| | | REGIONALES et DEPARTEMENTALES de 2021 |  |
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ACARIE
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| Sujet: Re: REGIONALES et DEPARTEMENTALES de 2021  Mar 6 Juil - 14:41 | |
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| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: REGIONALES et DEPARTEMENTALES de 2021 Lun 5 Juil - 8:34 | |
|  C’est pour moi la principale leçon à tirer de ces élections départementales et régionales.Les Français qui ont voté sont essentiellement des « notables ». Ils ont voté pour leurs notables de province. Pardon, on ne doit plus dire « province », mais « territoire ».Les « gueux », c’est-à-dire les Gilets jaunes, ne sont pas allés voter, tant ils ne se considèrent pas concernés par des élections qui ne servent strictement à rien. Les départements, les régions, les intercommunalités, les métropoles, tout cela leur est totalement étranger, c’est tellement éloigné de leurs préoccupations quotidiennes.Les « notables en place », les « élites territoriales » savent en revanche parfaitement bien quels beaux fromages représentent tous ces postes d’élus rémunérés.Pour fixer les idées, au plus bas de l’échelle, un conseiller départemental est payé de 1.556 euros bruts à 2.723 euros par mois, un conseiller régional de 2.333 à 2.722 euros. Ce n’est pas si mal comparé au salaire médian français de 1.940 euros pour un travail à temps plein. Il serait intéressant de se pencher sur la réalité du cumul des postes de conseiller municipal, conseiller à la communauté de communes, vice-président de telle ou telle commission, etc…Autant de couches au mille-feuilles, autant d’indemnités à glaner !Autant de copinages, autant aussi, il faut bien le dire, de magouilles et tripatouillages en tous genres pour aller à la soupe.Et même le retour à la transmission héréditaire des postes, comme au bon vieux temps de la IVème république. Je connais une commune dont le papa a été maire et conseiller départemental et dont le fils est devenu maire et conseiller départemental… le plus naturellement du monde grâce à un clientélisme de base. En attendant le petit-fils.Bref, on peut raisonnablement se dire que ce niveau pharaonique d’abstention est une preuve évidente de plus de la confiscation de la démocratie par « les élites », quel que soit leur bord politique.Le « pauvre peuple » a compris que, quoi qu’il fasse, rien ne changera. Alors « il s’en fout » et ne va pas voter.Le « peuple des élites », en revanche a parfaitement compris que la préservation de ses privilèges passait nécessairement par la réélection de celles et ceux qui ont « fait leurs preuves » et assureront le statu quo : finies les aventures !Macron a démontré qu’il était impossible de gérer un pays comme on gère une entreprise (d’ailleurs Macron n’a jamais rien géré). En disant « Essayez-nous, vous verrez de quoi on est capable », Marine Le Pen a fait une erreur stratégique hallucinante !Et retour aux « spécialistes », et donc réélection de tous les sortants !Nous, les « bouseux de province », pardon les citoyens des territoires, les grandes manœuvres politiques nationales, on s’en fout complètement. Dans une France qui devient de plus en plus un archipel de communautés, il est logique qu’un retour à une structure féodale soit souhaité. Au moins son seigneur, on le connaît.Hollande a voulu de grandes régions dont le poids démographique et économique pourrait peser en Europe. Ce faisant, il a récréé une France des duchés ou des baronnies, comme on voudra.Et observons que, devant la faillite de l’Etat centralisé, les régions s’octroient, avec la bénédiction des citoyens, des compétences qui ne sont pas les siennes, mais sont primordiales, comme la sécurité, par exemple. Et ce n’est qu’un début, nécessité fait loi.Girondins contre Jacobins, c’est reparti ! Espérons que la fin de ce nouvel épisode ne sera pas la même.. | |
| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: REGIONALES et DEPARTEMENTALES de 2021 Sam 19 Juin - 7:55 | |
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LA REFORME TERRITORIALE DE 2015 : NECESSAIRE… MAIS BACLEELa réforme territoriale de 2015 de François Hollande visait plusieurs objectifs : 1°) alléger le mille-feuille territorial ;2°) conférer aux régions une taille critique leur permettant de se confronter à la concurrence européenne ; 3°) réaliser des économies de gestion.Quelques années plus tard, la quasi-totalité des experts ainsi que la Cour des comptes s’accordent sur l’échec de cette réforme.1°) La suppression des conseils généraux a été très vite abandonnée. De plus, François Hollande raye d’un trait de plume la réforme Sarkozy qui prévoyait la fusion des conseillers régionaux et des conseillers généraux en conseillers territoriaux.2°) Il s’est développé l’opinion parmi les élites françaises que plus les régions seraient grandes plus elles seraient puissantes, comme s’il y avait un rapport mécanique entre les deux. Or dans bien des cas, une région trop étendue sans cohérence territoriale ni grande métropole dominant l’ensemble du territoire, n’a qu’une illusion de grandeur sur le papier, mais, dans les faits, c’est une «coquille vide».3°) La fusion de deux régions entraine la disparition d’une capitale régionale mais, en compensation, les services administratifs ont souvent été maintenus. Alors que le gouvernement avait annoncé des économies de l’ordre de 10 milliards d’euros «à moyen terme», on observe des surcoûts qui s’élèvent plutôt à 50 millions d’euros annuels –augmentation de la masse salariale (dédoublement des services) et indemnités d’élus (alignement par le haut).TAILLE ET COMPETENCESPour faire de vraies économies, il y a un certain consensus à l’idée de rapprocher départements et régions, mais la fusion ne pourra se faire qu’à une taille raisonnable. Pour certains habitants, ces « superrégions » sont devenues en effet quelque peu artificielles et cela ne constitue donc pas un progrès, comme le montrent certaines de nos régions actuelles.Pour donner plus de poids aux régions, c’est sur les compétences et non la taille qu’il faudrait jouer. Car le vrai problème, c’est que les compétences se chevauchent, ce qui multiplie les coûts de fonctionnement. Si l’Etat transfère des compétences au profit d’une circonscription territoriale dont les frontières paraissent arbitraires à ses habitant, on ouvre