Nous vous avions parlé d’un projet de pétition contre les points d’apport volontaire. C’est fait, Francis Tison l’a mise en ligne. Par La Voix Du Nord | Publié le 23/04/2017
Les cent quarante Points d’apport volontaire (PAV) installés en ville doivent en principe entrer en service le 28 avril.
Elle sera ensuite remise à Alain Wacheux, président de l’agglomération, et à Olivier Gacquerre, maire de Béthune. De notre côté, nous continuons de recueillir vos avis. Majoritairement contre les PAV. Jean-François : « Béthune n’a plus aucun charme. Sans compter les personnes d’un certain âge ou à mobilité réduite... » Georges : « Comment peut-on autoriser l’installation de telles poubelles alors que pour les moindres travaux, il faut solliciter l’avis de l’architecte des Bâtiments de France ! » Jean-Pierre : « Pourquoi n’y a-t-il pas eu de consultation par référendum des Béthunois ? J’en ai assez d’entendre comme argument que cela se fait ailleurs, à force de copier le voisin, nous perdons notre identité et nous oublions de chercher des solutions innovantes. »
PÉTITION CONTRE LES POUBELLES installées dans la ville de Béthune
par Francis Tisonil y a 3 jours
Béthune
[size=16]Béthune, France
[/size]
Nous constatons que seule la ville de BETHUNE a fait installer un peu partout ces grandes poubelles qui ressemblent à des abris de chantier qui dénaturent le caractère écologique de cette idée farfelue. Ce matin, j'ai constaté de nombreux sacs de déchets déposés autour de ces " engins" ! Nous souhaitons retrouver une "ville normale" et que tous ces "nids à rats" soient démontés au plus vite. Nous sommes satisfaits du service des "éboueurs" et nous ne voulons en aucun cas la réduction de leurs services
Hier soir a été présenté au foyer François Albert devant une bonne centaine de personnes le partenariat avec la Mutuelle JUST dans le cadre de la Mutuelle Communale. Par cette offre partenariale incluant un volet social fort pour l'accès aux soins, une baisse des tarifs de nos complémentaires santé est prévue. Les Béthunoises et les Béthunois qui le souhaitent peuvent se rapprocher de l'agence JUST située rue Anatole France (03 21 01 23 01) à Béthune et nous vous rappelons que la ville a souhaité une offre groupée pour ses administrés qui restent libres de souscrire ou non, la ville n'ayant aucun intéressement financier sur cette opération de solidarité.
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: BETHUNE Mar 27 Sep - 12:22
Une mutuelle pour tous les Bethunois ! ! ! !
Hier soir a été présenté au foyer François Albert devant une bonne centaine de personnes le partenariat avec la Mutuelle JUST dans le cadre de la Mutuelle Communale. Par cette offre partenariale incluant un volet social fort pour l'accès aux soins, une baisse des tarifs de nos complémentaires santé est prévue. Les Béthunoises et les Béthunois qui le souhaitent peuvent se rapprocher de l'agence JUST située rue Anatole France (03 21 01 23 01) à Béthune et nous vous rappelons que la ville a souhaité une offre groupée pour ses administrés qui restent libres de souscrire ou non, la ville n'ayant aucun intéressement financier sur cette opération de solidarité.
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: BETHUNE Mar 27 Sep - 12:21
Une mutuelle pour tous les Bethunois ! ! ! !
Hier soir a été présenté au foyer François Albert devant une bonne centaine de personnes le partenariat avec la Mutuelle JUST dans le cadre de la Mutuelle Communale. Par cette offre partenariale incluant un volet social fort pour l'accès aux soins, une baisse des tarifs de nos complémentaires santé est prévue. Les Béthunoises et les Béthunois qui le souhaitent peuvent se rapprocher de l'agence JUST située rue Anatole France (03 21 01 23 01) à Béthune et nous vous rappelons que la ville a souhaité une offre groupée pour ses administrés qui restent libres de souscrire ou non, la ville n'ayant aucun intéressement financier sur cette opération de solidarité.
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: BETHUNE Ven 18 Mar - 8:32
Bonjour Julia2491...et bienvenue. Je suppose que vous nous parlez des caves sous la Grand Place de Bethune ? Y etes vous descendue ?
Bonne journée
Julia2491
Messages : 2 Date d'inscription : 07/03/2016
Sujet: Re: BETHUNE Ven 18 Mar - 3:53
Les caves furent ensuite longtemps absentes des préoccupations politiques de la municipalité. L'endroit devint même à la fin du XXe siècle un espace de non-droit. Les murs portant encore les marques de nasillons venus se terrer là etui sony m5etui sony xperia m5
Dernière édition par Julia2491 le Lun 28 Mar - 4:26, édité 1 fois
Admin Admin
Messages : 787 Date d'inscription : 26/08/2007
Sujet: RADARS Jeu 1 Oct - 11:06
Bonne chance !
Invité Invité
Sujet: Re: BETHUNE Dim 30 Aoû - 15:33
Invité Invité
Sujet: Re: BETHUNE Sam 22 Aoû - 17:35
Merci a la ville de Bethune pour l 'aide financière offerte généreusement aux associations .
Municipales à Béthune : quel scénario pour le deuxième tour ? L'ancien maire de Béthune, Jacques Mellick (DVG), a créé la surprise en arrivant en tête du premier tour devant le maire sortant Stéphane Saint-André, soutenu par le PS. Trois autres candidats peuvent se maintenir dans un second tour qui s'annonce très indécis.
Par Yann Fossurier
Publié le 24/03/2014 | 16:54, mis à jour le 25/03/2014 | 12:17
Jacques Mellick, le retour de la revanche ! Un scénario d'épouvante pour le maire sortant, Stéphane Saint-André qui va devoir batailler fort pour conserver son fauteuil. Le député divers-gauche, soutenu par le PS, a été devancé dimanche soir à Béthunepar son vieil ennemi qu'il pensait avoir définitivement terrassé en 2008. Jacques Mellick, 72 ans, est sorti en tête du premier tour avec 22.58% des voix, malgré sa gestion contestée de la ville entre 1977 et 1996 puis entre 2002 et 2008 (à laquelle sa condamnation à 5 ans d'inéligibilité en 1997 pour un faux témoignage en faveur de Bernard Tapie dans l'affaire VA-OM). "Les Béthunois doivent se souvenir que si la ville est aussi endettée, que si la pression fiscale est si forte, elle le doit à Jacques Mellick qui a mis cette ville dans une situation dramatique", rappelait dimanche soir Stéphane Saint-André, arrivé en 2e position avec 20.62% des votes.
Béthune : Mellick devance Saint-André Reportage de Christophe Lépine et Jean-Pascal Crinon.
Olivier Gacquerre au centre du jeu Pour corser le tout, trois autres candidats peuvent encore se maintenir au second tour dimanche prochain : le centriste Olivier Gacquerre (18.64%), ex-premier adjoint de Stéphane Saint-André, le candidat UMP Pierre-Emmanuel Gibson (15.34%) et celui du Front National, Ludovic Pajot (12.28%).
Stéphane Saint-André devrait bénéficier du soutien du candidat divers gauche Daniel Boys (ancien premier adjoint de Jacques Mellick), éliminé avec 9.37% des voix. "Je sais très bien que Jacques Mellick va m’appeler et me promettre monts et merveilles mais c’est hors de question de négocier avec lui", assurait-il dimanche soir à nos confrères de Nord-Eclair. Mais cela permettra-t-il à Stéphane Saint-André de reprendre la main dimanche prochain ? Pas si sûr. Tout dépendra en fait de la stratégie choisie par Olivier Gacquerre, qui a d'ores et déjà annoncé qui ne s'allierait pas cette fois-ci au maire sortant. L'ex-premier adjoint ne semble pas opposé en revanche à un rapprochement avec Jacques Mellick ou l'UMP. "Je n’ai de contrat avec personne", déclarait-il dimanche soir à Nord-Eclair. "Nous allons voir s’il est possible d’envisager un mouvement local de conciliation, autour d’un vrai projet local et intercommunal."
