaliste à l’Obs, Vincent Jauvert a publié un livre: « Les Intouchables de l’Etat ». Il y parle des magouilles de cette « Noblesse d’Etat » qui fait des allers-retours entre le secteur public et le secteur privé…
Ils récoltent des informations sensibles en tant que haut fonctionnaires, puis se font recruter dans de grands groupes où ils vendent leurs carnets d’adresses et leurs connaissances des faiblesses de l’Etat!!!
Il cite l’exemple de hauts fonctionnaires de Bercy (le ministère de l’économie et des finances) qui deviennent conseillers fiscaux pour des grands groupes privés, parce qu’ils connaissent les faiblesses des lois fiscales qu’ils ont eux-même écrites!! Ils aident ainsi les grands groupes à contourner la loi fiscale… Puis, ils reviennent dans l’administration, refont gonfler leurs carnets d’adresse, apprennent les nouvelles faiblesses de l’Etat, proposent de nouvelles lois… Avant de retourner vers de grands groupes privés… Et ceci sans jamais être inquiétés, évidemment…
Vincent Jauvert a sous-titré son livre « Bienvenue en Macronie »: il explique que ce « système » existait déjà avant Macron, mais qu’il s’est fortement développé depuis son élection. Il cite l’exemple du premier ministre Edouard Philippe, ancien avocat d’affaire, ancien lobbyiste chez Areva… Pourtant, pendant sa campagne, Macron fustigeait la « caste des hauts fonctionnaires » et promettait de mettre fin à leurs avantages « hors du temps »…
En 2015, François Hollande a commandé une enquête pour savoir combien de ces hauts fonctionnaires gagnaient plus que lui. 600 personnes étaient concernées. Cette liste, restée longtemps confidentielle, a été appelée « REM150 » (pour « rémunération supérieure à 150.000 Euros) Jauvert a réussi à obtenir cette liste et révèle les noms de ces 600 hauts-fonctionnaires « intouchables » qui gagnent jusqu’à 300.000 Euros par an (25 000 Euros par mois), garantis d’un salaire à vie et exempts de toute sanction… Le mieux payé de tous ces « intouchables » est le patron de la Banque de France, qui gagne 350 000 € par an (37 500 Euros par mois) Le Trésorier-payeur général d’Ile-de-France gagne 255 579 € nets par an, soit 3 fois plus qu’un ministre!!). Parmi les 600 fonctionnaires qui gagnent plus de 150 000 Euros par an (donc plus que Macron), le ministère de l’économie se taille la part du lion, puisque 104 administrateurs généraux des Finances publiques figurent sur cette liste des « REM150 » (plus d’1/6 de cette « liste…)
Ils concluaient tous deux sur des chiffres comparables aux nôtres quant aux salaires (primes incluses) des agents de la Chambre basse. Deux autres rapports ont été commandés cet été, mais cette fois en interne de l’Assemblée nationale.
Le poids des syndicats de fonctionnaires a eu raison du premier, qui a été enterré. Le second est incomplet, l’institution ayant délibérément fait de l’obstruction. Pourtant, ces deux rapports « officiels » reprenaient, ou complétaient, notre étude et appelaient à davantage de transparence ! Et puis, l’accalmie.
Plus rien sur ce sujet dans les medias… jusqu’au 27 septembre. Le 27 septembre 2018, Challenges publie un article dans lequel un journaliste déclare avoir enquêté au Palais Bourbon auprès de deux députés, dont les noms ne sont pas révélés, pour découvrir la vérité sur les fonctionnaires de l’Assemblée.
Le récit est édifiant et les résultats confirment nos travaux.
Des salaires élevés, des primes nombreuses et en partie inexplicables
L’article révèle des salaires élevés, jusqu’à 2,5 fois supérieurs à la norme générale dans la fonction publique d’État. « Les secrétaires perçoivent, en moyenne, près de 6 000 euros nets par mois et les agents (accueil, logistique) environ 4 800 euros (…), un employé du restaurant ou un gardien tourne à 4 200 euros, autant que le salaire moyen des cadres du privé toutes catégories confondues ».
Sans oublier que les deux secrétaires généraux perçoivent 19 000€ nets par mois et les 19 grands directeurs 16 000€ ! Soit de 2 120€ à 5 120€ nets de plus que le président de la République.
Nous y découvrons aussi que treize sortes de primes coexistent, telles que « l’indemnité de doctorat, pour les titulaires d’une thèse. Ou celle qui gratifie de 375 euros mensuels les chauffeurs de ‘personnalités politiques’ ».
Challenges révèle encore que les fonctionnaires peuvent obtenir 25 jours de congés supplémentaires qui s’ajoutent à leurs 5 semaines dues. Pis, certains « stakhanovistes et des tire-au-flanc » font en sorte de ne jamais assumer de travail de nuit tout en bénéficiant des primes attachées aux heures nocturnes.
Ce que nous avions dénoncé en juin dernier ! Enfin, et nous l’avions également dévoilé lorsque nous avions révélé le rapport interne (toujours non public) des deux secrétaires généraux de l’Assemblée nationale, les retraites s’élèvent à 7 000€ par mois pour un administrateur, 3 500€ pour une secrétaire et 2 900€ pour un chef d’agents. Ce qui est plutôt conséquent, en comparaison de la retraite moyenne française (1 300€).
Pourtant, ces chiffres ne semblent choquer ni le premier questeur, François Bachelier, ni un conseil du président de l’Assemblée qui n’y voit « rien d’incongru ». À croire qu’ils ne vivent pas dans le même monde que le nôtre. Ahurissant !
Cette enquête confirme nos travaux
L’enquête de Challenges confirme notre étude, comme celle du Parisien et d’Europe 1. Si certains salaires sont ici plus faibles que ceux que nous avions énoncés, globalement nos conclusions et calculs concordent.
L’Assemblée nationale refusant de fournir un taux de prime par catégorie, nous avions appliqué un taux moyen à tous. Elle confirme également notre dénonciation de la distribution infondée des primes de nuit et des avantages en congés. Tous la perçoivent, qu’ils aient ou non bien effectué ces heures. Ainsi convergent les conclusions de toutes les enquêtes citées : celle des deux députés, celle du journaliste de Challenges et celle de l’IREF. Toutes démontrent donc, entre autres, que les secrétaires ont des taux de primes plus élevés que ceux des agents, que certaines primes de nuit sont totalement indues et les avantages en congés, non justifiés. Notre étude exploratoire, que l’ancien président du Palais Bourbon n’avait pas hésité à qualifier de mensongère, était donc en réalité très proche de la vérité. Elle aura, sans doute, permis à certaines langues de se délier et à certains observateurs de poser les bonnes questions.
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PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Mar 15 Mai - 8:19
Redistribution aux actionnaires : la France fait fort… très fort
La France est devenue la championne du monde en matière de distribution de dividendes aux actionnaires, affirme un rapport de l’ONG Oxfam. <
FRANCE. Selon ce document intitulé « CAC 40: des profits sans partage », réalisé avec le Bureau d’analyse sociétale pour une information citoyenne (BASIC), « la France est le pays au monde où les entreprises cotées en Bourse reversent la plus grande part de leurs bénéfices en dividendes aux actionnaires ». Les groupes du CAC 40 ont ainsi redistribué à leurs actionnaires les deux tiers de leurs bénéfices entre 2009 – année de la crise financière mondiale – et 2016, soit deux fois plus que dans les années 2000.
Les richesses n’ont jamais été aussi mal partagées au sein des grands groupes, qui choisissent une course aux résultats de court terme
Cela a conduit ces entreprises à ne laisser « que 27,3 % au réinvestissement et 5,3 % aux salariés », ont calculé les ONG.
« Les richesses n’ont jamais été aussi mal partagées depuis la crise au sein des grands groupes, qui choisissent délibérément une course aux résultats de court terme pour conforter les actionnaires et les grands patrons au détriment des salariés et de l’investissement », explique Manon Aubry, porte-parole d’Oxfam France. Cette course est «tirée par des fonds d’investissement, des fonds spéculatifs qui cherchent juste la rémunération dans les six mois, dans l’année ».
Le rapport a suscité de vives réactions politiques. « Le partage des bénéfices des entreprises du CAC 40 entre 2009 et 2016 (…)illustre l’imposture absolue de la théorie du ruissellement chère à Emmanuel Macron. Voilà l’illustration de cette sécession des riches qu’encourage le nouveau pouvoir », a ainsi écrit Benoît Hamon, ancien candidat socialiste à la présidentielle, aujourd’hui à la tête de Génération-S. Pour La France insoumise, le rapport pointe une « exception française qui ne peut plus être tolérée : la richesse produite doit être partagée ».
Loïc Dessaint, directeur général de Proxinvest, un cabinet d’analyse de gouvernance et de politique de vote, émet quelques bémols sur le rapport : « Pas mal d’entreprises françaises distribuent des dividendes en action », ce qui n’occasionne « pas de sortie de cash», observe-t-il.
« La méthodologie d’Oxfam est très mauvaise », estime de son côté Patrick Artus, chef économiste chez Natixis. Selon lui, Oxfam ne s’intéresse qu’à la partie de la participation et de l’intéressement versés aux salariés, et ne tient pas compte de l’intégralité des salaires. Or, « en France, les salaires augmentent plus vite que la productivité », observe-t-il.
Autre problème, le rapport compare des données mondiales – les profits des multinationales – et des données françaises sur la participation et l’intéressement, critique l’économiste. En outre, « les dividendes ne disent rien sur la rentabilité du capital par actionnaire», ajoute-t-il, soulignant qu’en France, les entreprises versent plus de dividendes que dans d’autres pays mais que le rendement du capital y est nettement plus faible.