la porte à une contestation des décisions futures. La décentralisation fonctionne quand la prise de décision se fait au profit d’un échelon territorial qui parait légitime.HISTOIRE ET TERRITOIRE, LES DEUX MAMELLES DE LA DECENTRALISATION ?Lorsque l’on interroge les Français sur leur sentiment d’identification régionale, ressortent les provinces de l’Ancien Régime plus ou moins retravaillée par l’histoire récente, comme l’a montré le géographe Jacques Levy. C’est une forme d’alliance entre un héritage historique et des particularismes territoriaux bien vivants aujourd’hui.Des territoires intermédiaires, culturellement et économiquement assez homogènes, centrés autour d’une métropole ou d’une grande ville, c’est le bon équilibre entre proximité et efficacité. En regroupant les départements par deux ou trois reviendrait souvent à recréer les provinces de l’Ancien Régime, abolies à la Révolution française, mais pourrait symboliser une égalité républicaine renouvelée entre territoires. Ces anciennes provinces ont souvent gardé une identité culturelle, et parfois une homogénéité économique et géographique assez forte. Cela en fait le bon échelon d’administration déconcentrée et évite que chaque bout de territoire ne tire dans les pattes de l’autre à cause d’intérêts divergents.On prête au Président la volonté de mener ce chantier à bien avant la fin de son quinquennat. Mais pour que cette loi sur les territoires soit réussie, elle doit faire l’objet d’une consultation de la population, car on ne doit pas laisser les «barons locaux» instaurer une carte administrative reposant sur des considérations électoralistes comme en 2015. Il semble tard pour conduire à bien un tel processus qui ne soit pas purement formel, s’il doit déboucher d’ici quelques mois. | |
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| | Sujet: Re: REGIONALES et DEPARTEMENTALES de 2021 Jeu 17 Juin - 19:05 | |
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Régionales : dans les Hauts-de-France, l’équation à quatre inconnuesDimanche, quelque 4,2 millions d’électeurs des Hauts-de-France sont appelés à départager sept listes en lice au premier tour. Favoris, challengers, rapports de force... tour d’horizon des enjeux d’un scrutin local à forte dimension nationale, à 48 h de l’ouverture des bureaux de vote.Sébastien Leroy | Publié le17/06/2021  De g à d. et de haut en bas: Xavier Bertrand, Sébastien Chenu, Eric Pecqueur, Laurent Piétraszewski, Audric Alexandre, José Evrard et Karima Delli.
1 Bertrand – Chenu : mano a mano pour la première place
Les sondages l’annoncent invariablement depuis le début de la campagne : sauf énorme surprise, un duo de tête devrait se détacher assez largement dimanche soir. D’un côté, le président sortant et ancien ministre (DVD) Xavier Bertrand, 56 ans. De l’autre Sébastien Chenu (RN), député du Denaisis et porte-parole du parti de Marine Le Pen.
Tout le suspens réside à la fois dans l’ordre d’arrivée et dans l’écart mesuré entre les deux hommes, qui pourrait donner le ton de la campagne d’entre deux-tours. Xavier Bertrand a été donné légèrement en tête dans toutes les enquêtes d’intention de vote au premier tour depuis le 30 avril, entre 30 et 36 %. Sébastien Chenu lui, est mesuré de 28 à 32 %, en fonction des instituts. Les deux listes se tiennent donc au coude à coude dans la marge d’erreur.
Côté RN on se prend à rêver d’une arrivée en tête coup de tonnerre dimanche soir face à un candidat déclaré à la présidentielle. Dans le camp Bertrand on relativise, et on rappelle que Sébastien Chenu est donné 8 à 10 points derrière le résultat de Marine Le Pen en 2015, quand le Saint-Quentinois progresse de 5 à 10 points. Pour les deux, l’enjeu principal de ce premier tour est donc de mobiliser au maximum leurs électorats afin de creuser l’écart.
2 La gauche mieux qu’en 2015 ?
En faisant l’union dès le premier tour, la gauche régionale, EELV, PS, PCF et LFI ont a priori écarté le spectre d’une nouvelle disparition des écrans radars électoraux et devraient être en mesure de se maintenir pour le second tour, quelle que soit la configuration.
Mais donnée aux alentours de 17 à 22 %, l’union derrière Karima Delli ferait à peine mieux que la seule candidature PS en 2015 (18,12 %) si les prévisions des sondages se vérifient dimanche. Il y a six ans, la gauche « pesait », tout compris, 28,27 %. Un score en deçà de 20 % donnerait en tous cas du grain à moudre à ceux, à gauche et au niveau national, qui estiment que faire l’union à tout prix n’est pas forcément la panacée.
3 LREM en arbitre ?
Sur le papier, il y avait du poids sur cette liste LREM où figurent pas moins de cinq membres du gouvernement, qui ont passé leurs fins de semaine depuis début mai à tâcher de convaincre les électeurs. Mais mesuré de 10 à 13 % depuis fin avril, Laurent Pietraszewski est tout juste au-delà de la barre qualificative, bien loin du score d’Emmanuel Macron au premier tour de 2017 (19,5 %) et même de la liste LREM aux Européennes 2019 (17,95 %).
Reste qu’au-delà de 10 %, la liste LREM serait en mesure de se maintenir dans une quadrangulaire et de rendre le second tour très incertain. Xavier Bertrand ayant fermé à triple tour à une alliance – fut-elle technique – avec les marcheurs, la tentation sera forte de faire monter les enchères d’un retrait, pour gêner le concurrent d’Emmanuel Macron en vue de la présidentielle.
De ce point de vue, le choix des mots prononcés et l’attitude dimanche soir seront intéressants à observer, dans les deux camps. Reste que si le RN opère une poussée nationale dans plusieurs régions, l’Élysée pourra difficilement se permettre une réponse différente en Hauts-de-France, en Grand Est ou en Bourgogne Franche-Comté.
4 Et les « petits » ?
Si l’on en croit les sondages, ni Éric Pecqueur (Lutte ouvrière), ni José Évrard (Debout la France), ni Audric Alexandre (Pace, le Parti des citoyens européens, avec Volt, Allons enfants et Nous citoyens) ne semblent en mesure d’atteindre la barre des 5 % qui pourrait leur permettre de fusionner avec une autre liste.
Le souhaiteraient-ils, d’ailleurs ? Sans doute pas pour Éric Pecqueur.
Pourquoi pas, pour Audric Alexandre qui a montré lors des débats des points de convergence avec la liste de gauche. Hors de question pour José Évrard, ex-FN, qui garde une rancune tenace contre le parti sous la bannière duquel il s’était fait élire député de Lens en 2017.