Voir la vidéo
Béthune : tractations en vue du 2e tour Reportage de Christophe Lépine et Jean-Pascal Crinon. Le jeune candidat UMP, Pierre-Emmanuel Gibson, semblait ouvert à la discussion, lui qui pourtant s'en était violemment pris à Olivier Gacquerre pendant sa campagne. Lors d'un meeting en présence de Jean-François Copé le 3 février dernier, il avait accusé l'ex-premier adjoint et son épouse, elle aussi adjointe, de "s'en mettre plein les poches". "Ça suffit d'avoir à Béthune des élus qui n'en ont rien à faire des habitants et qui s'en mettent plein les poches", avait-il lancé à la tribune. "Imaginez, si par malheur ou par miracle, vous aviez deux adjoints qui sont aussi en couple. 2800 euros net par mois pendant 5 ans ! Plus de 150 000 euros nets ! Vous savez très bien de qui je parle...".
Pierre Emmanuel Gibson tacle Olivier Gacquerre et son épouse lors d'un meeting le 3 février 2014. De son côté, Jacques Mellick appelait dimanche soir à "un large rassemblement au-delà des clivages politiques". Le candidat Front National, Ludovic Pajot, devrait se maintenir au second tour afin d'obtenir au moins un siège au conseil municipal.
Seule certitude à 16 h pour ce deuxième tour au suspense total : Jacques Mellick partira seul. Olivier Gacquerre et Pierre-Emmanuel Gibson auraient, eux, fait alliance. Quant à Stéphane Saint-André et Daniel Boys, ils négocient toujours.
Les rumeurs les plus folles courent dans la ville. On dit tantôt Daniel Boys avec Jacques Mellick, tantôt avec Stéphane Saint-André. « Il voulait faire alliance mais voulait avoir la majorité des adjoints dans la liste, lance Jacques Mellick. Je lui proposais 50/50. » Daniel Boys ne répond pas au téléphone depuis ce matin mais un de ses colistiers et l’entourage du maire sortant affirment que Stéphane Saint-André et Daniel Boys négocient toujours. Ce qui bloque, ce serait le nombre de postes. Un accord semblerait trouvé. Jacques Mellick assure avoir discuté aussi avec Olivier Gacquerre. « Mais on a fait le même constat tous les deux. J’ai un électorat populaire, lui en a un autre. Nous ne sommes pas compatibles. » Olivier Gacquerre tient une conférence de presse à 16 h 30 dans son local de campagne. Pour annoncer un rassemblement avec Pierre-Emmanuel Gibson.
C ’est fait. Il y aura une triangulaire au deuxième tour à Lens, bastion du Parti socialiste. Le dissident PS Arnaud Sanchez (18,23 %), l’ancien socialiste Sébastien Plociniczak (12,61 %) et la chef de file UMP Sophie Gauthy (11 %) ont officialisé leur alliance ce mardi matin, dans le QG de campagne du premier cité qui conduira la liste. Ce rapprochement contre-nature au vu du passé ou présent politique de chacun sera opposé au maire sortant socialiste Sylvain Robert (27,52 %) et au frontiste Hugues Sion (19,99 %).
Admin Admin
Messages : 787 Date d'inscription : 26/08/2007
Sujet: Re: BETHUNE Lun 24 Mar - 8:10
RESULTATS du 1 er tour des ELECTIONS à BETHUNE
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: BETHUNE Sam 8 Mar - 10:12
Dans la serie , je t 'aime , moi non plus , je te quitte , je reviens , je me rabiboche , je te trahis , je me dispute mais je t' aime malgré tout , je te pardonne , je démissionne , je change de parti politique , je quitte ce parti en claquant la porte mais je reviens par la fenetre pour étre elu ou réelu en bonne position sous l ' étiquette d 'un autre parti pour passer a la caisse .....VOICI LA VIE BETHUNOISE EN ROSE et en ROSSE ...
Béthune: Stéphane Saint-André, Jacques Mellick et les déçus de la rue Copernic
PUBLIÉ LE 08/03/2014 Par ISABELLE MASTAIN On poursuit notre série consacrée au décortiquage des listes en course pour la mairie de Béthune. De faux frères en vrais amis, on s’est intéressé, forcément, à Jacques Mellick et à Bernard Seux, puis à Daniel Boys et à Bruno Dubout. Au tour du maire sortant qui, en bâtissant sa liste, a inclus des mellickiens repentis. Encore des gens de gauche mais à Béthune, c’est une question de générations politiques assez anciennes pour s’aimer, se désaimer voire se retrouver.
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On aurait pu titrer sur « Stéphane Saint-André et les ex-Mellickiens » mais ce serait trop facile. Si le maire sortant, adhérent du PRG depuis 2008 après trente ans de militantisme au PS, part aux municipales sous la bannière socialiste au nom d’un partenariat national avec les Radicaux (reprenez votre souffle), il ne faudrait pas oublier qu’il a un point commun avec Julien Duquenne, Catherine Duquenne et Isabelle Péru qui en 2014 font cause commune avec lui : un homme... Jacques Mellick ! Ben oui, Stéphane Saint-André aussi a fait ses classes chez l’homme le plus décrié de la campagne. C’était au début des années 90, même qu’il avait délibérément quitté sa place d’assistant parlementaire auprès de Roland Huguet pour venir travailler à Béthune comme chargé de mission au cabinet du ministre. Ce qu’il assume. « Oui, c’est moi qui ai choisi de travailler avec lui, à une époque où il était considéré comme un bâtisseur. Après, il a vécu sur ses acquis et il y a eu les affaires, les dérives... J’ai pris mes distances. »
La révolution à Blaringhem À ce moment-là, Julien Duquenne est encore un pré-ado insouciant des rouages de la politique. Pourtant il ne va plus tarder à rencontrer Stéphane Saint-André. Loin encore d’adhérer au PRG puis au PS, loin encore de se douter qu’en 2014 il sera mandaté par la fédération socialiste du Pas-de-Calais pour mener à bien les négociations avec le maire investi, Julien Duquenne fait sa révolution. Il est alors élève au lycée Blaringhem : « En 1998, j’étais l’un des porte-parole des manifestations lycéennes. On parlait aussi bien de la réforme Allègre que de l’état du bâtiment. J’avais créé un mouvement de lycéens et on a demandé à rencontrer le sous-préfet. » C’est finalement le directeur de cabinet du maire en place qui les reçoit. En ce temps-là, le maire c’était un certain Bernard Seux, et son directeur de cabinet en même temps que son attaché parlementaire, c’est... Stéphane Saint-André. Le monde est si petit. Julien Duquenne se lance bientôt en politique mais même s’il se définit de « la génération Mellick » comme d’autres revendiquent la génération Mitterrand, c’est chez les Radicaux de gauche qu’il se lance. « J’ai été responsable du Pas-de-Calais puis, en 2000, porte-parole des jeunes Radicaux de gauche, et leur président national de 2003 à 2006. » Tête de liste aux Européennes en 2004, il a aussi fait partie du staff de Christiane Taubira. Trajectoire sans heurts jusqu’en 2009 où, sans aucun face-à-face direct, il recroise la route de Stéphane Saint-André. Julien Duquenne est alors depuis quelques mois l’animateur du cercle béthunois du Parti radical de gauche. Un vendredi de novembre 2008, Pierre Georget, le président fédéral, a confirmé son élection « dans la plus grande transparence et le respect des statuts ». Façon de faire taire les nouveaux adhérents contestataires, au premier rang desquels... Stéphane