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PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Lun 13 Nov - 11:16
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Mer 22 Mar - 9:18
LA VOIX DU NORD
Le MRC veut « fusionner les pôles métropolitains Artois et Artois-Douaisis »
J. Mellick ménage les uns et les autres en proposant une fusion.
Jacques Mellick veut laisser du temps au temps. L’élu du Mouvement Républicain et Citoyen vise la communauté urbaine de l’Artois mais après 2020… En attendant, il propose la fusion des deux pôles métropolitains.
BETHUNE.
L’idée de créer une communauté urbaine n’est pas mauvaise, mais elle arrive trop vite. Jacques Mellick, responsable du MRC, l’assure en réagissant à l’invitation lancée par l’État aux présidents des communautés d’agglomération de Bethune-Bruay, Lens-Liévin et Hénin-Carvin.
L’ex-bassin minier a la densité pour peser et l’Arrageois-Douaisis est sur le bon axe Lille-Amiens
« L’intégration prend du temps », assure l’ancien maire de Béthune en faisant référence à la récente fusion Artois Comm., Artois-Lys et Artois-Flandres. Atteindre une nouvelle échelle dans l’intercommunalité peut crisper les maires des petites communes, redoute Jacques Mellick. « Il ne faut pas avoir raison trop tôt », estime-t-il en pensant aux élus qui portent l’idée d’une communauté urbaine. Le projet doit mûrir et pourrait être cueilli, selon Jacques Mellick, après les municipales de 2020…
En attendant, pour ne pas regarder les trains passés et surtout l’enveloppe de 100 M €, annoncée début mars à Oignies, Jacques Mellick propose « une idée pragmatique » : rassembler les deux pôles métropolitains. Celui de l’Artois qui regroupe les communautés d’agglo de Béthune-Bruay-Lens-Liévin-Hénin-Carvin et celui de l’Artois Douaisis, qui s’étire d’Arras à Douai.
GOUVERNANCE ASSURÉE PAR… MICHEL DAGBERT
Une telle entité pourrait répondre aux critères et prétendre à ramasser la « cagnotte » de Oignies et surtout, gérer « des grandes compétences », comme l’aménagement du territoire, la culture…
Un peu ce qui a été fait il y a plus de 20 ans à travers l’université d’Artois, une faculté qui possède des antennes à Douai, Lens, Béthune et Arras. «Un tel pôle métropolitain ne remettrait pas en cause les communes, les SIVOM et les communautés d’agglo et leur proximité », veut rassurer Jacques Mellick.
Mais il serait de taille pour donner la réplique à la métropole lilloise, qui si elle demeure seule dans cette catégorie pourrait assécher économiquement les autres territoires de la région. Pour l’ancien ministre, les deux pôles qui existent aujourd’hui seraient gagnants.
« L’ex-bassin minier a la densité pour peser et l’Arrageois-Douaisis est sur le bon axe Lille-Amiens », précise-t-il. Techniquement il n’y a pas d’obstacles pour fusionner rapidement les deux pôles métropolitains, estime Jacques Mellick.
Quant à la gouvernance, elle pourrait être assurée par «des personnes de consensus, des élus forts… »… Comme le président du conseil départemental ? « Oui, Michel Dagbert a le souci de porter toutes les sensibilités et peut rassembler ».
+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ Ben voyons ....une strate administrative de plus , avec des élus ...du personnel ... des bureaux ...brefs des frais supplémentaires pour de nouvelles contraintes réglementaires pour la population . Mais il fait bien trouver des débouchés pour recycler ceux qui vont prochainement perdre leur job
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Mar 21 Fév - 16:55
LES ELUS GERENT A LEUR MANIERE COMME SOUVENT EN FRANCE
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Lun 20 Fév - 17:21
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Jeu 15 Déc - 8:22
Nord : les agents du Département passeront aux 35h dès le 1 er janvier
Environ 8300 agents seraient concernés par cette hausse du nombre d’heures de travail dans le Nord. Photo archives Christophe LEFEBVRE
Lundi, les élus ont confirmé, précisé et voté cette mini-révolution : les agents du Département du Nord voient leur temps de travail augmenter pour atteindre les 35 heures hebdomadaires.
<>
NORD. Voilà un sujet bien sensible ! « Nous sommes dans un discours doctrinal de droite, fulminait encore hier Paul Heems, secrétaire général de la CGT du Département 59. Il y a un mépris des agents, des fonctionnaires, du dialogue social.
Nous sommes sous le rouleau compresseur. On verra comment mobiliser autrement. »
C’est vrai, les manifestations d’il y a un an, quand la menace a émergé, n’ont rien donné. Et lundi, l’exécutif a mis un terme au feuilleton en adoptant la délibération finale. Disons sèchement que les agents du Département passent aux 35 heures dès le 1 er janvier (1 607 heures annuelles), perdant ainsi le bénéfice de 9,5 jours de congés exceptionnels datant de 2001 (semaine du président, fêtes de Lille).
« Même la chambre régionale des comptes avait fléché cette particularité », argumente Jean-Luc Detavernier, vice-président chargé des ressources humaines, avant d’ajouter que cette hausse du temps de travail évitera des recrutements à hauteur de 362 postes en équivalent temps plein. Soit potentiellement une « économie de 15,5 à 17 M€ en fonctionnement ». Car c’est bien là l’enjeu revendiqué : les contraintes budgétaires.
Depuis que nous sommes aux affaires, en avril 2015, il y a eu une baisse de la masse salariale de 400 postes en équivalent temps plein.
Les agents gardent néanmoins la possibilité de déployer ces 1 607heures (au lieu de 1 525 aujourd’hui) sur 4, 4,5 ou 5 jours par semaine. Lundi, le président Jean-René Lecerf estimait à 8 300 le nombre d’agents concernés par cette augmentation du temps de travail (les assistantes familiales, pompiers et agents des collèges sont soumis à d’autres régimes).
Et d’ajouter : « Depuis que nous sommes aux affaires, en avril 2015, il y a eu une baisse de la masse salariale de 400 postes en équivalent temps plein. » Le non-remplacement systématique des départs en retraite et la non-reconduction de certains contrats ont fait leur œuvre, par exemple dans la gestion des routes ou l’ingénierie. Mais pas là où l’action sociale doit être préservée, nous promet-on.
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Mar 2 Fév - 8:42
La photo a été prise dans l'avion présidentiel au tout début du repas, ainsi on ne voit pas les bouteilles de vin et de Champagne qui vont réjouir les invités!
Sujet : Lutte efficace contre le réchauffement climatique.
Diner entre amis à 12000 mètres d'altitude à bord de Air Sarko One pourtant tant décrié par la gauche ! Il en profite bien Flamby 1er ! ! !
Nous notons la présence, autour du capitaine de pédalo, de tante Ségolène et de Lolo .
Il y avait aussi Marion Cotillard, très grande spécialiste en climatologie.
Najat vallaud Belkacem, Ministre du changement éducatif ,
Mélanie Laurent, experte en quoi?
et Nicolas Hulot, assistés par une Équipe de Tartuffe patentés !
ça y est, la planète est sauvée !
Ah ! J'oubliais, c'est nous qui payons l'addition de tous ces Convives!
>
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Jeu 20 Nov - 10:35
LA REPUBLIQUE DES PROFITEURS !
LES COPAINS QUI SE PISTONNENT ET LES COQUINS QUI SE PROTEGENT ......
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Ven 22 Aoû - 16:49
[size=34]Le banquier n’est pas un citoyen comme les autres[/size] Mercredi 20 Août 2014 à 05:00
Baudoin Prot pourrait quitter la présidence de BNP-Paribas. Mais n'ayons crainte : notre homme ne se retrouvera pas une main devant, une main derrière. S'il part, il bénéficiera d'une prime de 150 000 euros, de jetons de présence à hauteur de 104 000 euros et, pour couronner le tout, d'une belle retraite d'un demi million d'euros par an. La patrie du fric sait être reconnaissante envers ses grands serviteurs...
Baudoin Prot à la sortie de l'Elysée, en 2009 - MEIGNEUX/SIPA
Les jours de Baudoin Prot semblent comptés. Le président non exécutif de BNP-Paribas ne survivrait pas (professionnellement parlant) au choc de l’amende record infligée par les autorités américaines pour non respect des privilèges du dollar, qui permettent aux Etats-Unis de frapper n’importe quel établissement ne respectant pas sa loi intérieure. En l’occurrence, BNP-Paribas, qui a commercé en dollars avec des pays sous embargo américain, a payé pour [size=14]un abus de position politico-monétaire dominante qui ferait scandale en d’autres latitudes. Passons.
Toujours est-il que Baudoin Prot risque d’en supporter les conséquences. A 63 ans, il pourrait goûter les joies de la retraite plus tôt que prévu. On ne va pas le plaindre pour autant. En effet, son statut d’assisté de la finance lui permet de voir venir le choc de la fin de carrière sans les angoisses du citoyen ordinaire.
Le magazine Capital (qui porte bien son nom) a détaillé le train de vie du futur retraité. Primo, BNP-Paribas s’est engagé à lui verser une poire pour la soif, sous forme d’une une prime de départ de 150 000 euros. Secundo, Baudoin Prot continuera à toucher les jetons de présence encaissés pour avoir l’honneur de s’asseoir sur les fauteuils des trois sociétés où il exerce son mandat d’administrateur (Kering, Lafarge, Veolia Environnement), estimés à 104 000 euros.Tertio, le banquier, qui a touché un salaire de 1,2 million d’euros en 2013 aura droit à une retraite dorée payée par BNP-Paribas jusqu’à l’extinction de ses feux personnels, soit la modique somme de 522 432 euros par an, autrement dit 45 000 euros par mois, bref l’équivalent de 37 smic pour service rendus à la patrie du fric.