Poursuivez votre lecture sur ce(s) sujet(s) :Elections régionales|Xavier Bertrand|Laurent Pietraszewski|Karima Delli|Sébastien Chenu|josé évrard|Conseil Régional des Hauts-de-France | |
| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: REGIONALES et DEPARTEMENTALES de 2021 Mer 16 Juin - 9:18 | |
|  Régionales 2021 : faut-il redouter une abstention massive ? PAR JULIEN LÉCUYERjlecuyer@lavoixdunord.fr
Le signal d’alarme est tiré par le directeur de l’IFOP, Frédéric Dabi, qui, dimanche sur France Info, disait craindre que l’abstention atteigne 60 % lors du premier tour des régionales. Le danger est-il réel ? Comment l’expliquer ? Et quelles conséquences cela pourrait-il avoir ? FRANCE.« Dans les projections IFOP-Fiducial, on est environ à 60 % d’abstention. Ce serait un record absolu pour une élection régionale. » Le constat formulé par le directeur général de l’IFOP, Frédéric Dabi, a valeur d’avertissement : le premier tour des régionales, dimanche, pourrait consacrer une fois encore la victoire de l’abstentionnisme.Le RN pourrait ainsi pâtir, comme lors de la présidentielle et des municipales, du désengagement des jeunes. Une fois encore, car l’essor de l’abstentionnisme lors de ce scrutin est une quasi-constante dans le paysage politique français. Si l’on exclut 2015, année des attentats qui avait vu un sursaut démocratique (50,1 % d’abstention), les régionales réunissent de moins en moins d’électeurs. Et cela, alors que les Français plébiscitent l’action des conseils régionaux pour pallier les défaillances de l’État. 22,1 % d’abstention en 1986 (lors d’une élection à un seul tour), 37,9 % en 2004 au premier tour, 53,7 % en 2010…Les estimations pour dimanche n’invitent pas à l’optimisme. Mesurée par l’IFOP-Fiducial, l’abstention aux régionales pourrait s’élever au premier tour à 57 % en PACA, à 59 % en Occitanie. Et à 57 % dans les Hauts-de-France, selon le sondage de l’IFOP-Fiducial pour LCI et Le Figaro (à comparer avec les 45,19 % d’il y a six ans).Comment l’expliquer ? Même si elle influe, la crise sanitaire ne peut justifier la désaffection. Le flou qui entoure les compétences du conseil régional aux yeux des Français, le manque de notoriété des candidats contribuent à les détourner.Mais il faut aussi y voir, selon Frédéric Dabi, « un cycle abstentionniste vieux de trente ans qui s’est accéléré depuis 2017 ». « On est entrés dans une logique de vanité du vote, décrypte-t-il. Voter, ce serait vain, inutile. N’oubliez pas que le lien des Français avec les politiques est performatif. S’ils ne pèsent plus sur leur vie, alors les Français ne se rendent plus aux urnes. Jusqu’alors, c’était très présent chez les jeunes (dont 80 % disent qu’ils n’iront pas voter, selon une étude de l’IFOP) . Désormais, ça se diffuse dans toutes les couches. »PRIME AUX SORTANTS
Si elle atteignait le record de 60 %, l’abstention aurait de réelles conséquences. « Un rapport de forces électorales dans une région, c’est un différentiel de mobilisation entre les électorats », rappelle Frédéric Dabi. Le RN pourrait ainsi pâtir, comme lors de la présidentielle et des municipales, du désengagement des jeunes. Et cela malgré une forte mobilisation de ses sympathisants, par rapport à ceux de la gauche.Comme en 2020, la faible participation pourrait aussi profiter aux sortants. « On le voit avec Xavier Bertrand, qui profite d’un fort potentiel auprès des personnes âgées et des cadres supérieurs », souvent plus mobilisés, indique le directeur de l’IFOP.UN SURSAUT POSSIBLE
Une surprise est-elle encore possible ? Le baromètre politique d’Odoxa pronostiquait en mai un sursaut qui aurait porté entre 54 et 59 % la participation. « Soit la nationalisation de ce scrutin et l’amélioration de la situation sanitaire jouent sur la mobilisation (comme aux européennes de 2019), analyse Erwan Lestrohan, d’Odoxa. Soit le manque de connaissance des prérogatives régionales/départementales, des candidats en lice et des enjeux du scrutin désactivent la nécessité de témoigner d’une préférence électorale pour les votants moins réguliers. »« Une dramatisation du scrutin, portée par des thèmes nationaux et des candidats en tour de chauffe pour la présidentielle, pourrait électriser la campagne. Mais de là à inverser la vapeur, ce serait une grande surprise », tempère Frédéric Dabi.. | |
| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: REGIONALES et DEPARTEMENTALES de 2021 Jeu 10 Juin - 8:07 | |
| REGIONALES HAUTS DE FRANCE 
La grande confrontation : un « combat de coqs », mais du fond aussi PAR LAURENT DECOTTE ldecotte@lavoixdunord.fr Porteur d’un bilan, Xavier Bertrand a été la cible principale des attaques des autres candidats. PHOTO STÉPHANE MORTAGNeLe grand débat des régionales en Hauts-de-France sur LCI en partenariat avec Le Figaro, RTL et le groupe Rossel - La Voix a été le théâtre d’un vif échange entre les deux favoris, le sortant Xavier Bertrand et le RN Sébastien Chenu. Mais les sept candidats ont aussi pu développer idées et propositions. HAUTS-DE-FRANCE.On aura beaucoup parlé d’environnement au cours de ces 2h30 de débat, mais aussi emploi, transport. Sécurité aussi. Il est 21 h 57, Xavier Bertrand et Sébastien Chenu se sont tournés l’un vers l’autre et échangent les coups. « Vous vouliez être à portée d’engueulade, elle arrive », attaque le candidat RN. « Pas la peine de devenir haineux » (…), « Calmez-vous » (…), « Vous ressemblez à Emmanuel Macron quand vous êtes ainsi arrogant ». Et l’uppercut dont chacun jugera s’il est ou non régulier : « Vous étiez à mes quarante ans, on se connaît bien. »Sébastien Chenu provoque. Xavier Bertrand fulmine : « Il ment », « mensonges », répète-t-il. Pas sur les 40 ans, mais sur le fond. « Je sais pourquoi je vous combats (…) Les gens qui exploitent le malheur des autres, les gens qui mentent car ils n’ont pas de projet. Je me battrai jusqu’au bout contre vous. »« ARNAQUE DU RÉCHAUFFEMENT »L’ironie du sort est que l’échange porte sur les éoliennes où il y a consensus entre les deux hommes. Ils sont tous deux vent debout contre ces pâles géantes.