Saint-André ! Élu maire en mars 2008 face à Jacques Mellick et dans la dissidence la plus totale, ce dernier espérait rentrer dans les grâces du PS ; n’y parvenant pas, il a pris sa carte au PRG. La quadrature du cercle béthunois du PRG Pourquoi une quadrature du cercle ? La polémique naît du fait que Jean-René Boutinon, ancien adjoint de Jacques Mellick et futur adjoint de Stéphane Saint-André, brigue la place remportée par Julien Duquenne. On craint des frictions. L’animateur du cercle n’a-t-il pas été porte-parole de Jacques Mellick pendant les municipales ? « J’étais porte-parole de la liste PS-MRC-PRG », nuance alors Julien Duquenne. N’empêche : on peut craindre que le courant passe mal avec Saint-André, tombeur de Mellick. Julien Duquenne s’en défend : « Si les nouveaux adhérents respectent les règles du parti, tout ira bien. Je n’ai pas de souci avec Stéphane Saint-André. Plus avec d’autres. » Allusion voilée à Jean-René Boutinon. En 2008, Stéphane Saint-André ne fait pas tant dans la nuance : lui aussi appelle alors au rassemblement... mais autour de lui et de Jean-René Boutinon : dans l’élection de Julien Duquenne, « les militants ont été indisciplinés. C’est une manœuvre de Jacques Mellick qui n’aboutira pas. » Il vise aussi Catherine Duquenne, mère de Julien et conseillère municipale qui signaitles communiqués d’opposition à Saint-André au nom du PRG... On n’attend plus alors que le national pour trancher. Lequel, par la voix du président du PRG Jean-Michel Baylet, soutient le clan de Stéphane Saint-André et Jean-René Boutinon, là où la fédération supporte Julien Duquenne et le cercle historique. Mai 2009 : des têtes tombent Mai 2009 : le couperet tombe, les têtes aussi. Deux cercles PRG à Béthune, c’est un de trop. Le bureau national du PRG exclut Catherine et Julien Duquenne, ainsi que Michel Cauche, pour un an. Ça leur apprendra à « ne pas avoir respecté les statuts du parti ». Problème : Julien Duquenne n’a été ni convoqué, ni entendu ; son exclusion, il l’a apprise par la presse. Le tout s’est fait sans que jamais à l’époque il ne croise ni n’échange avec Stéphane Saint-André. « Je ne l’ai pas croisé et quand on en a rediscuté récemment, il m’a affirmé qu’il n’avait pas demandé mon exclusion. Et malgré cet épisode, je n’avais jamais senti d’hostilité réciproque. » Ce que confirme le maire avec une façon particulière de dire qu’il n’avait pas le doigt sur la gâchette : «En 2009, je ne suis pas intervenu dans la procédure d’exclusion, j’ai juste demandé une clarification à Paris. Il ne pouvait y avoir le cercle PRG de la majorité et celui de l’opposition. » Idem pour Catherine Duquenne : « Je n’ai pas demandé son exclusion. Elle était conseillère d’opposition mais je n’ai jamais eu de mots avec elle, on s’est toujours dit bonjour. » L’année d’exclusion écoulée, les exclus auraient pu rentrer en grâce. Mais non. « J’avais le choix, et je n’ai pas repris ma carte au PRG, je suis allé au PS. » Julien Duquenne adhère en 2010, s’investit dans la section de la rue Copernic où il travaille au lancement de débats. Et puis à son tour il prend ses distances avec Jacques Mellick. « Ça s’est fait en trois temps : on voulait que dans les débats je dévie sur des questions béthuno-béthunosies ; au 2e tour des législatives en 2012, Jacques Mellick a appelé à voter pour un candidat qui n’était pas de gauche ; il y a eu des critiques sur ce qui se construisait au niveau de la fédération. » « Opportuniste » ? Son rapprochement actuel avec Stéphane Saint-André lui vaut des attaques assassines. On le traite « d’opportuniste » et ça, « ça me touche. Je ne renie pas d’avoir été proche de Jacques Mellick, je respecte l’homme et ce qu’il a fait pour Béthune. Mais il est à présent dans la revanche. » Avec Stéphane Saint-André, ils se sont revus à la Coupole que le maire était venue visiter et dont Julien Duquenne est le directeur. « J’ai gardé des amis au PRG et lui au PS, bien sûr ! Ils nous ont dit qu’on avait des intérêts communs. Il y a un an et demi, on a joué cartes sur tables, j’ai pu juger que beaucoup de choses circulant à son sujet n’étaient pas fondées. » Devenir colisitier « n’était pas une évidence. J’ai pris de la distance avec la politique, je me suis épanoui ailleurs mais on m’en a fait comprendre l’utilité. » Ses détracteurs le dépeignent toujours flanqué de sa mère dans une stratégie politique commune. Et les voici tous deux colistiers... « Nous ne sommes pas toujours d’accord ! Elle a été une élue reconnue, ce qui explique la place qui lui est faite. Elle a pris beaucoup de coups et quand ça ne va pas, je lui remonte le moral. » Catherine Duquenne assume d’avoir claqué la porte de Jacques Mellick. « J’avais envie de démissionner depuis longtemps, le pire ça a été le dernier conseil. On était dans l’opposition systématique. J’ai pris mes distances avec Copernic après les législatives. » En avril 2013, en même temps que le maire retire leurs délégations aux élus de Béthune notre ville, elle fait partie de celles à qui ils proposent une nouvelle aura. Elle a failli redevenir adjointe à l’animation mais le conseil municipal n’a pas démis les élus BNV de leurs postes d’adjoints. Elle est donc restée conseillère. « Avec Stéphane Saint-André, on a toujours été en plus ou moins bons termes malgré tout. On a tout remis à plat, on a discuté de mon exclusion. J’avais dans la tête quelqu’un d’un peu nul et j’ai été agréablement surprise. Je l’ai trouvé honnête. » Elle n’a pas repris sa carte au PRG, et au PS non plus. Comme on se retrouve Elle fait campagne avec aussi Isabelle Péru, ex-mellickienne qui le jour du lancement de la campagne du maire annonçait avec une certaine candeur qu’elle était là parce qu’il avait été la seule à l’inviter. Elle incarne la caution du MRC, partenaire de Stéphane Saint-André qui en août 2002 fut nommé chargé de mission auprès de Jean-Marie Alexandre, patron départemental du mouvement. Un tout petit monde, on vous dit.
L’univers impitoyable de J.-R. Boutinon Il l’a mauvaise, l’actuel adjoint aux travaux ! Il a beau compter et recompter, Jean-René Boutinon arrive toujours au même résultat : ça fait « six ans que je travaille aux côtés de Stéphane Saint-André ! » C’est peu dire qu’il pensait avoir sa place d’office parmi les 35 colistiers de « Béthune, une ville à vivre ». « J’ai fait du porte-à-porte, j’étais sur les premières photos... Être sur la liste, c’était la suite logique. » Seulement, la short list, il n’y figure pas et ça, il ne l’avait pas vu venir. « Le maire me l’a appris par téléphone. Il a dit qu’il voulait m’alerter avant que ça paraisse dans la presse... » Avant que l’adjoint ne fasse connaître publiquement ses états d’âme et ses impressions staliennes d’avoir été victime de « grandes purges » et de « méthodes manœuvrières », Stéphane Saint-André nous avait expliqué que l’affaire s’était réglée dans une relative concertation : « C’est compliqué de monter une liste avec cinq composantes... » PS, PRG, MRC, PC et Verts.
