| | LE STADE DE LILLE | |
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PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
| Sujet: Re: LE STADE DE LILLE Jeu 6 Avr - 10:14 | |
| LA VOIX DU NORD Région | |
| | | PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
| Sujet: Re: LE STADE DE LILLE Mar 4 Avr - 0:30 | |
| Le président de la MEL en garde à vue dans l’affaire du Grand Stade PAR BENJAMIN DUTHOIT, JULIEN LÉCUYER ET LAURENT WATIEZregion@lavoixdunord.frPour Damien Castelain et les quatre autres mis en cause, la garde à vue pourrait se prolonger jusqu’à demain matin et déboucher sur une ou plusieurs mises en examen. PHOTO archives éDOUARD BRIDEDamien Castelain, le successeur de Martine Aubry à la tête de la Métropole européenne de Lille, est entendu avec quatre autres personnes, dont Henri Ségard, l’ancien maire de Comines. Des interrogatoires liés à l’enquête sur l’attribution du Grand Stade au constructeur Eiffage. <> MÉTROPOLE LILLOISE.Alors, corruption ou pas? Les enquêteurs se donnent le temps pour poser toutes les questions. Depuis hier matin, Damien Castelain, maire de Péronne-en-Mélantois mais surtout président de la Métropole européenne de Lille (ex-communauté urbaine), est en garde à vue dans les locaux de la PJ à Lille. Quatre autres personnes sont également entendues sous le même régime : Henri Ségard, ancien élu communautaire, Alain Létard, ancien cadre d’Eiffage, et Jean-Luc Vergin, ex-directeur régional d’Eiffage Travaux publics. L’identité de la quatrième n’était, hier soir, pas connue.C’est tout sauf une surprise pour le président sans étiquette de la MEL qui s’attendait à cette convocation, « continuité normale de la procédure », selon son entourage. Les auditions pourraient se poursuivre jusqu’à demain. Une situation inédite, et qui pourrait témoigner de l’importance des faits reprochés. Il faut en effet rappeler qu’une garde à vue de quarante-huit heures ne peut être décidée que si l’infraction visée est punie d’au moins un an de prison. Elle devrait déboucher sur une ou plusieurs mises en examen.QUE LEUR REPROCHE-T-ON ?Les policiers agissent dans le cadre de l’instruction déclenchée par le juge Jean-Michel Gentil suite à la plainte pour favoritisme déposée par Éric Darques, en 2014. Le militant anti-corruption s’interroge sur les conditions d’attribution du Grand Stade au groupe Eiffage en 2008. En décembre dernier, deux réquisitoires supplétifs ont été lancés pour des faits de corruption active et passive, ainsi que de trafic d’influence. Ils ont conduit à trois perquisitions, à la veille de Noël, chez Jean-Luc Vergin, Alain Létard et à l’agence d’Eiffage de Mont-Saint-Éloi (siège des archives).Les enquêteurs de la PJ s’interrogent sur un voyage d’agrément au Grand Prix de Formule 1 de Budapest, à l’été 2010, offert par Eiffage TP à Damien Castelain, Henri Ségard et leurs compagnes. Selon nos éléments, le cadeau aurait pu servir, pour le constructeur, à consolider les liens avec celui qui avait la charge de vice-président à l’écologie urbaine. À ce titre, Damien Castelain avait la main sur des chantiers d’assainissement aux enjeux importants, ainsi que sur la construction des buttes antibruit avec les déblais des travaux du Grand Stade.Au-delà, ces relations privilégiées témoignent-elles d’une entente autour du projet Eiffage pour le Grand Stade ? En effet, deux ans plus tôt, Henri Ségard et Damien Castelain, alors à la tête d’un groupe d’élus communautaires, avaient pesé de tout leur poids pour soutenir le dossier d’Eiffage (plus cher de 108 M€ à l’époque que celui de Bouygues). L’actuel président de la MEL se défend en martelant qu’il n’était pas à l’époque décisionnaire. Ce sont en effet Pierre Mauroy puis Martine Aubry qui ont négocié et validé le partenariat avec Eiffage.Alors, corruption ou pas ? Les enquêteurs se donnent le temps pour poser toutes les questions. D’autant que de nouveaux éléments sont apparus récemment (lire ci-dessous).------------------------------------------------------------------------Et on retrouve ici dans cette affaire DAVID VERGIN ...celui qui signait les notes de frais de DAVID ROQUET lorsque celui ci fournissait en "copines" DSK avec l 'aide de DODO LA SAUMURE proxenete belge [b][i]6 févr. 2015 - Pour David Roquet, initié à ces soirées par l'entrepreneur Fabrice Paszkowski, la [/i][/b] participation à ces "parties fines" avait avant tout pour but de ... | |
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Messages : 787 Date d'inscription : 26/08/2007