Ainsi va la vie chez nos amis les banquiers. Eux qui aiment à dénoncer le prétendu « coût du travail », le niveau inacceptable du smic, la rigidité du marché de l’emploi, le droit social inextricable, le poids exorbitant de la fiscalité, les privilèges des retraités ou les dépenses publiques excessives... Eux, donc, savent préparer leurs arrières. Au nom de la défense des « talents » (particularité génétique dont les pauvres seraient exclus), ils se mitonnent des statuts très particuliers qui sont aux antipodes des principes qu’ils prônent pour autrui.
Baudoin Prot n’est pas un cas à part. Il est simplement fort représentatif de ces oligarques qui ont pignon sur rue dans la France d’aujourd’hui, au nom du « toujours plus » en vigueur dans cette caste. Et pas question de toucher à leurs prébendes ou de mettre la moindre limite à leurs émoluments. Ainsi, pendant que l’on s’attaque aux professions réglementées (non sans raison, parfois), on en laisse d’autres, qui tiennent les postes de commande, vivre dans l’opacité de la dérèglementation générale qui est à la porte ouverte à tous les abus.
Atlantico : Un pré-rapport de la Cour des comptes dont le quotidien Les Echos a publié de larges extraits mardi 13 mai dresse un bilan jugé décevant des années Lauvergeon à la tête d'Areva (voir ici). Dans quelle mesure le cas d'Anne Lauvergeon est-il révélateur des failles du système français en matière de création des élites économiques ? Hervé Joly : Anne Lauvergeon a été nommée en 1999 par le gouvernement Jospin à la tête de l’entreprise publique Cogema, qu’elle a transformée deux ans plus tard en Areva après sa fusion avec Framatome. A 40 ans, elle n’avait qu’une expérience restreinte comme dirigeante industrielle, avec deux années dans le groupe Alcatel, et une connaissance directe de l’énergie nucléaire réduite à un stage au Commissariat à l’énergie atomique durant sa formation d’ingénieur du corps des Mines. Sa brillante promotion devait beaucoup à sa proximité avec le gouvernement socialiste, et à son passé de "sherpa" dans les sommets internationaux de François Mitterrand à l’Élysée.
La pratique de nommer d’anciens collaborateurs ministériels issus des grands corps, sans expérience particulière de la branche, à la direction des entreprises à participations publiques est tout aussi répandue avec les gouvernements de droite, mais elle apparaît plus discrète car les prétendants perçus comme légitimes ont plus naturellement des affinités politiques avec eux. D'où nous vient cette spécificité d'un point de vue historique ? Elle s’explique à la fois par le rôle particulier joué depuis longtemps par l’État, avec, d’une part, son accaparement des meilleurs produits d’un système scolaire très sélectif au profit des grandes écoles et des grands corps de fonctionnaires et, d’autre part, son interventionnisme dans l’économie marqué notamment par le développement d’un important secteur public. L'endogamie des élites françaises est-elle un frein à la bonne gestion des grosses entreprises françaises ? On peut considérer qu’en figeant des filières de recrutement très étroites elle peut décourager des vocations managériales, ceux qui n’ont intégré les bonnes écoles ou les bons corps à 20-25 ans ayant peu de chances quels que soient leurs mérites professionnels de parvenir aux fonctions dirigeantes. D’un autre côté, on peut défendre le système en considérant que, d’une part, en faisant jouer les uns et les autres dans des divisions différentes selon leurs origines, il borne le champ des possibles en laissant à chacun la possibilité de réussir dans sa catégorie sans provoquer de désillusions, et que, d’autre part, il reste même au sein de viviers aussi étroits que les grands corps assez de prétendants possibles pour que ceux qui sont choisis soient à l’arrivée de bons dirigeants.
Ces haut-fonctionnaires placés au sommet de ces entreprises ont-ils la culture du profit ? Connaissent-il vraiment leur secteur d'activité ? Est-ce un poids pour l'entreprise ? Beaucoup d’anciens fonctionnaires reconvertis dans les affaires ont montré depuis longtemps qu’ils n’avaient rien à envier aux purs professionnels de l’entreprise dans leur goût pour le profit. Des hommes à la réussite aussi contrastée que Jacques Calvet (Peugeot SA) ou Jean-Marie Messier (Vivendi) ont en commun de ne pas avoir géré leurs entreprises comme des administrations sans but lucratif. Le problème de la connaissance du secteur d’activité est ambivalent. On trouve autant d’exemples de patrons qui ont réussi ou échoué dans une branche qu’ils connaissaient. Connaître intimement une branche permet sûrement de mieux en exploiter les ressources internes, mais peut aussi conduire à un certain aveuglement stratégique. À l’inverse, un patron venu de l’extérieur peut avoir plus de recul pour faire les remises en cause nécessaires, mais aussi ne pas savoir développer ce qui existe. Tout dépend de la conjoncture dans laquelle se trouve l’entreprise. Pour opérer les réorganisations attendues dans l’industrie nucléaire, Anne Lauvergeon a longtemps incarné à la tête d’Areva une réussite industrielle. Il reste à démontrer que les erreurs qu’elle a commises ensuite n’auraient pas été partagées par un patron au profil plus spécialisé. Cette reproduction des élites empêche-t-elle de renouveler les profils d'entrepreuneurs ? En quoi et comment ce système est néfaste à l'économie française ? Les profils sont trop homogènes. Ceux qui réussissent sont toujours les meilleurs par leur capacité d’abstraction et leur esprit de synthèse, parce qu’ils étaient bons en maths ou maîtrisaient l’exercice de la dissertation. Il faudrait diversifier les cultures en associant mieux spécialistes montés par le rang et généralistes à l’expérience diversifiée. Ce phénomène est-il une spécificité française ? A l'étranger, quels sont les processus de formation des élites économiques desquels nous pourrions nous inspirer ? Le resserrement autour de quelques filières scolaires aussi étroites, jusqu’à des promotions de quelques centaines d’élèves par an pour les grandes écoles et quelques dizaines pour les grands corps, et l’importance du passage par la haute fonction publique sont des spécificités françaises. Il existe ailleurs des filières d’excellence, mais, d’une part, elles sont souvent plus ouvertes et, d’autre part, elles forment d’abord des hommes de métier, ingénieurs, vendeurs ou juristes. En France, les élites sont souvent, à la sortie de Polytechnique et de l’ENA, des généralistes de la gouvernance qui prétendent pouvoir tout diriger qu’ils ne savent rien faire d’autre. Valoriser comme en Allemagne aussi bien l’expérience de terrain par l’apprentissage que l’initiation à la recherche par le doctorat, plutôt que la seule reproduction du savoir scolaire par la réussite à un concours, offrirait sûrement des profils plus diversifiés et plus innovants. Leur réussite dans des industries à la technologie pointue comme les machines-outils s’explique largement ainsi. Nos dirigeants savent concevoir de grands équipements pour des contrats publics attribués par leurs pairs, moins faire de l’industrie de niche pour des clients privés aux exigences diversifiées.
Cette société d'économie mixte détenue à près de 80 % par la Ville, acteur majeur du logementsocial dans la capitale, souhaite obtenir la résiliation du bail du logement que le couple occupe rue de la Fédération, à côté du Champ de Mars dans le XVe arrondissement de Paris.
«C'est grave, nous sommes menacés d'expulsion, s'étrangle Frigide Barjot, jointe au téléphone par Leparisien.fr. Jamais nous n'avons eu un loyer de retard et nous payons 3500 € par mois.»
Basile de Koch est arrivé rue de la Fédération en 1983, sa femme en 1994. Chacun y occupait un appartement, «l'un d'une surface de 80 m², l'autre de 60 m²», précise Frigide Barjot. La RIVP parle de son côté de 86 m² et 140 m². En 2000, ils obtiennent l'autorisation de construire un escalier pour relier les deux logements. Le loyer s'élève à 2850 € par mois, selon les chiffres du bailleur. Quand ce dernier a voulu augmenter son tarif, les locataires ont fait jouer une clause sociale, en arguant de revenus relativement faibles (environ 36 000 € par an).
Utilisation à des fins commerciales et sous-location
La RIVP reproche également aux époux Tellenne de l'avoir sous-loué à Jalons. Il se seraient ainsi reversé des loyers, à hauteur de 9000 € par an selon une source proche du dossier. «Ces deux motifs constituent des manquements graves aux obligations des baux d'habitation consentis à M. et Mme Tellenne», assène la Régie dans un communiqué.
Une manœuvre politique ?
Le dossier a donc été instruit durant plusieurs mois, selon la procédure habituelle. La mairie de Paris et la RIVP jurent qu'il n'y a aucune volonté politique à l'encontre de la pasionaria de la manif pour tous. «Une centaine de procédures pour occupation anormale (transfert illicite de baux, occupation sans titre, occupation à titre commercial) sont actuellement à l'étude», rappelle d'ailleurs la Régie dans son communiqué.
Néanmoins, selon une source proche du dossier, «cela tombe pas plus mal que le dossier ait été bouclé après le vote de la loi sur le mariage homosexuel». L'argument fait sourire Frigide Barjot. «On veut faire taire le mouvement de l'Avenir pour tous que nous venons de lancer, souligne-telle. C'est clairement politique. Comme par hasard, cela tombe en même temps qu'un manifestant condamné à de la prison ferme. La répression s'abat.»
Une audience au Tribunal d'instance du XVe arrondissement de Paris doit avoir lieu début juillet.