Jean-René Boutinon croit savoir qu’on lui reproche des propos peu amènes tenus contre Catherine Duquenne, une « traîtresse ». Peut-être aussi son caractère bien trempé. Il n’exclut pas non plus que la présence de Julien Duquenne sur la liste soit liée à son éviction : en 2009, la bisbille autour des deux cercles béthunois du PRG les avait opposés. C’est alors Jean-René Boutinon qui avait obtenu gain de cause mais la roue a tourné. « Je suis passé sur l’autel du sacrifice. » Deux fois plus déçu puisqu’en 2008, « c’est moi qui lui ai dit de venir au PRG quand il a été exclus du PS. Récemment encore, il a dit que c’était grâce à moi s’il en était arrivé là. » Écarté, Jean-René Boutinon songe à son avenir et cite en première perspective de profiter de se retraite. Mais ce poste de vice-président du SIVOM ? Il n’en voudrait pas, pas comme d’un lot de consolation. « J’aurais au moins voulu rester conseiller délégué pour poursuivre l’aménagement de la gare d’eau. » Avant d’être jeté avec l’eau du bain.
BETHUNE : Jacques Mellick a un bus... comme local de campagne samedi 01.03.2014, 12:49 BETHUNE : Jacques Mellick a un bus... comme local de campagne
L'ancien maire de Béthune, Jacques Mellick, s'est lancé tardivement dans la campagne des municipales. Sans local de campagne en centre-ville, il a décidé d'innover et de louer un mini-bus de 16 places pour s'en servir comme local de campagne itinérant et pour aller à la rencontre des Béthunois.
"Un choix symbolique et qui marque notre volonté de baisser les dépenses. On doit montrer l'exemple", assure le candidat Mellick.
Plus de détails dans notre prochain journal en vente à partir de jeudi dans tous les kiosques ou sur notre plateforme PDF.
Admin Admin
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Sujet: Re: BETHUNE Jeu 27 Fév - 0:49
les jeunes ne croient plus aux politiciens
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: BETHUNE Sam 15 Fév - 10:18
CA SE PASSE COMME COMME CA A BETHUNE ...comme je l 'ai dit sur la VDN : "A Béthune pour avancer il faut faire marche arriere "
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: BETHUNE Sam 8 Fév - 15:19
L’ancien ministre Jacques Mellick candidat pour «rendre son rang» à Béthune
PUBLIÉ LE 08/02/2014 Par La Voix du Nord C’est pour que Béthune « retrouve son rang » que l’ancien ministre Jacques Mellick se lance dans la campagne des municipales sur laquelle son ombre planait telle la statue du commandeur. Ayant attendu jusqu’en février, à six semaines du premier tour, pour se déclarer, il justifie sa candidature par la volonté de rendre don lustre à une ville dont l’étoile a pâli dans la région, dans le Pas-de-Calais et même au sein de la communauté d’agglomération Artois Comm.
« Béthune décline par manque de vision stratégique, de volonté politique, de voix forte pour imposer sa responsabilité de ville centre », reproche à son successeur celui qui siège aujourd’hui au conseil municipal dans un groupe d’opposition qui a éclaté. Battu de justesse en 2008, Jacques Mellick repart à la bataille, très vraisemblablement comme tête de liste, pour prendre sa revanche contre le PRG Stéphane Saint-André, investi par le PS comme il l’avait déjà été aux dernières législatives. Entre-temps, il a perdu son ex-premier adjoint Daniel Boys, ayant lui aussi constitué une liste. Mais il retrouve un allié d’avant-hier et rival d’hier, avec lequel il s’est réconcilié : l’ancien député-maire Bernard Seux. D’autres vétérans les auraient rejoints dans une liste « de rassemblement de républicains et de citoyens, dont certains sont déçus par les appareils politiques », qui doit être présentée samedi prochain. La section socialiste, dont Jacques Mellick n’est plus membre, a élu une nouvelle secrétaire, Nathalie Delbart, qui a promis à la fédération de ne pas interférer dans le débat des municipales.Quelques socialistes cartés ont rejoint Stéphane Saint-André qui a rompu avec son allié centriste Olivie Gacquerre et qui fédère aujourd’hui des radicaux, des communistes ainsi que des militants d’Europe Écologie les Verts. On ignore encore s’il y aura huit ou neuf listes en présence le 23 mars. Les tractations se poursuivent chez les outisders.
Pierre AcarieLe retour des Daltons ! Certains individus de la classe politique Béthunoise doivent se poser des tas de questions sur leur avenir en cas de retour !!!! Quoique avec eux il faut s 'attendre a tous les revirements , démissions , changement de veste et même de pantalons ...nous rentrons dans la période des soldes et des recyclages ! Il y aura du dechet !
Béthune: la liste de rassemblement alternatif à gauche autour de Daniel Boys entre en campagne
PUBLIÉ LE 07/11/2013 Par ELSA LAMBERT / LA VOIX DU NORD BETHUNE. Il l’avait dit au soir des élections régionales, en 2010. Hier soir, Daniel Boys a officiellement annoncé sa candidature comme maire de Béthune dans la salle du Golf bondée. Autour de lui, Agir avec Bruno Dubout, Les Gens du Béthunois avec Henri-Claude Honnart et Le parti de gauche avec Serge Pacheka. Un rassemblement qui peut surprendre avec une équipe renouvelée, rajeunie et féminisée. Une entrée en campagne soft, sans attaque.
Des parcours différents Daniel Boys et Bruno Dubout sur la même liste. Certains n’en reviennent toujours pas. « Ça a étonné plus d’un qu’on tombe d’accord », ne cache d’ailleurs pas l’ancien premier adjoint de Jacques Mellick qui a pris ses distances il y a trois ans. Nous ne renions pas le passé. Nous avons eu notre part et nous assumons. Il faut tirer les leçons. Et ce n’est pas en regardant le passé que l’on construit l’avenir. Ce qui nous rassemble, c’est Béthune et les Béthunois et des valeurs de gauche. » « La présence d’Agir sur une liste menée par Daniel Boys n’est pas une surprise, assure Bruno Dubout. Certaines de leurs escarmouches sont pourtant mémorables. Nous avons les mêmes impératifs politiques et la même volonté : le respect des engagements, la place de Béthune dans l’agglomération et la région et la place des Béthunois dans Béthune. Ce n’est pas une aventure de conquête mais c’est une aventure qui sera victorieuse . » « Nous avons les mêmes valeurs d’humanisme », résume Serge Pachéka qui a fait partie de l’équipe de Jacques Mellick avec Daniel Boys. Henri-Claude Honnart prend ses distances aussi, avec l’équipe de Stéphane Saint-André. « Lors de la dernière élection, nous étions avec le futur maire, là aussi ! » Rassemblement à gauche Pas un rassemblement partisan car seul Serge Pacheka représente un parti, le Parti de gauche. Force ou faiblesse face à un député-maire qui devrait recevoir l’investiture nationale du PS ? « Nous sommes libres et l’otage de rien, souligne Daniel Boys. Nous ne sommes pas liés par des postes ou des intérêts personnels ou une carrière. C’est la force la liberté. »Le non-cumul des mandats est un argument fort aussi. « Nous proposons un maire à plein-temps et un député à plein-temps, lance Henri-Claude Honnart. Pour le même prix, on peut en avoir deux ! » L’équipe Une partie de la liste a été présentée hier soir avec de nouvelles têtes : Anne Boulent pour Les Gens du Béthunois, Christine Kasperczak pour le Parti de gauche, Cécile Bacquet et Vincent Decaesteker pour Aujourd’hui Béthune pour demain. « Nous avons tous droit à la parole, tient à faire remarquer Cécile Bacquet au nom de tous les nouveaux visages. C’est ce qui fait qu’on peut tous s’y retrouver. » « Une équipe d’expérience et rajeunie », commente Daniel Boys. Il a été premier adjoint, Henri-Claude Honnart est adjoint, et Serge Pacheka, Bruno Dubout, Nathalie Jakobzyk et Annick Lévisse ont été adjoints. Un slogan « Béthune ville humaine, ambition et volonté », c’est le nom de cette liste. « Une ville doit d’abord être faite pour ses habitants, on l’a trop souvent oublié, estime la tête de liste.L’humain, c’est aussi la taille de Béthune. » Priorité « La baisse de la pression fiscale est une priorité car son niveau est intolérable à Béthune.» Comment ? « En baissant les dépenses de fonctionnement et il faut engager un programme important de développement de logements car plus on est nombreux moins la note à payer par chacun sera importante », prévoit Daniel Boys. Projet Trop tôt. Les quatre mousquetaires insistent sur la méthode : discussion, échange avant d’établir un programme. Une certitude quand même. « Nous allons travailler sur le quotidien des Béthunois, avance Bruno Dubout. L’époque n’est plus aux grands projets. » Il prend l’exemple de l’action sociale. « Je souhaite que l’aide sociale, ce ne soit pas seulement des secours mais aussi aider les gens à faire face à toutes les contingences . » Le quartier de la gare est annoncé comme une priorité, et une action forte sera menée dans celui de la rue de Lille. Bruno Dubout cite aussi l’aménagement du secteur du centre sportif. Des pistes auxquelles Daniel Boys ajoute l’éradication de l’habitat insalubre. Henri-Claude Honnart sera attentif à la démocratie participative et à l’écologie car « l’écologie, c’est notre santé ! » Dispersion des voix ? Six listes en tout pour le moment, trois listes à gauche, le risque que les voix se dispersent et que ça profite à la droite est réel même si Bruno Dubout dit ne pas le craindre. « Nos tabous absolus, c’est qu’il n’est pas question que la ville revienne aux mains de la droite, du FN ou de l’ancienne équipe qui reviendrait avec un désir de vengeance. »
Daniel Boys rassemble une partie de la Gauche jeudi 31.10.2013, 08:00 D aniel Boys, avec Bruno Dubout (ci-dessus) et Serge Pacheka (ci-contre). Henri-Claude Honnart, en haut à droite.