« Je les entends se chamailler, j’en ai un peu marre », se désole le benjamin du plateau, Audric Alexandre (PACE, Allons enfants, Volt).« Un combat de coqs » (…) « On dirait deux dinosaures qui attendent la météorite », réagit la candidate de l’union de la gauche et des écologistes, Karima Delli, au sujet de leur position anti-éoliennes et pro EPR. Plus tôt dans la soirée : « Je suis la seule écologiste sur ce plateau où il y a beaucoup de messieurs qui nient le dérèglement climatique. » José Evrard de Debout la France parlera carrément d’« arnaque du réchauffement climatique ». En voilà une « fake news » avérée.Face à Karima Delli qui le critique vertement sur sa politique environnementale et sa vision pro-chasse, Xavier Bertrand emprunte à une vieille formule : « J’ai des enfants, je sais quels sont les enjeux environnement-santé. Vous n’avez pas le monopole. »On aura beaucoup parlé d’environnement au cours de ces 2 h 30 de débat, mais aussi emploi, transport. Sécurité, aussi, qui n’est pourtant pas une compétence de la Région. En tant que sortant, Xavier Bertrand est à la convergence des attaques. Sur le bilan économique, Sébastien Chenu lui reproche d’avoir échoué, le sortant met en avant ses réussites et en particulier l’arrivée de deux usines de batteries automobiles. Karima Delli propose 100 000 emplois verts.MAINTIEN OU RETRAIT ?Sur le transport, Sébastien Chenu reproche à Xavier Bertrand de ne pas avoir fait le RER Lille - bassin minier, qui lui rétorque que c’est désormais une priorité. Karima Delli veut le train gratuit pour les moins de 26 ans.Tentant d’exister dans ce « duel plus une », le candidat LREM Laurent Pietraszewski a su rappeler qu’il avait une priorité, celle de la jeunesse. David Pujadas lui a naturellement posé la question que tout le monde se pose : se retirera-t-il le 20 juin au soir s’il arrive quatrième ainsi que le prédisent les sondages ? Il n’a pas clairement répondu.++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++Claire Lefebvre  prev LE CLASH« Vous étiez même à mes 40 ans ! », rappelle Sébastien Chenu à Xavier Bertrand.Le duel attendu a bien eu lieu. Les deux candidats se connaissent bien : tous deux originaires de Picardie, ils ont milité ensemble à l’UMP…LE FACT-CHECKINGÀ propos d’éolien, Xavier Bertrand et Sébastien Chenu sont contre. « Le vent tourne pour le RN », lance le premier au second, assurant que la ville d’Hénin-Beaumont aurait vendu des terrains pour y construire des éoliennes. C’est vrai. En septembre 2015, la municipalité avait cédé des parcelles de Douilly (Somme), dont elle était propriétaire, à Nordex, leader de la construction d’éoliennes.LA PUNCHLINE« Ce n’est pas grave si vous perdez, la Région s’en remettra. » De Sébastien Chenu à Xavier Bertrand.IL L’A DIT« Oui je suis pro-voiture et je l’assume, car moi je n’oublie pas ceux qui travaillent. » De Xavier Bertrand, président sortant des Hauts-de-France où près de 75 % des habitants privilégient encore largement la voiture pour se rendre au travail…LA MINUTE METOO« Quand je vous entends, on dirait deux dinosaures qui attendent la météorite », lance Karima Delli, seule femme parmi les sept candidats, lorsque le débat tourne au duel entre Sébastien Chenu et Xavier Bertrand.LE POLAROIDChaque candidat a montré une photo pour se présenter. Xavier Bertrand (DVD UDI LR) a choisi le parc de Saint-Quentin où il vit. Karima Delli (union de la gauche, écologistes) montre le train qu’elle prend tous les jours. Alexandre Audric (PACE, Nous citoyens) est à vélo devant la mairie de Calais. Laurent Pietraszewski (LREM) a choisi un concert de Julien Doré à l’Espace Flandres d’Hazebrouck et Éric Pecqueur (LO) la grève de Toyota à Onnaing en 2009 où il était leader CGT. Sébastien Chenu (RN) exhibe une photo sépia de ses parents et lui. Léger malaise lorsque José Evrard (Debout la France) présente une photo de son chien, symbole à ses yeux de son « empathie avec les gens ».L’INVITÉ SURPRISEC’est Gérald Darmanin, « ministre de l’Intérieur du Nord » qu’à la toute fin du débat, Laurent Pietraszewski se dit « fier » d’avoir sur sa liste alors qu’il est assis à côté de Xavier Bertrand, dont on connaît la proximité avec l’ancien maire de Tourcoing…+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++PETIT RAPPEL DES SONDAGES AVANT LE DEBAT  https://fr.wikipedia.org/wiki/Xavier_Bertrand
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jos%C3%A9_%C3%89vrard
https://fr.wikipedia.org/wiki/S%C3%A9bastien_Chenu
 https://fr.wikipedia.org/wiki/Karima_Dellihttps://fr.wikipedia.org/wiki/Laurent_Pietraszewski. | |
| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: REGIONALES et DEPARTEMENTALES de 2021 Sam 22 Mai - 7:43 | |
| Qui sont les candidats locaux sur la liste de Xavier Bertrand pour les élections régionales ? RU. MU. Simon Jombart, Hakim Elazouzi, Amel Gacquerre et Pierre-Emmanuel Gibson épaulaient déjà Natacha Bouchart (2e g.) et Xavier Bertrand lors des régionales 2015.prevn BÉTHUNOIS - BRUAYSIS.Xavier Bertrand, qui brigue sa propre succession à la tête des Hauts-de-France, a présenté ce vendredi les candidats issus du Béthunois et du Bruaysis de sa liste aux régionales « Se battre pour vous ! ». Sept d’entre eux figurent parmi les 44 noms de la liste du Pas-de-Calais.Si la tête de liste échoit à une Calaisienne, la maire Natacha Bouchart, l’ouest du bassin minier est représenté dès la troisième place. Il s’agit d’Amel Gacquerre, adjointe au maire de Béthune, chargée de l’aménagement urbain et de l’environnement. Derrière elle, on trouve deux autres adjoints béthunois, Hakim Elazouzi (cohésion sociale) en 16 e position et Pierre-Emmanuel Gibson (premier adjoint, finances, travaux) à la 26 e place. Simon Jombart, premier adjoint au maire d’Hinges, est 12 e sur la liste. Ces quatre-là ont un air de déjà-vu : ils étaient déjà candidats en 2015 sur la liste de Xavier Bertrand. Amel Gacquerre, Hakim Elazouzi et Simon Jombart sont d’ailleurs conseillers régionaux sortants.Les trois autres découvrent la politique à l’échelon régional. Cathy Desfontaines, aide-soignante à Lapugnoy, pointe en 25 e position. Suivent Jacques Hurlus, maire de Lestrem et président de la communauté de communes Flandre Lys, en 34 e position, et Philibert Berrier, maire d’Auchel et vice-président de la communauté d’agglomération Béthune-Bruay, à la 36 e place.. | |
| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: REGIONALES et DEPARTEMENTALES de 2021 Ven 21 Mai - 9:08 | |
| Un candidat de la liste de Najat Vallaud-Belkacem aux régionales qui “fantasmait” de voir des policiers brûler, suspendu in extremisDans un commentaire posté l’année dernière sur Facebook, un candidat de la liste l’Alternative de Najat Vallaud-Belkacem en Auvergne-Rhône-Alpes, exprimait sa haine envers les forces de police. L’équipe de l’ex-ministre tente d’éteindre toute polémique en affirmant avoir suspendu le colistier après avoir pris connaissance du message, supprimé mercredi.Par Amaury Bucco, Sébastien LignierPublié le 20 mai 2021 à 18h00 Mis à jour le 21 mai 2021 à 7h37 Najat Vallaud-Belkacem, à l’origine de la liste du Parti socialiste (PS) pour les élections régionales en Auvergne-Rhône-Alpes, lors de la présentation des têtes de liste de sa liste le 17 mai 2021. Photo :copyright:Bony/SIPA« C’est normal si je fantasme de plus en plus sur des flics qui brûlent ? », se demande le jeune Nathan Abou. En réponse, une de ses amies, une certaine “Niklap Alice” (rapport à Nique la police) comme elle se fait appeler – invite son « camarade » à rejoindre « la lutte », et lui offre une image glaçante, à la hauteur de son « fantasme » : trois CRS en train de bruler à la suite d’un jet d’un cocktail Molotov dans le cadre des manifestations du 1er mai en 2017 à Paris. Un échange d’amabilité qui a en réalité pris place, sous les yeux de tous, sur Facebook en avril 2019. Problème : Nathan Abou n’est pas qu’un simple étudiant en droit à la Sorbonne. Secrétaire national du Mouvement des jeunes socialistes (MJS), il est choisi en mars dernier par Najat Vallaud-Belkacem pour figurer sur sa liste L’Alternative aux élections régionales en Auvergne-Rhône-Alpes.Ce sont les policiers qui, les premiers, ont sonné l’alerte. Dans les boucles de messagerie des forces de l’ordre, l’appel explicite à la haine est relayé des dizaines de fois. Il finit logiquement par arriver dans les mains des syndicats. . | |
| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: REGIONALES et DEPARTEMENTALES de 2021 Ven 21 Mai - 7:44 | |
| Elections régionales Hauts de France  Combien les présidents de Région gagnent-ils vraiment ? Béatrice QUINTIN BÉATRICE QUINTINprev« Pas étonnant qu’il y en ait autant qui veuillent devenir président et conseillers de la Région, vu le salaire que ça gagne », nous écrit Ama, via Facebook.D’abord, il s’agit non pas de salaire mais d’indemnités. Ensuite, le montant présenté est un plafond maximal. Le montant maximal des sommes pouvant ainsi être perçues par les conseillers régionaux et départementaux et les présidents de Département et de Région est défini par décret, il dépend du nombre d’habitants de la région où ils sont élus.CONSEILLERS DÉPARTEMENTAUX…
En ce qui concerne les indemnités brut mensuelles versées aux conseillers départementaux, la note d’information du 9 janvier 2019 relative aux montants maximaux brut mensuels des indemnités de fonction des titulaires de mandats locaux indique que dans le Nord (2 588 988 habitants au 1 er janvier 2020) comme dans le Pas-de-Calais (1 466 743 habitants), le montant est de 2 722,58 euros. Quelle que soit la taille du département, le président du conseil départemental reçoit au maximum 5 639,63 euros. Dans certains départements, les présidents du conseil départemental ont droit à un logement et/ou une voiture de fonction.… ET RÉGIONAUX
Du côté de la Région, les indemnités de fonction brut annuelles des conseillers régionaux varient aussi selon la population et ont aussi des plafonds maximaux. Dans une région comme les Hauts-de-France, où le nombre d’habitants dépasse 5 millions, (5 962 700 habitants précisément pour les Hauts-de-France au 1 er janvier 2020), l’indemnité brut est fixée à 2 722,58 euros. Lorsqu’ils appartiennent à la commission permanente, ces indemnités sont majorées de 10 %.Les vice-présidents de conseil régional peuvent gagner jusqu’à 3 810 € mensuels. Enfin, quelle que soit la taille de la région, le président du conseil régional touche aussi 5 639,63 €. Ils ont, eux aussi, pour la plupart logement et voiture de fonction.ET S’ILS CUMULENT LES MANDATS ?
Ces indemnités, justement parce qu’il ne s’agit pas d’un salaire, sont cumulables avec une allocation chômage, une pension de retraite ou d’autres indemnités, et l’élu peut cumuler plusieurs mandats. Mais les conseillers régionaux et départementaux ayant plusieurs mandats électoraux voient le montant total de rémunération et d’indemnités perçues plafonné : ce montant ne peut dépasser 8 434,85 € mensuels, ce qui correspond à 1,5 fois l’indemnité parlementaire de base, déduction faite des cotisations sociales obligatoires..Le montant est défini par décret et il dépend du nombre d’habitants de la région où ils sont élus. . | |
| | | | ACARIE
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| | | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: REGIONALES et DEPARTEMENTALES de 2021 Jeu 13 Mai - 7:39 | |
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| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: REGIONALES et DEPARTEMENTALES de 2021 Lun 26 Avr - 7:51 | |
| Elections Départementales Les élections départementales sont organisées pour élire les conseillers départementaux. Elles ont remplacé les élections cantonales depuis la la loi n° 2013-403 du 17 mai 2013(nouvellefenêtre) relative à l’élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires.Les électeurs sont convoqués le 20 juin 2021 pour le renouvellement des conseils départementaux, des conseils régionaux, de l'assemblée de Corse et des assemblées de Guyane et de Martinique. S'il y a lieu, un second tour sera organisé le 27 juin 2021.