En 2007, Frigide Barjot et Basile de Koch avaient ouvert les portes de leur duplex pour l’émission «Toute une histoire», présentée par Jean-Luc Delarue. Ils y dévoilaient leur mode de vie atypique puisque à l’époque, Frigide Barjot occupait la partie basse de l’appartement avec ses enfants, tandis que son mari est installé à l’étage, dans un appartement indépendant. Autonomes, ils possédaient chacun leur cuisine, leur salle de bain et leur salon. Deux appartements aujourd'hui reliés par un escalier.
VIDEO. Les deux appartements de Frigide Barjot et Basile de Koch (France2)
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Jeu 20 Juin - 11:11
Retraites, indemnités, conflits d'intérêts... : 10 députés réclament l'abolition de leurs avantages. A lire dans "le Nouvel Observateur", en kiosque jeudi 20 juin.
L'Assemblee Nationale (Palais Bourbon) JPDN/SIPA
Ce n'est qu'un début, continuons le débat ! Tandis que le Parlement accouche, non sans peine, d'une loi sur la moralisation de la vie politique, dix députés en colère s'engagent dans "le Nouvel Observateur". "Osons rénover l'Assemblée !" lancent ces élus lucides qui ont compris que les petits arrangements avec la morale républicaine n'ont que trop duré. Le temps presse. Jamais la défiance à l'égard de la représentation nationale n'a été aussi profonde : selon un sondage réalisé en pleine affaire Cahuzac, 77% des Français considéreraient que leurs élus sont "malhonnêtes". Le jugement, suggéré par le questionnaire de l'institut OpinionWay, est évidemment outrancier. Mais, pour le modifier en profondeur, il conviendrait sans doute de corriger une bonne fois pour toutes les mille et un avantages dont jouissent nos élus.
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Dim 23 Déc - 11:08
Dans une lettre du 13 octobre 2011, le candidat François Hollande écrivait au candidat Arnaud Montebourg :
« Si j’étais élu Président de la République, aucun plan de sauvegarde du système bancaire, pour éviter une crise économique majeure, ne se ferait sans contrepartie. »
Quelle contrepartie le Président François Hollande va t'il demander aux système bancaire français en échange de la contribution de 2 585 000 000 d'euros de l’état Français en 2012 pour combler l'incroyable trou provoqué par les frasques du Polytechnicien Pierre Richard (X61) ?
« 8 nov. 2012 – Le coût de la recapitalisation de Dexia par l’état français, soit 2,585 milliards d'euros, sera imputé sur le budget de l’état, a indiqué jeudi le ministre de l’économie, Pierre Moscovici, sur la chaîne d'information LCI. »
2 585 000 000 d'Euros. À partager entre environ 19 500 000 foyers imposables en France Coût par foyer imposable en France pour 2012 = 132,56 Euros A ce jour, aucune poursuite contre Pierre Richard (École Polytechnique promotion 1961).
Les élites se serrent les coudes !
Vive la démosociocratie !
Invité Invité
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Dim 23 Déc - 10:58
Le Grand Charles ...L'avait bien dit ..Y'a 2 choses qui ne servent à rien ...La prostate ....Et le ......SENAT
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Mar 18 Déc - 18:53
CHOQUE PAR DEPARDIEU ET choqué par tous ces politiciens qui hurlent à la mort au sujet de l’acteur :oui !
Beaucoup de gens accepteraient de travailler du 1er janvier au 10 novembre de chaque année pour l’état et ne bénéficier de son travail que 51 jours par an ? Par ce que eux les hommes politiques, donneurs de leçons, donnent l’exemple ? Si les députés le souhaitent on pourrait parler de tous leurs avantages non taxés ! ou de leur retraite ! Les sénateurs :ils sont 343, 90 sont assidus, 120 sont là de temps en temps et 123 jamais présents ! ils touchent 11540€ net par mois et ne sont imposables que sur 50%. La loi dit que s’ils sont plusieurs fois absents ils ne peuvent plus toucher leurs émoluments ! Ce n’est jamais appliqué ! Pas mal non ? pour des gens qui votent des lois !!! Cela n’est il pas plus choquant que Depardieu ? vous avez entendu un seul politique en parler ?
Un salarié moyen après 40 ans de travail touche 1500€ de retraite ! Un sénateur après 6 ans de mandat touche : 1869€ ! après 15 ans : 4000€ ! et comme il y a environ 50% de fonctionnaires cela vient en cumul de leur retraite de fonctionnaires ! Cela n’est il pas plus choquant que Depardieu ?
Le budget du sénat est de 350 millions d’euros ! Pour un organisme qui ne sert à rien ! Chaque sénateur touche 1000€ par mois de frais informatique ! Cela n’est il pas plus choquant que Depardieu ?
Chaque salarié du sénat a 4 mois de vacances et touche une prime de nuit, y compris les jardiniers !!! certains jardiniers toucheraient 7000€ par mois ! Cela n’est il pas plus choquant que Depardieu ?
La cagnotte du sénat près de 1milliard 500millions d’euros ! qui n’est pas utilisée et l’on nous met des impôts supplémentaires !
Alors monsieur Ayrault c’est vous et pas Depardieu, avec vos leçons qui êtes un vrai MINABLE de ne rien faire sur cette scandaleuse situation du sénat !
Députés et sénateurs serrez les fesses çà ne durera pas !
Admin Admin
Messages : 787 Date d'inscription : 26/08/2007
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Lun 17 Déc - 9:21
les Français qui se moquent de nous :
Si la France manque de croissance et d'emplois, elle ne manque pas de parlementaires puisqu'elle en compte 925 pour 65 millions d'habitants
quand les USA comptent 535 membres du Congrès pour 315 millions d'habitants.
Mieux, l'URSS comptait 1500 membres du Soviet Suprême pour 293 millions d'habitants à son implosion alors que ce pays avait une superficie 45 fois supérieure à la France et s'étendait sur 11 fuseaux horaires.
Ainsi, quand les USA ont 1,7 parlementaire par million d'habitants et que l'URSS en comptait 5 par million d'habitants, la France émarge, elle, à 14 parlementaires par million d'habitants.
La France trois fois plus administrée que l'URSS, cherchez l'erreur !
Effectivement on retrouve tout sur le Site du Conseil Constitutionnel mais Personne n'en parle !!!!!
DECISION DU CONSEIL CONSTITUTIONNEL
Par Décision n°2012-654DC du 9 Août 2012
Le Conseil Constitutionnel a déclaré non conforme à la Constitution l'Article 40 de la Loi de Finance rectificative qui prévoyait la Baisse de 30% du Président, du Premier Ministre et du Gouvernement.
Curieux, ça ne s'ébruite pas......
Les Médias n'en parlent pas!!!
Tout ceci vérifiable à l'adresse suivante (bon déchiffrage) :
79. Considérant qu'aux termes du Paragraphe I de l'Article 14 de la loi du 6 Août 2002 susvisée : « Le Président de la République et les Membres du Gouvernement reçoivent un Traitement brut mensuel calculé par référence au Traitement des Fonctionnaires occupant les Emplois de l'État classés dans la Catégorie dite "hors échelle". Il est au plus égal au Double de la moyenne du Traitement le plus bas et du Traitement le plus élevé de cette Catégorie.
« Ce Traitement est complété par une Indemnité de Résidence égale à 3 % de son montant et par une Indemnité de Fonction égale à 25 % de la Somme du Traitement brut et de l'Indemnité de Résidence.
« Le Traitement brut mensuel, l'Indemnité de Résidence et l'Indemnité de Fonction du Président de la République et du Premier Ministre sont égaux aux Montants les plus élevés définis aux deux alinéas ci-dessus majorés de 50 %.
« Le Traitement Brut mensuel et l'Indemnité de Résidence sont soumis aux Cotisations Sociales obligatoires et imposables à l'Impôt sur le Revenu suivant les Règles applicables aux Traitements et Salaires.
« Les Eléments de Rémunération du Président de la République sont exclusifs de tout autre Traitement, Pension, Prime ou Indemnité, hormis celles à caractère familial » :
80. Considérant que l'Article 40 de la Loi déférée abaisse le Taux fixé au troisième alinéa de ce Paragraphe I de 50 % à 5 % :
81. Considérant qu'aux termes de l'Article 16 de la Déclaration de 1789 : « Toute Société dans laquelle la Garantie des Droits n'est pas assurée, ni la Séparation des Pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution » : qu'en vertu de l'Article 5 de la Constitution, le Président de la République est le garant de l'Indépendance Nationale et de l'Intégrité du Territoire : qu'aux termes du premier alinéa de l'Article 20 : « Le Gouvernement détermine et conduit la Politique de la Nation » : que le Principe de la Séparation des Pouvoirs s'applique à l'égard du Président de la République et du Gouvernement :
82. Considérant qu'en modifiant le Traitement du Président de la République et du Premier Ministre, l'Article 40 de la Loi déférée méconnaît le Principe de la Séparation des Pouvoirs : que, par suite, il doit être déclaré Contraire à la Constitution :
83. Considérant que la Conformité à la Constitution d'une Loi déjà promulguée peut être appréciée à l'occasion de l'examen des dispositions législatives qui la modifient, la complètent ou affectent son domaine : qu'en l'espèce, l'Article 40 modifie les dispositions du paragraphe I de l'Article 14 de la Loi du 6 Août 2002 susvisée : que ces Dispositions, relatives au Traitement du Président de la République et des Membres du Gouvernement, doivent, pour les mêmes Motifs, être déclarées CONTRAIRES A LA CONSTITUTION;
Le Conseil Constitutionnel a déclaré non conforme à la Constitution l'Article 40 de la Loi de Finance rectificative qui prévoyait la Baisse de 30% du Président, du Premier Ministre et du Gouvernement.