Il y a trois semaines, Daniel Boys avait le sourire, sa liste pour les municipales avançait bien.
Il restait quelques points à régler. Dimanche 27 octobre, il annonçait sur son blog, relayé en cela sur les réseaux sociaux, que l'union était faite avec trois autres groupes politiques béthunois. Une liste d'union, plutôt ancrée à Gauche, qui ne ferme pas les portes à d'autres arrivées, notamment les communistes. L'échéance des municipales approche à grands pas. L'ancien premier adjoint de Jacques Mellick a réussi le tour de force de réunir autour de lui trois autres partis bien connus des Béthunois.
À savoir, les Gens du Béthunois de l'actuel adjoint Henri-Claude Honnart, le Parti de Gauche de Serge Pacheka et le groupe Agir pour Béthune emmené par Bruno Dubout. Ce club des quatre a l'expérience des combats politiques.
Tous les quatre ont déjà été adjoints au maire, sous différentes mandatures. Daniel Boys et Serge Pacheka sous l'ère Mellick, Bruno Dubout lors du mandat de Bernard Seux, et Henri-Claude Honnart dans la majorité de Stéphane Saint-André. Quatre hommes d'expériences, mais pas que. « On retrouvera sur la liste des personnes d'expérience, mais aussi des gens nouveaux », explique Daniel Boys, qui sera la tête de liste en mars 2014.
« On veut être des acteurs pour le Béthunois » On s'en souvient, il y a quelques mois, lorsque la question du non cumul des mandats s'est posée, Bruno Dubout, Daniel Boys et Henri-Claude Honnart étaient vent debout pour dire qu'ils étaient contre, et donc contre la décision de Stéphane Saint-André de se représenter aux municipales alors que ce dernier est également député. « Pour notre groupe, c'était primordial, souligne Henri-Claude Honnart.
On a vu que d'autres s'élevaient également contre ça. » Ce dernier rappelle que « les Gens du Béthunois étaient capables de partir seuls en mars, mais cela n'a pas d'intérêt de faire 5 ou 10% au premier tour.» Et de rappeler : « L'entre-deux tours n'est pas assez long pour faire une union sérieuse. Il fallait donc le faire avant le premier tour. » Depuis septembre, ces quatre représentants de la vie politique béthunoise ont été amenés à se rencontrer, à discuter. « Le but étant de réussir à se mettre d'accord sur un programme qui réponde aux exigences de chacun. Et quand cela bloquait, Bruno Dubout a mis le ciment pour qu'on y arrive. On veut être des acteurs pour les Béthunois », poursuit-il. Opposants d'hier, colistiers aujourd'hui. « Il faut être plus intelligent que ça, clame Henri-Claude Honnart. Daniel Boys, j'ai appris à le connaître en travaillant avec lui lors de commissions. Et là, on a vu qu'on avait pas mal de points en commun. » Cette union apparaît comme une réponse à ceux qui ne le pensait pas capable de se poser en rassembleur, « ceux qui disaient ça sentaient la menace arriver ». La campagne débutera officiellement le 7 novembre pour la liste d'union qui devrait s'appeler, sauf surprise de dernière minute : Béthune, une ville humaine. L'Avenir de l'Artois Marc VASSEUR Réunion publique le 7 novembre à 19h à la salle du Golf.
À cinq mois des municipales, la campagne électorale s’accélère à Béthune. Daniel Boys, Bruno Dubout, Henri-Claude Honnart et Serge Pacheka ont annoncé la formation d’une liste commune. En attendant l’éventuelle candidature de Marie-France Massard, cinq hommes visent la mairie : Stéphane Saint-André, Daniel Boys, Olivier Gacquerre, Pierre-Emmanuel Gibson et Ludovic Pajot. Tour d’horizon.
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1. À gauche, au moins deux listes d’union Fort de l’investiture socialiste, Stéphane Saint-André (Parti radical de gauche) comptait bien rassembler la gauche sous son aile. Ce rêve d’union a fait long feu, sacrifié sur l’autel du cumul des mandats. Le maire sortant entend rester député de la 9e circonscription jusqu’à ce qu’une loi, contre laquelle il a voté à l’Assemblée nationale, l’oblige à choisir entre le beffroi et le palais Bourbon. Inacceptable pour Daniel Boys (Aujourd’hui pour Béthune demain), Bruno Dubout (Agir), Henri-Claude Honnart (les Gens du Béthunois) et Serge Pacheka (Parti de gauche) qui unissent leurs forces dans la liste Rassemblement à gauche pour Béthune et les Béthunois menée par Boys. Les socialistes pourraient jouer un remake de l’élection 2008. À l’époque, un certain Stéphane Saint-André s’était présenté contre Jacques Mellick, investi par le Parti socialiste. Le 10 octobre, les militants ont désigné Marie-France Massard tête de liste. Le secrétaire de la section, Jean-Marc Dendiével, réfute l’accord national PS-PRG dont se prévaut Stéphane Saint-André : « Le bureau national désignera les candidats des villes de plus de 20 000 habitants le 7 décembre. » Et après ? « On verra. » Toujours à gauche, les Verts sont « en phase de réflexion et de négociation » avec les uns et les autres, annonce Joël Caron. Quant aux communistes, ils devraient suivre Stéphane Saint-André dès le premier tour. « Le PS, le PRG et le PC du Pas-de-Calais ont convenu de soutenir les maires de gauche sortants, explique Henri Tobo. Même si nos divergences sont importantes au niveau national, nous devons éviter la dispersion dans les municipalités pour faire face au danger de droite et d’extrême-droite. Mais nous ne sommes pas pieds et poings liés : nous voulons discuter le contenu, notamment sur la fiscalité et la place de Béthune dans l’intercommunalité. »
2. À droite, deux cavaliers pour la « reconquête » En 2008, Jacques Mellick avait eu beau jeu de critiquer un maire « élu avec des voix de droite », Stéphane Saint-André ayant été rejoint entre les deux tours par Olivier Gacquerre, tête de liste MoDem, soutenu au 1er tour par l’UMP. Cette cause sera plus difficile à plaider en 2014. Le maire s’est fâché avec son premier adjoint, qui a depuis rejoint l’UDI et mènera la liste de Béthune notre ville en mars. Et l’UMP, qui a modérément apprécié la neutralité de son ancien allié lors des législatives de 2012, fera cavalier seul derrière Pierre-Emmanuel Gibson pour la « reconquête » de Béthune.