[size=30]  [/size]   ON l’oublie souvent, mais les Départements sont des collectivités « poids lourds ». Avec près de 5 milliards d’euros à elles deux, elles pèsent par exemple davantage que tout le budget du conseil régional des Hauts-de-France (3,1 milliards d’euros), en raison surtout du montant des allocations de solidarité qu’elles gèrent (le RSA, la prestation de compensation du handicap ou l’allocation personnalisée d’autonomie) pour plus de 2 milliards d’euros. Le paiement du RSA à lui seul représente 700 millions d’euros annuels dans le Nord, 377 millions dans le Pas-de-Calais, pour un total d’environ 155 000 foyers bénéficiaires. Naturellement, de par leur rôle d’amortisseur social, les finances des Départements sont fortement soumises aux aléas économiques et sanitaires, ces derniers mois. Côté recettes, le Département pouvait compter jusqu’à l’an dernier sur la taxe foncière et jouer sur le taux. Cette époque est révolue, celle-ci ayant été renvoyée totalement aux communes dans le cadre de la compensation de la suppression de la taxe d’habitation. Les finances départementales reposent donc désormais sur des dotations d’État, une part de TVA, mais aussi sur les droits de mutation à titre onéreux, une taxe perçue à chaque transaction immobilière.Mais outre son rôle de chef de file des politiques sociales, le conseil départemental a conservé de multiples compétences, même s’il en a perdu à la faveur de la loi Notre en 2015 comme le transport scolaire, passé à la Région. Les Départements s’occupent ainsi des EHPAD, des bâtiments des collèges, de bibliothèques et des archives départementales, la voirie départementale (plus de 10 000 km sur le Nord - Pas-de-Calais !), mais sont aussi les employeurs des assistantes familiales et la collectivité de tutelle des « nounous » agréés. Enfin, les Départements conservent une compétence culturelle (musées de Cassel, Musverre…) et environnementale à travers la gestion des espaces naturels sensibles. | |
| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: REGIONALES et DEPARTEMENTALES de 2021 Ven 19 Mar - 10:08 | |
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| | Sujet: Re: REGIONALES et DEPARTEMENTALES de 2021 Ven 19 Mar - 9:41 | |
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| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: REGIONALES et DEPARTEMENTALES de 2021 Mer 17 Mar - 8:47 | |
|      ********************************************************************************************************************************* CANTON DE BEUVRY : RAYMOND GACQUÈRE DISQUALIFIÉ ?
[size=18]
[/size] CANTON DE BEUVRY
[ltr]À l'issue du 1er tour des élections départementales de 2015, deux binômes sont en ballotage : Josiane Artisien et Jean-Michel Desmadrille (FN, 32,48 %) et Raymond Gaquère et Emmanuelle Leveugle (PS, 25,56 %). Le taux de participation est de 53,57 % (16 865 votants sur 31 480 inscrits). Au second tour, Raymond Gaquère et Emmanuelle Leveugle (PS) sont élus avec 55,63 % des suffrages exprimés et un taux de participation de 53,66 % (8 488 voix pour 16 891 votants et 31 480 inscrits).[/ltr]
[ltr]Difficile de produire un bilan du binôme sortant, nous dirons des plus timides... Mais soyez rassurés les services départementaux produiront, le moment venu, une liste à la Prévert de leurs soi-disant réalisation (sic !).[/ltr]
[ltr]Par contre le ralliement du maire de Lacouture au président départemental de l'UDI, maire de Béthune, lors de l'élection à la présidence de l'agglo Béthune-Bruay, contre le maire socialiste de Verquin va laisser des traces .[/ltr]
[ltr] Une trahison pour de nombreux électeurs de gauche pour qui Raymond Gacquère est totalement disqualifié pour la représenter à cette élection des cantonales en juin 2021[/ltr]
[ltr]Ce qui suscite inévitablement des vocations.[/ltr] [ltr]CANDIDAT À LA CANDIDATURE[/ltr]
MARCEL TROLLÉ CANDIDAT À L'INVESTITURE
[ltr]Le premier à dégainer est un routier expérimenté de la politique locale de 74 ans, mais en pleine forme ! Il s'agit de Marcel Trollé, qui veut de nouveau "rentrer dans l'arène". Pour lui, disqualifié le maire de Lacouture ne se représentera pas. Ce serait la voie de la sagesse pour ce dernier...[/ltr]
[ltr]Aussi, notre natif de Lacouture, qui à déjà été candidat en 1979 dans l'ex-canton de Béthune-sud (UDF) et en 2011, toujours dans le même canton, mais sans étiquette, est aujourd'hui candidat à l'investiture des Républicains.[/ltr]
[ltr]Marcel Trollé a déjà une idée très précise de son binôme féminin potentiel, au nom éminemment connue dans la cité de Buridan, mais attend discipliné la décision de son parti.[/ltr]
[ltr]Il se retirera sans état d'âme face à un tandem "les Républicains pur sucre", mais non devant des alliances avec l'UDI du maire de Béthune et encore moins avec La République En Marche. [/ltr]
[ltr]Dans son collimateur le couple éventuel hingeois formé du maire (En Marche) et de son premier adjoint (Les Républicains).[/ltr]
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| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: REGIONALES et DEPARTEMENTALES de 2021 Dim 14 Mar - 9:31 | |