Voici le classement de toutes les aides à la presse en 2011
- Le Monde : 16 932 067 euros de subvention
- Le Figaro : 15 990 740 euros de subvention
- Ouest France : 14 108 028 euros de subvention
- La Croix : 10 437 334 euros de subventions
- Télérama : 9 533 479 euros de subvention
- Libération : 8 971 182 euros de subvention
- Le Nouvel Observateur : 7 917 224 euros de subvention
- L’Express : 7 621 766 euros de subvention
- Télé 7 jours : 7 288 021 euros de subvention
- Aujourd’hui en France : 6 777 475 euros de subvention
- Sud Ouest : 6 707 844 euros de subvention
- L’Humanité : 6 259 222 euros de subvention
- Paris Match : 5 359 329 euros de subvention
- La Nouvelle République du centre ouest : 5 171 578 euros de subvention
- A2 presse : 4 868 424 euros de subvention
- Télé Star : 4 790 124 euros de subvention
- La Voix du Nord : 4 546 741 euros de subvention
- Le Point : 4 543 178 euros de subvention
- Télé Loisirs : 4 411 904 euros de subvention
- La Dépêche du Midi : 4 038 548 euros de subvention
- Le Dauphiné libéré : 3 927 893 euros de subvention
- Newsprint SAS : 3 900 000 euros de subvention
- Syndicat de la presse quotidienne nationale (SPQN) : 3 771 080 euros de subvention
- Les Échos : 3 753 737 euros de subvention
- La Montagne : 3 747 371 euros de subvention
- Télé Z : 3 745 212 euros de subvention
- Télégramme : 3 739 454 euros de subvention
- Télécâble Sat hebdo : 3 324 771 euros de subvention
- Le Petit Quotidien : 3 298 437 euros de subvention
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Mar 30 Oct - 0:48
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Mar 9 Oct - 10:35
On comprend mieux pourquoi nos hommes politiques et nos hauts fonctionnaires sont mauvais ...question d 'éducation et de formation
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Lun 10 Sep - 12:33
Ces fonctionnaires qui gagnent mieux qu'Hollande et Ayrault Mots clés : Rémunérations, Fonctionnaires, Ambassadeur, François Hollande, Jean-Marc Ayrault
Par lefigaro.fr Mis à jour le 30/08/2012 à 17:18 | publié le 30/08/2012
Crédits photo : JACQUES BRINON/AFP
Selon Challenges, 656 hauts fonctionnaires sont mieux payés que le président de la République et le premier ministre. Au Quai d'Orsay et à Bercy, les rémunérations sont particulièrement élevées.
Parmi les hauts fonctionnaires de l'État français qui gagnent le mieux leur vie, beaucoup travaillent pour le ministère des Affaires étrangères, à l'étranger. Selon des données demandées à Matignon par nos confrères de Challenges , certains ambassadeurs peuvent toucher jusqu'à 35.000 euros brut par mois, notamment ceux qui exercent dans des régions à haut risque. Comme l'ambassadeur de France en Afghanistan: en plus de son salaire brut par mois, il touche une indemnité de résidence de 25.000 euros.
Des rémunérations qui dépassent largement celles de François Hollande et de Jean-Marc Ayrault, qui viennent de réduire leur salaire de 30%, à 14.910 euros brut par mois, et des ministres, à 14.200 euros brut mensuel. Selon Challenges, depuis ce coup de rabot, les chefs de l'exécutif français ont chuté de la 52e à la 657e place des fonctionnaires français les mieux payés.
Sur les 656 hommes et femmes qui gagnent plus que le président de la République et le premier ministre, 39 travaillent au ministère de l'Économie et des Finances. Les bulletins de paie sont particulièrement généreux pour les chefs de services économiques, précise Challenges.
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Le suivi des promesses de François Hollande Cumul des mandats : notre classement des députés Le Monde.fr | • Mis à jour le 07.10.2009 à 15h12 Abonnez-vous à partir de 1 € Réagir Classer EnvoyerPartager facebook twitter google + linkedin
SUIVRE ....Rémunération des élus : ce que ne veulent pas perdre les "cumulards" Alors que le président du groupe socialiste au Sénat, François Rebsamen, a déclaré le 28 août qu'il s'opposait à la règle du non-cumul des mandats, la polémique enfle.Car qui dit cumul des mandats dit aussi cumul des indemnités...
Yann Duvert Le 29/08/2012 à 17:31 - +Imprimer cet articleréagir
Le sénateur-maire de Dijon (PS) a lancé un pavé dans la marre mardi, en s'opposant à la règle du non-cumul des mandats (DR)1 / 1 François Rebsamen a fait sensation mardi, en se positionnant contre la règle de non-cumul des mandats, promise par François Hollande lors de la campagne présidentielle. Pour sa défense, le sénateur-maire de Dijon explique vouloir garder un ancrage sur le terrain, ayant justement été élu par les collectivités locales. Déjà, les mauvaises langues y voient une volonté de conserver le cumul… de ses indemnités.
Des indemnités plafonnées
Les parlementaires ont la possibilité de cumuler plusieurs mandats, et donc plusieurs indemnités. Il existe néanmoins un plafond, qui limite cette rémunération à 1,5 fois l’indemnité parlementaire de base (environ 5500 euros bruts), soit un maximum de 8300 euros. Si l'on soustrait les 5500 euros touchés au titre de député ou sénateur, les indemnités locales ne peuvent donc pas excéder les 2757 euros. A cela, il faut ajouter quelques autres rétributions afin de faire face aux dépenses dues à leur fonction. Des sommes qui varient en fonction des mandats (voir ci-contre).
L'écrêtement, porte ouverte aux abus
Combien gagnent les parlementaires?
Députés :
Les députés touchent une indemnité parlementaire de base de 5 514,68 € brut mensuel, à laquelle il faut ajouter l’indemnité de résidence (165,44 euros) et l’indemnité de fonction (1 420,03 euros), toutes deux non-imposables.
Ils disposent également d’une indemnité représentative de frais de mandat, s’élevant à 6412 €. Cette dernière est destinée à couvrir les dépenses liées à leur fonction. Néanmoins, aucune obligation ne leur est faite de les justifier.
Un crédit mensuel de 9138 euros destiné notamment à la rémunération de collaborateurs leur est aussi alloué.
Sénateurs :
Les sénateurs disposent des mêmes indemnités de base, de résidence et de fonction que les députés.
Leur indemnité représentative de frais de mandat s’élève, elle, à 6240,18 euros brut par mois.
Leur crédit mensuel est de 7548 euros
Mais parfois, les indemnités perçues dépassent cette somme. C’est le cas de certains élus à la fois parlementaires et maires de grandes villes, par exemple. L’élu peut ainsi user de ce qu’on appelle "l’écrêtement". Le principe est simple : le surplus est reversé à un autre élu de la collectivité locale ou de la mairie. En toute logique, le destinataire épaule le parlementaire dans ses fonctions locales.
Mais cette disposition peut donner lieu à certains abus ou pratiques contestables. Patrick Balkany, maire de Levallois, reversait par exemple le surplus à sa première adjointe qui n’était autre que… sa femme. Certains autres élus ont aussi été soupçonnés de verser le surplus à un proche, qui leur retournait la somme "sous la table".
Le Sénat défend le statu quo
En 2011, le député PS René Dosière dépose un amendement visant à supprimer cet écrêtement, proposant que le surplus reste tout simplement dans les caisses de la collectivité. Las ! Bien qu’adopté par l’Assemblée (malgré l’avis défavorable du gouvernement de l’époque), ledit amendement est retoqué quelques semaines plus tard par le Sénat.
Au Parti socialiste, la question divise. François Rebsamen, proche de François Hollande, est farouchement opposé au non-cumul des mandats. De son côté, Martine Aubry, la patronne du PS, en a fait son cheval de bataille. D’autres, comme le rapporteur général du budget Christian Eckert, proposent une solution alternative. Il s’agirait de permettre aux parlementaires de conserver leur mandat local, mais en renonçant à leurs indemnités. Lionnel Luca (UMP) se prononce pour une baisse des indemnités des parlementaires Publié le 24/07/2012
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Dans le cadre des efforts conséquents que le gouvernement et sa majorité demandent aux contribuables Français, le député Lionnel Luca (groupe UMP) porte une proposition de loi organique (relative à l’organisation des pouvoirs) « tendant à réduire les indemnités des Parlementaires ».
Cette loi propose de réduire les indemnités des Parlementaires à 90 % de leur montant actuel en cas de cumul des mandats et seulement à 95 % s’il est non cumulard. Rappelons que 338 députés et 225 sénateurs (plus de la moitié) exercent un cumul des mandats.
Dans l’exposé des motifs, le député déclare que cette proposition de loi, si elle était adoptée, « devrait générer entre 2,5 et 5 millions d ‘euros d’économie » tous les ans.
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Mar 24 Juil - 12:40
112 millions € par an… C’est ce que coûte le Président français au contribuable chaque année. Herman Matthijs, professeur d’administration et de finances publiques à l’Université de Gand, vient de publier son sixième rapport sur le coût des chefs d’Etats européens.
Ainsi, la famille royale la plus chère est celle de Hollande. La Reine Béatrix et ses enfants coûtent 39,4 millions € par an au contribuable néerlandais. Soit un budget quatre fois supérieur à celui de la famille royale espagnole.
Au Royaume-Uni, les mesures draconiennes sur les dépenses publiques ont permis de réduire le budget de la famille royale de 16% l’an dernier. Il est passé de 45,6 millions € à 38,2 millions €.