| Sujet: Re: LE STADE DE LILLE Sam 24 Déc - 8:03 | |
| Le président de la Métropole européenne de Lille dans la tourmente PAR LAURENT WATIEZET JULIEN LÉCUYERregion@lavoixdunord.fr Pour avoir accepté, en 2010, un voyage d’agrément en Hongrie, organisé par Eiffage Travaux publics, Damien Castelain est aujourd’hui fragilisé, même si le déplacement n’aurait aucun lien avec l’attribution du marché du Grand Stade. <> LILLE.Comme nous le révélions hier, l’enquête menée par le juge Jean-Michel Gentil est désormais élargie à des faits de corruption et de trafic d’influence. En cause, notamment, un voyage, à l’été 2010, financé et organisé par Eiffage Travaux publics et auquel ont participé deux élus de la métropole lilloise : Damien Castelain, maire de Péronne-en-Mélantois, et Henri Ségard, maire de Comines.La destination ? Budapest, et son Grand Prix de Formule 1. Un voyage d’agrément qui, naturellement, pose question. Président de la Métropole européenne de Lille (MEL), depuis le 18 avril 2014, Damien Castelain ne souhaite pas pour l’heure s’exprimer, sauf pour faire savoir qu’il ne conteste pas le déplacement en Hongrie.« À L’ÉPOQUE, IL N’AVAIT PAS LE MÊME RECUL QU’AUJOURD’HUI»Dans son entourage, la discrétion est également de mise, même si perce un certain désappointement. «Damien est quelqu’un de foncièrement honnête », confie ainsi Alain Bernard, premier vice-président à la MEL et ami proche, « mais peut-être a-t-il été naïf sur ce coup-là ». D’autres évoquent carrément « un piège ». De telles sollicitations, ce n’est un secret pour personne, sont fréquentes dans le milieu de la construction.En l’espèce, il s’agissait d’un voyage entre couples d’élus, auquel devaient participer Alain Létard, un ancien cadre d’Eiffage chez qui une perquisition a eu lieu jeudi matin, son épouse, la sénatrice centriste Valérie Létard, Henri Ségard et Damien Castelain, eux aussi accompagnés de leurs compagnes.La veille au soir, le couple Létard a annulé, laissant la place à Jean-Luc Vergin, alors directeur régional d’Eiffage Travaux publics. Pourquoi Damien Castelain a-t-il accepté une telle invitation ? Sans doute d’abord en raison des liens de proximité avec les autres personnes conviées. Mais aussi, selon un confident, « parce qu’à l’époque, il n’avait pas le même recul qu’aujourd’hui ». En marge de la construction du Grand Stade, Eiffage avait alors réalisé, gracieusement, des murs antibruit à Péronne-en-Mélantois et Lesquin, en utilisant les terres du chantier.D’ores et déjà, le trouble est perceptible parmi des élus de la MEL. Réélu le 15 décembre avec 97,75 %, Damien Castelain va-t-il déjà devoir faire face à une fronde ? À droite, certains n’ont pas digéré la mise en place d’une gouvernance de consensus avec la gauche. Et l’idée de faire tomber le président centriste, «petit maire de Péronne-en-Mélantois» doit de nouveau agiter quelques esprits. Mais attention, la riposte se prépare et pourrait toucher d’autres élus, qui eux aussi auraient cédé à la tentation. Damien Castelain : pour Eiffage, un « client » comme les autres PAR JULIEN LÉCUYERregion@lavoixdunord.fr Notre enquête sur les circonstances du voyage du président de la Métropole européenne de Lille lève un pan du voile sur l’entrisme du groupe de BTP Eiffage chez les élus. Damien Castelain n’y est perçu que comme un client, auquel il devient naturel d’offrir un cadeau. > MÉTROPOLE LILLOISE.La scène se déroule à Roissy, à l’été 2010. Benoît (1) prend en charge deux couples dans son taxi. Si l’artisan de la région lensoise se souvient de ce jour-là, c’est que les courses jusqu’à l’aéroport parisien sont rares. La conversation tourne autour du bruit infernal des Formule 1. L’un des hommes est pharmacien, apprend Benoît. Quant à l’autre, il habite Péronne-en-Mélantois.Le voyage, c’est ni plus ni moins la même chose qu’une place offerte à un match par une entreprise à ses clients. Sans le savoir, Benoît vient de transporter Damien Castelain, alors vice-président de la communauté urbaine de Lille et maire de Péronne, et Henri Ségard, premier vice-président et ex-maire de Comines. Deux élus dont les noms résonnent dans le dossier du Grand Stade. Ils reviennent du Grand Prix de Budapest, le 1 er août 2010. Un voyage avec les compagnes, organisé par Eiffage Travaux publics.Cette révélation a été, au moins en partie, à l’origine du déclenchement par le procureur de la République de deux réquisitoires supplétifs pour des faits de corruption et trafic d’influence. L’enquête est jointe à l’instruction de la plainte pour favoritisme