3. À l’extrême-droite, une première et de l’ambition Pour la première fois de son histoire, le Front national présente un candidat aux municipales à Béthune, Ludovic Pajot, 20 ans. Suppléant d’Aurélia Beigneux aux législatives de 2012, le Gonnehemois compte s’emparer des thèmes du Busway, du désendettement et de la fiscalité « insupportable » pour confirmer l’ancrage du parti d’extrême-droite, « troisième force politique à Béthune » (20,93 % au 1er tour de la présidentielle en 2012), entrer au conseil municipal et conquérir des sièges à Artois Comm.
Admin Admin
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Sujet: Re: BETHUNE Sam 25 Aoû - 10:24
Nouvelles découvertes de HENRI-CLAUDE HONNART à BETHUNE sur environ 150 metres
(Photos H-C.Honnart)
Dernière édition par Admin le Mar 5 Nov - 18:08, édité 2 fois
le journ Invité
Sujet: l'urbanisme Sam 18 Aoû - 11:11
Ce cher HCH ferait peut être mieux de s'occuper de ce qui se passe au dessus car la c'est lamentable.
Mais une passion est une passion
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: BETHUNE Ven 17 Aoû - 22:50
QUELQUES PHOTOS DE LA VISITE DES CAVES SOUS LA GRAND PLACE DE BETHUNE ... sous la direction de Henri-Claude HONNART adjoint a l 'urbanisme de la ville de Béthune :
( PHOTOS PIERRE ACARIE )
Dernière édition par PACA le Mar 5 Nov - 0:49, édité 1 fois
Voyage dans le temps : des passionnés investissent les caves de la Grand-Place PUBLIÉ LE 31/07/2012
Depuis plusieurs années, Henri-Claude Honnart, adjoint à l'urbanisme, tente de réhabiliter les caves de la Grand-Place. Réunis autour du comité historique de la ville, ils sont une dizaine de bénévoles à remuer ciel et terre pour que le projet voie le jour.
PAR SIMON LANCELEVÉ bethune@info-artois.fr « Il ne faut pas avoir peur de se mettre à genoux », prévient Henri-Claude Honnart en s'engouffrant entre deux strates de grés. Il fait à peine quinze degrés et les lampes frontales rendent l'humidité palpable. Le long des stalactites, la condensation dessine comme des gouttes d'aluminium. « Nous sommes un peu des aventuriers », se plaît à croire le guide. « Ici, tout reste à découvrir, car pour l'heure, nous n'en sommes qu'à la phase de déblaiement des gravats, suite aux aléas.
S'ensuivra une période de fouilles. Mais comme beaucoup de caves n'étaient pas répertoriées (ndlr : ni déclarées, afin de ne pas payer plus d'impôts). Au fond, qui sait ce que nous trouverons ? »
Espace de non-droit
D'ailleurs qui connaît réellement l'histoire de ses caves d'anciens commerçants ? Pour comprendre leur évolution, il faut voyager à travers les âges et regarder les vieilles cartes postales. « Avant la Première Guerre mondiale, le beffroi était encadré par quelques commerces. Ces commerçants avaient creusé des caves à travers les assiettes de grès du "rocher" de Béthune pour y entreposer des marchandises, parfois pour récupérer de l'eau. Autrement dit, rien à voir avec les boves d'Arras (ndlr : creusées par les tunneliers néo-zélandais, à partir de 1916). Les bombardements de 14-18 ont détruit ces habitations, mais les caves, elles, sont restées. Servant bien souvent de replis aux Béthunois », retrace le spéléogue amateur dans son terrain de jeux.
Les caves furent ensuite longtemps absentes des préoccupations politiques de la municipalité. L'endroit devint même à la fin du XXe siècle un espace de non-droit. Les murs portant encore les marques de nasillons venus se terrer là. « Dans l'imaginaire des Béthunois, la ville est jonchée de souterrains, ce qui est - sans doute - vrai. D'ailleurs beaucoup de jeunes jusque dans les années soixante y jouaient. Mais les travaux d'aménagements en ont rebouché beaucoup, notamment après les années soixante-dix. » Alors, les bénévoles se relayent plusieurs fois par semaine et remontent pierre par pierre. « Actuellement sur quatre chantiers », confirme l'un d'eux en tenue de travail.
« On oublie où on est »
À terme, Henri-Claude Honnart espère bien faire conduire des randonnées souterraines dans ces caves. « Je souhaiterais partager le plaisir que je connais ici. Au calme, loin de l'agitation qui règne au-dessus de nos têtes », expose-t-il en disciple improvisé de Platon et de sa caverne secrète. Pourtant, l'homme se défend d'être littéraire. « Plutôt Indiana Jones. » Mais, il est vrai qu'une fois les lumières éteintes, séparé de la civilisation par quelques épaisseurs de roches, beaucoup de pensées s'entrechoquent. « On oublie où on est », plaisante avec un air d'enfant Henri-Claude Honnart, visiblement coutumier de l'exercice. Exercice qu'il pourra proposer aux prochaines Journées du patrimoine (15 et 16 septembre), avec la visite de la « Grotte » et de la « Chapelle » (cave du XVIIe siècle) avant de s'attaquer à d'autres chantiers dès l'hiver. • La Voix Du Nord
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: A BETHUNE Jeu 4 Aoû - 18:16
LA NOUVELLE PRISON DE BETHUNE BOULEVARD JEAN MOULIN??????????????????
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: BETHUNE Mar 5 Avr - 9:46
LA GRANDE PLACE DE BETHUNE VUE PAR LE PETIT BOUT DE LA WEBCAM
Sur la camera une araignée est en train de tisser sa toile ...peut être une "ARANEAE FLAJOLETUS" ???????
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: BETHUNE Mer 16 Mar - 12:41
BETHUNE ,une municipalité qui nous écoute , qui nous promet, mais qui ne réalise pas …
---Impression que des élus soutiennent l’ association DROIT AU VELO , mais sont impuissants ( les Verts et les Gens du Béthunois) .
--- Revendication a une participation aux projets et aux travaux en cours . Un maire peut en cours de travaux modifier les projets, car rien n’est jamais figé . Il peut donc dans le cadre du marché et du bordereau des prix signés entre la commune et l’entreprise modifier le projet sans dépenses supplémentaires. Et si nécessaire demander a l’ entreprise , une remise de prix pour travaux supplémentaires non inclus dans le descriptif du bordereau des prix , mais à Bethune ça n’est jamais possible .
---Le SIVOM est responsable de la signalisation et de la peinture qui concerne le traçage des pistes cyclables, Il y a un vice président Europe Ecologie Vert qui pourrait agir , mais que fait il ?
---La soumission à la dictature de personnes non élues qui décident seules et là je pense aux architectes des monuments historiques qui exigent des pavés dans le centre ville. On se demande à quoi sert un conseil municipal si il n’est pas capable d’influencer des fonctionnaires et de les faire évoluer dans l’intérêt des populations. Surtout lorsqu ‘on se souvient que la précédente municipalité avait fait accepter une Halle aux produits d’un style architectural moderne complétement opposé au style moyenâgeux du Beffroi classé au patrimoine mondial de l’ UNESCO . Deux poids , deux mesures ?