Le rapport de Herman Matthijs, réalisé en avril 2012, correspond au coût du président Sarkozy à la fin de son mandat : 112 millions € par an. La décision du Président Hollande de réduire sa rémunération n’affectera pas ce budget de manière significative.
Soyons objectif ! Le chef d’Etat français est le seul à avoir un réel pouvoir politique, contrairement à ses voisins qui n’ont qu’un rôle de représentation.
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Sam 30 Juin - 9:41
Le Conseil Général du Pas-de-Calais a dépensé 144 000 euros pour que ses élus puissent profiter de séjours à Londres pendant les JO, aux frais des contribuables.
Ainsi, 45 élus du Conseil Général du Pas-de-Calais vont pouvoir profiter des JO de Londres aux frais des contribuables. Cinq d’entre eux bénéficieront même de séjours VIP, à 8093 euros par personne, incluant 2 nuits d’hôtel Grand Confort, transport Eurostar , billets d’accès aux finales 100 mètres Homme ( épreuve la plus prestigieuse des JO), compétition Equitation Saut, compétition Canoë-Kayak, ainsi que des accès au Club France VIP.
Au total, le département du Pas-de-Calais a dépensé 143 965 euros pour que 45 élus puissent voyager à Londres et profiter des JO, sans débourser un seul centime. On ne connait malheureusement pas les noms des heureux bénéficiaires de ces vacances à Londres payées par les contribuables.
A quoi sert donc cette dépense d’argent public ? Quel intérêt pour les contribuables du Pas-de-Calais ?
Le Conseil général justifie ce gaspillage d’argent public en expliquant que les 45 “élus”, qui portent bien leur nom, se rendent à Londres pour faire du lobbying et promouvoir les 20 millions d’euros de travaux d’équipements réalisés dans le Pas-de-Calais.
Mais la dépense publique ne s’arrête pas là ! Le Conseil général du Pas-de-Calais va également envoyer 900 enfants à Londres pour les JO, portant la facture totale pour les contribuables à 395 000 euros ! Vivent les JO du Pas-de-Calais.
source: dailynord.fr
Phalene Invité
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Mar 19 Juin - 8:21
Le nombre est le fruit de l’inorganisation, du non management, de l’abscence complète d’évaluation de la productivité des services, et d’anomalies criantes telle par exemple les maires à la tête du comité de surveillance des hopitaux,et qui poussent à la dépense pour caresser dans le sens du poil leurs électeurs, au frais de la S.S.
PACA
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Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Mar 19 Juin - 8:19
La France a beaucoup trop de fonctionnaires: 5,2 millions, selon la Cour des comptes en 2009, soit une prolifération de 1,4 million (36 %) depuis 1980 ! Pendant ce temps, l’emploi total ne progressait que de 18 %. De 1980 à 2007, la fonction publique de l’État s’est empâtée de 14,3 %, la territoriale de 71,2 % et l’hospitalière de 53,4 %. Un Français sur cinq travaille dans l’une de ces trois fonctions publiques. Aux 5,2 millions de fonctionnaires s’ajoutent 1,7 million de salariés ne relevant pas de la fonction publique stricto sensu, n’ayant pas le statut de fonctionnaires, mais payés eux aussi par les instances publiques: État, organismes publics ou parapublics, entreprises publiques.
Au total, 6,9 millions de salariés représentant 26 % de la population active française (un actif sur quatre) dépendent du secteur public pour leurs traitements comme pour leurs retraites.
La Cour des comptes a chiffré leur coût moyen par tête au long d’une vie à 3,5 millions d’euros.
Pour être à égalité avec l’Allemagne, la France devrait avoir 1 500 000 fonctionnaires de moins. Nous aurions alors le même nombre de fonctionnaires qu’en 1980. La règle du « non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite » est très insuffisante pour réduire les effectifs. Il faut aller plus loin, et geler les embauches de certaines administrations. Les salaires et pensions de retraites des salariés des administrations publiques constituent les dépenses publiques les plus importantes. Ces dépenses sont très largement gaspillées : tâches improductives, temps perdu en réunions inutiles, sureffectifs, absentéisme, heures de délégation syndicale. L’Etat n’est pas un bon employeur : la promotion d’un ministre ou d’un responsable d’administration qui aurait accru la productivité de son personnel est pratiquement inconnue dans l’administration. L’Etat-employeur doit être réduit, notamment en privatisant ses participations dans des entreprises. Pour améliorer leurs finances publiques, les Britanniques ont prévu de réduire de 500 000 personnes leurs effectifs de fonctionnaires. La France doit au minimum suivre rapidement cet exemple. Articles similaires : Comparaison France / Allemagne sur le coût des fonctionnaires: le dérapage qu’on nous cache Pour 59% des Français les fonctionnaires travaillent moins que les salariés du privé 1 Français sur 2 est favorable à l’interdiction du droit de grève pour les fonctionnaires [sondage exclusif] 65% des Français sont favorables à une réforme du statut des fonctionnaires
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Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Ven 15 Juin - 9:03
Liste des français riches qui vivent en Suisse La liste des 44 familles françaises les plus riches exilées en Suisse (avec estimation de leur fortune en euros, selon le mensuel suisse Bilan) Ils viennent quasiment tous se faire soigner en FRANCE... et certains d' entre eux interviennent dans les médias pour influer sur la vie politique du Pays !
- Famille Wertheimer (Chanel) : de 3,2 à 4 milliards - Famille Castel (vins et spiritueux) : de 3,2 à 4 milliards - Famille Primat (Schlumberger) : de 1,6 à 2,5 milliards - Benjamin de Rothschild (Groupe Rothschild) : de 1,6 à 2,5 milliards. - Famille Peugeot (PSA) : de 1,2 à 1,6 milliard - Famille Lescure (Seb, Tefal, Rowenta, Krups, Moulinex, Calor) : de 1,2 à 1,6 milliard - Famille Bich (Bic) : de 1,2 à 1,6 milliard - Famille Mimran (Compagnie sucrière sénégalaise) : de1,2 à 1,6 milliard - Héritiers Louis-Dreyfus (Groupe Louis-Dreyfus, OM) : de 815 millions à 1,2 milliard - Claude Berda (fondateur d’AB Prod) : de 815 millions à 1,2 milliard - Paul-Georges Despature (Damart) : de 815 millions à 1,2 milliard - Famille Murray : de 815 millions à 1,2 milliard - Nicolas Puech (Hermès) : de 815 millions à 1,2 milliard - Familles Defforey et Fournier (Carrefour) : de 650 à 730 millions - Famille Zorbibe (Lancel) : de 400 à 490 millions - Roger Zannier (Z, Kenzo, Kookaï, Oxbow, Chipie) : de 400 à 490 millions - Famille Lejeune (Seita) : de 325 à 400 millions - Philippe Jabre (Jabre Capital Partners) : de 325 à 400 millions - Famille Harari : de 325 à 400 millions - Famille Taittinger (champagne) : de 325 à 400 millions - Alexandra Pereyre de Nonancourt (champagne Laurent-Perrier) : de 245 à 325 millions - Denis Dumont (Grand Frais) : de 245 à 325 millions - Michel Lacoste (Lacoste) : de 245 à 325 millions - Georges Cohen (Groupe Sogeti) : de 245 à 325 millions - Nicole Bru-Magniez (laboratoires UPSA) : de 165 à 245 millions - Michel Reybier (Cochonou, Aoste, Justin Bridou) : de 165 à 245 millions - Alain Duménil (Acanthe Développement) : de 165 à 245 millions - Serge Kampf (Capgemini) : de 165 à 245 millions - Bruno Moineville (Réseaux câblés de France) : de 165 à 245 millions - Antoine Zacharias (Vinci) : de 165 à 245 millions - Hugues de Montfalcon de Flaxieu (Maxiris) : de 165 à 245 millions - Christian Picart (Buffalo Grill) : de 165 à 245 millions - Jean Pigozzi (Simca) : de 165 à 245 millions - Michèle Bleustein-Blanchet (Publicis) : de 165 à 245 millions - Thierry Roussel (?) : de 165 à 245 millions - Daniel Hechter (Hechter) : de 80 à 165 millions - Philippe Hersant (groupe Hersant Média) : de 80 à 165 millions - Paul Dubrule (Accor) : de 80 à 165 millions - Jean Louis David (Coiffure) : de 80 à 165 millions - Maurice et David Giraud (Pierre & Vacances) : de 80 à 165 millions - Eric Guerlain (Christian Dior) : de 80 à 165 millions - Famille Ducros (Ducros) : de 80 à 165 millions - Jérôme DeWitt (horlogerie) : de 80 à 165 millions - Dominique Frémont (Mauboussin) : de 80 à 165 millions
Petite liste (non exaustive) des “français” éxilés fiscaux…
Suite à l’affaire Michèle Laroque, nous avons recherché à savoir qui refuse de payer ses impôts en France et par delà, qui devrait être déchu de sa nationalité Française.