| Bon article de JM BRETONNIER DANS LA VOIX DU NORD  LE DÉBAT DU JOUR DES GAUCHES TOUJOURS IRRÉCONCILIABLES PAR JEAN-MICHEL BRETONNIER jmbretonnier@lavoixdunord.fr Pour s’unir, il faut à la gauche un espoir commun, un soutien populaire, un dynamisme et un leader. Il lui manque les quatre. Si les gauches se sont rassemblées dans les Hauts-de-France pour constituer une liste aux élections régionales, elles ne sont pas pour autant redevenues réconciliables dans la perspective de la présidentielle. L’union sera déjà un rude combat dans la région, on n’imagine même pas ses prémices au niveau national. La social-démocratie, le social-populisme, l’écologie de combat et le communisme nostalgique ont des positions qui paraissent incompatibles sur l’Europe, les institutions, l’économie de marché, l’intégration, la transition écologique.Pourtant, dans les années soixante-dix et quatre-vingt, le petit Parti radical de gauche, le tout nouveau Parti socialiste et le vieux Parti communiste avaient fini par surmonter leurs abyssales divergences politiques et idéologiques. L’union de la gauche connut des crises, notamment la rupture du programme commun en 1977, mais les alliances électorales perdurèrent. Ce qui était possible alors ne l’est plus. L’alternance était à venir. C’était un réel espoir pour ce qu’on appelait à l’époque le peuple de gauche.L’alternance a déçu. L’espérance a disparu. Le peuple de gauche s’est dissous. Nombre d’électeurs de ce qu’on appelait jadis les classes laborieuses attendent aujourd’hui la solution de l’extrême droite ou bien se réfugient dans l’abstention. Or, l’union des faiblesses ne fait pas une force. Le total des voix de gauche est aujourd’hui historiquement bas et insuffisant pour garantir la présence d’un candidat unique au second tour. Et lequel ? Seuls les Insoumis sont en rangs serrés derrière leur leader.Mais Jean-Luc Mélenchon a trop dérivé hors des eaux connues de la gauche pour espérer la réunir et l’emmener. Comme s’il renonçait à reconstruire une alternative à partir de ce camp. Difficile de fédérer des forces de gauche quand on ne sait plus ce qu’est la gauche. | |
| | | | Point 5G
Invité
| | Sujet: Re: REGIONALES et DEPARTEMENTALES de 2021 Jeu 11 Mar - 17:03 | |
| L'ECOLOGIE C'EST TRES BIEN MAIS IL FAUDRAIT QUE LES ECOLOS QUI PRÊCHENT L'ECOLOGIE REFLECHISSENT AVANT DE TOUT SUPRIMER !Voir ci-dessous l'exemple du 7 janvier 2021Voici les moyens de production d'électricité jeudi matin , 7 janvier 2021 à 7h45 Solaire 0 % Eolien 931 Mégawatts, 1% Hydraulique 11415 Mégawatts, 11% Nucléaire 51673 Mégawatts, 68% Fioul-charbon-gaz 11052 Mégawatts, 14% Bioénergies 893 Mégawatts, 1% Import 7475 Mégawatt, 5% essentiellement d’Allemagne, donc du charbon !Pour une consommation totale de 83424 MW, pic prévu le même soir à 19h avec 87300 MW.et toujours 6 milliards de subvention par an alloués aux énergies intermittentes (éolien, solaire)payés par tous les consommateurs sur leur facture d’électricité au travers de la CSPE ! On n'a pas assez de production mais on continue à arrêter des centrales nucléaires et il faut acheter des voitures électriques et le plus beau, bientôt le chauffage au gaz ou au fioul sera interdit dans les constructions neuves. Remplacés par quoi. Devinez ! De la bonne électricité allemande polluante CAR AU CHARBON payée au prix fort !!!!!Qu'en pensent les "gentils écologistes" ? virons les en MAI 2022 
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| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: REGIONALES et DEPARTEMENTALES de 2021 Jeu 11 Mar - 9:37 | |
|  Régionales : le PS en bonne voie pour rallier EELV et les Insoumis et se ranger derrière Karima Delli LAURENT DECOTTELAURENT DECOTTE Patrick Kanner devrait se ranger derrière Karima Delli. photo pib HAUTS-DE-FRANCE.Officiellement, « les discussions se poursuivent », mais de sources concordantes, le PS est sur le point de rejoindre l’accord EELV-Insoumis : le sénateur socialiste Patrick Kanner aurait accepté de se ranger derrière la députée européenne EELV, Karima Delli.La perspective de voir se constituer une liste d’union de la gauche derrière l’écologiste apparaît même sérieuse. « C’est fait à 95 % » , avance un responsable socialiste. « Je ne vois pas comment ça peut ne pas se faire », poursuit un cadre Insoumis.ET LES COMMUNISTES ?
Des déclarations hors micro qui visent aussi à faire pression sur le PCF, qui n’aurait pas encore dit oui. « Ça avance », concède néanmoins Fabien Roussel, secrétaire national du parti et chef de file pour les régionales en Hauts-de-France. « On a encore des questions de programmes à discuter. Mais dans tous les cas, nous devrons nous retourner vers nos adhérents qui doivent voter pour ou contre. Ils auront le dernier mot. » Taclant au passage ses putatifs futurs alliés : « Chez nous, ce n’est pas le chef (allusion à Jean-Luc Mélenchon), ni un bureau national ( confer le PS), ni un collectif riquiqui (EELV) qui décide, mais bien les adhérent(e)s. »Certes, il se dit « pour l’union la plus large », mais Fabien Roussel a peu goûté la manœuvre des Insoumis pour qu’il n’en prenne pas la tête.Si union il y a bien, ce serait un réel changement comparé à 2015 où les mêmes avaient présenté trois listes. Cela offre plus de chances, mais le chef de file des Insoumis, Ugo Bernalicis, relève que d’après le sondage de novembre, l’addition des listes de gauche (testées séparément) ne fait « que » 26 %. Soit trois points de moins que la liste RN de Sébastien Chenu et sept de moins que Xavier Bertrand. « Il va falloir qu’on sache créer une réelle dynamique ».++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++SOUVENIR
Avec Hélène Flautre députée européenne, Marie-Christine Blandin, ancienne présidente de region 59/62 et Karima Delli actuellement députée européenne
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| | | | ACARIE
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| | Sujet: Re: REGIONALES et DEPARTEMENTALES de 2021 Mar 24 Nov - 16:12 | |
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INFOS TERRESDUNORD
- Xavier Bertrand farori dans les Hauts-de-France pour les régionales 2021. MAIS !