---Le conseil général avec Raymond Gaquere a su écouter et modifier les plans pour construire à notre demande des pistes et des aménagements cyclistes sur le pont d’Essars et c’est ainsi que les choses devraient toujours se passer . Malgré tout pour arriver à ce résultat nous avons du agir et manifester , car quoi qu’il en dise les pistes n’étaient pas prévues .
rl]
Le maire perd de plus en plus de ses pouvoirs a cause des structures qui prennent le relais, et la démocratie est de moins en moins efficace . SIVOM , ARTOIS COMM , et maintenant le SMT ( syndicat des transports ) décident et les élus doivent SUBIR les orientations de personnes non élues et de technocrates choisis par le parti politique majoritaire .
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: BETHUNE Mer 16 Mar - 8:25
L'Association de droit au vélo boycotte l'ouverture de Béthune 2011 mercredi 16.03.2011, 05:07 - La Voix du Nord
L'ADAV de Daniel Dourlens
a préparé un plan d'aménagement pour Béthune 2011. Sans suite. | • LE VISAGE DE L'ACTUALITÉ DANIEL DOURLENS C |
Sollicitée par la Ville pour s'associer à la fête d'ouverture de la capitale régionale de la culture, le 2 avril, pendant laquelle est prévue une petite animation autour de la bicyclette, l'Association de droit de vélo (ADAV) a décliné l'invitation. « On n'est pas des clowns », tancent ses militants. Ils ne veulent pas servir de vitrine à une municipalité qui ne tient pas ses promesses en matière d'aménagements cyclables.
Ce lundi-là n'est pas choisi par hasard. C'est le premier jour de la semaine « Respectez les cyclistes ». Un symbole pour les militants de l'ADAV alors qu'ils veulent pousser un coup de gueule contre la politique de la Ville en matière d'aménagements cyclables. Ou plutôt celle, d'abord prometteuse, de laquelle il ne voit finalement rien venir. Depuis trois ans, ils ont pourtant été sollicités, notamment en matière de sensibilisation aux risques liés à la route, écoutés mais visiblement pas entendus.
Un « a priori » favorable
Autour de Daniel Dourlens, correspondant de l'ADAV dans le Béthunois, une dizaine de militants sur la vingtaine d'adhérents que compte l'antenne. La récente invitation de la Ville à participer à la cérémonie inaugurale de « Béthune 2011, capitale régionale de la culture » les a décidés à tenir leur première conférence de presse collective. De 14 à 18 heures, le 2 avril, on propose aux participants d'équiper leur vélo de leds pour « une mise en lumière de la ville », explique le programme de l'événement. « Nous, on ne veut pas faire la fête dans une ville où on ne fait rien pour le vélo. En revanche, on comprend tout à fait que les cyclistes s'y associent ce jour-là. Pour une fois qu'ils peuvent rouler en sécurité... », glisse au passage Daniel Dourlens.
Aux yeux des militants de l'ADAV, ce n'est actuellement pas le cas. Et ça n'en prend même pas le chemin. La déception est d'autant plus grande que l'association avait un a priori très favorable, de par la composition même de la municipalité où figurent de nombreux élus sensibles à la pratique du vélo.
Une ville où le maire s'est lui-même montré « très favorable à développer les pistes cyclables à Béthune », rapporte Daniel Dourlens. « J'aurais préféré que le maire dise deux fois "oui" et trois fois "non" plutôt que dire 5 fois "oui" et ne rien faire du tout », renchérit Renaud Silvestri alors que l'ADAV a fait de nombreuses propositions en matière d'aménagements cyclables.
Sont cités pêle-mêle parmi les points noirs l'absence de pistes cyclables entre la gare, l'université et l'hôpital de Beuvry - une zone prioritaire -, l'absence d'arceaux pour stationner les vélos, les pavés de la Grand-Place récemment changés et inutilisables pour des deux-roues ou une zone de rencontres intéressante sur le papier mais dangereuse dans la pratique.
Déception enfin et surtout de voir reporter ce plan vélo budgété à 100 000 E l'an dernier. « Au 31 décembre 2010, il n'y a pas eu un centime de dépensé », fait remarquer Daniel Dourlens. Lui qui rappelle que l'ADAV a participé à son élaboration comme elle l'a été sollicitée pour faciliter l'accès aux sites de Béthune 2011. C'était il y a un an et demi. À deux semaines de l'ouverture, le cycliste ne voit toujours rien venir. •
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: Re: BETHUNE Mar 8 Mar - 9:57
REGLEMENTS DE COMPTES A BETHUNE.... (COPIE SUR LE FORUM DEFENDANT LA LA MUNICIPALITE ACTUELLE )
« Je viens de prendre connaissance de la réponse de Monsieur CAUCHE à nos problèmes de budget. Il est devenu au fil du temps aussi fabulateur que son mentor.
Je réaffirme que les caisses étaient vides à notre élection. Monsieur CAUCHE pourtant ancien receveur, fait mine de confondre budget et trésorerie. Quand il vous reste 100 euros en poche d’un coté et que de l’autre il vous reste 110 euros de factures, vous ne pouvez pas affirmer que vos caisses sont remplies. Il a fallu la première année régler toutes les factures en souffrance.
En ce qui concerne le parking souterrain, Monsieur Cauche oublie de nous dire que les recettes de stationnement auparavant perçues par la Ville le sont aujourd’hui par QPARK. Ces recettes s’élèvent à 600 000 Euros par an. Eh bien chez moi 400 000 et 600 000 font bien un million d’euros.
Je persiste et je signe l’héritage laissé par l’ancienne équipe est catastrophique pour les finances de la Ville ».
Nous rajoutons un extrait du jugement de la CRC le concernant :
Cour des comptes, 4ème Chambre, arrêt n° 31398, 6 décembre 2001, Commune de Béthune, 2003.
« La chambre régionale des comptes du Nord-Pas-de-Calais a constitué M. CAUCHE débiteur pour avoir payé irrégulièrement à la société Boschetti- Wilhelem des intérêts moratoires pour des montants s'élevant successivement à 24 396,90 € (160 033,15 F) par mandat n° 5381 du 5 août 1991, puis à 97 560,97 € (639 958 F) par mandats n° 2285, 2584 et 2662 des 30 mars, 7 et 11 avri1 1993 »
Nous rajoutons :
L’embauche de son fils Jean-François en tant que chargé de mission à la Ville à 1600 euros par mois alors que papa était adjoint. Au fait quelle était sa mission exacte ? Il était peu présent en mairie aux dires des salariés et partait souvent en mission pour se former ? Cet informaticien est aujourd’hui le webmaster de la section socialiste Copernic comme l’atteste l’article de la Voix du Nord ci-dessous (paru il y a quelques jours, Jean François c’est celui de gauche). C’est ce qu’on appelle un renvoi d’ascenseur.
«On pourra intervenir dans le débat par webcam», annonce Julien Duquenne. | LES VISAGES DE L'ACTUALITÉ | La Voix du Nord
Annoncés en décembre, les débats de Copernic se précisent. À défaut d'avoir fixé la date du premier de la série, ...
Philippe Garcia a déjà interviewé Michel Leblanc dans un entretien posté sur www.debatscopernic.org, le site créé par Jean-François Cauche où les internautes sont invités à poser leurs questions. Sur Facebook, Twitter et autres réseaux sociaux. Grâce aux témoignages recueillis par la vidéo, « le jour J, on entrera directement dans le vif du sujet ».
RIGUEUR ? QUI A DIT RIGUEUR ?