Sportifs Jean Alesi, réside en Suisse Marion Bartoli, réside en Suisse Julien Benneteau, réside en Suisse Arnaud Boetsch, réside en Suisse Arnaud Clement, réside en Suisse Nicolas Escudé, réside en Suisse Guy Forget, réside en Suisse Richard Gasquet, réside en Suisse Jean-Claude Killy, réside en Suisse Henri Leconte, réside en Suisse Sébastien Loeb, réside en Suisse Paul-Henri Mathieu, réside en Suisse Gaël Monfils, réside en Suisse Christophe Moreau, réside en Suisse Amélie Mauresmo, réside à Genêve en Suisse Stéphane Peterhansel, réside en Suisse Cédric Pioline, réside en Suisse Alain Prost, réside en Suisse Fabrice Santoro, réside en Suisse Florent Serra, réside en Suisse Gilles Simon, réside en Suisse Jo-Wilfried Tsonga, réside en Suisse Vincent Rives, réside en Irlande Jean-Philippe Gatien , réside au Delaware aux Etats Unis Artistes : Chanteurs Charles Aznavour, réside en Suisse David Hallyday, réside en Suisse Johnny Hallyday, réside à Gstaad en Suisse Patricia Kaas, réside en Suisse Florent Pagny, réside en Patagonie (Argentine) Michel Polnareff, réside aux à‰tats-Unis Marie Laforêt, résidente et citoyenne suisse Acteurs Daniel Auteuil, réside en Belgique Emmanuelle Béart réside en Belgique Laetitia Casta, réside au Royaume-Uni José Garcia, réside en Belgique David Habibi, réside au Canada Alain Delon, résident et citoyen Suisse Auteurs Christian Jacq, réside en Suisse Marc Levy, réside au Royaume-Uni Michel Houellebecq, réside en Espagne (en Irlande auparavant) Patrons & actionnaires Jacques Badin (Carrefour) réside à Bruxelles en Belgique Thomas Bata (marque de chaussures Bata) réside en Suisse Des membres de la famille Baud (dont Jean Baud), (marques Franprix et Leader Price, entre 2 à 3 milliards de CHF), résident en Suisse Lotfi Belhassine, ancien président d’Air Liberté, entrepreneur réside en Belgique. Il déclare avoir fui la France car l’ISF représentait 93% de ses revenus Claude Berda, AB Groupe, réside à Cologny en Suisse Des membres de la famille Bich (Groupe Bic) résident en Suisse Michêle Bleustein Blanchet, une des héritiêres de Publicis, réside à Cologny en Suisse Corinne Bouygues, réside à Genêve en Suisse Pierre Castel, PDG du groupe Castel Frêres propriétaire des eaux Cristalline, Vichy Célestins et Saint-Yorre, réside prês du Lac Léman en Suisse Des membres de la famille Mulliez (propriétaire de Auchan, Décathlon, Mondial Moquette, Norauto et Kiabi), résident en Belgique Georges Cohen, informatique et armement, réside en Suisse Bernard Darty, fondateur de Darty, réside en Belgique Jean-Louis David, fondateur des salons de coiffure éponyme, réside en Suisse Des membres de la famille Defforey, à l’origine de la société Carrefour, résident en Belgique Des membres de la famille Despature (dont Paul-Georges Despature), propriétaire des marques Damart et Somfy, résident en Suisse et en Belgique. Paul Dubrulle, co-créateur du Groupe Accor et ancien sénateur-maire de Fontainebleau, réside à cologny en Suisse Des membres de la famille Ducros résident à Cologny en Suisse Pierre-François Grimaldi (iBazar), réside en Belgique Eric Guerlain réside en Grande-Bretagne Daniel Hechter, créateur réside en Suisse Philippe Hersant, groupe Hersant réside en Belgique Philippe Jaffré, ancien président d’Elf Robert Louis-Dreyfus réside à Zurich en Suisse. Des membres de la famille Mimram (dontJean-Claude Mimram), résident à Gstaad en Suisse. Des membres de la famille Nonancourt, propriétaire des champagnes Laurent-Perrier, résident en Suisse. Denis Payre, fondateur de Business Objects, réside en Belgique ou il a démarré une nouvelle société, Kiala, qui a embauché 100 personnes Des membres de la famille Peugeot (entre 5 et 6 milliards de CHF), résident en Suisse. Jean Pigozzi, héritier des voitures Simca, réside en Suisse. Michel Reybier, ancien PDG de Justin Bridou, réside en Suisse Jacques Tajan, ancien premier commissaire-priseur de France, réside en Belgique Des membres de la famille Wertheimer, héritiers de Chanel, résident à Cologny en Suisse Antoine Zacharias, ancien PDG de Vinci, réside à Genêve en Suisse Roger Zannier, à la tête de Kookaï ou Absorba, réside à Cologny en Suisse Alain Ducasse, cuisinier, a troqué sa nationalité française pour rejoindre Monaco
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Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Jeu 5 Avr - 11:52
Ils se votent des lois qui augmentent leurs salaires , leurs avantages , leurs avantages , leurs magouilles et ils certains tout pour éviter de payer leurs impots
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Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Mar 13 Mar - 23:05
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Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Mar 13 Mar - 23:04
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Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Dim 8 Jan - 0:26
BONNE NOUVELLE pour les "Seniors". Après la réforme des retraites, certains n'ont pas à se faire de souci !
Le groupe LVMH dirigé par Bernard Arnaud, grand ami de notre président, accueille deux petites nouvelles au sein de son conseil d'administration :
- Mme Bernadette Chirac , femme de l’ancien président de la République, jeune espoir de la finance française, grande spécialiste du luxe à travers le monde (!), est nommée au conseil d'administration de LVMH.
- Mme Florence Woerth , femme de l’ancien ministre du budget est nommée au conseil de surveillance de la société Hermès, filiale de LVMH. Gageons que ces nominations assureront à leurs maris une partie de leur retraite et ne les obligeront pas à travailler jusqu'à 63 ans. Mme Woerth était déjà en charge de la gestion du patrimoine de Liliane Bettancourt, 1ère fortune de France !!!
Petit détail : la participation au conseil d'administration d'une entreprise donne droit à des "jetons de présence" venant rémunérer ce pénible travail ! Ainsi, Mme Chirac recevra 650 000 Euros par an en juste retour de son dévouement à la cause du luxe français et Mme Woerth 400 000 Euros ! Calmez-vous ! Tout est en règle, tout est légal. C'est simplement la vie normale de gens qui "se lèvent tôt" et qui "travaillent plus pour gagner plus" Et puis, c'est rassurant de voir que l'on s'occupe de l'emploi des seniors !!!
Faites suivre la bonne nouvelle. Il faut toujours se tenir au courant ! Amitiés à tous.
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Mer 28 Déc - 10:32
5 millions d’ euros pour des espaces régionaux inutiles 27/12/11 source : le cri du contribuable Depuis 2004, le conseil régional des Pays de la Loire sème des « maisons de la région » sur son territoire. Quel coût pour les contribuables?
Le conseil régional des Pays de la Loire n’investit pas dans des maisonnettes: 540 m² à La Roche-sur-Yon, 546 à Saint-Nazaire, 667 au Mans et 2873 m² à Laval ! Au total, avec la maison d’ Angers, plus ancienne, la région a dépensé plus de 5,7 millions d’euros en biens immobiliers.
Pour savoir si ces espaces régionaux, sortes d’annexes de l’hôtel de région, sont réellement des « lieux d’information, de rencontre et d’échange », comme l’affirment les élus, le magazine Capital a envoyé un reporter à l’espace régional de Saint-Nazaire, construit en 2008. « En ce moment nous avons pas mal de visiteurs grâce à notre exposition sur l’aéronautique« , a confié l’hôtesse d’accueil. Mais ce 4 novembre, seules 3 personnes ont franchi la porte du bâtiment à 1,7 million d’euros. Dont l’une pour demander son chemin.
Encore 5,7 millions d’euros d’argent public jetés par les fenêtres grâce à la gestion de nos élus…
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Mar 20 Déc - 17:26
Quel est le bilan économique de Sarkozy au terme de son quinquennat ?
Le bilan économique de Sarkozy est clair : 196 milliards d’euros de recettes en moins en 2009 et 5 années de pertes de recettes non compensées. Les 23 points supplémentaires de dettes causés par Sarkozy proviennent à la fois de la hausse des dépenses publiques et de la baisse des recettes.
La baisse des recettes ( notamment par l’ allègement de la fiscalité) doit impérativement être compensée par une politique de réduction des dépenses publiques efficace, ce que n’a pas su faire Sarkozy !
Bilan économique de Sarkozy
- manque à gagner de 71 milliards d’euros pour les 6 principales niches fiscales crées par Sarkozy ( régimes des sociétés mères et filiales, régime d’intégration fiscale, niche Copé, heures supplémentaires, TVA réduite dans la restauration, bouclier fiscal).
- 20 milliards d’euros de pertes de recettes en 2010 pour la baisse du baisse du taux de l’impôt sur les sociétés de 50 % à 34,6 %.
- intérêts payés aux détenteurs de la dette publique : 48 milliards d’euros en 2009.
- niches sociales : 42 milliards d’euros d’exonérations de cotisations sociales en 2009
- baisse de l’impôt sur le revenu due à la diminution du nombre de tranches : 15 milliards
Au total, la politique économique de Sarkozy aura donc engendrée une perte de recettes de 196 milliards d’euros, non compensée par une réduction des dépenses publiques.
Nicolas Sarkozy aura tenu une partie de ses engagements concernant la baisse des impôts, mais ce bilan reste en demi-teinte car il s’accompagne de la multiplication de nouvelles taxes ( voir Toutes les taxes de Sarkozy ). De plus, pour que cette politique soit bénéfique à la France, il aurait fallu l’accompagner d’une forte politique de réduction de la dépense publique, ce qui n’a pas été le cas, bien au contraire.
Le bilan économique de Sarkozy n’est guère brillant: la politique économique menée par Sarkozy a été bien trop superficielle pour pouvoir espérer redresser les finances publiques françaises, dégradant ainsi fortement les finances de la France désormais sur le point de perdre son triple A.
source: filoche.net
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Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Sam 10 Déc - 16:53
Le gaspillage des lycées français à l’ étranger
Les lycées français à l’ étranger sont un cadeau pour les people, coûteux pour les contribuables.