[ltr]· [/ltr] [ltr]D'après un sondage Ifop pour Europe 1 et La Tribune mené dans les Hauts-de-France, une liste de la majorité régionale emmenée par Xavier Bertrand remporterait l'élection prévue en mars 2021. Dans tous les scénarios soumis aux Français, l'actuel président du conseil régional arrive en tête. [/ltr]
[ltr]La continuité plutôt que la nouveauté. Selon un sondage Ifop pour Europe 1 et La Tribune publié mardi, la majorité en place dans les Hauts-de-France est préférée par les Français pour les régionales qui doivent se tenir en mars 2021. Quel que soit le scénario proposé par l'institut de sondage, [/ltr]
[ltr]"Une liste de la majorité régionale soutenue par Les Républicains, UDI, MoDem et conduite par Xavier Bertrand" est systématiquement en tête des intentions de vote. [/ltr] [ltr]33% ou 34% au premier tour en fonction d'une alliance PS-EELV[/ltr]
[ltr]Ainsi, au premier tour, dans le cas d'une "offre politique éclatée", la liste de l'actuelle majorité régionale cumule 33% des suffrages, à quelques longueurs seulement d'une liste RN conduite par Sébastien Chenu (29%). [/ltr] [ltr]Mais passé ces deux listes, aucune autre n'atteint les 10% d'intentions de vote. Les hypothétiques listes LREM conduite par Laurent Pietraszewski (1) et EELV sont à 9%, le PS avec Patrick Kanner à 8%, et 3,5% pour une liste Parti Communiste conduite par Fabien Roussel ou 5,5% pour La France Insoumise et Ugo Bernalicis. Dur pour une région à la tradition ouvrière fortement ancrée.[/ltr]  TÊTE DE LISTE D'UNE GAUCHE RASSEMBLÉE ? [ltr]Un score est très décevant aussi pour une liste La République en Marche qui la réduit au rôle secondaire d'arbitre...[/ltr]
[ltr]Ces intentions de vote sont sensiblement les mêmes si une alliance PS-EELV se noue pour tenter de conquérir la région. La liste conduite par Xavier Bertrand gagne même un point, à 34%, tandis que le RN se maintient. Quant à une liste commune PS-EELV, elle pourrait convaincre 15% de l'électorat régional. [/ltr]
[ltr]LA RÉPUBLIQUE EN MARCHE COMME ARBITE[/ltr]
[ltr]Pour le second tour de l'élection, une fois de plus, les positions se maintiennent entre les différentes listes. Dans l'hypothèse d'une quadrangulaire impliquant LREM, une liste de la majorité régionale conduite par Xavier Bertrand emporterait 37% des suffrages, devant le RN (33%), le PS-EELV (21%). Quant au parti du président de la République, il obtiendrait 9% des voix. [/ltr]
 Sébastien Chenu et Marine Le Pen [ltr]Si LREM n'atteint pas le second tour des régionales dans les Hauts-de-France, Xavier Bertrand et sa liste domineraient toujours dans les urnes, avec 42% des voix. La liste RN emmenée par Sébastien Chenu obtiendrait 34% des voix, loin devant une alliance PS-EELV (24%). [/ltr]
[ltr]D'autant plus que la marge d'erreur de ce sondage est comprise entre 1,4 et 3,3 points ! [/ltr]
[ltr]L’enquête a été menée auprès d’un échantillon de 910 personnes inscrites sur les listes électorales, extrait d’un échantillon de 1 001 personnes, représentatif de la population des Hauts-de-France âgée de 18 ans et plus. [/ltr]
[ltr]LE DILEM DU MODEM[/ltr]
 F Bayrou et M Deprez Député Miden-En Marche (?) [ltr]Certains députés MODEM ont été élus grâce à leur investiture par la République En Marche et de la dynamique de l'élection présidentielle. C'est le cas notamment de Marguerite Deprez-Audebert. [/ltr]
[ltr]"En Marche" pour les législatives, puis de plus en plus Modem, et toujours conseillère régionale dans la majorité du président actuel, futur rival d'Emmanuel Macron, à l'élection présidentielle de 2022. [/ltr]
[ltr](1) Secrétaire d’État auprès de la ministre du Travail, de l'Emploi et de l'Insertion, chargé des Retraites et de la Santé au travail[/ltr]
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| | Sujet: REGIONALES et DEPARTEMENTALES de 2021 Mer 23 Sep - 18:30 | |
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INFOS TERRESDUNORD
OPÉRATION NEUTRALISATION DE XAVIER BERTRAND !
[ltr]LREM entend "neutraliser" Xavier Bertrand dès les élections régionales en mobilisant plusieurs ministres. Une opération qui risque d'avoir des répercussions sur la majorité municipale béthunoise.[/ltr]
[ltr]L'actuel président de la région Hauts-de-France visera l'Elysée en 2022. Pour lui faire barrage, La République en marche mobilisera au moins cinq ministres dès les élections régionales. [/ltr]
 [ltr]OLIVIER GACQUERRE ET XAVIER BERTAND COMPLICEs CONTRE LE GOUVERNEMENT[/ltr]
[ltr]Jusqu'où ira l'agacement d'Emmanuel Macron contre Xavier Bertrand ? Selon les informations de franceinfo mardi 22 septembre, La République en marche entend lancer une "opération commando" contre Xavier Bertrand, qui ne cache plus ses ambitions présidentielles. Objectif : "neutraliser" l'actuel président des Hauts-de-France dès les élections régionales de mars 2021.[/ltr] [ltr]Le parti présidentiel envisage ainsi de lancer contre Xavier Bertrand plusieurs ministres enracinés dans la région. Au moins cinq d'entre eux sont cités pour faire partie de l'équipe : Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique et numéro 2 du gouvernement, Eric Dupond-Moretti, le garde des Sceaux, les ministres Brigitte Bourguignon (Autonomie) et Alain Griset (PME), ainsi que le secrétaire d'état chargé des Retraites, Laurent Pietraszewski.[/ltr]
[ltr]Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin, en revanche, ne veut pas en être. "Mais si tous les autres sont sur la liste, ce sera une belle affiche", se réjouit déjà un partisan de la "neutralisation".[/ltr]
[ltr]L'opération est toutefois risquée : si Xavier Bertrand perd aux régionales, il sera éliminé de la course pour 2022, s'il gagne, il sera renforcé et le gouvernement humilié. Mais "le risque mérite d'être évalué", estime un ministre.[/ltr] [ltr]CONSÉQUENCE À BETHUNE ?[/ltr]
[ltr]La majorité municipale est constituée d'un aéropage qui cherche en vain à masquer ses origines partisanes. Nous y trouvons les Républicains avec le docile mouton Pierre-Emmanuel Gibson. Qui s'est fait tondre électoralement la laine de son électorat pour le maire actuel contre une assiette de lentilles, le hochet de la présidence du Sivom du Béthunois, et la promesse d'être leur candidat à la députation?[/ltr]
[ltr]L'UDI bien sur dont Olivier Gacquerre est le président départemental, mais aussi le Modem qui se revendique localement (se sont les mêmes En Marche). Une double casquette pour un même individu...[/ltr]
 La députée Desprez et El Azouzi, président du CCAS béthunois [ltr]Marguerite Desprez député Modem de la 9 eme circonscription est dans la majorité au Conseil Régional autour de Xavier Bertrand, comme l'épouse du maire de Béthune , ou le président du CCAS Hakim el Azouzi[/ltr]
[ltr]Les régionales vont permettre enfin une saine clarification et les vrais Marcheurs béthunois retrouver leur marge d'action...[/ltr] L’email a bien été copié
Dernière édition par Admin le Jeu 13 Mai - 7:34, édité 1 fois | |
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