menée par le juge Jean-Michel Gentil sur les conditions d’attribution de la construction du Grand Stade.La découverte de ce voyage encombrant tient au témoignage apporté à la PJ, fin septembre, par David Roquet. L’homme n’est pas inconnu des services. L’ex-directeur de Matériaux enrobés du Nord, filiale d’Eiffage, avait été mis en cause dans l’affaire dite du Carlton, avant d’être relaxé par les juges en 2015.David Roquet évoque une histoire étonnante. Celle d’un voyage que son supérieur Jean-Luc Vergin, directeur régional d’Eiffage Travaux publics, lui demande d’intégrer à la comptabilité de son entreprise. En outre, le directeur lui demande d’envoyer un taxi à Roissy récupérer ses clients. David Roquet évoque un séjour à Istanbul. Mais il se trompe, et rectifie quelques semaines plus tard. C’est de Budapest qu’il s’agit. Les participants : Damien Castelain, Henri Ségard, les deux compagnes, et Vergin.La Voix du Nord a obtenu la confirmation de ce voyage auprès d’un autre témoin direct. Cette source affirme que le séjour n’aurait aucun lien avec l’appel d’offres du Grand Stade. D’ailleurs, note-il, la société Eiffage Travaux publics n’est pas intervenue dans le dialogue compétitif. « Quand les travaux ont commencé, elle a trouvé des dépôts pour les terres de déblaiement. » L’une des solutions est de construire des buttes antibruit. Damien Castelain, en mars 2010, est l’un des premiers à bénéficier de cette aubaine. Et son exemple fait florès(lire ci-dessous).Le voyage à Budapest aurait-il servi à récompenser Damien Castelain de ses services autour des buttes antibruit ? Notre témoin l’atteste : «En tant que vice-président à l’assainissement et avec le gros chantier de butte chez lui, il était considéré comme un client. Le voyage, c’est ni plus ni moins que la même chose qu’une place offerte à un match par une entreprise à ses clients. »TROIS PERQUISITIONSNi plus ni moins. À ceci près que cette pratique, révélée avec une confondante candeur, s’apparente à une corruption. Et le juge Gentil n’a même pas, au regard de la loi, à dessiner un lien entre le contrat de la butte à Péronne et le voyage offert à Damien Castelain pour établir le délit.Les trois perquisitions menées jeudi pourraient servir à faire la lumière sur les flux corruptifs. La première à l’agence d’Eiffage de Mont-Saint-Éloi, près d’Arras, où la facturation cachée de ce voyage, voire d’autres, pourrait avoir transité. Les autres au domicile de deux acteurs du voyage : Jean-Luc Vergin, organisateur du séjour à Budapest, et Alain Létard, ex-cadre d’Eiffage et mari de Valérie Létard (ex-secrétaire d’État aujourd’hui sénatrice et première vice-présidente à la Région), qui devait y participer mais s’est finalement désisté. Son implication reste à déterminer.1. Le prénom a été modifié. Les buttes antibruit, cette bonne affaire J. L. En juin 2010, Eiffage achève la construction de la butte antibruit qui borde l’A23 à Péronne-en-Mélantois. photo archives «la voix»<> À la fin de l’année 2009, Élisa, filiale d’Eiffage et maître d’œuvre, se retrouve avec des milliers de tonnes de terre à évacuer du chantier du Grand Stade. Qu’en faire ?Une idée germe bientôt. Plutôt que de se débarrasser à grands frais des centaines de milliers de mètres cubes de terre sortis du chantier, l’entreprise de BTP propose à des maires de la métropole de construire des buttes antibruit. Tout ça gracieusement.L’un des premiers à en bénéficier n’est autre que Damien Castelain. Entre mars et juin 2010, 350 000 tonnes de remblai sont entassées pour élever une butte de douze mètres de haut en bordure de l’A23. Des chemins en schiste y sont tracés. Les flancs sont engazonnés. Pour une petite commune comme Péronne-en-Mélantois, le bénéfice financier est énorme.LES MAIRES SE PRESSENTD’autres maires n’ont pas tardé à s’intéresser au montage. Le maire de Lesquin, Dany Wattebled, fait construire une butte de 3 km de long en bordure de l’A1. À Verlinghem, c’est un terrain de cross pour chevaux qui est bâti. À Prémesques, un chantier de rehaussement de terres agricoles. Michel Dufermon, àCamphin-en-Pévèle, profite de l’aubaine l’année suivante. « J’avais eu une réunion avec Damien Castelain et Dany Wattebled, raconte l’élu local.J’avais à cette époque un souci avec le bruit le long de l’A27. Ils m’ont parlé des terres du Grand Stade. Peu après, Eiffage m’a contacté. J’imagine qu’ils l’avaient informée. » En soi, la conclusion d’un tel contrat n’a rien de répréhensible. Il serait même gage de bonne gestion. Le problème est ailleurs.