Enfants de champions de foot ( Enzo Zidane à Madrid, les 2 aînés Djorkaeff, Sasha et Oan, à New York), de stars ( une des filles de Yannick Noah, Elyjah, à New-York jusqu’à l’an dernier), d’ entrepreneurs du Net ( San Francisco), de banquiers d’affaires et d’avocats ( Londres), de fonctionnaires internationaux ( Washington), de cadres expatriés ( Rio de Janeiro, Shangai, Moscou)… et même de président de la République ( Louis Sarkozy, à New-York) : depuis 2007, tout ce beau petit monde inscrit en seconde, première ou terminale dans un lycée français à l’étranger ne paie plus un centime de frais de scolarité ( 1500 à 20 000 euros par an selon les pays).
Qui paye pour les lycées français à l’ étranger ?
L’ Agence pour l’ enseignement français à l’ étranger ( AEFE), une émanation du Quai d’ Orsay, qui a ainsi déboursé 33,7 millions d’euros pour 7 300 élèves au cours de l’année scolaire 2010-2011. Et, comme la mesure doit être étendue aux collèges, les lycées français à l’ étranger coûteront à terme 150 millions d’euros.
Avant 2007, les riches payaient plein pot ( mais faisaient prendre en charge ces frais d’ expatriation par leurs employeurs) et les plus modestes bénéficiaient de bourses. Bref, un système équitable sans plomber les finances publiques. On se demande quelle mouche à piqué Nicolas Sarkozy d’ instaurer ce cadeau contre l’avis de tous – parlementaires de tous bords, associations de cadres expatriés, fédérations de parents d’ élèves, services de Bercy…
» L’ intégration des 2,5 millions de Français de l’ étranger à tous les services publics« , assure-t-on à l’ Elysée. Il est vrai que 1,5 million d’entre eux voteront à la présidentielle de 2012.
LE SENAT maison de retraite , ROYAUME DES PLANQUES , ET DES ABSENTEISTES cumulards !
Le Sénat, danseuse de la République ? « Le Sénat, enquête sur les super-privilégiés de la République », livre qui sort le 11 septembre, met en avant les nombreux avantages dont jouissent les sénateurs, leurs collaborateurs et les fonctionnaires du Sénat. |
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Dim 30 Oct - 23:29
PAR ICI LA BONNE SOUPE ...SANS COMPLEXES LES RATS PILLENT... S 'ENGRAISSANT DE LEURS RAPINES ! (extrait du canard enchainé)
Le Canard Enchaîné du 15 février 2006 Le trou sans fond du Crédit lyonnais Encore huit ans pour effacer l'ardoise. Le krach du Lyonnais coûtera finalement plus de 21 milliards aux finances publiques et non 16,8, comme l'estimaient jusqu'alors les experts. Telle est la conclusion des travaux de la commission des Finances de l'Assemblée, qui a entendu, le 1er février, Jean-Pierre Aubert, président du CDR (l'organisme public chargé de liquider les actifs de la banque alors en déconfiture).
Selon le député UDF Charles-Amédée de Courson, la vente des actifs du Crédit lyonnais a fait apparaître une perte totale de 11,4 milliards pour l'Etat. A quoi s'ajoutent 7,12 milliards d'intérêts sur les prêts consentis au CDR pour racheter les actifs « pourris » de la banque. Enfin, la perte de valeur du Lyonnais calculée au moment de sa privatisation est évaluée à environ 3 milliards. Soit, au total, 21,5 milliards d'euros. Sur cette somme, il reste encore à régler 4,6 milliards. L'ardoise ne sera complètement remboursée – par les contribuables – qu'en 2014... soit plus de Vingt ans après le krach de la banque. A noter que, dans cette facture, 4 milliards ont sans doute été payés à tort par les pouvoirs publics. L'Etat a en effet systématiquement renoncé à poursuivre les banques associées au Lyonnais dans ses opérations foireuses, qui auraient dû participer au remboursement des pertes.
De même, certaines affaires parmi les plus graves - telles que la MGM (1,5 milliard de pertes), Executive Life (près de 1 milliard), etc. - n'ont jamais donné lieu à une véritable ouverture d'information judiciaire en France. Quant au deuxième volet de la déconfiture du Lyonnais (1993-94), impliquant quelques hauts personnages publics (Jean-Claude Trichet, aujourd'hui président de la Banque centrale européenne, Christian Noyer, gouverneur de la Banque de France) ou des industriels amis du pouvoir (François Pinault), aucun tribunal ne s'y intéressera. Non-lieu général, a conclu le juge Courroye.
Et prière de ne pas le faire savoir aux jeunes des banlieues, avec lesquels la justice n'est pas toujours aussi bienveillante. Hervé Martin
. Les avocats du Crédit lyonnais n'ont pas à se plaindre de la déconfiture de la banque publique: ils se sont partagé 261 millions d'euros d'honoraires, dont 120 millions pour la seule affaire Executive Life, a révélé à la commission des Finances Jean-Pierre Aubert, président du CDR.
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Jeu 20 Oct - 23:09
Bernard Tapie ne paye pas d’ impôts 19/10/11 | Contribuables, Impots, Magouilles, Politique économique gouvernementale
Bernard Tapie ne paiera pas d’ impôts sur les 250 millions d’euros qu’il a perçus dans l’ affaire Adidas, grâce à l’argent des contribuables.
Christine Lagarde avait pourtant assuré, quand elle était ministre de l’ Economie, que le pactole de Bernard Tapie serait sévèrement raboté par le fisc. Mais c’était sans compter sur les combines de Tapie pour échapper au fisc et à l’ impôt.
A la fin 2010, la quasi-totalité de la fortune de Bernard Tapie, qu’il avait placée dans la société GBT, a été transférée vers une holding belge créée de toutes pièces: GBT Holding ( voir Evasion fiscale de Bernard Tapie à Bruxelles).
Sans cette magouille, Bernard Tapie aurait été obligé un jour ou l’autre de sortir cet argent de sa société française. Il aurait alors été imposé sur la plus-value, en fait sur la totalité de sa toute nouvelle fortune, à un taux atour de 30%. Bernard Tapie aurait ainsi du payer près de 70 millions d’euros d’ impôts.
Heureusement, en Belgique, les plus-values des entreprises échappent à toute imposition. Et le gonflement de GBT Holding, qui est passé d’un modeste capital de 20 000 euros lors de sa création, le 20 octobre 2010, à 215 millions d’euros le 24 décembre suivant. laisse le fisc belge de marbre.
Bernard Tapie a expliqué ce transfert en Belgique par une « grosse opération en Belgique ». Une grosse opération fiscale permettant à Bernard Tapie de ne pas payer 70 millions d’euros d’ impôts.
source: le canard enchainé
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Mer 5 Oct - 11:52
La FRANCE qui rit ( comme la vache ) SE MOQUE DE LA JUSTICE
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Lun 3 Oct - 0:08
LES ELUS FRANCAIS ET LE SYTEME VU PAR LES ETRANGERS
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Lun 12 Sep - 18:23
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Sam 13 Aoû - 8:09
Dette publique et gaspillage argent public : mairie Combien dépense la mairie de Montpellier en frais de réception ? Quel est le montant des dépenses de la mairie de Montpellier en frais de réception ?
Il est difficile d’évaluer combien dépense la mairie de Montpellier en frais de réception car la mairie de Montpellier vote son budget par fonction et non par nature.
On sait néanmoins que budget primitif de la mairie de Montpellier indique une dépense de 2 373 087 euros pour les frais de réception, soit un coût de 9,31 euros par habitant.
Cette dépense de la mairie de Montpellier en frais de réception a baissé de 0,2% entre 2010 et 2011.
source: journaldunet.com
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Lun 25 Juil - 22:44
LA GAUCHE CAVIAR EST TOUJOURS VIVANTE ... attention elle revient
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Sam 23 Juil - 7:27
Combien dépense la mairie de Grenoble en frais de réception ? Quel est le montant des dépenses de la mairie de Grenoble en frais de réception ?
La mairie de Grenoble, comme de nombreuses mairies, a réduit ses dépenses en frais de réception en 2011 de 7,05%.
Néanmoins, le budget alloué par la mairie de Grenoble aux frais de réception reste faramineux. En 2011, la mairie de Grenoble va dépenser 1,64 million d’euros en frais de réception !
Les dépenses de la mairie de Grenoble en frais de réception représentent un coût de 10,36 euros par habitant grenoblois en 2011.
source: journaldunet.com
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: LA FRANCE QUI RIT... Jeu 21 Juil - 8:59
Combien dépense la mairie du Havre en frais de réception ? à la une • dette publique • gaspillage argent public • mairie Combien dépense la mairie du Havre en frais de réception ? Quel est le montant des dépenses de la mairie du Havre en frais de réception ?
La mairie du Havre ne compte pas réduire ses dépenses en frais de réception en 2011. Contrairement à la plupart des grandes villes qui s’emploient à baisser leurs dépenses en frais de réception pour 2011, la mairie du Havre estime quant à elle que cela n’est pas nécessaire…
Le budget de la mairie du Havre pour les frais de réception s’élève donc à 916 748 euros en 2011 ! C’est seulement 3053 euros de moins qu’en 2010; autant dire que la mairie du Havre ne fait aucun effort pour réduire ses dépenses en la matière.
La mairie du Havre a augmenté de 16% le budget accordé pour les fêtes tout en réduisant de 16,9% les frais de réception pure.
Les dépenses de la mairie du Havre en frais de réception vont coûter 4,95 euros par habitant du Havre en 2011.