Invité Invité
Sujet: Re: BETHUNE Mar 26 Fév - 17:30
Ouais .....ouais ...mais je ne vois pas Quoi ou plutot QUI va arrêter cette frénésie de construction ou Plutot cette Mégalo Galopante !!
On a pensé un Instant que notre Député s'y serait attelé ...mais il préfére la Mairie de St Venant !!
A vaincre sans péril ............
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: FOLIE DES GRANDEURS ? Mar 26 Fév - 11:57
LU DANS LE MONDE
Béthune, modeste sous-préfecture du Pas-de-Calais d'à peine 28 000 habitants, fourmille de projets d'architecture. Logements sociaux ou privés, rénovation urbaine, création d'un écoquartier, piscine toute neuve, nouvelle patinoire-cinéma, marché ultramoderne... rien n'est oublié.
On trouve là réunie la fine fleur des architectes français : Rudy Ricciotti, Paul Chemetov, Jacques Ferrier, Jean-Michel Wilmotte, Francis Soler, Odile Decq, Frédéric Borel, Reichen et Robert... Un casting jamais vu dans une ville moyenne.
Cette frénésie porte l'empreinte de Jacques Mellick (PS), maire de Béthune depuis 1977, hormis une parenthèse entre 1996 et 2002. L'élu avait alors été condamné à cinq ans d'inéligibilité pour faux témoignage en faveur de Bernard Tapie dans l'affaire OM-Valenciennes.
A 66 ans, le maire de Béthune, candidat à sa propre succession, se rêve en bâtisseur.
Ses chantiers, leur générique de stars et leur budget inflationniste sont devenus un thème central de la campagne, dans un jeu politique local passablement brouillé.
Le maire PS sortant affronte deux adversaires à gauche : son ancien premier adjoint, Bernard Seux, 60 ans, chef de file d'une équipe "sans étiquette", et son ancien directeur de cabinet, Stéphane Saint-André, 43 ans, à la tête d'une liste "d'ouverture".
"Tout ça c'est la même famille qui se dispute l'héritage", avance le candidat de droite, Olivier Gacquerre, 32 ans, candidat du MoDem parrainé par le député UMP André Flajolet.
"Jacques Mellick a pété les plombs, assène M. Saint-André. Béthune n'est pas Barcelone ou Bilbao. Nous ne pouvons pas absorber tout ça." A droite, M. Gacquerre ne dit pas autre chose : "Cette politique nous conduit dans le mur sur le plan financier, alors que les Béthunois fuient déjà la ville à cause d'une fiscalité très lourde."
Jacques Mellick, lui, défend une stratégie censée garantir la prospérité de Béthune : "Une large métropole se constitue autour de Lille. Si nous ne voulons pas être dilués dans cette nébuleuse et devenir une banlieue banale, nous devons gagner une identité forte. L'architecture est un outil du développement économique."
Pour faire de Béthune une vitrine de l'architecture contemporaine et un pôle de réflexion sur la ville et l'urbanisme, la municipalité a ouvert un centre de ressources, la "Plateforme d'architecture", et elle a racheté pour 1 million d'euros l'ancienne agence de la Banque de France pour y installer un centre d'art contemporain, le Lab Labanque, centré sur les liens entre l'art et la ville.
Côté grands projets, en revanche, les plans de M. Mellick ont pris du retard. "A part des plaquettes en quadrichromie, rien ne sort. M. Mellick impose des architectes de renom, du coup les opérations ne sont pas à l'équilibre", souligne M. Saint-André. "Il n'y a aucune concertation avec les Béthunois, ajoute M. Gacquerre. Conséquence : des associations déposent des recours pour bloquer les projets."
En mars, le chantier du cinéma-patinoire devrait commencer. Le bâtiment zébré de béton et de verre a été dessiné par Rudy Ricciotti, Grand Prix national de l'architecture 2006. Coût estimé : 33,7 millions d'euros. Mais le plus controversé des projets reste la halle aux produits frais attendue pour la fin de l'année : une bulle argentée de 39 mètres de long, posée au pied du beffroi du XIVe siècle par Francis Soler. Devis : 5,4 millions d'euros hors taxes.
Seul bâtiment à être sorti de terre, le complexe aquatique, signé Alain Sarfati, accueille les nageurs depuis décembre 2007 derrière sa façade de cubes translucides aux couleurs acidulées. Une facture salée : 16 millions d'euros. "C'est 6 millions de trop, et c'est un équipement de l'agglomération payé par les seuls Béthunois", proteste M. Saint-André.
Document en main, Jacques Mellick assure que le taux d'endettement par habitant a baissé pendant son dernier mandat. Il liste les aides qu'il a obtenues de l'Etat ou de la région, vante le recours au privé pour financer la halle et la patinoire-cinéma. Mais dans les rues de Béthune, on murmure que son rêve de grandeur pourrait lui coûter son fauteuil.
Grégoire Allix Article paru dans l'édition du 24.02.08. Abonnez-vous au Monde à -60%
BCN Invité
Sujet: Re: BETHUNE Ven 11 Jan - 14:08
je partage entièrement cette analyse en espérant seulement que les fanas du tout sauf mellick ne fasse une alliance compromettante...je doute quand même de voir sur une même liste l'ump, tobo, un syndicaliste sud...
PACA
Messages : 3053 Date d'inscription : 26/09/2007
Sujet: BETHUNE Ven 11 Jan - 10:32
Flajolet ne se presentera donc pas sur BETHUNE .
Pour lui Bethune ne valait ni une messe , ni un poste à l ' ADMR ( ! ), a la communauté ARTOIS-LYS , ni au conseil regional , ni au pays d 'artois lys , ni a la mairie de Saint Venant.
Pas le courage de risquer de perdre tout ça pour combattre le systeme Mellick et c ' est aussi le constat que l ' UMP n 'a pas de représentant serieux sur Bethune.
C 'est le constat de l ' échec du militantisme UMP.
Heureusement le MODEM avec Bayrou-de-secours est là pour venir aider et ON envoie l 'equipe Gacquerre au casse pipe en se déchargeant sur lui.
Flajolet y impose donc DERUELLE son suppléant et le fait mettre en troisieme position sur la liste " Bethune ma ville", d' Olivier Gacquerre ...
Le chef, c'est bien sur Flajolet qui tirera, de loin , les ficelles de cette union.
Mais de loin ..faut pas que la défaite éclabousse ! ! !
Au moins maintenant les choses sont claires .
ON sait que le centrisme INDEPENDANT EST UN LEURRE . QUE LE CENTRISME n 'est pas viable en France Que LE MODEM et l ' UMP ne font qu' un seul parti politique
Et que BAYROU EST LE GRAND COCU
. BETHUNE, LA VILLE QUI A VRAIMENT DES PROBLEMES DE STATIONNEMENTet qui aime bien s 'en créer ...
Trottoirs encombrés , police tatillonne plus apte a verbaliser les pietons que les automobilistes qui utilisent des trottoirs en mauvais état envahis par les crottes , les poubelles et les sacs pleins d 'ordures. Mais non contents de ce triste état de chose la municipalité IMPOSE de façon dictatoriale le stationnement pour une seule et unique voiture par logement dans la zone TESTUT . PAR UN SIMULACRE DE DEMOCRATIE elle crée une maison du projet pour cet ensemble de 650 logements ...projet deja bouclé , ficelé et qui evidemment ne prend pas en compte les aspirations de ses futurs habitants ...c 'est comme ça , circulez y rien a voir et a discuter, c 'est a prendre ou a laisser ... les architectes on décidé...les élus ont suivi sans rechigner ...mais le pouvaient ils ????? Attendons nous donc a voir les autos stationner illegalement , un peu partout sur les trottoirs et les espaces verts et la police punir les victimes ...
Dernière édition par PACA le Mar 5 Nov - 0:51, édité 1 fois