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| | | PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
| Sujet: UMP ET PS ....MEME POLITIQUE Jeu 29 Avr - 0:10 | |
| Martine Aubry vient de doubler l'endettement de la communauté urbaine de Lille de 1 à 1,9 milliard d'euros avec le PPP du Grand Stade de Lille, Christine Lagarde s'est félicitée de l'accélération du nombre de PPP et espère voir prospérer ce mode de passation de marchés. Tous oublient que c'est une procédure de stricte exception car le Conseil constitutionnel en a, par deux fois, limité l'usage à cause des risques constitutionnels d'atteinte aux bons usages des deniers publics et à l'égalité devant la commande publique. Cette procédure est très onéreuse en raison de la limitation drastique de la concurrence de milliers d'entreprises à 3 ou 4 majors, toujours les mêmes, qui se partagent les marchés, avec des risques réels d'entente et de collusion. Les artisans et PME, privés de l'accès à la commande, sont, au mieux, soumis à une sous-traitance sauvage. Le coût de l'emprunt privé est nécessairement plus élevé que s'il était contracté par une collectivité publique. Les seuls frais de procédure pour mettre au point des contrats aussi complexes dépassent pour certains marchés le million d'euros. Les marges du groupement privé sont considérables, engendrées par la construction de l'ouvrage, son fonctionnement et sa maintenance ainsi que les plus-values liées aux modifications de l'ouvrage sur une très longue période. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: LE STADE DE LILLE Jeu 3 Déc - 11:03 | |
| Etant amateur de Sport en général et de Foot en particulier car fervent supporter du RCL .....Je serai trés heureux si la France pouvait faire l'Euro !! Mais je serai encore plus heureux si on pouvait enlever qqs millions d'Euros de cette dotation de l'Etat et les verser notamment aux resto du coeur qui eux auront du mal a boucler leur budget et devront encore faire l'Aumone pour nourrir des précaires ....voir aussi a d'autres asso enfants malades etc......Ou alors que des mécenes du Foot les verse ....!! Mainnant que Martine Aubry soit là ou pas ......... |
| | | PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
| Sujet: Re: LE STADE DE LILLE Jeu 3 Déc - 0:48 | |
| Une trentaine de millions pour le Grand Stade de Lille
mercredi 02.12.2009, 20:02 - La Voix du Nord | Région |
L'enveloppe de 150 millions d'euros promise par l'État aux douze villes candidates à l'Euro 2016 pour construire ou rénover leurs stades sera versée même si la France n'en décroche pas l'organisation. C'est ce qu'a confirmé Rama Yade,
la secrétaire d'État aux Sports,à l'issue d'une réunion, hier à l'Élysée, entre Nicolas Sarkozy, les dirigeants du football français et les maires des villes candidates ou leurs représentants. Martine Aubry, qui réclamait depuis plusieurs jours confirmation de l'engagement de l'État quelle que soit l'issue de la candidature de la France, avait choisi de ne pas être présente. Cette enveloppe de 150 millions sera répartie entre les douze villes à hauteur de 10 % du coût des projets présentés. Selon nos informations, Lille (dont le coût du stade et de ses parkings est estimé à 282 M) et Bordeaux seraient les mieux dotés. Elles devraient recevoir environ trente millions d'euros. Les deux villes demandaient respectivement 45 et 50 M d' € | |
| | | zoreille Invité
| Sujet: LE STADE DE LILLE Lun 30 Nov - 18:36 | |
| Le groupe Voix du Nord lance un nouveau titre mensuel : NorDway, magazine. Au sommaire : un article qui dévoile comment le constructeur du grand stade de la métropole lilloise a été choisi. On se souvient de la fameuse journée des dupes début 2008 quand Eiffage s'est brusquement - et mystérieusement - substitué à Bouygues au cours d'un de ces palabres dont seuls les cénacles politiques ont le secret. Va-t-on savoir ?
Côté coulisses, il se dit que l'enveloppe attendue de l'Etat pour boucler le financement serait bien inférieure aux 45 millions promis, peut-être la moitié. |
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